ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 07 : Une cuisine et pisser.

Nous prenons ma Dodge Challenger pour nous rendre au supermarché dans lequel j’ai l’habitude de faire mes courses. Alice n’a pas l’air gênée pour marcher avec ses espadrilles, bien qu’elles soient trop grandes pour elle de deux pointures. Néanmoins, et étant donné que ce magasin qui est très grand possède une allée réservée aux chaussures, j’y engage le caddy que je suis en train de pousser, dans le but de lui en trouver une paire à sa taille. Bien entendu, elle me suit sans hésiter, avec un petit sourire aux lèvres lorsqu’elle comprend mon intention. Mais lorsque je pile devant une paire de mules à talons pleins en liège d’environ sept centimètres de haut, avec une bande en cuir rouge de cinquante millimètres de large pour retenir le pied, elle rougit légèrement. Je me penche alors vers elle pour murmurer à son oreille :

Je trouve que ces godasses seraient terriblement sexy, si tu les portais à poil à la maison.

Comme je m’y attendais, elle devient écarlate, mais elle me répond de sa voix douce et grave, devenue légèrement rauque :

À condition qu’il y en ait à ma pointure, ce qui n’est pas gagné vu que j’ai des pieds de fillette.

Elle a raison, étant donné que si plusieurs modèles identiques et de tailles différentes sont toujours accrochés dans les rayons, il n’est pas rare que certaines manquent à l’appel, et il faut parfois de la chance pour trouver la bonne. Par conséquent, je lui demande :

Si elles y sont, tu les mettras ?

Bingo.

J’entreprends donc de lire les étiquettes, puis lorsque je trouve un 36, je vérifie sur la semelle qu’il n’y a pas d’erreur, et je les mets sans hésiter dans le caddy avec un petit sourire aux lèvres, tandis qu’Alice qui avait retrouvé une teinte normale rougit à nouveau. Ensuite, je choisis deux mètres plus loin des espadrilles, de la même pointure et rouges elles aussi, qui vont rejoindre les autres chaussures. J’ai pris ces dernières au cas où les mules se révéleraient à la longue inconfortables, car je n’ai pas pour ambition de faire souffrir mon amante, bien au contraire.

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Je cherche également de la crème bronzante, parce que je sais qu’il n’y en a pas chez moi. Mon corps comme celui de tout bon nudiste a en effet l’habitude de se hâler progressivement avec l’arrivée des beaux jours, mais je ne pense pas que ce sera le cas des seins et des fesses de mon amante qui n’ont jusqu’à aujourd’hui jamais été exposés directement au soleil.

Après cela, nous achetons de quoi nous nourrir pendant trois repas, tout en prenant le temps d’en discuter. Alice s’est tout naturellement proposé de m’aider à faire la cuisine, ce que j’ai accepté étant donné que je ne suis pas un expert en la matière. Cependant, nous avons décidé de ne manger que des plats pas trop compliqués, ce qui nous convient à tous les deux. Par conséquent, à midi, je ferai des grillades tandis qu’elle nous concoctera une salade composée, ce soir, ce sera spaghetti bolognaise, et demain midi, nous préparerons une paëlla que je ferai cuire au barbecue.

Au moment de payer, je sors ma carte de crédit et mon petit bout de femme ne proteste pas, mais elle me dit une fois que nous sommes remontés dans la voiture, et après que nous ayons rangé nos achats dans le coffre :

La prochaine fois, c’est moi qui paierai les commissions.

Je lui ressers la petite moue qu’elle m’a faite lorsque nous étions au restaurant, sans la contredire, ce qui me donne droit à un sourire indulgent de sa part.

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Lorsque nous sommes de retour à la maison, nous nous remettons tout naturellement nus, Alice enfile sa nouvelle paire de chaussures sans rougir, et elle me fait un nouveau sourire lorsque je lui dis :

J’ai pris les espadrilles au cas où les mules te feraient mal au pied, alors si c’est le cas, tu ne devras pas hésiter à en changer.

