Samedi 17 juin 1995, Floriane, la sur de Christine, n’est pas à la maison non plus lorsque j’arrive vers 19h. Divine surprise, je découvre Christine en courte jupe plissée. C’est la première fois que je la vois en jupe. Je lui dis que je la trouve adorable et elle sourit en rougissant. Dessous, je remarque qu’elle porte ce que je suppose être des collants noirs. Il faut dire que ce samedi est particulièrement frais pour la saison. Nous nous asseyons dans le canapé et commençons à nous embrasser. Elle me dit que sa sur ne devrait pas tarder à rentrer et qu’elle n’est pas au courant de notre situation. Nous nous embrassons cependant de plus belle. Je ne peux m’empêcher de la peloter à tout va, j’adore ça et elle n’a pas mis de soutien-gorge. En l’embrassant à nouveau, je lui caresse doucement les tétons à travers son chemisier et elle gémit tendrement.
Du bruit dans le hall d’entrée, sa sur arrive et nous cessons tout contact. Elle me salue puis monte à l’étage en nous souhaitant bonne soirée dans un grand sourire. Nous pouvons reprendre nos étreintes. Comme je meure d’envie de lécher ses seins, je tente d’ouvrir son chemisier, mais elle me retient en indiquant le plafond. Je lui dis que les escaliers de bois font suffisamment de bruit pour qu’on l’entende si elle descend, d’autant plus que nous sommes précisément sous cet escalier. Je commence à caresser sa cuisse et remonte doucement sous sa jupe. Ce que je découvre me stupéfie : Christine a mis un porte-jarretelles ! Je cesse de l’embrasser; un sourire lui barre le visage. Fière, elle dit :
— J’ai cru comprendre l’autre jour que ce genre de dessous te plaisait beaucoup alors j’en ai acheté un !
Mes yeux doivent briller de plaisir. Je relève sa jupe pour mieux le voir. Christine ne porte pas de string non plus et son sexe est désormais orné d’un ticket de métro broussailleux. Nous reprenons nos baisers langoureux. Je glisse ma main entre ses jambes et caresse sa chatte. Elle gémit doucement et parvient quelques minutes plus tard à l’orgasme. Christine se détend et se love contre mon épaule. Cependant, sa main ne quitte pas mon entrejambe. Je sens bien qu’elle est très excitée. Alors je refais une tentative pour ouvrir son chemisier et cette fois-ci, Christine me laisse ouvrir deux boutons. J’y glisse ma main et la pelote. Elle gémit encore. N’y tenant plus, je l’ouvre plus largement et goûte à ses seins délicieux. Je sens sa main ouvrir ma ceinture, mon pantalon, puis baisser mon caleçon. Je lui lèche toujours délicatement les seins tandis qu’elle commence à me branler. Je suis aux anges.
Christine me repousse au fond du canapé, descend vers mon sexe et le prend dans sa bouche. Elle me lèche d’abord doucement et petit à petit, elle gobe ma bite. Il faut le dire : elle a bien retenu la leçon et sa fellation est assez intense. Je profite de l’instant, mais le plafond craque. Christine se relève vivement et se reboutonne. Fausse alerte, sa sur s’est simplement déplacée et elle reprend à nouveau sa fellation puis se relève lentement. Elle vient à califourchon sur moi et me dit :
— Promets-moi de ne surtout pas bouger !
J’acquiesce de la tête. Christine prend mon sexe et le dirige dans le sien. Tout doucement, elle me fait pénétrer en elle. Uniquement le gland. Ainsi posée, elle fait de minuscules va-et-vient. De mon côté, je me bouge pas et prends mon pied, même si je ne comprends pas cette façon de faire. Elle ferme les yeux et semble incroyablement bien et heureuse ainsi. Je suis bientôt à bout et le lui dis.
Elle se couche sur le dos dans le canapé et me fait signe de venir entre ses jambes largement écartées. Son sexe ouvert et humide s’offre à moi. Elle me glisse :
— Jouis dessus
Ainsi posée, elle se caresse la poitrine à travers son chemisier tandis que je me branle devant elle avant d’éjaculer sur son sexe brûlant. Je m’effondre à mon tour dans le canapé, tandis qu’elle se caresse doucement, étalant le sperme sur l’ensemble de son minou. Peu après, Christine prend des mouchoirs dans un meuble, s’essuie, m’essuie.
