Annette est aussi excitée que moi. La visite de cette représentante en objets érotiques, comme annoncée, était loccasion dacheter des petites choses amusantes pour notre plaisir personnel. Je suis devenue propriétaire dun nouveau gode plus gros et dun chapelet de billes. Elle a en plus un tout petit vibreur pour le doigt à passer sur le clitoris. Nous allons chez moi, pour nous sortir de cette ambiance sexuelle. Les deux paquets sont sur la table de la salle à manger. Enfin nous nous efforçons de bavarder dautres choses.
Le « drame » arrive quand mon mari entre. Il nous embrasse toutes les deux, moi sur la bouche quand même. Pierre, donc, mon mari nous parle de je ne sais plus quoi. Machinalement il joue avec les deux paquets. Il les ouvre sans même regarder aussitôt le contenu. Jai peur de sa réaction, même si je sais quil ne me grondera pas.
Finalement il regarde, détaille les contenus, nous demande ce qui est pour qui. Il ne sen rend pas compote, il nous excite. Il prend le nouveau gode, le regarde, et
— Je peux faire la comparaison : vous verrez laquelle peut servir de suite.
— Chiche.
Il est une chose à ne pas lui dire : chiche et il fait. Annette ne savait pas. Il sort sa belle queue, il ne bande pas. Il nous la présente seulement. Et là, Annette a envie de la lui toucher. Elle prend la queue à pleine main. Je regarde la pine de mon mari grossir. Je pense quelle va se perdre en nous les filles.
Parti dans je ne sais quel délire il nous demande dessayer nous achats. Annette, décidément intenable lui montre quelle na pas de culotte, enlève ce quelle porte. Cest à Pierre de dire chiche. Jinterviens à mon tour. Je nai pas envie que les deux zèbres baisent sans moi.
Quand je suis moi aussi nue, Annette vient membrasser. Pierre ne le sait pas : cest notre premier baiser. Je nai pas spécialement envie dAnnette, jai besoin dun défoulement.
Elle comprend que jai besoin delle, que je la désire. Je ne veux quune seule chose : jouir. Nous nous embrassons encore, cette fois profondément. Je commence, à la surprise de Pierre, par passer ma main sur la chatte dAnnette. Elle ne se retire pas, au contraire. Je tourne ma main pour être facilement en elle. Je cherche son vagin. Elle est plus que mouillée. Jentre doucement deux doigts comme je le fais quand je me doigte. Je la branle gentiment. Elle se laisse faire, et accompagne vers la fin mes mouvements. Pierre comprend mes besoins. Il est nu aussi contre nous, ses lèvres passent dune bouche à lautre.
Annette commence à me caresser aussi : elle passe lentement sa main sur la chatte, puis plus bas vers le périnée. La vache, elle va plus loin, plus bas que moi. Je sens deux doigts sur le petit trou. Je me couche sur le divan, les cuisses bien ouvertes. Elle nattendait que cet instant. Ses doigts caressent longuement lanus. Mmmm. Jaime !
Et Pierre qui regarde, il ne peut pas intervenir, sil avait la bonne idée de me baiser ou de menculer. Annette me fait tourner. Je suis en levrette, mes fesses en exposition, la tête dAnnette dans mon compas, elle tient mes fesses de peur que je me sauve ? En me retournant je peux voir que Pierre enfin intervient : Annette, sur le dos me lèche le clitoris, Pierre pose sa queue sur le vagin de ma meilleure amie, devant moi. Nous devenons des enragés, des sans moralité, seuls comptent nos orgasmes, notre plaisir.
Je me laisse aller la première en poussant un soupir pour la première fois de ma vie. Il faut dire que cest la première femme qui me lèche. Derrière moi jentends les commentaires de Pierre : nous sommes de belles salopes, nous baisons comme des putes, nous lui faisons un cadeau formidable, il va nous baiser, nous enculer, nous sucer. Il bande pour nous.
Annette veut changer de position, elle voudrait faire un 69 avec moi ? Cest mon mari qui me demande de le faire. Quoi de plus simple, je le fais avec lui, je vais le faire avec une fille et devant lui en plus ? Peut-être quil me baisera ? Annette est sous moi, je dois lever la tête pour atteindre sa foufoune. Je regarde avec curiosité un sexe de fille. Je suis presque comme elle. Ma langue elle ne chôme pas : elle lèche toute sa figue. Je sens bien sur la mienne sa langue à elle.
Je vois surtout la queue bien aimée qui sapproche du cul dAnnette. Elle passe à deux centimètres de moi. Je le prends dans la main. Je la dirige vers le cul que je vois souvrir un peu. Annette ne se laisse pas enculer, elle provoque la sodomie. Je vois bien la bite entrer lentement dans le petit trou qui sélargit. Les couilles de mon mari me touchent presque le visage. La bite est dedans, Annette gémit son plaisir.
Je ne fais rien que la lécher. Jaime ses sécrétions et son gout un peu amer. Est-ce quelle comprend mon besoin. Elle plante deux doigts dans mon petit trou.
Et Pierre qui lime le cul de mon amie. Jespère, je souhaite quil me donne un peu de sa liqueur que jadore avaler. Je regarde le sexe que je lèche qui jouit : des contractions de moins en moins fortes, un vagin qui souvre et se ferme. Et la queue de mon homme toujours dans le cul dune amie qui en jouit encore. Je la voudrais dans ma bouche, pas encore mais après.
Enfin il jouit. Jai vu pour la première fois de près sa queue qui lâche son jus. Un peu sort en même temps. Je récupère le sperme : je naurais pas tout perdu. Comme du pain béni, la langue dAnnette perfore mon cul.
Et tout ça pour avoir acheté de petits objets favorisants nos orgasme solitaires.