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Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles – Chapitre 2




Il est presque 8 h quand je me réveille ce dimanche matin. La veille, nous nous sommes tous couchés vers minuit. Comme chaque été, je dors dans la chambre d’Éva, à l’étage, tandis qu’elle retrouve le divan du séjour au rez-de-chaussée. Après la toilette, je vais prendre le petit-déjeuner. C’est Éva qui m’accueille, tandis que sa mère s’affaire à la cuisine.

Nous mangeons ensemble, tout en échangeant des banalités. Il est clair que la journée sera calme, aucune sortie n’étant prévue. De toute façon, le temps n’y incite guère. Ce matin le ciel est très nuageux et il y a du vent. Sa mère dit que c’est un temps de pluie. Effectivement elle arrive en fin de matinée et ne cessera pratiquement pas de la journée. Tout le monde se trouvant donc enfermés, nous passons une journée très calme, la plupart du temps à lire, regarder la télé ou à écouter de la musique.

Lundi matin, 2 juillet. C’est le silence dans la maison quand je me réveille, vers 8 h. Je me rappelle alors que les parents, ainsi que Jana, font les matinées à l’usine, soit de 6 h à 14 h. Je dois être seul avec Éva. Dehors, il ne pleut plus, mais le ciel est assez nuageux. J’entends l’escalier qui grince : Éva est en train de monter. Je me lève pour ouvrir la porte de la chambre. J’ai bien fait car je la vois arriver, un plateau dans les mains :

— Pour fêter notre première matinée ensemble, j’apporte le petit – déjeuner pour nous deux.

— Elle pose le plateau sur son bureau et vient s’asseoir sur le bord du lit. Elle est magnifique avec son t-shirt de couleur bleu roi, que je reconnais être le cadeau de Mirek de Bulgarie.

— La pluie d’hier a rafraîchi le temps. Je l’ai mis pour me couvrir un peu, mais, je ne porte rien d’autre ! Comme tu peux constater

Elle remonte légèrement son t-shirt et je vois sa chatte.

— Cette année, tu vas nous trouver encore plus « bandantes » comme tu aimes dire. Bon, prenons d’abord notre petit-déjeuner.

Une fois ce dernier pris, nous parlons de la journée. Ce matin, il faudra se rendre, comme chaque fois que je viens ici, au bureau de la police à Vyskov. Puis nous reviendrons à la maison pour déjeuner. Dans l’après- midi, une fois que Jana et ses parents seront revenus, nous verrons bien. Et comme je vais voir, à la fenêtre, le temps qu’il fait, elle ajoute :

— Ce matin, je vais mettre des bas. C’est qu’il fait encore un peu frais. Je crois que tu ne m’as pas vue ainsi avec une tenue assez sexy, quand même. Bon tu vas faire ta toilette et tu t’habilles. De mon côté je vais me préparer.

Environ trois quarts d’heure plus tard, je suis prêt et j’attends Éva, assis sur le canapé du séjour. Elle se présente dix minutes plus tard. Mignonne à croquer !

Elle porte une mini-robe en lainage rose et ses jambes sont gainées de bas nylon presque transparent.

— Comment me trouves-tu ainsi ? La mini-robe a été tricotée par ma mère, pour mes vingt ans. Elle me plait. Mais, malgré les précautions de lavage, elle a rétréci un peu. Je ne la porte pas devant ma mère, qui la trouve bien trop courte, à son goût. Quant aux bas, ma tante, la sur de mon père, me les as offerts.

C’est vrai que la robe moule bien ses formes tout en étant plus courte que la minijupe qu’elle portait samedi. Follement sexy !

— Hum, tu vas sortir ainsi ? Moi je trouve ça excitant, en plus que tu vas te faire mater ou entendre des réflexions sur ces filles qui portent des tenues indécentes.

— J’ai l’habitude ; les quelques fois où je l’ai mise, jai eu droit à ça et puisque tu me répètes que j’ai des jolies jambes, je les montre ! On y va ?

