Nous sommes mariés depuis un peu plus de 6 mois et nous sommes venus, mon mari et moi, passer quelques jours chez ses parents.

Un matin, alors que mon mari et mon beau-père sont partis à la pèche, ma belle-mère me pose quelques questions sur lentente de notre couple, en effet, elle a cru comprendre en discutant avec son fils que nos rapports sexuels nétaient pas au beau fixe.

Elle me donne quelques conseils, notamment être plus féminine.

— Anne-Laure, avant votre union, vous portiez des robes et des jupes très souvent, depuis votre mariage je ne vous vois plus quen pantalon ! Or mon fils est comme son père sur ce plan, il aime la féminité, si vous ne le contentez pas, il ira voir ailleurs ! Que portez-vous aujourdhui sous votre jean ?

— Une culotte et des collants, Belle-maman, pourquoi ?

— Montrez-moi ça ! Devant mes hésitations elle ajoute :

— Ne soyez pas gênée, nous sommes entre femmes ! Je baisse mon jean, elle dit :

— Oh la, la ! Si je portais ce genre de vêtements, il y a longtemps que je naurais plus aucun rapport avec mon mari ! Il faut me changer ça tout de suite ! Venez, nous allons acheter des dessous adaptés à votre féminité, qui donneront envie à votre mari de vous honorer ! Et bien que je lui dise que jen possède déjà, elle memmène dans une boutique de lingerie féminine où elle choisit plusieurs ensembles en dentelle, accompagnés de plusieurs paires de bas. Nous passons ensuite dans un magasin de vêtements où elle me fait prendre robes, jupes et petits hauts, plus deux tailleurs "habillés mais sexy". Nous terminons chez le chausseur par plusieurs paires de talons hauts.

— Il vous faut étonner votre mari, lui donner envie de vous. Pour ce soir, vous allez retirer votre collant et votre culotte de grand-mère et les remplacer par un string, un porte-jarretelles et des bas, profitez-en pour passer le soutien-gorge assorti. Je choisi un ensemble en dentelle blanche et des bas noirs, ma belle-mère me dit :

— Ce soir vous allez y passer ma chérie et Daniel, votre mari, sera un homme heureux ! Enfin, changez de chaussures, mettez des talons !

Cest vrai que depuis quelques temps, je ne travaille plus et je suis tombée dans la facilité, style jogging toute la journée ! Après une journée de travail, ça ne donne pas envie à Daniel de me faire lamour quand il rentre. Ma belle-mère a raison, je vais changer ça ! Et puis, bien que Daniel ait une excellente situation, je vais chercher du travail !

Le soir, Bernard (mon beau-père) et Daniel sont fatigués de leur journée et peu après le repas, alors que je débarrasse la table, Daniel décide daller se coucher. Marie-Laurence (ma belle-mère) me dit :

— Anne-Laure, allez rejoindre Daniel, je vais débarrasser ! Sans attendre je rejoins mon mari qui se déshabille, il me dit :

— Je suis crevé, je nai plus lhabitude de passer des journées à la pèche ! Pendant ce temps, jai retiré mon tee-shirt, puis baissé mon jean, offrant à Daniel une vue intéressante sur mes sous-vêtements. Il me regarde et dit étonné :

— Tu mets un porte-jarretelles et des bas sous un jean maintenant ?

— Oui, tu ne trouves pas ça bien ?

— Si, si, mais ça fait un moment que tu nen portais plus, alors je suis surpris !

— Tu naimes pas ?

— Si bien sur, ce que je naime pas cest tes collants ! Jentreprends de défaire mon soutien-gorge mais Daniel me dit :

— Non, viens au lit comme tu es, je vais finir de te déshabiller !

— Mais, je croyais que tu étais fatigué !

— Je le suis, mais ta tenue à réveillé en mois une petite envie !

— Une petite seulement, jespérais que ce serait plus important !

— Cochonne !

