Quelques jours plus tard, Mamie, m’a dit qu’elle et Papy préféraient que je les appelle par leur prénom, surtout dans les moments intimes. Un agréable style de vie s’était établi, mes grands-parents laissaient leur porte ouverte, et j’avais régulièrement l’occasion de voir leurs ébats amoureux, parfois discrètement, parfois, je me couchais contre eux, et je joignais mes caresses aux leurs. Je leur ai fait part de mon désir de faire une école d’infirmière, et ensuite d’exercer dans une maison de retraite, car j’aimais le contact avec les personnes âgées. Je leur ai demandé, si je pouvais habiter chez eux pendant ces études, car l’école que j’avais choisie était plus proche de leur maison que de celle de mes parents, ainsi je n’aurais pas à traverser Bordeaux plusieurs fois par jour.
Mamie, plutôt, Colette, m’a dit que j’étais ici chez moi. Et qu’ils allaient aménager ma chambre pour que je puisse travailler dans de bonnes conditions. Je l’ai embrassée et j’ai couru embrasser aussi Marcel à qui j’ai expliqué mes projets. Il m’a dit que nous serions très heureux tous les trois et que je pouvais compter sur lui.
J’ai fait ma petite sieste habituelle avec Colette, qui m’a confié que si moi je leur donnais une nouvelle jeunesse, et beaucoup de plaisir, souvent par ma simple présence, eux ne s’occupaient pas beaucoup de moi. Que si nous devions vivre ensemble, je devais savoir leur demander l’amour et les plaisirs que je pouvais désirer, que nous avions dépassé le stade des tabous, et que je pouvais être sûre qu’ils feraient tout pour me combler. Si je voulais rencontrer des personnes de mon âge, je pouvais faire ce que je voulais, que je n’avais aucune obligation vis à vis d’eux.
Elle m’a dit avec une petite voix timide, que la séance exhibition à la brasserie, l’avait beaucoup troublée, et que la nuit, elle en rêvait souvent, jamais elle n’avait ressenti ce plaisir trouble qui l’envahissait avec la honte. Elle m’a avouée qu’elle aimerait, tout en ayant peur, revivre de tels troubles. Je l’ai embrassée, et je lui promis d’autres émotions, mais qu’elle devait à partir de maintenant m’obéir! Elle a promis.
Je lui ai dit qu’elle n’aurait pas à attendre longtemps, que cet après-midi, nous irons à la plage, et que là, je verrai bien si elle est bien obéissante! Je lui ai demandé de se lever, de mettre un de ses beaux soutien-gorge et la petite culotte assortie, et dessus une robe de plage qui lui allait très bien. Nous avons demandé à Marcel s’il voulait nous accompagner. Il a accepté avec empressement.
J’ai préparé un panier avec nos trois draps de plage, les trois maillots de bain, et un petit goûter avec de l’eau fraîche dans un thermos.
Quand nous sommes arrivés à la plage, j’ai choisi un coin où il y avait pas mal de monde déjà installé. J’ai mis les draps de bain côte à côte sur le sable chaud. J’ai retiré mon T-shirt, ma jupe, ma mini culotte, et j’ai demandé à Marcel de me passer mon maillot, il me regardait avec gourmandise, j’ai pris tout mon temps pour mettre le bas du maillot, puis j’ai mis le haut. Et je me suis assise sur la serviette du milieu. Et j’ai dit à vous!
Colette, s’est assise sur sa serviette, et a déboutonné sa robe, je l’ai aidé à retirer les manches, elle était en soutien-gorge blanc, et elle hésitait, mon déshabillage avait éveillé l’intérêt de certains voisins de serviette, aussi Colette avait l’impression que toute la plage la regardait. Elle a dégrafé le soutien-gorge, et l’a fait glisser, elle cachait ses superbes seins entre ses bras croisés. Je lui ai passé son maillot, mais comme s’était un une pièce, il fallait commencer par le bas, elle a fait glisser sa culotte sous sa robe, Marcel se déshabillait de son côté, et se rinçait l’il en regardant Colette. Elle a mis ses jambes dans le maillot, et elle l’a remonté en haut de ses cuisses, restait le plus dur: continuer à le remonter, aussi elle s’est mise à genoux, et elle l’a mis jusqu’aux hanches. Alors, elle a déboutonné le reste de sa robe, et a caché bien vite ses seins et enfilé les bretelles. Elle m’a dit, vite, on va à l’eau, je ne sais plus où me mettre! Marcel, lui avait fait moins de chichis, il avait mis son slip en un tour de main, assit sur sa serviette et il riait de la confusion de sa femme.
Une fois dans l’eau, nous avons nagé, et sauté les vagues en nous tenant pas la main en riant, j’ai alors dit à Colette de sortir ses seins de son maillot, pour continuer à sauter les vagues, elle m’a obéit, et dans les tourbillons des vagues, Marcel et moi, ne perdions pas une occasion de peloter Colette.
Nous sommes retournés à nos serviettes, Colette avait réintégré ses seins dans leur maillot! Nous nous sommes passés réciproquement un produit de protection solaire et nous avons passé le reste de l’après-midi à bavarder, et à nous amuser des gens qui étaient sur la plage.