Il est presque 10 h quand je gare la voiture devant le siège de la police du district. Cette année le bureau se trouve au premier étage. Alors que je me suis arrêté pour renouer un cordon d’une de mes chaussures, Éva continue de monter. Et quand je me redresse, je peux voir une partie de sa culotte bleue et la lisière de ses bas. Durant les quelques minutes que nous passons dans le bureau, Éva, assise sur une chaise, se fat joliment mater par le secrétaire qui n’a que d’yeux pour ses cuisses si généreusement dévoilées. Sans parler de sa culotte, qui doit être visible, dans la posture où elle se trouve.

Et quand nous nous retrouvons dehors :

— Tu as vu comment il te matait ? Je ne sais pas s’il faisait attention à mon passeport ! Apparemment tout est en ordre.

— Et alors ? L’année dernière tu m’as bien fait mettre nue pendant qu’on était en voiture sur la route ! Tu m’as rendue folle de mon corps, chéri ! Et je sais que ça t’excite qu’on me mate. Hum ! On va boire quelque chose ? J’ai soif et je dois aller aux toilettes

L’hôtel- restaurant Kojàl est le plus proche du siège de la police et nous y allons à pied. Éva me semble un peu réticente, le souvenir de samedi, sans doute, mais accepte. Nous nous installons à une petite table dans un angle de la salle, puis passons commande pour deux grands cafés. Eva se lève :

— Bon, je vais aux toilettes.

Je la regarde de dos. C’est vrai que cette robe est vraiment courte. Elle doit s’arrêter à quelques centimètres sous les fesses. A peine revenue, elle m’aborde avec un petit sourire :

— Tu m’as vu déjà de dos ça se présente comment ?

— Ben ta mini-robe, elle est vraiment  … mini. On pourrait même dire qu’elle est indécente, si tu n’étais pas si mignonne !

— Pourquoi tu ne dis pas simplement que je suis « bandante » ?

Et pour voir si elle confirme les confidences de Jana :

— Parce que tu es ma chérie, voilà tout !

— Je sais que Jana t’appelle chéri, aussi. C’est ta « maîtresse » ? De toute façon, pour cette année et puis zut, je te dirai ça plus tard.

Puis nous parlons des lieux à visiter pour les prochains jours. Avant de quitter l’établissement et de rentrer à la maison à 11 h passé.

Nous déjeunons en tête-à-tête à midi, et peu après 14 heures, nous nous retrouvons au complet, Jana et les parents étant rentrés du travail. Le reste de la journée se passe au jardin, en famille.

Du mardi 3 au jeudi 5, le beau temps revenu, nous en profitons pour visiter Brno, deuxième ville du pays où il y a pas mal de choses à voir. Nous retournons aussi à Kromeriz et le magnifique parc du château. Éva se montre charmante, toujours vêtue d’une jupe ou d’une robe bien courte. Mais la robe rose en laine est restée dans la penderie. Trop audacieuse pour les visites touristiques !

Le vendredi matin, le 6 juillet, Éva vient me voir dans ma chambre. Elle est très matinale, puisqu’il est 6 h 45. Je ne dors plus depuis un moment, vu que nous nous sommes couchés un peu tôt la veille.

— Je ne te dérange pas ?

— Bien sûr que non, voyons ! Comment ta présence pourrait me déranger ? Tu es tellement bandante comme ça.

Éva porte comme chaque été, un simple t-shirt en guise de chemise de nuit. Elle sourit à l’évocation de ce mot, un peu cru, mais si parlant.

— Je suis venue pour passer un moment avec toi. Tu me fais une place ? C’est un lit d’une personne, mais en se serrant un peu

Elle retire prestement son t-shirt et s’allonge près de moi, entièrement nue, tandis que je retire mon pyjama. Nous nous caressons mutuellement, tandis qu’Éva me fait des confidences :

— Aujourd’hui, nous ne sortirons pas, car tu auras une soirée spéciale avec Jana. Tu ne le sais pas, mais elle est chanteuse dans un orchestre amateur qui fait les bals de la région. Elle fait ça une semaine sur deux, vendredi et samedi soir de 19 h à 1 h du matin. Tu auras ainsi l’occasion de voir comment ça se passe et aussi assister à un spectacle qu’elle donne après le bal

Éva s’interrompt un moment, tandis que je lui caresse les seins. Puis elle reprend :

— Un spectacle très spécial. Le genre de chose censé ne pas exister chez nous mais qui bénéficie d’une certaine tolérance, pour peu que ça reste discret. Il faut voir ça, car elle ne le fait que quelques fois dans l’année. Et c’est uniquement sur réservation, car il y a peu de places. Jana m’en a parlé hier soir, car un des invités s’est décommandé. Elle a pensé à toi pour le remplacer. C’est un collègue de l’usine qui s’occupe de ça. Quand Jana lui a dit que c’était l’ami français de sa sur, il a hésité un peu : un étranger mais Jana a dit qu’il serait généreux, et il a accepté.