Je le rejoins et mallonge à ses côtés, il mattire contre lui et membrasse tandis que sa main me caresse les cuisses et les fesses, je sens son sexe durcir et sallonger, il se met sur moi, jécarte les cuisses, il écarte mon string, pose son gland sur ma vulve et me pénètre à fond dun seul coup de reins, je croise mes jambes sur son dos et lui dis :

— Ah, cest bon, je te sens bien, vas-y, baise-moi fort ! Et il entame une série dallers-retours, me pilonnant à grands coups de reins, qui entraînent très vite des râles de plaisirs que je ne peux contrôler, ce faisant, il a dégrafé mon soutien-gorge et il me suce et me mordille les tétons, enfin il me met un doigt dans le cul. Ce cocktail mamène rapidement à lorgasme, je sens mon ventre se crisper, mes gémissements sont de plus en plus puissants, je pense à mes beaux-parents sils entendent ! Puis il me demande de passer mes jambes sur ses épaules et recommence à me limer consciencieusement. Jenchaîne maintenant les orgasmes et je continue mon tour de chant ! Il est impossible quon ne mentende pas, demain je ne serais pas à laise devant Bernard et Marie-Laurence. Un moment après, je sens la bite de Daniel faire des soubresauts et quelques instants plus tard ses muscles se contractent et il remplit mon vagin de son sperme épais. Daniel membrasse en me disant que cétait bon, je termine mon déshabillage, me nettoie et mallonge dans ses bras. Nous entendons alors du bruit parvenir du rez-de-chaussée, bruit particulier que nous connaissons, nous nous regardons et éclatons de rire, Daniel me dit :

— Je crois que mon père et moi irons plus souvent à la pèche désormais, ça fatigue mais après quel pied on prend ! Et moi, je pense que Belle-maman porte aussi des bas !

Le lendemain matin, Daniel regarde les emplettes que nous avons faites et me dit avec un grand sourire :

— Tout cela est parfait ma chérie, tu me fais un grand plaisir !

— Cest ta mère qui ma parlé de tes goûts et ma aidé à choisir. Que veux-tu que je porte aujourdhui ?

— Nous allons dire bonjour aux grands-parents, je te propose de mettre des bas beiges, cette jupe courte noire et ce chemisier orange, dessous il me semble que cet ensemble en dentelle noire tirait parfaitement. Pendant que je mhabille, il me regarde, lorsque jai terminé, il me prend par le cou, membrasse, me passe la main sur les fesses par-dessous la jupe et me dit :

— Touche, jai envie de toi ! Je passe ma main sur sa braguette, en effet son chibre est dur comme du béton, je lui dis :

— Que veux-tu faire ? Tu veux que je te suce ?

— Non, je vais te prendre toute habillée en levrette. Je me retourne, retrousse ma jupe, écarte mes jambes et prend appui sur le lit. Il sort sa bite bien bandée, écarte la ficelle de mon string, me passe deux doigts dans la chatte et insère sa queue quil rentre jusquà la garde, il commence à me pilonner vigoureusement, ce qui me fait monter très vite en pression, il me dit quon va venir ensembles et en effet quelques minutes après nous explosons en même temps. Il se retire, sa semence sort et souille mon string. Je messuie avec une serviette mais mon string est tout mouillé. Il me dit :

— Tu nas quà lenlever, tu nen as pas besoin de toute façon !

— Comme tu voudras mon chéri, et je retire mon string.

Nous descendons et apprenons que Marie-Laurence ne peut pas nous accompagner, elle a un rendez-vous chez son gynéco quelle ne veut pas remettre. Nous irons donc tous les trois.

La journée se passe bien, je fais attention à ne pas croiser les jambes trop haut afin que personne ne saperçoive que je nai pas de culotte. Vers 16h, le téléphone mobile de Daniel sonne, cest la boite où il travaille, ils ont besoin de lui demain matin pour une réunion importante et imprévue, il serait bien quil rejoigne Paris le plus tôt possible et quil prenne lavion de 17h25 où une place lui est réservée. Beau-papa pense quon pourra lavoir et prend la route de laéroport. Heureusement il ny a pas trop de circulation, Daniel réussit à avoir son avion. Nous repartons de laéroport Beau-papa et moi pour rentrer à la maison. Il me demande dappeler Marie-Laurence pour la prévenir et lavertir que nous aurons du retard.