C’est une délicate attention de ta part, mais vu le prix que tu les as payées, je les trouve étonnement confortable. Cependant, je ne veux pas présumer, alors on en reparlera dans quelques heures…

Nous nous rendons ensuite dans la cuisine pour y ranger nos achats, et après avoir montré à Alice où se trouvent la vaisselle et tout ce qui lui sera nécessaire, je vais préparer le barbecue dont je ne me suis pas encore servi cette année. Ce dernier est construit en dur, et sa cheminée est adossée au mur de la maison.

Une fois que le feu a pris, je vais contrôler le niveau d’eau de la piscine, et comme je constate qu’elle est pleine, je coupe les vannes, avant de retourner voir mon amante, pour éventuellement lui donner un coup de main. Mais je me rends compte qu’elle n’a pas chômé, étant donné qu’après avoir passé un tablier qui recouvre le devant de son corps, et laisse ses fesses et son dos nus, elle a disposé la viande à cuire sur un plat, et fait une vinaigrette. Elle est à présent en train de mettre dans un saladier certains des ingrédients que nous avons achetés, qui sont entre autres du maïs, des curs de palmier et des fonds d’artichaut.

Elle se retourne pour me sourire en m’entendant arriver, et ce dernier s’élargit lorsque je lui dis :

Très sexy, ta nouvelle tenue !

Puis elle me répond en rougissant légèrement :

Oui, j’ai hâte de te voir avec lorsque tu cuiras les grillades. Je prendrais même peut-être une photo ou deux avec mon téléphone.

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Je lui souris à mon tour, avant d’objecter :

Je n’ai rien contre le fait que tu fasses des photos de moi à poil, pour t’exciter quand je ne serai pas là. Mais comme tout bon célibataire, je suis allé sur des sites pornographiques, et j’ai eu l’occasion de me rendre compte que des clichés de ce genre se sont retrouvés sur Internet. Probablement par vengeance à la suite d’une rupture, ou à cause de la malveillance d’informaticiens qui sont tombés dessus par hasard.

Alice s’empourpre un peu plus, avant de répliquer sur un ton déçu :

Foutre ! Ça veut dire que je n’aurai pas droit d’avoir des souvenirs de toi la queue à l’air ?

Disons que ce sera moins risqué, si ces clichés sont pris avec un appareil-photo, et transférés ensuite sur un disque dur externe ou une clef USB. Comme ça, si ton ordinateur tombe en panne, ils seront en lieu sûr.

Joignant le geste à la parole, je vais chercher mon Canon reflex numérique qui se trouve dans mon bureau, et je retourne avec dans la cuisine avant de dire à mon amante :

Puisque c’était ton idée, je suppose que tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je commence par toi ?

Elle devient écarlate, mais elle me répond :

C’est de bonne guerre.

Suite à cet accord donné, je commence à la prendre en photos, tandis qu’elle continue à cuisiner, et si au début, elle est tendue et toujours rouge, elle finit par reprendre une teinte normale et à se décontracter. Je fais des clichés d’elle sous tous les angles, de dos avec ses fesses charnues, mais tellement attirantes, de profil avec ses gros seins qui semblent vouloir s’échapper de son tablier, et pour finir de face. De ce point de vue, même si sa lourde poitrine dépasse de chaque côté de son vêtement très minimaliste et uniquement fonctionnel, la morale est sauve étant donné qu’on ne voit pas les parties les plus intimes de son anatomie.

C’est pourtant ce moment-là que je préfère, puisqu’Alice se lâche en me faisant des grimaces comiques, et en me tirant la langue, ce qui me montre qu’elle est totalement en confiance, et que par conséquent, elle peut se permettre de faire la folle, sans avoir peur de se sentir jugée.

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Lorsque j’ai terminé, je pose l’appareil pour aller voir où en est le barbecue, puis je retourne dans la cuisine. Une fois qu’elle a terminé sa préparation, mon amante va mettre le saladier dans le réfrigérateur, puis elle regarde la pendule accrochée au mur qui indique onze heures et demie, et elle me demande :

Il est encore tôt, on va faire quoi en attendant de manger ?

