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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 15




Laurence et moi montons à l’étage. Nous entrons dans sa chambre. Un lit immense trône au milieu de la pièce. Laurence tire les draps et m’invite à la rejoindre sur la couche. Je la trouve soudain particulièrement hésitante, comme si elle avait perdu son assurance en entrant dans la pièce. A la manière dont elle me caresse et m’embrasse, j’ai l’impression qu’elle semble presque émue. Douceur, tendresse. Nos corps restent enlacés, unis, comme pendant ce 69 où nos corps ne font qu’un. Laurence m’enfile un préservatif et je glisse entre ses jambes, couché sur elle, l’embrassant encore et encore. Elle jouit à deux reprises, intensément mais discrètement. Notre ébat est sublime de tendresse et de douceur. Trempée de sueur, Laurence a un troisième orgasme. Elle me serre alors contre elle et dit :

— Florent, j’ai envie que tu viennes derrière.

Je me redresse un peu. Que dois-je comprendre ? Elle plonge son regard dans le mien.

— J’ai envie que tu me sodomises.

Je l’observe, surpris.

— Il y a ce qu’il faut dans la table de nuit.

Je me retire, attrape le tube de lubrifiant et commence à la préparer tout en l’embrassant. Je suis derrière elle, en cuillère. Nos baisers ne cessent pas tandis que mes doigts glissent dans son anus. Après quelques minutes, elle dit :

— C’est bon. Viens.

Une noisette de lubrifiant sur mon gland et je me place à l’entrée de son petit trou. Je pousse doucement, elle résiste à peine et je la pénètre. Quelques allers-retours et je suis bien dedans. Toujours en cuillères, j’enlace Laurence tout en l’embrassant. A l’image de notre rapport, la sodomie est extrêmement douce. Mon excitation, elle, est à son plus haut point et mon orgasme est magnifique.

Je me retire, Laurence ne bouge pas. Elle pleure.

— Je pense qu’Elise t’a fait un portrait peu avenant de ma personne. Elle t’a certainement dit qu’il y avait nombre d’hommes qui défilaient. Elle n’a pas tort. Mais pas pour les raisons qu’elle imagine. En réalité, je suis seule, très seule. Le test de la première fois est mon évaluateur. Tous échouent et ceux que je ne jette pas, échouent au second test. Le même que le premier, mais en soirée.

Elle marque une pause puis reprend :

— Florent, je ne sais rien de toi, mais aucun homme n’avait couché dans ce lit depuis le père d’Elise. Et aucune homme ne m’avait sodomisée depuis lui. Tu peux demander à Elise. J’ai toujours utilisé la chambre d’amis avec mes partenaires.

Nouvelle pause.

— Tu m’as baisée comme un diable et tu m’as fait l’amour comme un dieu.

Elle se tourne, les yeux rougis.

— Je n’ai pas l’habitude de me mettre à nu ainsi et j’ai envie de te revoir.

Nous nous embrassons tendrement.

Que répondre ? Il y a 4h, nous ne nous connaissions pas. En deux ébats, je sais également qu’elle est une partenaire sexuelle rêvée et parfaite. Douce et coquine, câline et perverse, délicate et lubrique, l’eau et le feu, la sainte-nitouche et la délurée. Je propose :

— Demain soir pour un resto.

Elle m’embrasse à nouveau.

— J’ai des cours en soirée cette semaine.

— Mardi midi ?

— Mardi midi, oui. Tu veux qu’on se retrouve ici ?

— Non, je préfère qu’on se voit au restaurant.

Laurence sourit. Je justifie.

— Même si j’ai très envie de coucher à nouveau avec toi, je veux aussi apprendre à te connaitre.

Elle passe à cheval sur moi et je retrouve la Laurence piquante de la terrasse.

— Et si j’ai envie ?

— On ira aux toilettes. Ou ailleurs.

— Mmmmh Ça me plait bien

Un long baiser. Je lui fais ensuite un clin d’il.

— Si tu penses que tu auras envie, ce serait plus simple que tu mettes des vêtements pratiques !