— Intéressant. Je dois donc sortir le portefeuille ? Le spectacle est payant, bien sûr.

— C’est bien cela : être généreux. Il faut payer deux fois : avant et après le spectacle. Enfin tu verras. Tu me raconteras ça à ton retour.

Je la regarde. Ma main glisse vers sa vulve :

— Tu ne viendras pas ? Ce serait vraiment dommage. Que ferai-je quand Jana sera sur scène où fera son spectacle ?:

Éva s’interrompt un instant, paraissant hésiter:

— Son spectacle est, comment dire  très chaud et le public quasiment masculin. Et je dois dire que Jana m’a déjà invitée à y assister. Elle dit qu’une femme dans l’assistance, ça pimenterait l’ambiance.

— Eh bien, voilà une belle occasion de m’accompagner. Surtout si tu dis que c’est très osé

— Coquin ! Tu as très envie de voir comment ça pourrait se passer, n’est-ce-pas ?

— Ce serait super ! Parles-en à Jana quand elle sera là !

Elle me sourit, visiblement gagnée par mon enthousiasme.

— Ma sur m’a déjà affirmé qu’on m’accepterait sans difficulté dans le public, même sans invitation.

Puis, elle ajoute, avec un brin d’excitation :

— Je vois que tu en as très envie, alors, je veux bien y aller aussi Je lui en parlerai, donc.

Et, comme pour la remercier, je l’embrasse à pleine bouche, tandis que mes doigts fouillent sa vulve. Et durant près d’une heure, nous faisons l’amour comme des fous. Et, pour finir, je la sodomise, elle, cramponnée à son bureau.

Elle crie de plaisir, tant son trou a été visité. Et je lui largue mon foutre dans son anus, tout en lui lançant :

— Tu es vraiment bandante Je voudrais te voir tout le temps à poil, comme la jolie salope que tu es !

— Quel compliment ! Ça t’excite que ta chère Éva soit une salope, n’est-ce-pas ?

— Comme tu l’as fait lundi matin !

— Quand j’ai laissé voir ma culotte ? Tu as aimé ça, hein, mon chéri ? De toute façon, salope, il faut l’être pour accepter de se faire baiser, avec ma sur en plus, par un type important, de Prague. Pour arranger les affaires de Bozena, j’ai fait la pute, gratuitement, et en plus j’ai pris mon pied !

— Hum ! J’en apprends des choses. Quand tu penses à tout ce que nous avons fait l’été dernier, ces expériences les plus osées, tu ne peux plus rien refuser.

Éva s’est assise, nue, sur son bureau :

— Tu sais, je suis presque certaine qu’on ne sera jamais ensemble. Mon père ne voit pas d’objection à tes visites ici, mais de me voir partir avec toi, ça jamais ; il ne veut même pas en entendre parler. Et puis, je ne sais pas si ça marcherait entre nous, à part le sexe, bien sûr. Et puis il y a la nostalgie du pays

Elle marque un silence, puis reprend :

— Cette année, ne nous prenons pas la tête avec ça. Tu as vu que mon père est plutôt abrupt sur certains sujets. Ça ferait une scène et tu serais sans doute obligé de partir. Nous allons plutôt voir les choses de manière agréable, comme aujourd’hui, par exemple.

Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me parle aussi franchement. Mais puisqu’il en est ainsi

— Donc, en échange, dès qu’on sera entre nous, tu te soumettras à mes caprices sexuels ?

— C’est dit bien crûment, mais c’est bien ça.

— Un peu ou beaucoup ? Et Jana aussi, bien sûr ?

— Tu veux nous soumettre toutes les deux, hein ? 

