10 – Une opération « vérité-terrain ».

Je me suis penchée sur l’immense objet que j’avais dans la main et j’ai commencé à lui faire une fellation. J’ai peiné à faire entrer son gros gland dans ma bouche mais il m’a semblé très heureux de ce que je lui faisais. Ma langue enrobait cette partie de lui que j’avais réussi à mettre dans ma bouche et la parcourait en tous sens, insistant sur le petit trou qui surmontait la chose. Il a posé une main puis les deux sur mes cheveux pour accompagner ma caresse.

J’en avais une folle envie qu’il me fasse l’amour, mais je n’osais pas le lui demander. Pour réfléchir dans ma tête à ma future stratégie, je lui ai demandé :

 Dis-moi, tu connais tes dimensions?

En riant, il m’a répondu:

 Ah! Nous voilà à l’opération « vérité-terrain », comme me le dit un ami géologue. Si j’en crois un certain nombre de mesures effectuées par des personnes curieuses, personnellement je ne l’aurais jamais fait, la petite bête que tu vois de près mesure vingt-huit centimètres de longueur pour quatorze centimètres de diamètre.

Je lui ai répondu :

Marc, c’est la première fois que je vois un sexe si gros. Tu vas dire que mon seul élément de comparaison était mon ex-mari. Pourtant, il paraît qu’il était déjà au-dessus de la norme, c’est tout du moins ce qu’il m’a dit. Mais toi…

Tu sais, Sylvie, je ne suis pas un phénomène de foire, je suis né comme ça, c’est tout. Mais je suis persuadé que tu peux m’accueillir en entier en toi. Je ne peux pas t’expliquer pourquoi, mais je le sens.

Marc, je veux que tu viennes en entier dans moi, je veux sentir mon sexe s’ouvrir complètement pour toi.

C’est fou, Sylvie, c’est fou, je…

Il n’a plus rien dit, je crois que j’aurais pu compléter sa phrase: « je suis tellement sûr que nous allons nous emboîter à la perfection l’un dans l’autre que je veux te faire l’amour pour que nous nous aimions pour l’éternité ».

Il a simplement repris:

Prends-moi dans tes mains et guide-moi en toi.

Appuyé sur ses bras tendus, il m’a regardée me saisir de son énorme mandrin puis le mettre en face de l’ouverture trempée de mon sexe. Nous avons observé tous les deux sa lente progression.

Il m’a appris, avec un léger gémissement:

Sylvie, tu as les mains si douces que rien ni personne ne doit te résister.

Instantanément, je lui ai répliqué:

Si, mon ex-mari! La douceur de mes mains, comme tu dis, ne l’a pas empêché de partir avec une gamine dont je me demande si, au début de leurs relations, elle était majeure! Je crois que c’est elle qui l’a poussé à divorcer pour qu’ils puissent s’installer ensemble.

Ne t’inquiète pas, ça n’a plus aucune importance maintenant. Regarde, nous allons te venger ensemble.

Il a poussé tout doucement jusqu’à ce que son gros gland soit entièrement en moi. Là, il a marqué un temps d’arrêt en me demandant:

Ça va?

Je n’ai pu que lui faire un signe d’acquiescement de la tête. J’étais émue comme jamais par la présence de cette colonne de chair rigide que j’avais dans les mains et que je guidais dans mon sexe. Je savais qu’il allait venir tout au fond de moi, je savais qu’il ne rencontrerait aucun obstacle. J’en jouissais à l’avance, d’une jouissance purement intellectuelle.

Ce ne fut pas qu’un plaisir dans ma tête, ce fut du bonheur physique à l’état pur.

Il restait encore je ne sais combien de longueur à rentrer dans moi. Il a continué à pousser tout doucement tandis que je flattais la grosse bête qui venait dans mon ventre.

