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La véritable initiation du jeune Mâle Dominant. 1 – Chapitre 4




Le Mâle pas encore dominant. Initiation entre cousin et cousines.

Je me retourne donc, le petit jeu des filles a commencé à faire son effet et un début d’érection gonfle ma verge.

Lève-toi et viens te mettre à côté de Paul, s’il te plaît, déclare Lucie.

Je lui obéis et je dois dire que je fais petit garçon à côté de lui, que je voudrais être baraqué comme lui…

Peuh ! D’accord, il a une plus grosse queue que moi, mais il n’arrive même pas à bander ! lâche Paul d’une façon désobligeante.

A ces mots, chaque jumelle s’agenouille et s’occupe d’une pine. Lucie n’obtient rien de plus avec Paul qui regarde continuer de croître ma verge en grognant entre ses dents.

Putain c’est pas vrai…

Suite :

Mes cousines se regardent et pouffent de rire quand soudain, Lucie parle au creux de l’oreille de sa sur. Je ne sais pas ce qu’elle lui a dit, mais Apolline s’éloigne et revient quelques instants plus tard avec un mètre de couturière et s’approcher de Paul pour lui mesurer la queue.

Je comprends que les filles ont envie de nous jauger. Nous ne sommes que des jouets sexuels pour ces demoiselles.

Elle mesure avec précision et beaucoup de sérieux la longueur, puis la circonférence et enfin, pour faire bonne mesure, les boules en les soupesant d’une main de l’un et de l’autre. Puis Lucie annonce le résultat à voix haute que note avec attention Apolline qui constate:

Pour les boules, je ne me prononce pas, mais pour le reste…16 et 13 pour Paul et 26 et 17 centimètres pour Claude, y a pas photo… J’aurais pas cru qu’elle faisait autant ! Excuse-moi Paul, d’après ce que j’ai vu sur le Net, tu es dans une bonne moyenne, c’est Claude qui est un phénomène.

Mais ça ne les rebute pas et chacune d’elles y va de sa fellation. La seule différence, c’est qu’Apolline arrive à faire une « gorge profonde » à Paul alors que Lucie peut placer sa main droite sur ma hampe tout en frottant mon gland sur sa luette.

Elles savent si bien y faire qu’elles arrivent presque en même temps à nous faire jouir. Paul râle soudain et retire sa bite de la bouche d’Apolline pour se branler avec vigueur avant de faire couler sur son gland trois malheureuses gouttes de sperme blanc qui chutent à la verticale sur le sol.

Je fais de même, mais Lucie se méfie et se recule un peu, vite rejointe par sa jumelle pour profiter de la douche.

C’est comme si je m’offrais totalement à elles, je me sens un peu défaillir quand une violente décharge électrique irradie tout mon être et surtout ma queue. Quelques secondes plus tard, je décharge… Ma lance crache violemment plusieurs jets en direction des jumelles placées en face de moi, mais aucun ne les atteint passant au-dessus de leur tête, je redresse le tir et inonde tour à tour leurs visages rayonnants sur lesquelles des gouttes de mon sperme glissent lentement.

Paul est dépité de sa prestation et voudrait aller plus loin avec les filles, mais tante Martine arrive sur ce fait et y met rapidement le holà :

Eh ! Doucement jeune homme… c’est comme ça que quelque temps plus tard, je dois m’occuper de fille-mère sans compter le risque d’attraper une saloperie ! Allez ouste, que je ne vous revoie plus avant un bout de temps !

Penaud et la queue entre les jambes au propre comme au figuré, Paul remballe « son matériel » et repart chez lui.

Depuis, les filles ont l’habitude de se promener en minishort la poitrine à l’air, n’ayant plus rien à me cacher. Moi-même je suis constamment torse nu et en short et elles ne se privent pas de se foutre de ma gueule, elles m’ont d’ailleurs surnommé « la crevette ».

Ce n’est que trois jours plus tard que Martine lança l’acte suivant :

Vous vous êtes assez amusées avec l’instrument de votre cousin, maintenant il faut passer aux choses sérieuses ! Mais on va y aller en douceur, car quand j’ai invité Claude avec, je vous l’avoue maintenant, l’idée qu’il vous dépucèle, je ne m’attendais pas vu son physique à ce qu’il soit monté comme un âne. On se retrouve tous après le repas dans ma chambre pour passer aux choses sérieuses.

Les filles toujours aussi vicieuses se ramènent dans la chambre avec un string-ficelle et un petit top ultra-moulant. Tante Martine entre revêtue d’un corsage pratiquement transparent mettant en valeur sa grosse poitrine et un jean déchiré aux jambes coupées le plus haut possible.

Bien les filles ! Avant de passer à l’acte qui fera de vous de vraies femmes, il faut déjà chauffer le mâle, lui donner envie de vous, en un mot, le faire « bander ». Allez, au boulot…

Apolline s’approche de moi et commence à dégrafer mon short. Sa sur a déjà les mains sur ma poitrine. Je relève son top, pose mes mains sur ses seins déjà gonflés de plaisir en lui suggérant.

Lucie, j’aimerais caresser ton corps de haut en bas avec la langue.

Je l’effleure avec une main et commence à la caresser en pensant que c’est ma langue avant de téter les nichons de ma cousine qui deviennent durs. Je les pétris, les suce, les mordille sous ses roucoulements de plaisir. Pendant ce temps, Apolline a baissé mon short, ma queue devenue raide bondit vers son visage.

Moi je te sucerais bien la bite ! Ce qu’elle fait en me branlant lentement avec ses deux mains.