Elle sourit, en voyant ma queue se redresser :

— Le trio infernal, quoi Hmmm ! Et ça te fait bander Cochon !

— C’est normal bandante comme tu l’es !

Et je l’embrasse à pleine bouche, en frottant ma queue contre son ventre.

Elle me toise avec un air coquin dans le regard :

— Tu es pressé de commencer, on dirait Quelle heure est-il, au fait ?

Je consulte ma montre :

— Presque 8 h. Le temps passe

— Bien, allons prendre le petit déjeuner, chéri. Je continuerai à te dire « chéri », même si Jana en fait autant !

Elle rit, en descendant l’escalier. Elle n’a pas remis son t-shirt. Quand je la rejoins dans le séjour, elle me demande :

— Cela te plait de me voir toute nue ?

— Oh oui. Et j’aimerais te voir nue, ainsi que Jana, dès que tes parents seront absents.

Éva s’amuse de mon souhait :

— A condition qu’il ne fasse pas trop frais. Je ne veux pas m’enrhumer pour ça. Et je ne réponds pas pour ma sur; tu devras le lui demander.

Bien que nous soyons nus tous les deux, nous finissons par nous y habituer. Et tout se passe bien, hormis quelques tripotages comment résister quand son cul passe à portée de mes mains, ou ses nichons à portée de ma bouche ?

Puis l’heure du déjeuner arrive. Et un peu avant 14 h, nous nous rhabillons. Éva ne portant pas de culotte sous sa mini-blouse. En rentrant, Jana annonce qu’elle va se reposer un peu, en vue de la soirée qui l’attend. Elle se retire dans sa chambre et n’en ressort que vers 16 h, après une sieste de deux heures. A ce moment-là, Éva se présente et elles s’enferment dans la chambre, pour une discussion qui va durer près d’une heure. Quand elles en sortent, elles affichent un air satisfait.

Jana m’adresse la parole :

— Bien sûr que vous pouvez venir, Éva et toi ! Je suis même ravie qu’elle assiste à mon spectacle. Et puis, pour le bal, tu auras ainsi ta cavalière attitrée. Pour l’endroit c’est assez loin d’ici, à 70 km, à Olomouc pour tout dire ! Mais je commence à 21 h seulement, une autre fille fera le début du bal. Bon, je vais préparer mes affaires, puis nous irons dîner. Il faudrait partir vers 19 h, pour avoir un peu d’avance.

A l’heure dite, nous voilà tous les trois dans le hall d’entrée. Jana porte une petite valise en toile à la main, tandis qu’Éva tient en main un sac plastique. Elles sont vêtues, sobrement d’une mini-robe marron pour Jana et d’une minijupe en jean pour Éva, assortie avec un chemisier rose. Et elles sont raisonnablement courtes. Pour ma part, je porte un pantalon en tergal ainsi qu’un polo bleu.

Une fois arrivé à la voiture, Éva monte à l’avant, Jana à l’arrière, tandis que les bagages vont au coffre.

Jana reprend ses commentaires :

— Dans la valise j’ai mes costumes de scène. Un pour le bal, un pour l’autre spectacle. Dans le dancing, il y a une loge pour se changer. Éva c’est quoi ce sac que tu traînes ?

— Lundi, j’ai voulu m’amuser en remettant la mini-robe rose en lainage

— Mais, je croyais qu’elle ne t’allait plus ? Qu’elle était trop juste au moins Au dancing tu vas faire sensation ! Et au spectacle, ça risque d’être chaud

— Bob m’a dit que j’étais bandante avec cette robe alors je serai bandante.

— Quel langage ! C’est vrai qu’après tout ce qu’on a vécu ensemble l’été dernier Et tu vas te changer où ? Tu pourrais passer par la loge, mais ce serait mieux que tu entres dans la salle avec ta robe j’ai hâte de voir ça ! Remarque, si tu voyais ma nouvelle tenue On l’a faite avec une copine de l’usine, excellente couturière.

Quand nous nous garons sur le parking du dancing, il est 20 h 20. Jana suggère à Éva d’entrer dans le hall, où se trouvent les toilettes, et ainsi se changer, puis replacer ses vêtements dans la voiture. Ce qu’elle fait, tandis que Jana se dirige vers une porte latérale qu’on lui ouvre : l’entrée des artistes, sans doute.

