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Tout ça pour un doigt d'honneur… – Chapitre 1




Je sortais du boulot accompagné de mon collègue qui m’avait demandé aimablement si je pouvais le déposer chez lui. À bord de ma voiture j’avais pris la direction du centre-ville, le plus court pour y parvenir. Comme souvent la circulation était compacte. Arrivée à un feu rouge qui venait de passer au vert je dus jouer du klaxon pour avertir le conducteur distraie devant moi. Avant de démarrer, il me lança un doigt d’honneur. Une chose que j’étais loin d’avoir appréciée. Surtout que mon coup d’avertisseur avait été qu’amical. Pas de quoi faire d’esclandre. Rien ne valait de sa part un geste aussi obscène. Avec la ferme intention de recevoir de sa part des excuses je me lançais à sa poursuivre. Attendant une occasion pour l’intercepter.

De temps en temps je le surpris en train de me regarder par intermédiaire du rétro intérieur. Ce qui me fit prendre un peu d’écart entre lui et moi.

À bonne distance, et sans le savoir, il me guida jusqu’à ce qui devait être son domicile. Je fus surpris de voir descendre de derrière le volant un gamin. Et une femme d’un mètre soixante à forte corpulence. Une poitrine opulente, avec un fessier rebondi.

— Oh, mais regarde ce qu’on a là ! lançais-je à mon collègue, c’est mignon ? Bonjour ! Alors comme ça tu veux me doigter.

Mon ton se voulait jovial, amical.

Tous deux se retournèrent. Surpris d’être abordée dans la rue. Sa chevelure mi-court teintée en brune corbeau de la femme accentuait la dureté de ses traits marqués de quelques rides fatalement apparues avec lâge. Sa bouche aux lèvres minces et étroites, au-dessous d’un regard noir.

— Je suis là pour avoir l’explication du doigt d’honneur.

Ma question resta sans réponse.

— Nous allons entrer pour discuter si vous voulez bien.

Je parlais fort et dégager une autorité naturelle à peine adoucie par un grand sourire.

— Mais c’est chez moi fît la femme. Je ne vous permets pas

— Chut ! Nous avons à parler sinon j’emmène en ballade ton mec

Une fois dans la cuisine, j’interpelais le jeune homme.

— Dis donc, elle n’est pas polie, ta copine. Elle ne nous a même pas dit bonjour.

Je parlais d’une voix joueuse, teinté d’agressivité.

— C’n’est pas ma copine c’est ma tante

— Alors tata, vous pourriez dire bonjour. Tenez, je me présente, moi c’est Alain, et mon copain, c’est bouboule.

Le jeune homme moins fier que derrière son volant resta silencieux. Avec mon collègue nous nous consultèrent du regard, sourire aux lèvres. Certains de m’être compris. Confiants dans notre connivence. Cette bourgeoise avait besoin d’une bonne leçon.

— Ils sont mignons tous les deux, tu ne trouves pas Bouboule. Ça fait combien de temps qu’elle est ta tante ? Cette jolie personne. Poursuivais-je.

Personne ne répondait. Je sentais la femme anxieuse, mais aussi excitée à la fois. Le jeune homme attendait la suite avec curiosité. Une fois de plus avec Bouboule nous nous échangeâmes des regards équivoques, faisant que nous éclations de rire.

— Bon passant aux choses sérieuses. Tu te doutes jeune homme pourquoi je suis là devant toi

— Euh oui ! . Enfin non !

— Le doigt d’honneur.

— Ce n’était pas à votre intention

— Ah oui ! C’était alors destiné à qui ?

— .

— T’inquiète, on va arranger ça. À l’amiable. Crois-moi !

— Ah oui ! Et comment ?

— Tout simplement. Le doigt que tu m’as présenté tu vas me le fourrer.

— Où ça ?

— Et bien dans mon fion Ce n’est pas ce que tu avais l’intention de faire quand tu me la présenter derrière ton volant ?

Le jeune homme pâlit, secoua la tête. Il fit mine de se retirer.

— Oh là ! Pas si vite. Il faut assumer mon gars. Et tu vois cela tombe bien j’adore me faire doigter le cul si tu veux savoir. Alors quand on me le propose, moi je succombe.

Je baissais mon pantalon, mon slip et lui tendais mon cul.

— Mouille bien ton doigt et fouille-moi l’anus.

Comme il ne se décidait pas, je le menaçais :

— Si tu ne le fais pas, je t’encule parce que moi j’aime enculer les jeunes hommes.