Je somnole dans la voiture pendant que Beau-papa conduit. Tout à coup, je sens une main sur ma cuisse et Beau-papa qui dit :

— Mais tu portes des bas ma belle, tu sais que jadore ça ?

— Oui, je le sais, Belle-maman me la dit. Et je tente de repousser sa main, mais il est nettement plus fort que moi et sa main remonte jusquà mon sexe.

— Mieux, des jarretelles, et je ny crois pas ! Pas de petite culotte ! Tu nen portes jamais ?

— Si toujours, mais cest Daniel qui me la souillée en me prenant ce matin, juste avant quon parte, je nai pas eu le temps de me changer !

— Comme par hasard ! Et tu penses que je vais te croire ! Nous tavons entendue crier de jouissance hier soir avec Marie-Laurence, tu deviens une vraie chienne quand tu baises ! Ça doit être particulièrement agréable de te sauter ! Tu aimes la bite, ça se sent ! En même temps, il caresse mon clito !

— Mais enfin, ôtez votre main, que voulez-vous de moi ?

— Ce que je veux de toi ? Tes trous ma belle !

— Vous feriez ça à votre fils ?

— Avec une salope comme toi, mon fils sera cocu un jour ou lautre, que ce soit par moi ou un autre ne change rien, au contraire, avec moi ça reste en famille !

— Écoutez Beau-papa, moi je nai pas envie de faire ça avec vous, si je le faisais je trahirais non seulement la confiance de Daniel mais aussi celle de Marie-Laurence.

— Tais-toi, tu ne connais pas Marie-Laurence, malgré ses airs de bourgeoise hautaine, cest une vieille salope qui se fait culbuter aussi souvent quelle le peut par des jeunes !

— Mais pourtant, hier soir vous aussi vous avez eu des rapports sexuels passionnés, on vous a entendus !

— Tes gémissements et tes cris ont réveillé ma libido.

En parlant, il sest arrêté sur un parking de supermarché, dans un endroit un peu isolé, il me dit :

— Rappelle Marie-Laurence et dis-lui quil y a beaucoup de circulation, que nous arriverons un peu plus tard. Il dégrafe mon chemisier, remonte ma jupe sur mon ventre et me met les doigts dans la chatte.

— Mais tu mouilles ! Tas encore envie de te faire sauter, petite salope !

— Si vous me baisez, vous ne le direz à personne ?

— Bien sur que non, puisque jen profiterai.

— Je veux bien vous faire plaisir, mais juste une fois, daccord ?

— Oui, bien sur, de toute façon tu habites à Paris, moi à Nice, on ne se voit pas souvent, on ne risque pas de faire ça tous les jours !

Il attrape un de mes seins, le sort du soutien-gorge et me pince le téton, il ajoute :

— Tu es très bien foutue, mon fils a de la chance ! Il ouvre sa braguette, sort son sexe, et ajoute :

— Tu vas me faire une bonne pipe, mais tu téléphone avant ! Jappelle Belle-maman pendant que Beau-papa caresse mes seins, mes cuisses, ma chatte et mon cul. Sa bite est maintenant dressée, il est plutôt bien monté, dès que jai raccroché, il attrape ma tête et lamène sur sa bite. Il me dit :

— Allez, montre-moi tes talents, suce ! Je prends son gland entre mes lèvres et titille son méat avec ma langue, je ferme ma main autour de la base de sa hampe et le masturbe lentement, puis jentame des va-et-vient sur son gland, en descendant de plus en plus sur sa hampe, jusquà ce que son gland bute au fond de ma gorge, sa bite est maintenant bien raide, sa main gauche est posée sur me cheveux, la droite caresse mes fesses et il met un doigt simultanément dans mon cul et dans mon con. Jaccélère le rythme de mon pompage et je sens, à la cadence de sa respiration, quil ne va pas tarder à décharger, il réussit tout de même à se retenir, je serre alors mes lèvres plus fortement sur sa bite afin quil ressente une plus vive pression sur sa hampe, et lorsque je sens quil va venir je lui introduis mon majeur dans lanus, aussitôt je sens les soubresauts annonciateurs de la monté de la jouissance, ses muscles se crispent et il se répand dans ma bouche en émettant un profond soupir. Il garde sa main sur ma tête pendant quelques instants, puis la retire. Je relève la tête, le regarde dans les yeux et avale sa semence.