Elle rit.

— Au travail, je suis toujours en tailleur. Je choisirai une jupe qui se remonte facilement au-dessus des fesses. Avec un chemisier moulant, des talons hauts et une jolie parure de lingerie avec un string très fin, ça irait ?

Je ris et imaginer sa tenue me fait durcir mollement, mais suffisamment pour que ma bite heurte doucement les fesses de Laurence. Elle dit en riant :

— Je crois que j’ai ma réponse !

Elle lève les fesses, m’enlève la capote et se rassied sur ma verge en s’y frottant.

— Ça ne repartira pas si vite, désolé !

Elle sourit étrangement. Je bande mou, mais cela semble suffisant pour elle. Suffisant pour que, d’un habile mouvement de bassin, elle dirige mon sexe dans le sien et l’introduise entièrement. Elle reste ainsi quelques secondes avant de se retirer.

Il est 16h. Après quelques derniers baisers, Laurence se lève et dit :

— Je dois aller chercher une amie à l’aéroport. Il faut que je me prépare.

Je l’accompagne à la salle de bains pour une rapide toilette avant d’aller chercher mes vêtements sur la terrasse. Je remonte regarder Laurence se vêtir, allongé dans lit. Dessous bleus pour robe bleue. Je la complimente et j’aime déjà la voir rougir à mes mots.

— Souvent en robe ?

— Tu trouveras très peu de pantalons dans mes armoires. A 99% du temps, je suis en jupe ou en robe, oui.

— J’aime ça !

Elle rit puis se maquille succinctement. Elle regarde le réveil.

— 16h25, il faut que j’y aille !

Nous descendons et tombons nez à nez avec Elise qui vient de rentrer. Elle dit :

— Je me demandais où vous étiez.

Elle sourit d’un air entendu. Sa mère ne relève pas.

— Je vais chercher Annie à l’aéroport. Florent allait s’en aller, mais comme tu es rentrée Bref, débrouillez-vous, je vous laisse.

Elle sort et quelques instants plus tard, nous entendons le moteur de la voiture qui vrombit. Elise dit alors :

— Je ne l’ai jamais vue aussi heureuse après avoir couché avec un homme.

Je n’aime pas le ton qu’elle utilise. Je ne réponds pas.

— Voilà le deal : si tu veux revoir ma mère, il va aussi falloir que tu couches avec moi, chaque fois que j’en aurai envie. Si tu refuses, je lui montre les échanges de messages et la photo.

Je dois faire un violent effort pour me contenir.

— Petite pute

— C’est à prendre ou à laisser.

Elise fait alors tomber son short et son string avant de se pencher sur le dossier du fauteuil pour y prendre appui. Les jambes droites, elle m’offre son merveilleux cul. Elle répète :

— A prendre ou à laisser.

J’ai envie de m’en aller et de la laisser là, en plan. Mais l’après-midi magnifique que j’ai passé avec Laurence me force à rester là. Je prends une capote dans ma sacoche.

— Suce-moi, salope, si tu veux que je te baise !

— Ta gueule.

— Ferme-là et pompe-moi !

Elise se tourne et commence à me sucer. Je bande rapidement et la repousse.

— Héééé !

Elle se remet en position et après avoir passer le préservatif, je la pénètre sans ménagement. Elle gémit :

— Mmmh Un si belle queue La réserver à ma mère serait donner de la confiture à un cochon.

Je l’attrape par les cheveux et tire vivement. Elle crie.

— Ta gueule ! Ferme ta gueule, petite trainée !

Je redouble de violence dans mes coups de rein. Malheureusement, cela semble satisfaire Elise.

Dans mon dos, un cri. Je me tourne. Laurence est revenue par la terrasse. Je me retire. Sous ses yeux, un homme la bite à l’air et le cul de sa fille rouge et ouvert. Un instant de flottement. Laurence s’avance, Elise se redresse au mauvais moment. La gifle est monumentale. La jeune fille regarde sa mère, les mâchoires serrées. Elle se retient de pleurer. Elle finit par s’en aller.

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