Quand Éva revêtue de sa mini-robe me rejoint à la voiture, je suis subjugué : cette fois, elle ne porte pas de bas et ses cuisses sont délicieusement dénudées presque à la limite des fesses. En plus ses formes semblent ressortir encore plus que lundi Bandante, je vous dis !

Une fois, le sac dans la voiture, nous entrons dans le dancing. Entrée : quinze couronnes, mais vingt pour les couples.

Quand nous approchons de la piste de danse, on voit à l’autre bout, une estrade sur laquelle se tient l’orchestre. Une chanteuse, vêtue de bleu, égrène les paroles d’une mélodie. Peu de temps après, on annonce la pause jusqu’à 21 h. En attendant, la tenue d’Éva fait un tabac. Des curieux se demandent si elle porte une culotte. Éva me tire gentiment la langue :

— Hum ! Tu vas devoir me surveiller surtout quand j’irai m’asseoir !

La pause terminée, l’orchestre se remet en place tandis que le saxophoniste s’approche du micro :

— Et maintenant une nouvelle chanteuse, pour terminer la soirée : Milenka !

C’est ainsi qu’elle se fait appeler, mais c’est bien Jana qui apparaît, avec une tenue à couper le souffle : une sorte de robe de soirée en imitation daim, ornée de lamelles dorées sur le devant. Les épaules sont nues, la robe étant retenue par de fines bretelles dorées. Elle s’arrête aux genoux, mais de chaque côté, elle est largement fendue jusqu’en haut des cuisses. De sorte que l’on a un bel aperçu de ses jambes nues. Avec ses cheveux blonds naturels qui balaient ses épaules, elle est sublime.

Quand elle chante, elle a une voix mélodieuse, avec un brin de sensualité. Le décolleté, laisse entrevoir le creux de ses superbes seins, dès qu’elle se penche un peu.

La soirée se passe bien et je ne rate aucune danse, même celles qui sont typiques du pays. C’est le prix à payer pour « conserver » ma cavalière. Il faut dire qu’Éva est très sollicitée, du fait de  son aguichante tenue, c’est sûr ! A 21 h 50, l’orchestre prend sa « grande pause » jusqu’à 22 h 30. En descendant de l’estrade, Jana nous fait un petit signe discret et nous nous dirigeons vers le fond de la salle. Là, elle ouvre une porte avec une clé qu’elle a sur elle, et nous nous retrouvons dans la petite pièce qui lui sert de loge. Il y a juste trois chaises en plastique bleu. Nous bavardons un peu tout en buvant de l’eau. Jana nous signale que nos billets d’entrée donnent droit à une consommation au bar du dancing.

Puis, regardant Éva :

— Alors, Éva, ta robe, ne te gêne pas trop ? Parce que, dès que tu t’assois, tu dévoiles ta culotte.

Elle  sourit, puis lui lance :

— Tu laisses bien voir une partie de tes cuisses. Et puis, ce décolleté qu’en penses-tu, Bob ? Tu dirais que ma sur est bandante, n’est-ce-pas ?

Ainsi interpellé, je ne peux que répondre :

— Avec une telle tenue, Jana est, tout simplement, à croquer et bandante, bien sûr.

Mon propos amuse Jana, qui reprend la parole :

— Tu ne crois pas si bien dire ! Sais-tu ce que m’a proposé Frantisek, le saxophoniste qui m’a présentée ? De revenir à 22 h 30 sans culotte ! Il a dit que ce serait super et qu’on ne se rendrait compte de rien. Si j’accepte, on va sûrement me demander d’aller plus loin ensuite Il a de ces idées !

Jana dit cela sur un ton détaché. Pour elle, c’est juste un jeu. Je tente d’en savoir plus :

— Tu l’as déjà fait ? Je veux dire être sur la scène, sans culotte ?

— Hum, pas encore, mais tu me verrais bien le faire, n’est-ce-pas ?

— Oh, ça oui ! Et même finir le bal sans aucun dessous. J’adorerai que tu le fasses !

— Avec la poitrine que j’ai ce serait délicat. Ça se verrait de suite.