— Si tu baises aussi bien que tu suces, ça va être super demain !

— Comment ça demain ?

— Ben oui ! Aujourdhui tu mas sucé, on na pas baisé, demain on baise, on aura tout le temps, Marie-Laurence va en Italie, comme tous les mercredis, se faire ramoner, et elle croit que je ne le sais pas ! Ah, Ah, Ah ! En tout cas, merci pour la pipe, tes une bonne petite salope ! Je réajuste mes bas, referme mon chemisier et replace ma jupe.

Nous rentrons à la maison, Marie-Laurence a préparé le repas et mis la table, je téléphone à Daniel pour avoir des nouvelles, il ne rentrera quaprès demain soir par lavion qui se pose à 20h10. La soirée se passe bien, Marie-Laurence rappelle à Bernard que le lendemain elle se rend en Italie chez lesthéticienne, comme dhabitude, et quelle en profitera pour faire les magasins, elle rentrera en fin daprès-midi. Un moment après, je monte me coucher. Je ne suis pas encore endormie que jentends du bruit venant du rez-de-chaussée, jouvre discrètement la porte de la chambre, cest mes beaux-parents qui ont remis le couvert ! Ils semblent être vaillants ces deux là !

Le lendemain matin, il est 8h lorsque je me réveille. Pas un bruit dans la maison, je vais à la salle de bain puis je mhabille et je descends. A la cuisine je trouve mon beau-père, je lui fais la bise, il me passe la main aux fesses et sur les seins et me dit :

— Bonjour Anne, Marie-Laurence est partie, tu serais gentille de thabiller !

— Mais je suis habillée (je porte un jean et un petit haut sympa, style tee-shirt sans manches).

— Quand je dis habillée, cest habillée en fille, pas en garçon !

— Je suis très bien comme ça, si ça ne vous plait pas, cest pas grave !

— Tu vas faire ce que je te dis ! Il me prend par le bras et maccompagne dans la chambre. Là, il me dit :

— Montre-moi ce que vous avez acheté hier avec Marie !

— Je déballe les vêtements achetés la veille et il sélectionne une jupe courte évasée rouge, et un tee-shirt blanc en dentelle, légèrement transparent. Il dit :

— Voilà, tu enfiles ça ! Je retire mes vêtements et mets ceux quil a choisis. Il ajoute :

— Non, tu nas pas compris, retire dabord ta culotte et ton soutif, tu nen a pas besoin !

— Jai besoin dune culotte, si on sort et quil y ait du vent, ma jupette ne va rien cacher !

— Et alors, tu es habituée à te promener cul nu !

— Mais non, je vous assure quhier cétait exceptionnel !

— Eh bien aujourdhui ça le sera aussi ! Habille-toi maintenant. Je mhabille et lui dit :

— Le haut que vous avez choisi est trop transparent, on voit carrément mes seins.

— Tu mennuies, si un type voit tes seins ou ton cul, il nen perdra pas la vue ! Je temmène au resto à midi, et même sil y a du vent, tu resteras habillée comme ça !

— Je vais passer pour une trainée !

— Cest pas grave, de toute façon ten est une ! Je ninsiste pas. Nous redescendons, il me propose un café que jaccepte, il les sert sur la table basse du salon et me fait asseoir près de lui. Dès que je suis assise, il me renverse sur le canapé, me met la main à la chatte et membrasse goulument, il dit :

— Jai une énorme envie de toi, je vais te prendre, Jécarte les cuisses, il ajoute :

— Tu en as aussi envie, nest-ce pas ? Tu mouilles déjà ! Mais nous nallons pas le faire ici, nous allons le faire sur la terrasse.

