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Ma femme et sa soeur – Chapitre 1




Nous sommes un vendredi soir en plein mois de décembre, les sapins de Noël décorent les maisons et les guirlandes électriques viennent illuminer les petits villages partout en France. Les familles se retrouvent afin de passer un moment agréable. Pour ma part, j’allais me rendre chez ma belle-sur avec ma femme Elodie pour le week-end.

Laissez-moi me présenter, je m’appelle Pierre, j’approche de la trentaine et je suis comptable dans un petit cabinet depuis la fin de mes études. J’ai rencontré Elodie il y a deux ans lors d’une soirée chez des amis en commun. Elle est légèrement plus âgée, elle aura 35 ans en début d’année mais elle paraît en avoir dix de moins, les inconnus sont même surpris que ce soit elle la plus âgée de nous deux.

Elodie est très proche de sa petite sur qui habite à une soixantaine de kilomètres de la maison, il nous arrive très régulièrement de passer une journée ou deux chez elle ou de l’inviter chez nous. Sa sur Virginie vient de rompre avec son copain avec qui elle était depuis environ un an, on lui a immédiatement proposé de venir passer deux jours chez elle afin de lui changer les idées.

Après avoir pris une douche et préparé nos affaires, il était temps de partir car il faisait déjà nuit et Virginie allait nous attendre pour dîner.

Une fois arrivés chez ma belle-sur, on s’installait dans le salon pour prendre un petit apéritif tous ensemble. J’étais avec deux magnifiques femmes pour la soirée. Ma femme était habillée d’une robe noire avec un joli décolleté et lui arrivait au milieu de la cuisse. Tandis que Virginie était vêtue d’un chemisier blanc et d’une jupe bleu marine qui remontait au niveau de ses cuisses, sa position me permettait même d’apercevoir sa culotte blanche entre ses jolies jambes.

Virginie se confia concernant son ancienne relation :

« Ce n’était plus possible pour moi, il ne prenait plus soin de moi et on ne se parlait presque plus à la fin de notre relation.

— Je te comprends ma sur, j’ai vécu le même genre d’aventure il y a quelques années avant d’avoir la chance de rencontrer Pierre.

— Tu veux bien nous donner plus de détails sur cette rupture ?

— Quand je venais le soir pour lui faire un câlin il me repoussait tout le temps sous prétexte qu’il était fatigué, seulement il se couchait bien plus tard que moi et je l’ai déjà surpris en train de se masturber devant un porno après avoir refusé de me toucher.

— Pour être honnête avec toi, ça m’arrive encore aujourd’hui de regarder du porno, parfois même avec ta sur.

— Pierre ! Reste discret devant ma sur je te prie.

— Pourtant ça permet de faire un jeu en couple afin de s’exciter un peu tu vois. Tu ne me diras pas le contraire ma chérie. Répondis-je

— J’ai essayé une fois mais il était gêné quand il m’a vu arriver et a tout fermé pour aller se coucher. »

Après quelques verres en guise d’apéritif, Virginie partie chercher deux pizzas qu’on se partageait autour de la table. Plus je l’observais et plus tout son corps devenait attirant pour moi. Il faut dire qu’elle ressemblait à sa sur au niveau du visage mais possédait de bien meilleures formes notamment au niveau de ses fesses qui venaient remonter légèrement sa jupe.

Virginie prétexta avoir besoin de mon aide pour attraper un plateau en hauteur pour m’appeler dans la cuisine, Elodie se retrouva seule dans le salon.

« Tu crois que je ne te vois pas à m’observer depuis le début de la soirée ? Tu es dingue ou quoi de faire ça juste devant ma sur ?

— Je ne vois pas de quoi tu parles.

— Tu es sur ? »

Au même moment elle m’attrapa au niveau de l’entrejambe, elle pouvait sentir à quel point mon sexe était déjà en érection à ce moment-là. Il fallait que je tente le tout pour le tout avec Virginie à ce moment-là.

« Ecoute, tu m’attires beaucoup et ta sur est loin d’être jalouse, on pourrait peut-être en profiter, apparemment tu es en manque de sexe.

— Comment ça ? Tu veux dire que vous êtes libertins ?

— On peut dire ça, ta sur a un amant et j’ai eu deux relations depuis qu’on est mariés.

— Elle ne m’en a jamais parlé, ça m’étonne vraiment, en revanche je ne suis pas contre l’idée d’avoir ta queue en moi ce soir.