Éva intervient :

— Tu sais, Bob m’a fait promettre de satisfaire ses fantasmes, et aussi de prendre des initiatives dans ce sens. Mais je lui ai dit que je ne pouvais pas décider à ta place

Je reprends aussitôt :

— Tu sembles prête à faire ce que te propose ce Frantisek. Pour moi ce serait magnifique : alors tu vas satisfaire mon fantasme, celui-là et, bien sûr, tous les autres que je te demanderai. Tu peux me promettre ça ? Telles que je vous connais, vous prendrez plaisir à vous conduire comme des petites vicieuses ce que j’ai vu samedi m’a convaincu.

— Hmmm ! Alors, si Éva veut bien faire ce que tu lui demanderas, je t’obéirai aussi. Les vacances seront encore plus chaudes que l’année dernière ça promet !

Jana se lève, retrousse sa robe, et fait glisser sa culotte jusqu’à ses pieds, avant de l’ôter. Elle l’a dans sa main. Les larges échancrures de sa robe ne laissent rien deviner de l’absence de culotte.

Puis je m’adresse à Éva :

— Chérie, tu vas retirer ta culotte et mettre celle de ta sur, à la place.

Elle se lève à son tour, la retire, et enfile celle de Jana. Elle me regarde, sourire aux lèvres, tout en agitant sa culotte qu’elle tient dans la main.

— Tu as de la chance qu’on ait la même taille j’en fais quoi, maintenant ? Tu vas te masturber avec ? Il paraît que c’est le fantasme de certains hommes.

— Sacrée coquine peut-être que je le ferai. Donne la moi.

Et je la fourre dans la poche de mon pantalon. Heureusement la culotte tient plus du slip, assez petite, donc. Jana consulte sa montre :

— Dans cinq minutes, je retourne sur scène.

Puis le bal reprend. Vers 23 h, Éva et moi, nous nous rendons au bar du dancing, échanger nos tickets d’entrée contre des boissons. Elle prend un cocktail rhum/ coca, tandis que j’opte pour un jus de fruit. Ici c’est zéro gramme d’alcool pour les conducteurs. Et, sans façon, elle s’est assise, comme moi, sur un tabouret, au bar. Et bien qu’elle se soit assise face au comptoir, la culotte qui est celle de sa sur est largement dévoilée.

— Alors, ça te convient ? Tu aimes que je montre mes cuisses et ma culotte ?

Je lui souris. Je mate ses belles cuisses, outrageusement dévoilées :

— Tu es absolument bandante, ma chérie ! Ban-dan-te !

Les quelques mecs qui passent devant nous profitent tout autant de cette généreuse exposition. Et, je l’avoue, je commence à bander Cependant, je tiens à rester le garde du corps d’Éva.

Quand nous revenons dans la salle de danse, l’orchestre est en pause et Jana doit être dans sa loge. Cependant nous n’y allons pas, la reprise se faisant dans deux minutes. La piste de danse se remplit à nouveau, jusqu’à 0 h 20. Ultime pause, la fin étant programmée pour 1 heure du matin. Nous rejoignons Jana dans sa loge.

— Alors, ça fait quoi de chanter sans culotte ?

Jana ne peut s’empêcher de rire :

— Ben rien. J’ai chanté comme d’habitude. Mais j’ai quand même dit à Frantisek, que j’avais retiré ma culotte. Ce coquin voulait vérifier !!

— Et maintenant si tu faisais la dernière demi-heure sans soutien-gorge ?

— Hum! Là, on va vite se rendre compte que la chanteuse n’a plus de soutien-gorge.

Jana me regarde, puis lance, comme par défi :

— Pourquoi pas ? Ma sur ne se gêne pas pour exhiber ses cuisses et sa culotte. Je peux bien chanter sans sous-vêtements.

Puis elle écarte les bretelles de sa robe, pour retirer plus facilement le soutien-gorge. Ses belles poires laiteuses se retrouvent libres.

— Hum ! C’est la première fois que je vais faire ce truc j’espère que ça va bien rester en place. À condition de ne pas trop bouger

Elle a un petit rire nerveux, mais paraît excitée de s’exhiber ainsi en public

— Milenka, tu arrives ?