— Sur la terrasse ? Mais on pourrait nous voir !

— Allez, finis ton café et viens. Je le rejoins sur la terrasse, près de la piscine où il est assis sur une chaise, la bite à la main, il me dit :

— Mets-moi en forme avec ta bouche et après je te prendrai en levrette. Je magenouille sur le coussin quil a posé entre ses pieds, je prends son gland entre mes lèvres et je caresse ses grosses couilles en le masturbant. Le jeu de ma langue sur son gland le met rapidement en forme, il a repris sa raideur, il me dit :

— Retire ton petit haut, penche-toi en avant sur cette table et écarte les cuisses ! Il passe sa main sous mes fesses, titille mon clito rapidement, pour me faire mouiller puis il prend ma mouille sur ses doigts et me les fourre dans le cul, quil entreprend de lubrifier. Puis il sarrête, enfile un préservatif, dirige son gland sur ma vulve et me pénètre dun seul coup. Il entame aussitôt une série dallers-retours qui entrainent mon premier orgasme. Il me dit :

— Putain, cest vrai que taime la bite, tétais pas vierge le jour de ton mariage, hein ma salope !

— Non, je ne létais pas. Puis il sarrête, sort sa queue de mon vagin et dirige son gland sur ma rosette, quil pénètre sans efforts. Lorsquil est bien planté dans mon cul, il me dit :

— De la non plus tétais pas vierge, en fait aucun de tes trous nétait vierge, hein ma salope !

— Non aucun ! Et il se met en mouvement vigoureusement. Il ne tarde pas à sapercevoir que jaime ça en entendant mes gémissements et mes cris de plaisir, cris de plus en plus fréquents et forts, jusquà lorgasme, alors, il ralentit un peu la cadence de ses coups de boutoir et me dit :

— Putain, il est bon ton cul ! Je comprends pourquoi tu ne voulais pas aller dehors, tu vas ameuter tous les voisins avec tes cris ! Malgré cela il recommence à me bourrer et je recommence à crier et à jouir. Il ajoute :

— Continue à bien bouger tes fesses, ah, cest bon ! Je ne vais pas tarder à tenvoyer la sauce ! Quelques minutes après il ne se contrôle plus, ses muscles se contractent, il attrape mes seins et décharge dans mon cul en râlant.

— Avec ça, si les voisins ne nous ont pas vus ou entendus, cest quils sont aveugles et sourds ! En tout cas ma chère Anne-Laure, tu es une super baiseuse, vraiment tu vaux le détour !

— Vas te nettoyer, on va aller faire un tour sur la promenade des Anglais, après je temmène dans un petit resto sympa et cette après-midi, je ten remets une couche ! Il faut quon en profite pendant que la vieille nest pas là !

Nous allons sur la promenade, un petit peu de vent et parfois des rafales ! Certains se rincent certainement lil ! Un groupe de jeunes nous suivent pendant un moment ! Jentends :

— Ouah ! Tas vu ce cul ! Mon beau-père me fait remarquer que si javais mis un string ça ne changerait pas grand-chose ! Puis nous nous dirigeons vers le petit resto qui se trouve près de la gare. Nous entrons, il semble que mon beau-père connaisse tout le monde ici, il me présente un monsieur dune soixantaine dannées, comme son voisin le plus proche, il nest pas très grand et ses yeux sont à la hauteur de mes seins quil ne se prive pas pour reluquer ! Il nous dit :

— Merci pour le spectacle de ce matin, cétait très chaud, il me regarde et ajoute :

— Vous avez une belle voix ! Cest étrange, il me semble vous connaître.

— Ce nest que la troisième fois que je viens à Nice, il y a donc peu de chance quon se soit rencontrés !

— Oui, effectivement et je ne vois pas où ça pourrait être.

— A Paris peut-être où jai vécu quelques années.

— Non, je ne pense pas, mais je vais certainement men rappeler.