De toute façon, le feu n’est pas encore prêt, puisqu’il y a toujours du bois en train de brûler et pas assez de braises.

Puis j’ajoute sur un ton salace :

On pourrait baiser, pour tuer le temps…

Alice rougit immédiatement, mais elle fait mine d’enlever son tablier pour me montrer qu’elle approuve ma suggestion, en commençant par dénouer les ficelles qui sont attachées dans son dos. Cependant, je l’arrête immédiatement, en lui disant :

Non, garde-le ! Je n’ai pas menti lorsque je t’ai dit que je te trouvais très sexy avec.

Mon petit bout de femme devient immédiatement écarlate, mais elle rattache les lanières avant de poser sagement ses mains sur le plan de travail, et tandis que mon sexe se met à gonfler à l’idée de ce qui va se passer, je vais me placer derrière elle alors qu’elle reste immobile. Une fois que j’y suis, je me mets à genoux, et docilement, elle écarte les jambes tout en se reculant, après que j’aie posé mes mains autour de ses fines chevilles pour la guider. Peu à peu, elle se penche en avant, ce qui fait pendre sa lourde poitrine à peine retenue par son vêtement de fortune, et son torse finit par faire un angle d’une trentaine de degrés, par rapport à l’horizontale.

Une fois qu’elle s’est positionnée correctement et que sa vulve est parfaitement exposée, je commence par caresser mon amante d’abord sur toute la surface de ses fesses rebondies, puis à l’intérieur de ses cuisses, là où sa peau est la plus douce. Je prends mon temps, et ma queue se dresse lentement pour devenir bandée. Ensuite, je m’intéresse à son sexe que je palpe avec mes doigts dans tous ses replis, mais en évitant soigneusement son clitoris qui est l’endroit le plus sensible.

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Alice se met à pousser des soupirs de contentement qui me montrent que mes attouchements ne la laissent pas insensible, et lorsque ma langue remplace mes doigts, et qu’elle va fouiller les moindres recoins de sa vulve, sa respiration devient à la fois plus profonde et plus sonore.

Je tente alors ma chance en écartant ses fesses, et je vais lécher l’endroit où elles se rejoignent ; en partant du bas jusqu’en haut, et en frottant au passage son anus. Comme je n’ai senti aucune crispation de la part de mon amante, je redescends tout aussi lentement, mais en m’arrêtant cette fois au niveau de son illet fripé. Je sens sa rondelle se détendre sous l’effet conjugué de mes caresses et de ma salive, tout en me délectant de son goût suave. Cette fois encore, il n’y a aucune indignation de la part d’Alice, ce qui me laisse présager qu’elle sera ouverte à la sodomie.

Mais ce n’est pas encore le bon moment, car de manière qu’elle n’éprouve aucune appréhension, il faut que je laisse cette idée faire son chemin, et pourquoi pas lui en donner le désir. C’est pour cette raison qu’après avoir enfoncé le bout de ma langue dans le petit trou qui s’est ouvert, je redescends dans le but d’aller cette fois me régaler de la mouille que sa vulve a commencé à produire.

C’est lorsque ses soupirs de plus en plus profonds ont été remplacés par des petits râles de plaisir, que je sais qu’elle est prête à ce que mes attentions prennent de la profondeur. Par conséquent, je me relève, je décalotte mon gland et je le pose contre ses petites lèvres, qui sous l’effet de l’excitation se sont ouvertes, et sont restées collées à leurs grandes surs, grâce à la moiteur qui règne au niveau de son sexe.

Après avoir posé mes mains sur sa taille, je demande à mon petit bout de femme :

Tu la veux en douceur ou avec rudesse, ma queue ?

Elle me répond de sa voix douce grave et rauque, tandis que je vois rougir ses oreilles :

Prends-moi comme une cochonne.

OK. Mais si c’est trop pour toi, n’hésite pas à me le faire savoir, parce que je veux que tu gardes un bon souvenir de toutes les fois où je t’aurai baisée.