La porte s’est ouverte et Frantisek apparaît dans l’encadrement. Comme nous tous, il voit bien que Jana n’a plus de soutien-gorge. Et lui aussi, ça l’excite. Ça promet !

Jana se remet donc à chanter pour la dernière demi-heure. Et comme elle ne peut rester immobile, chaque mouvement de sa part, provoque un balancement plus ou moins accentué de ses seins. Au début, elle s’oblige à ne pas trop bouger, mais ça devient vite contraignant. Aussi elle se lâche, n’hésitant pas à se trémousser, faisant ballotter ses seins en tous sens pour le plus grand bonheur de ces messieurs. Je remarque que le spectacle a aussi l’heur de plaire à certaines de ces dames.

Au cours d’un slow langoureux, où mes mains flirtent avec la lisière de sa mini-robe, Éva murmure :

— Coquin ! Qu’est- ce que tu mijotes ? De voir ma sur comme ça te donne des idées?

Alors que nous nous trouvons tout près de la scène, Jana nous adresse un sourire, alors que je glisse deux doigts sous la mini-robe d’Éva, effleurant du même coup sa culotte.

Éva a bien senti la caresse. Elle me montre le bout de sa langue :

— Alors, il semble que ça plait à ma sur que tu

— Que je te caresse les fesses ? En plus tu portes la culotte de Jana, n’est-ce-pas ? Et puis, tu as un si beau cul

Ces derniers mots, je les chuchote à son oreille.

— Hum, Bob, que cherches-tu, là ? À me tripoter devant tout le monde ? Pour tout dire, ça ne me gênerait pas vraiment, mais ça risque d’en indisposer certains ici. Ça pourrait nous mener loin.

J’en conviens. Je n’ai aucune envie de lui causer d’ennuis. Mais, subrepticement, elle me laisse glisser une main sur sa culotte, chaque fois que l’on peut se trouver à l’abri des regards.

L’heure avance et il est 0 h 50 quand Jana entame sa dernière chanson. Elle est devant le micro, les mains sur les hanches, ondulant légèrement du bassin. Érotique en diable surtout quand on sait qu’elle n’a rien sous sa robe fendue. Puis, elle se retire dans la loge, accompagnée par des applaudissements. Un hommage à sa voix, tout autant qu’à sa plastique.

Enfin, pour clore la soirée, l’orchestre entame un air, sur un rythme très lent : ce n’est rien d’autre que l’hymne national : Kde Domov Muj (Où est ma patrie ?)

Nous rejoignons Jana dans la loge. Elle est assise, en train de boire un verre d’eau :

— Vous m’avez trouvé bien ? Une fois sur scène, je me suis vite convaincu que le plus simple était de bouger naturellement au point de finir par me trémousser comme une folle ! Hum ! Et ce que j’ai vu les mains baladeuses de Bob sur les fesses de ma sur.

Je lui lance cette confidence :

— Une cavalière qui porte une robe aussi courte, c’est tentant, non ?

Et Éva d’en rajouter :

— J’avoue que ça devenait excitant mais ce n’était pas l’endroit idéal pour ça.

Jana retire sa robe, se retrouvant nue devant nous. Elle sourit :

— Bon, comme dessous, je n’ai plus qu’à mettre la culotte de ma sur, n’est-ce- pas ?

Ce qu’elle fait. Puis elle met son soutien-gorge et enfile la robe marron. Avant de replacer la robe du concert dans la valise. Et s’adressant à Éva :

— Tu viens comme ça ; inutile de te changer.

Nous nous retrouvons à l’entrée du dancing. Jana me dit :

— Bon, cette fois, je vais avec une autre voiture et toi tu nous suis, avec Eva ; ne t’inquiète pas pour la route, Frantisek montera avec vous ; il connait bien le trajet.

Je la vois monter dans une Lada verte, conduite par un moustachu d’une quarantaine d’années. Nous prenons la direction du sud. Au bout d’un quart d’heure, nous atteignons la sortie de la ville. Puis, ayant pris un chemin à gauche durant quelques minutes, nous nous arrêtons devant une grande maison. Mon guide me fait garer sur un parking situé derrière. Puis, nous entrons dans la maison.

À  suivre …

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