Elle se laisse glisser entre mes cuisses, j’appuie doucement sur sa nuque, j’ai envie qu’elle me suce… Elle se penche et avale ma grosse prune, ses deux mains sur ma queue.

Quand Martine réalise que je suis au top, elle reprend ses directives :

Apolline, étends-toi sur le lit sur le côté, Claude, positionne-toi derrière elle et toi Lucie, tu feras la mouche du coche. Tu prends sa queue et la positionnes en face de la chatte de ta sur en faisant bien attention que Claude ne s’enfonce pas trop loin.

Ma trique vient se coller sur ses reins, je pose une main sur sa hanche, me colle à elle et imprime des mouvements de coït, une main vient faire le tour de ma hampe, le moment est très agréable, je laisse faire Lucie qui dirige ma verge vers la foufoune de sa sur dont elle écarte les lèvres pour trouver son clitoris qu’elle masturbe bien pour la faire mouiller. Ma queue s’impatiente et est encore plus dure.

Enfin Lucie positionne le bout de ma poutre au centre de cette chatte béante et la frotte longuement sur la vulve entrouverte. Apolline donne de petits coups de reins pour m’inciter à l’empaler, voulant savourer l’instant où je vais la dépuceler.

Mon gland frotte déjà sur toutes les parties innervées de la porte de sa grotte inviolée. Elle ouvre la bouche avant de pousser un petit cri quand je la déflore, tachant de sang mon mandrin.

Je pousse plus loin, mais la main de sa jumelle n’a pas lâché mon phallus. Son ventre est plein de ma virilité, mais n’a pu absorber qu’une partie de ma puissante colonne, je donne des coups de reins pour la pénétrer encore plus loin, mais Lucie est là et restreint toujours mes coups de boutoir désordonnés.

Rapidement, je coulisse de mieux en mieux, un peu plus profondément à chaque aller-retour pendant qu’elle glapie de bonheur, avec l’envie, mais aussi un peu de peur d’être défoncée par mon soc.

Aaahhh ! Que t’es gros, mais putain que ça fait du bien ! Baise-moi encore et remplis-moi de ton foutre ! Éclate-moi la chatte !

Ouuii ! Tu es aussi salope que ta mère, je vais te remplir de mon jus !

Je mets une main sur son épaule et l’autre sur ses fesses quand je sens ma queue se cabrer et devenir encore plus dure. Un premier jet percute son utérus, suivi de nombreux autres tout aussi puissants remplissant son vagin, déclenchant chez elle un formidable orgasme.

L’extase de l’excitation prend fin, ma queue ramollit un peu et je me retire de sa chatte. Le précieux liquide suinte, mais Lucie serre les lèvres intimes pour empêcher le sperme de sortir. Elle colle sa bouche sur la vulve de sa jumelle pour s’abreuver directement à la source de nos liqueurs mélangées.

Elle n’a toujours pas relâché mon engin en excitant le gland aux terminaisons nerveuses devenues hypersensibles avec un de ses ongles.

L’excitation croit à nouveau et fait déjà redurcir ma queue.

Apolline a repris un peu ses esprits et me caresse les cheveux en m’embrassant sur les lèvres et vient soutenir sa sur en soupesant mes burnes comme pour féliciter l’étalon de sa saillie.

Mais Lucie devient impatiente de rejoindre sa jumelle dans la longue liste des « vraies femmes ».

Elle me pousse sur le dos et commence par me lécher des couilles au gland, puis remonte mon corps pour glisser mon sexe entre ses seins, frottant ses tétons durcis sur mon gland impatient de la pourfendre, me faisant languir…

Lucie s’assied sur mon ventre, passe ses jambes autour de mes hanches et commence à onduler du bassin, frottant sa fente sur ma queue.

Je glisse mes mains sous ses fesses pour accompagner ses déhanchements, explorant ses rotondités à la peau très douce et ses trésors cachés.

Elle tient ma verge dressée en l’air et la frotte sur sa fente qui réclame son dû. Elle rampe un peu pour s’aligner au-dessus de mon sexe, s’arrête à hauteur de la hampe.

Sa chatte s’ouvre naturellement quand petit à petit, elle fait disparaître en elle mon gland, puis hésitante, n’ose aller plus loin. Je ne peux résister et la dépucelle d’un seul coup de reins qui la soulève, faisant remonter mon mandrin jusqu’à son nombril en étirant au maximum sa gaine vaginale.

Elle hurle de douleur, mais son cri perd vite de la puissance et devient un râle de plaisir qui réclame sa part de baise. Comme une amazone en furie, elle fait une véritable cavalcade sur mon corps uniquement retenu en selle sur sa monture par le trait d’union que forme ma verge entre nos pubis.

Je la laisse faire, car Apolline requiert toute mon attention en me donnant sa chatte au parfum de foutre et de cyprine que je lèche avidement. Ma langue joue avec son clitoris gonflé pendant que mes doigts fouillent son intimité humide.

Elle n’en peut plus, et me supplie de la prendre, mais la place est occupée par sa sur. Lucie inonde mon bas-ventre plusieurs fois de sa cyprine, mais n’arrête pas pour autant sa « chevauchée fantastique ».

Ces deux salopes arrivent à leur fin et je ne peux plus me retenir. Je graisse à son tour le conduit de Lucie effondrée sur mon corps. Quand elle trouve la force de retirer sa mortaise de ma cheville, un flot de foutre macule le drap trempé de nos sueurs.

Après un temps de repos, le cerveau de Lucie reprend du service et se rappelle de mes propos :

Claude… Qu’as-tu voulu dire par, « Tu es aussi salope que ta mère » ?

Euh ! Ça veut pourtant bien dire ce que ça veut dire ! Demandez-lui plutôt…

A suivre…

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