Elle remonte mon caleçon et me sourit. Elle m’explique qu’à la suite de notre dernier rendez-vous, elle avait été chez le gynéco et lui avait posé un certain nombre de questions. Agir comme elle venait de le faire lui avait été totalement déconseillé, mais il permettait une petite pénétration sans qu’elle ne perde sa virginité. Tout s’effondre en moi. Je comprends. Christine poursuit, m’expliquant que c’était cependant très risqué, sans compter le fait qu’elle ne prenait pas la pilule. Comprenant mon désarroi, confuse, elle s’excuse. Mais je n’arrive pas à lui en vouloir. Pas plus lorsqu’elle confirme ce que j’ai compris : nous vivons là notre dernière soirée. La situation me semble invraisemblable et je le lui dis. Nous venons de nous embrasser, nous caresser et même bien plus et elle m’annonce en gros que ça n’ira pas plus loin que ce soir. Elle me sourit à nouveau, s’excuse encore. Je regrette sa décision, j’avais envie d’aller plus loin avec elle et, vu les circonstances, sa tenue, je pensais que c’était le bon soir. Elle est désolée. Elle se blottit contre moi et je la serre fort. Nous restons ainsi près d’un quart d’heure sans parler.
Christine se détache de moi. Nous ne nous quittons pas des yeux. Attirés, nous nous embrassons. Elle dit :
— J’ai honte de te demander de rester encore un peu.
— Je n’arrive pas à m’en aller.
Nos langues ne se détachent plus. Christine revient à califourchon sur moi et se frotte à mon caleçon. Je le retire et nos sexes glisse l’un contre l’autre.
Je la tourne et elle s’allonge sur moi. Une main sur ses seins, une main sur son sexe, j’excite son clitoris et la pelote simultanément. Je lui dis que j’ai envie d’elle. Elle jouit. Mon sexe joue contre le sien, y pénétrant parfois de quelques centimètres.
Je la soulève ensuite légèrement afin de diriger ma bite entre ses fesses. Elle sourit. Je les écarte afin que le gland soit bien contre son anus. Christine se mord la lèvre inférieure, les yeux mi-clos. Un minuscule mouvement de bassin fait frotter mon gland à son petit trou. Elle gémit.
Je l’allonge sur le canapé, couchée sur le côté. Son gros cul boudiné par les jarretelles est excitant au possible. J’écarte ses fesses et me penche dessus. Ma langue titille son sensible orifice, y glisse, Christine est surprise mais ne me repousse pas. Au contraire, elle semble petit à petit apprécier. Je m’allonge derrière elle et lui introduis un doigt dans le cul. Puis un second. Je masturbe doucement. Christine me regarde sans dire un mot, le souffle court, haletante. Je retire mes doigts et, les yeux toujours dans les siens, place ma queue contre son anus. Je pousse légèrement puis attend. Si Christine le désire, elle n’a qu’à pousser vers l’arrière et mon gland pénétrera son cul. Les secondes durent une éternité.
"Je ne peux pas". Christine me repousse doucement. Elle semble plus déçue que moi et surtout, bien plus frustrée. Nous nous caressons encore quelques instants, puis je me lève et m’habille. Elle me regarde tristement et m’accompagne à la porte.
Dernier baiser, dernières caresses. Je lui fais part de mes regrets :
— J’aurais adoré être ton premier.
— En quelque sorte, tu l’as été.
Elle fait une pause :
— On ne sait jamais ce qu’il va advenir. La vie nous réserve parfois des surprises.
— Comme un porte-jarretelles sous une jupe un soir d’été.
Elle éclate de rire. J’en rajoute.
— Ou d’être bien proche d’un "fantasme complet" !
Elle rit et devient écarlate. Puis sérieuse, elle ajoute :
— Peut-être que nos chemins se croiseront dans d’autres conditions, plus propices…
Dernières caresses à ses douces fesses, elle rit. Je descends l’escalier.
Ça me fait un peu chier d’être "recalé" ainsi. Qui plus est, par une femme vêtue d’un porte-jarretelles. Les derniers jours de l’année scolaire seront difficiles mais dès les vacances, je perds totalement contact avec Christine qui déménage durant l’été.