Nous déjeunons à la terrasse, nous avons presque terminés quand le téléphone de mon beau-père sonne. Il répond et me dit, cétait Marie-Laurence, elle a rencontré une amie et passe la soirée avec elle, elle ne rentrera que demain en fin de matinée ! Elle ne prend pas assez de coups de bite dans la journée, il faut quelle en prenne la nuit aussi ! Mais cest parfait pour nous ma belle, on va pouvoir en profiter !

— Mais vous mavez baisée ce matin, et on était daccord que vous ne le feriez quune seule fois !

— Oui, mais les circonstances ont changées, ne me dit pas que tu nas pas aimé ça ce matin ! Ça ne serait pas très malin quon soit chacun dans sa chambre à penser à lautre en se masturbant ! Alors quensemble on peut prendre beaucoup de plaisir !

En partant il dit au voisin de passer prendre lapéro ! Nous rentrons, il me dit quil a très envie de moi et quil va me prendre dès notre arrivée, les regards des types sur mes jambes et mes seins lui ont donné envie.

Effectivement, dans lentrée il me plaque contre le mur, soulève ma jambe droite avec son bras gauche, sort son sexe, lenfonce dans ma chatte, et me pilonne rapidement, la position nest pas très confortable et pourtant jy prends plaisir. Bernard sen aperçoit, arrête ses aller-retour, membrasse en restant planté en moi et me dit :

— Alors, ce nest pas bon ?

— Si, cest bon, tu me baises bien, continue, jai envie de te sentir décharger dans mon ventre et jouir avec toi ! Il reprend ses vas-et-viens, des grands coups de bite qui me font crier de plaisir, quelques instants plus tard, je sens sa bite gonfler et il explose dans ma chatte alors que jatteins à nouveau lorgasme. Il membrasse, sa bite dégonfle, il se retire et son jus sécoule de mon vagin, je léponge avec ma jupette, qui se retrouve pleine de sperme !

— Tu vois que tu as bien fais de la mettre !

— Oui, va falloir que je la lave avant que quelquun la trouve dans cet état ! Jai bien aimé votre façon de me prendre, vous aviez vraiment très envie de moi !

— Oui, jai envie de toi depuis que je tai vue, alors jai tenté à la première occasion !

— Jaime bien moi aussi avec vous mais ça mennuie pour Daniel, vous comprenez ?

— De toute façon, tu nes pas la femme dun seul homme, tu aimes trop lamour pour ça, nest-ce pas ?

— Oui, cest vrai, vous avez raison.

— A propos, tu mas tutoyé tout à lheure, tu peux continuer.

— Mais cétait pendant laction.

— Alors, tu ne vas pas tarder à me tutoyer à nouveau !

— Je vais nettoyer ma jupette en attendant.

— Nettoie aussi ta chatte !

Lorsque je reviens, mon beau-père est assis sur un fauteuil, près de la piscine. Il est totalement nu. Jai retiré mon haut en dentelle et jai revêtu un peignoir de bain, sous lequel je suis également nue. Il me regarde arriver et me dit :

— Ma belle, tu nes pas très excitante dans ce peignoir ! Jai lidée dune tenue dans laquelle tu seras plus bandante !

— Dites-moi ce qui vous plait mon cher Beau-papa !

— Tu as un ensemble blanc en dentelle, tu passes le porte-jarretelles que tu accompagnes de bas noirs à couture et tu mets des talons hauts. Rien de plus, tu vas être hyper sexy, hyper bandante ! Je monte mhabiller et lorsque je redescends, il na pas quitté son fauteuil. Il a seulement posé un petit coussin entre ses pieds. Jai compris, je mapproche, marche un peu le long de la piscine, comme le ferait un mannequin lors dune présentation, japerçois "le voisin le plus proche", sur un balcon, avec des jumelles, il nen perd pas une miette, je reviens vers Beau-papa, magenouille et enfourne immédiatement sa queue, je le suce en le masturbant lentement et je sens son sexe gonfler et durcir dans ma bouche, sensation que jadore ! Il a les yeux rivés sur mon visage et jessaie de le fixer dans les yeux pendant ma fellation. Sa verge est maintenant bien dure, il me propose de venir mempaler sur lui, il sallonge sur un transat et je viens masseoir sur son pieu. Lorsquil est tout au fond de moi, jentame une série de mouvements davant en arrière en me couchant sur lui. Mes seins frottent son torse. Nous nous embrassons comme des amoureux. Sa verge commence à me faire de leffet, je gémis, dabord doucement puis plus fort, ensuite de petits cris séchappent de ma bouche, eux aussi deviennent de plus en plus forts ! Je lui propose de mempaler par lanus, il accepte, je change de trou, il pose ses mains sur mes hanches, dès que je le sens au fond de moi, je lui dis :