Au bout d’un moment, il est arrivé dans une région de mon sexe encore inexplorée. J’ai senti que je m’ouvrais de l’intérieur à sa poussée. Je l’ai lâché pour me concentrer sur mes sensations, c’était fabuleux, il n’avait mis que la moitié de son sexe dans le mien et déjà je commençais à jouir. Je savais que, là où il allait, personne n’était jamais venu. Mes liqueurs intimes l’entouraient et le décidaient, en facilitant ses mouvements, à progresser plus avant. J’ai choisi inconsciemment de l’aider. Au moment où il poussait tout doucement pour entrer un peu plus dans moi, j’ai donné un violent coup de reins, en me propulsant vers lui. Comme justement il avançait précautionneusement à la découverte de territoires dont il savait qu’ils étaient totalement vierges, j’ai senti que je lui éclaboussais la verge avec mes liqueurs intimes mais je me suis empalée jusqu’au fond, ça y était, il était entièrement dans moi.

Il a émis un gémissement sourd tandis que je jouissais en continu. Il nous a laissés apprécier un bon moment cet énorme bonheur que nous partagions puis, tout doucement, il a mis ses bras dans mon dos. Il m’a redressée en m’attirant contre lui. Il s’est un peu écarté de moi, alors que je voulais que les pointes raidies de mes seins pénètrent ses muscles comme son sexe pénétrait le mien et il m’a dit:

Regarde ! Nous sommes complètement unis.

J’ai regardé et j’ai constaté que tout de lui était entré dans moi. J’ai à mon tour gémi un peu:

Ce n’est pas possible. Tu est tout entier dans moi. Mais comment…?

Il m’a interrompue d’un petit biser:

Je t’ai dit que tu étais la déesse du sexe et de l’amour.

Il s’est ensuite allongé sur moi, sans faire un seul mouvement, puis m’a longuement embrassée sur la bouche. J’ai ouvert mes lèvres à sa langue et bientôt nous nous sommes battus à coups de langue dans nos bouches. Nous salivions beaucoup, il devait y en avoir sur mon oreiller, mais nous nous en moquions. Il était dans moi sans bouger mais j’ai voulu plus. Je l’ai fixé dans les yeux en lui prenant la tête dans mes deux mains et je l’ai imploré :

Fais moi l’amour, s’il te plaît.

En même temps, j’ai encerclé ses reins avec mes jambes, en le serrant très fort contre moi. J’ai ressenti une émotion très forte, j’avais une énorme chose toute raide dans mon ventre et je sentais qu’elle allait se consacrer à mon plaisir

C’est devenu fou. J’ai eu l’impression que le monde entier tremblait autour de nous deux, que nous étions les seuls survivants d’un cataclysme, mais que surtout nous ne formions plus qu’un seul corps, concentré autour de la réunion fusionnelle de nos deux sexes. J’étais dans un état indescriptible, d’autant plus qu’il me disait des mots très doux en me caressant les cheveux et les joues… et je ne me souviens plus que de mon inconscience d’après.

Il est sorti de moi presque tout entier puis il est revenu je ne sais combien de fois en moi. Je me sentais m’humidifier encore plus et m’ouvrir à lui comme jamais je n’avais été ouverte. Nos mouvement étaient parfois complètement désordonnés mais il était souvent au fond de moi, je lui ai griffé le dos, labouré les flancs, il a sucé mes seins et ma bouche, je l’ai serré un maximum dans moi, j’ai senti plein de liquides à moi dont je ne devinais pas la source l’entourer comme pour mieux huiler ses mouvements. Tout à coup, il m’a envoyé des salves de sperme qui sont allées butter tout au fond de mon ventre, à un endroit dont j’ignorais même l’existence.

J’étais bouillante de l’intérieur, sa liqueur me donnait une chaleur incroyable dans le sexe, j’étais merveilleusement bien, je ne sais même pas combien j’ai eu d’orgasmes, ils se succédaient en rafale et j’avais l’impression que c’était la même chose pour lui.

Soudain, alors que nous étions complètement imbriqués l’un l’un dans l’autre, une langueur incroyable s’est emparée de nous et nous nous sommes endormis d’un seul coup, toujours l’un dans l’autre.

(à suivre)

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