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Alice hoche la tête pour me faire savoir qu’elle a compris, et tandis que je raffermis ma prise sur ses hanches, je donne un coup de reins. Mon sexe se fraye de ce fait un passage dans son vagin, en s’enfonçant jusqu’à la garde. Mon amante pousse un petit gémissement, qui se termine au moment où mon bassin vient claquer contre ses fesses en faisant un bruit mat. Alors pour m’assurer qu’il n’a pas été provoqué la douleur, je me renseigne sur un ton autoritaire :

C’est vraiment ça que tu veux ?!

Foutre oui !! Je veux me faire prendre comme une chienne en chaleur qui se fait monter et démonter par son mâle en rut !

Je suis légèrement surpris par cette répartie, mais en même temps complètement rassuré. Par conséquent, je me recule plus lentement, surtout pour m’assurer que mon gland ne ressorte pas, et je reviens à la charge. Cette fois, Alice se contente de râler, et étant donné qu’elle n’émet pas d’autre son, je commence à aller et venir en elle, de plus en plus rapidement à partir du moment où j’ai pris mes marques.

Ma partenaire ne tarde pas à m’accompagner dans mes mouvements, en venant à ma rencontre lorsque je m’avance vers elle, puis en s’éloignant de moi tandis que je me recule ; et je suis surpris que nos mouvements de bassins soient aussi bien coordonnés, comme si on avait fait ça toute notre vie. Elle pousse à présent un petit geignement à chaque fois que je m’enfonce en elle, mais ses démonstrations de plaisir ne me dérangent pas, tant je suis convaincu qu’elle n’est pas en train de simuler.

Notre accouplement soutenu dure une dizaine de minutes, ce qui nous met en sueur, et à la fin, je suis tellement excité que j’ai un mal fou à me retenir d’éjaculer. Heureusement pour moi, la délivrance finit par arriver, et elle m’est signalée par les contractions du vagin d’Alice qui sont accompagnées de jets de liquide chauds et légèrement gluants, ainsi que d’un gémissement orgasmique. Je reste alors planté en elle, tandis que mon sperme gicle lui aussi et que je grogne de plaisir, puis je me penche sur elle pour aller caresser sous son tablier, ses gros seins dont les tétons sont devenus durs.

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Lorsqu’elle a repris ses esprits, Alice me fait :

C’était foutrement bestial !! Jamais j’aurais pu imaginer que ça puisse être bon, au point que je me pisserais dessus !

Sa naïveté me fait éclater de rire, et lorsque j’ai repris un peu de mon sérieux et tandis que ma queue toujours plantée en elle se dégonfle lentement, je lui explique :

Tu n’as pas pissé ma Cochonne, mais tu as tout simplement eu une éjaculation féminine.

Quoi ?!? Tu veux dire que les femmes en sont capables tout autant que les hommes ?!

Absolument, mais cela varie selon la personne. Chez certaines d’entre elles, c’est systématique, et on les appelle alors des femmes fontaines. Chez d’autres, c’est occasionnel, en fonction de l’intensité du plaisir ressenti. Mais il y en a aussi à qui ça n’arrive jamais, ce qui ne veut pas dire pour autant qu’elles sont frigides, puisqu’elles sont capables d’avoir des orgasmes. De plus, la quantité de liquide expulsée est variable. Il est encore trop tôt pour dire si tu appartiens à la première ou à la deuxième catégorie, mais nous verrons bien.

Mon petit bout de femme pousse alors un soupir, mais je ne sais pas si c’est dû au fruit de ses réflexions ou au fait que je viens de me reculer, et que ma queue à présent redevenue flasque est ressortie d’elle. Comprenant qu’elle a assez de place, elle se retourne pour me faire face, et elle me dit en rougissant légèrement :

C’est aussi encore trop tôt pour dire si je suis leur reine, mais une chose est sûre, c’est que je suis devenue une vraie cochonne. Parce que j’ai tellement pris mon pied, que j’ai hâte de recommencer.

À suivre…

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