— Vas-y, bourres-moi, démonte-moi le cul, fais-moi jouir ! Aaah Aaah plus fort !

En même temps, jespère que le voisin nous voit ou nous entend !

Puis il me propose de menculer à nouveau en levrette, jaccepte, je vais me positionner sur la petite table, il me suit et me prend aussitôt, et là il se déchaine et me burine le cul comme jamais, je sens bien sa bite me poignarder, mes cris doivent ameuter tout le quartier, jai plusieurs orgasmes à la suite et il finit par se vider au fond de mon cul. Il se dégage et je sens le sperme couler, je retire mes talons hauts et saute dans la piscine, leau est excellente, le sperme se dilue dedans, je fais quelques brasses et mon beau-père dit :

— Jai vu plusieurs femmes nues dans cette piscine mais cest la première fois que jen vois une en bas et porte-jarretelles avec du sperme qui dégouline de son cul ! Jy reste une dizaine de minutes. En sortant, je vais rincer mes dessous, je prends une petite douche, je parfume ma foufoune, je dois plaire à Bernard, lui donner envie de me prendre à nouveau, jaime sa façon de me posséder ! Je "mhabille" dun ensemble en dentelle noire, soutien-gorge "seins nus", porte-jarretelles, bas noirs à couture rouge avec une large jarretière en dentelle rouge et noire, des talons aiguilles et je descends retrouver Bernard. Il est toujours nu, il me dit :

— Tu es magnifique ! Jai presque envie de ten remettre un coup !

— Je suis à votre disposition Beau-papa, lui dis-je en écartant les cuisses, ma minette vous attend ! Il membrasse sur les lèvres, caresse ma chatte et portant ses doigts à sa langue me dit :

— Tu sens bon ma belle ! Je te ferais un cunni tout à lheure, mais je vais mettre un short et une chemise, car le voisin ne va pas tarder !

— Ah, oui, je vais également mettre quelque chose. Je passe une robe légère à bretelles et une ceinture à la taille.

Nous préparons lapéro sur la terrasse, un moment après, la sonnette retentit et Bernard me demande daller ouvrir au voisin. Jouvre la porte, le voisin entre, il me dit doucement dans l’encoignure de la porte :

— Ça y est je me souviens où je vous ai rencontrée, à Montpellier.

— Non ce nest pas possible, vous devez faire erreur.

— Vous nêtes jamais allée à Montpellier ?

Alors, je commence à paniquer, car jai effectivement habité un an et demi à Montpellier, javais trouvé un travail de caissière dans un supermarché, mais comme cétait mal payé, jai exercé en parallèle pendant une année environ un autre job, beaucoup plus payant, celui de prostituée. Je ne faisais pas le trottoir, je recevais mes clients en appartement ! Jai peut-être reçu ce monsieur, mais je ne me souviens pas de lui, je faisais en moyenne une dizaine de passes par semaine  ! Jétais escort-girl.

— Jai habité Montpellier pendant un peu plus dun an.

— Je vous ai connue quand vous habitiez une petite maison à Juvignac, dans la banlieue ouest de Montpellier, je vous ai rencontrée une seule fois, mais je me souviens parfaitement de vous, il faut dire que vos prestations étaient de grande qualité ! Vous vous souvenez peut-être mieux de mon ami Robert qui vous a connue lorsque vous aviez un petit appartement près de la gare, cest lui qui mavait donné vos coordonnées, cétait un de vos fidèles, je crois !