Le soir au moment de repartir, Colette aurait bien remis sa robe, mais je lui ai demandé de revenir nous baigner, elle m’a suivi docilement, nous nous sommes trempées, et avons nagé un peu, et en ressortant, je lui ai dit à l’oreille que nous allions voir si elle était si obéissante que cela!
Nous nous sommes assise sur nos serviettes, et j’ai dit à Colette de retirer son maillot, elle a retiré ses bretelles, et a baissé le maillot jusqu’à sa taille, j’ai passé ma main sur ses seins pour retirer quelques bouts d’algues, puis elle a descendu le maillot en gardant les jambes serrées, quand elle a retiré ses pieds du maillot, elle écrasait ses seins sur ses cuisses, elle m’a demandé de lui passer sa culotte qui était restée dans la panier, je lui ai dit de se lever pour aller la rechercher. Elle m’a dit je suis trop gênée, passe la moi.
J’ai pris une grosse poignée de sable, et je l’ai jetée sur son sexe, et avec la peau humide, le sable à collé partout. Je lui ai dit à l’oreille, je croyais que tu devais être obéissante?, vas chercher ta culotte et ton soutien-gorge dans le panier, et reste debout pour t’habiller, et surtout, n’essuie pas la sable sur ton petit minou.
Colette s’est levée, et a fouillé dans le panier, et a mis rapidement sa culotte, avec du sable plein les pieds, ce qui a augmenté la quantité sur son sexe et ses fesses! Puis elle a mis le soutien-gorge, et enfin sa robe.
Je l’ai embrassé en la félicitant, et je lui ai dit à l’oreille, que de retour à la maison, j’avais une surprise pour elle.
J’ai retiré mon maillot en restant debout, et j’ai remis mes vêtements en me penchant pour chercher mes affaires dans le panier, tout en m’arrangeant de mettre mon cul vers Marcel, pour qu’il ne perde pas une miette de ma fente.
Pendant le retour, elle trouvait que tout ce sable, cela lui grattait bien l’entrecuisse. Marcel lui rigolait, et nous a dit que le spectacle de Mamie sur la plage, lui avait bien plu!
A la maison, Marcel est allé prendre sa douche, moi, j’ai emmené Colette dans ma chambre, j’ai posé sur mon lit une grande serviette, et j’ai demandé à Colette de s’allonger nue dessus. Je suis allé dans la cuisine chercher un pinceau qui servait à Colette à mettre du jaune d’uf sur les gâteaux.
J’ai demandé à Colette d’écarter grand ses cuisses, et de relever ses genoux, que j’allais lui nettoyer son sexe de tout ce sable. Elle en avait partout, j’ai brossé son pubis, ses grandes lèvres et sa raie des fesses, puis quand j’ai attaqué ses petites lèvres et son clitoris, elle s’est mise à tendre son ventre vers moi, elle haletait, et moi je prenais mon temps, procédant par petites touches, lentement, elle se tortillait sous les caresses du pinceau, s’ouvrant encore plus, j’ai continué imperturbablement, et j’ai passé les poils raides du pinceau entre ses petites lèvres, sur sa vulve qui était gorgée de plaisir, j’ai continué jusqu’à son anus, que j’ai bien dessablé, elle écartait ses fesses pour me laisser passer mon petit pinceau.
J’ai lui ai demandé de se lever, et avant d’aller prendre sa douche, il lui fallait me rendre le même service! J’ai secoué la serviette par la fenêtre, et je l’ai remise sur mon lit, et j’ai demandé à Colette de me dévêtir, elle m’a retiré mon T-shirt, puis ma jupe, quand je fus en culotte et soutien-gorge, elle m’a enlacé et m’a embrassé sur les lèvres, et elle a mis doucement sa pointe de sa langue dans ma bouche. Elle m’a dit qu’elle devenait folle, car avant, elle n’aurait jamais imaginée avoir le désir d’embrasser une autre femme! Puis elle m’a retiré mon soutien-gorge et ma culotte. Je me suis allongé les jambes largement écartées, elle s’est mise à genoux entre mes cuisses que j’avais relevées au maximum, et a commencé à me passer le pinceau partout sur le minou, elle aussi a pris son temps, de passer dans chaque recoin, chaque pli, j’en pouvais plus, je sentais mon jus couler entre mes fesses, Colette, m’a grondé, si tu mouille comme cela, je n’arriverai pas à retirer le sable! Elle m’a mis une petite claque sur chaque fesse, mais au lieu de me calmer, bien sûr cela a encore augmenté mon désir!, j’ondulais du bassin, lui tendais ma fente en la suppliant de faire quelque chose, que je n’en pouvais plus! Là elle m’a répondu d’un ton ferme, que dans ma position, c’était elle qui commandait, et que j’avais intérêt à être bien sage, si je voulais avoir un gros câlin, mais que je devrais attendre ce soir. Je l’ai supplié, mais rien n’y a fait!. Elle m’a fait promettre de ne plus me toucher d’ici ce soir, qu’elle allait me donner ma douche.
Nous sommes passées dans la salle de bain, nous nous sommes savonnées de haut en bas, et Colette m’a rincé avec soin, seulement, pour ma fente, elle a mis le jet de la douche sur le jet fort, et quand l’eau sous pression a frappé ma fente et mon anus, j’ai encore plus été excitée!
Nous nous sommes rhabillées, sagement, et nous sommes allées préparer le repas du soir; Elle me regardait avec un il amusé.
A suivre…………………………..