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Natalie – Chapitre 49




— Wilma, tu sais où est Éros actuellement, demande Sabrina ?

— Non, généralement, il traîne toujours près du Manoir, ce qui fait deux kilomètres de distance. Je pense que s’il repère Sabrina à l’odeur, il devrait, en courant, faire le trajet en trois minutes. Comme le temps est sec, les odeurs doivent porter loin.

Je frissonne devant la fraîcheur de la nuit.

— J’espère qu’il va vite arriver, dis-je, j’ai froid et j’ai vraiment envie de lui !

— Alors mets toi déjà en position, croupe en l’air, et astique toi un peu de façon à se que ton sexe soit le plus odorant possible,

Je me mets à genoux dans l’herbe, en essayant d’éviter les pierres. Je bascule mon corps vers l’avant, en m’appuyant dans un premier temps sur les mains, puis sur les coudes avant de me reposer uniquement par la tête et la poitrine sur le sol. J’écarte mes jambes au maximum et je plonge mes mains sous mon ventre pour atteindre mon sexe. Ma main droit commence à frotter mon clitoris alors que ma main gauche plonge plus profondément pour venir triturer mes petites lèvres. Soudain un flash, dans mon esprit.

— Sabrina, le godemiché que m’a offert ta sur ! Il est où ? Il est resté dans la voiture de location ?

— Non, rassure-toi, je ne l’ai pas oublié ! Il est resté au Manoir !

Soulagée, je recommence à m’occuper de mes parties intimes pour les inciter à dégager la bonne odeur qui va attirer mon amant à quatre pattes. Je me remémore les scènes de la journée pour exacerber mon excitation.

— Sabrina ! Est ce que ton flair capte mon excitation ?

— Oui, ça dégage un max !

— Même moi, je le sens, ajoute Wilma ! Tu es une véritable chienne en chaleur qui n’attend que de se faire couvrir par un beau mâle ! Il ne devrait plus tarder maintenant.

— Qu’il vienne, vite ! Je me sens vide, trop vide !!! J’ai vraiment besoin qu’il me prenne !

Et je redouble d’efforts pour augmenter mes effluves sexuelles. Soudain, un bruit de branche et de feuilles trahit larrivée tant attendue de mon baiseur. Enfin ! Il est là ! Face contre terre, je ne le vois pas et je n’ose me relever.

Soudain, je sens un souffle qui vient caresser mon intimité.

— Viens Éros, mon amour ! Je te désires en moi. Prends-moi ! Vois comme je suis déjà ouverte, offerte à tes assauts.

Soudain je sens que mes mains sont enserrées.

— Que faites vous ?

— Nous allons t’immobiliser, petite chienne, dit Wilma. Nous allons solidariser, par des courroies de cuir, tes poignets à tes genoux. J’aime te voir ainsi, le visage dans l’herbe, les seins écrasés contre le sol, dans l’attente de la saillie !

Effectivement je sens maintenant que mes poignets sont attachés de façon à ce que je puisse me relever pour échapper à mon amant. Quelle idée, je n’attends que cela !

— Je suis consentante ! Je ne me serai pas sauvée. J’attends Éros avec impatience !

— J’ai bien compris, Natalie, mais Petite Louve m’a soufflé une idée que je trouve fort bonne.

— Laquelle ?

— Tut tut, répond Sabrina, pas question de te le dire tout de suite. Regardons déjà comme Éros va se faire un plaisir de te pénétrer !

Pendant ces échanges, Éros a commencé à passer sa langue sur mes lèvres intimes. Il arrive à nouveau à se faufiler dans l’orée de mon ventre et cette sensation inouïe me fait monter une vague de plaisir qui m’arrache un cri de jouissance.

— Viens, viens mon chien ! Prends-moi ! Je suis toute à toi !

Mais Éros continue de me lécher consciencieusement la vulve. Je suis au paradis et je voudrais que cela dure toute la nuit !

Soudain, le lèchement de mon sexe s’arrête, prélude à la phase suivante de mon sacrifice. Effectivement, ma croupe reçoit le poids du chien qui m’enfourche vaillamment de ses deux pattes avant. Je sens bientôt les griffes qui me lacèrent les cuisses dans les efforts du molosse pour me pénétrer. C’est douloureux mais je suis prête à tout accepter pourvu qu’il mette son sexe et surtout son nud dans mon ventre affamé.

Je sens son sexe qui pointe pour atteindre son objectif. Pourvu qu’il ne se trompe pas ! Mon cul a eu sa dose de pénétration aujourd’hui et c’est mon vagin qui est impatient d’être rempli, distendu, étiré.

Je sens ses tentatives pour me tringler d’un coup mais pour l’instant, il bute encore. Je ne peux même pas le guider puisque mes mains sont attachées.

— Aidez-le ! S’il vous plaît !

— Non, réplique Wilma, Ce soir, nous laissons faire la nature !

Soudain, ma respiration s’arrête car mon vagin vient d’être brutalement envahi par le sexe du chien. Malheureusement, le mandrin ressort aussitôt, perdant ainsi le contact avec mes chairs intimes. Le vide de mon ventre me fait mal après cette première tentative.

Éros recommence à chercher sa voie, le bout de son sexe venant frapper au hasard d’un côté ou de l’autre.

J’essaye d’écarter mes jambes encore plus dans l’espoir de rendre béante l’ouverture de mon ventre.

Nouvelle invasion ! Pourvu qu’il ne ressorte pas à nouveau ! Non, çà y est, il s’est maintenant agrippé à ma croupe pour me pilonner à un rythme effréné. Je sens que les parois de mon vagin s’ouvrent au fur et à mesure de la progression du pieu qui m’est imposé.

Je hurle de plaisir car je commence à connaître des salves d’orgasmes rapprochés qui ne me laissent pas en paix. Quel bonheur !

Je sens soudain quelque chose qui se déplace sur ma joue. Un insecte probablement qui aura profité de ce que j’étais face contre terre pour venir me grimper dessus. D’ordinaire, j’aurais crié et me serais débattue pour me débarrasser de l’intrus. Mais actuellement, sous les coups de butoir de mon amant, je me sens chienne, au plus profond de moi. Que m’importent les insectes, voire les araignées, qui voudraient profiter de mon immobilisation. Je suis une chienne, en pleine nature, et je suis en train de me faire couvrir, le plus naturellement du monde !

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