— Oui, tout à fait, je me souviens bien de Robert (cétait mon premier client et il est venu me voir deux fois par mois, jusquà ce que jarrète le "métier"), vous avez de ses nouvelles ?

— Il va très bien mais il regrette de ne pas avoir retrouvé les mêmes services quavec vous !

— Vous lui présenterez mes amitiés si vous le voyez.

— Je ny manquerais pas, ça lui fera plaisir. Et il me donne un petit papier sur lequel figure un numéro de téléphone en ajoutant :

— Dans les jours qui viennent donnez-moi votre numéro de téléphone, lorsque nous passerons à Paris avec Robert, nous vous communiquerons l’adresse de notre hôtel et vous viendrez nous rejoindre, on s’amusera tous les trois, on passera un bon moment ! Bien entendu, nous vous rémunérerons.

— Mais je ne fais plus ça !

— Vous préférez que je raconte votre passé à votre beau-père ?

— Non, bien sur, si je comprends bien, je n’ai pas le choix ?

— Je ne crois pas, en effet ! Et surtout, n’oubliez pas de me communiquer rapidement votre n° de téléphone !

— Oui, j’ai compris, vous l’aurez rapidement.

Pendant ce temps, Bernard a préparé lapéro, les deux hommes discutent en prenant un verre, un moment après, le voisin remercie et prend congé. Je le raccompagne à la porte et en lui souhaitant bonne soirée, je lui remets un petit papier sur lequel figure mon n° de mobile.

Bernard me dit :

— Tu peux retirer ta robe maintenant, nous sommes en famille. Je la retire, il ajoute :

— Jadore tes seins mis à ma disposition sur ce présentoir ! Il pose sa bouche sur un mamelon et suce et mordille mon téton, il me caresse les cuisses et sa main remonte sur mon autre sein. Il se rapproche pour membrasser, il me roule une pelle puis me fait quelques bisous dans le cou, il me dit tout doucement, tout en continuant à me branler le clito et à membrasser :

— On va diner et ensuite, je te sauterai toute la nuit ! Dabord, je te ferai un cunni, te lécher la chatte sera mon dessert !

— On fera 69 si vous voulez, comme cela je prendrai le mien en même temps que vous !

Nous dinons tranquillement à lintérieur et nous avons juste terminé notre repas lorsquil memmène au 1er étage, dans ma chambre. Je mallonge sur le lit, écarte les cuisses et il prend aussitôt possession de ma minette quil entreprend dembrasser, de sucer, de lécher mamenant très vite à lorgasme, cest bon, cest bien fait, jadore. Je suis en train de jouir lorsque nous entendons un bruit dalarme, Bernard me dit :

— Merde, cest les portes du jardin et du garage qui souvrent, ce ne peut être que Marie-Laurence qui rentre. Habille-toi et descends, et lui-même descend en courant.

Jenfile un jean et un pull léger et je le rejoins dans la salle à manger. Heureusement, nous navons pas pris le temps de débarrasser la table. Je reprends ma place, alors que Bernard sort de la maison pour voir ce quil se passe. Cest bien Marie-Laurence qui rentre plus tôt que prévu.

Jentends Bernard qui lui dit :

— Je me demandais qui pouvait bien ouvrir les portes, tu as pu te libérer plus tôt, cest formidable ma chérie, nous nous sentions bien seuls avec Anne-Laure. Nous terminions de diner, tu aurais dû appeler, nous taurions attendue. Marie-Laurence répond quelle na effectivement pas diné, Bernard lui propose de lui préparer quelque chose et je décide de laider pendant que Belle-maman range ses affaires.

Dans la cuisine, Bernard me dit :

— Tu vois, on a bien fait den profiter, cette vieille salope aurait pu nous surprendre, elle a dû sentir quelque chose. On se rattrapera dès que je monte à Paris. Jai super envie de toi !

Je me dis que je vais avoir de la visite à Paris.

— Encore toi tu va pouvoir te faire Belle-maman, mais moi, il ne me reste que mon gode !

— Tes vraiment une cochonne !

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