— Ramène du champagne à la fin du repas afin de chauffer un peu ta sur. »

A ce moment-là je pris ma revanche et mis ma main dans sa culotte et constata qu’elle était déjà bien mouillée en apprenant cela. On revenait dans le salon avec le plateau pour tout débarrasser. Virginie apporta ensuite une bouteille de champagne et de la crème de cassis.

On discutait un peu de tout dans cette soirée, notamment du travail de chacun et des petites anecdotes allant avec. Virginie était vendeuse dans une boutique de lingerie et avait beaucoup d’histoires à nous raconter. Cela nous permit même de dévier la conversation vers le sexe à nouveau, je saisis l’opportunité :

« Dis-moi Virginie, avec ton travail tu dois avoir des prix sur la lingerie non ?

— Oui bien sûr le personnel du magasin prend une réduction de 20%.

— Ah oui ? Tu dois avoir de jolies pièces alors.

— Quelques-unes oui, j’aime bien avoir je jolis sous-vêtements.

— J’aimerais bien voir ça, tu portes quoi actuellement ?

— Enfin Pierre, tu parles à ma sur ce n’est pas vraiment une question à lui poser. Riposta Elodie.

— Ca ne me dérange pas de te le dire. J’ai une culotte blanche avec de la dentelle sur le côté et un soutien-gorge blanc également avec un léger effet push-up. »

Je m’imaginais déjà avec Virginie en face de moi en sous-vêtement pour tout lui arracher et lui faire l’amour sous les yeux de ma femme. Ses paroles m’avaient beaucoup excité et la bosse dans mon pantalon ne pouvait plus être cachée. Elodie la remarqua et je voyais qu’elle se posait des questions dans sa tête. Afin de voir son état d’esprit je passais à la vitesse supérieure.

« Tu m’as bien donné envie de les voir, ça te dérange de me les montrer ?

— Non pas du tout, est-ce que tu en vois un inconvénient Elodie ?

— Fais ce que tu veux »

Après ces paroles, j’admirais le spectacle. Virginie se retrouvait en sous-vêtements devant moi et sa sur, elle fit un tour sur elle-même pour me permettre de l’observer comme il faut avant de nous inviter à nous mettre dans la même tenue.

J’aidais ma femme à défaire la fermeture éclair dans son dos et elle glissa sa robe. Cette coquine n’avait pas mis de sous-vêtements pour ce soir et elle en profitait pour provoquer sa sur :

« Désolé, je ne peux pas rivaliser avec ta lingerie, je n’ai pas pensé à mettre de sous-vêtements ce soir.

— Pas de soucis, ça nous permettra de gagner un peu de temps. »

Ces mots déclenchaient une envie irrésistible de sexe entre ces deux femmes. Elles se regardaient droit dans les yeux avant d’admirer le corps de l’une et de l’autre. Elodie vint devant sa sur et retirait son soutien-gorge afin de nous laisser contempler sa magnifique poitrine. Vient ensuite le tour de sa culotte de voler dans la pièce et elle se retrouvait nue elle également.

« Tu crois que je ne t’ai pas vu dans la cuisine jouer avec Pierre, je savais depuis un moment que mon mec t’attirait.

— Ce n’est pas de ma faute, tu as l’air tellement épanouie, je savais qu’il y était pour quelque chose. »

J’enlevais mon caleçon pour libérer mon sexe également, il était bien bandé et j’imaginais déjà le reste de la scène. Virginie vint poser ses mains sur la poitrine de ma femme, un frisson parcourait tout son corps, ensuite elle entreprit de poser ses lèvres sur son téton. Cela augmenta le rythme de respiration d’Elodie, elle commença à gémir au moment où la langue de Virginie s’activait à cet endroit.

De son côté Elodie ne restait pas immobile et cherchait l’intimité de sa sur avec ses doigts, on pouvait entendre dans la pièce des clapotis liés à la mouille accumulée à l’entrée de son vagin. Les gémissements de ces deux femmes envahirent la pièce. Je me masturbais devant ce magnifique spectacle et j’avais rarement senti ma queue aussi grosse que ce soir.

Virginie décida d’augmenter le plaisir de sa sur en lui demandant de s’allonger sur le tapis, elle entreprit un cunnilingus de qualité à en juger par les gémissements de sa sur. Elle titillait son clitoris avec insistance ce qui arracha plusieurs cris d’Elodie :

« Ah… Oui c’est bon tu te débrouilles trop bien… Hum… Oui va y continu »

Avec deux doigts faisant des va-et-vient et les coups de langue cela permit à ma femme de jouir dans la bouche de sa sur. Elles se retournaient ensuite vers moi avant de me dire :

« On a une bonne queue pour nous deux maintenant

— Je suis impatiente d’y goûter »

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