Je jouais avec sa peur, m’approchant au plus près du jeune homme. Avec ma main, je me saisis de son poignet. Le serrant très fort. À un tel point, qu’il laissa échapper une plainte. Pris de peur il porta son index dans sa bouche et l’enduisit de salive. Et en posa le bout humecté sur mon anus. Ce simple contact m’électrisa. Je bougeais de la cale pour qu’il me lenfonce. Ce qu’il fit. Putain que c’était bon de se faire doigter le fion.

— Coulisse-le et bien profond

Il s’exécuta. Faisant coulisser son index dans mon fondement pour mon plus grand bien-être. J’avais gagné une érection de haute lutte et arborait fièrement ma hampe turgescente. Et cela ne manqua pas à la femme. Elle loucha du côté de mon ventre. Mon cur pompait dans mes veines des flots tourbillonnants d’adrénaline.

— Ça te plaît ? lui fis-je

Pas de réponse. Je me désunis du doigt et m’avançais jusqu’à elle à m’en saisir. Elle se débattait, se tortillait en tous sens, cherchant à échapper à ma poigne de fer qui la retenait. Bouboule venait me prêter main-forte et l’attrapa par la taille. Elle se retrouva coincée entre nos deux corps tout en cherchant à se dégager de toutes ses forces.

Je murmurais gentiment à son oreille.

— Arrête ton cinéma ma belle et tout se passera bien pour toi, mais aussi pour ton cher neveu. Surtout pour lui si tu vois ce que je veux te faire comprendre. Je lis au fond de toi-même que tu jubiles. Combien de fois t’es-tu masturbée en imaginant cette scène ?

— Je ne comprends pas ce que vous voulez me dire.

— Au classement des fantasmes des femmes, le viol est numéro un. C’est aussi vrai pour toi ?

J’attendais sa réponse, mais rien ne sortait de sa bouche. Je l’avais domptée.

— Tu ne veux rien direqu’à cela ne tienne

Je pouvais donc agir avec elle comme je l’entendais. Je me reprenais et m’affairais à lui arracher son sage chemisier sans m’embarrasser des boutons. J’allais enfin pouvoir me régaler d’un spectacle que je n’aurais jamais cru à ma portée quelques minutes plus tôt. Je ne fus pas déçu. Elle portait un soutien-gorge noir en dentelle ajourée, ornée de parements rouges. Décidément, la tata cachait bien son jeu. Elle me fixa droit dans les yeux.

C’était encore mieux que ce que j’espérais. La chair, que l’armature de dentelle contenait difficilement, débordait au-dessus des bonnets. Pour humilier la femme davantage, je sortis les deux seins de leur logement. La chair s’étalait comme une masse crémeuse. La femme avait de gros tétons très foncés, et surtout la peau de la poitrine était laiteuse. J’en soupesais le volume. Bouboule gardait la pause, tout jouasse de me voir mettre à poils la bourgeoise.

Elle rougit violemment, mais je n’avais aucune envie de la ménager. Je retroussais la jupe jusqu’aux hanches pour vérifier si sa culotte était assortie au haut. Elle avait gardé les yeux grands ouverts. Je l’observais, la trouvant terriblement belle, abandonnée ainsi à ma merci. Je ne m’étais pas trompé. Elle portait une magnifique lingerie rouge et noire, en mailles transparentes. Sa pilosité était abondante, on voyait le renflement du pubis, sous la dentelle, et des touffes d’un noir s’échappaient sur les côtés de l’empiècement.

Elle ne semblait plus avoir peur. Le temps était suspendu. Tout était immobile, avant que tout s’enchaîne et se déchaîne. J’empaumai le con à travers le tissu et léchai le cou de la femme en me penchant sur elle

— Ça fait combien de temps qu’on ne s’est pas occupé de toi, chérie ?

Elle resta comme à son habitude silencieuse. Ce n’était plus une femme hautaine comme lorsqu’elle était devant la porte d’entrée. Mais une femme vaincue, soumise, qui s’était rompue sous la menace et attendait la suite des événements. D’un coup sec je lui déchirais son sous-vêtement. M’apparut alors une forêt vierge nullement entretenue, luxuriante, avec quelque chose de terriblement animal.

Je restais un instant interdit dans ma contemplation grogna de plaisir. La scène déchaîna en moi des pulsions primaires. À la faire s’allonger sur le plateau de la table. À me faire mapprocher de l’entrejambe qui m’était offert. Je reniflais bruyamment, puis d’un geste décidé, plongeais ma langue dans la fente suintante. Elle me contemplait comme hypnotisée. Le gout âcre m’empuantit la bouche. Le neveu ne comptait plus pour personne. Il était transparent. Alors que Bouboule regardait la scène, les yeux exorbités, tandis que le mufle noir du pubis de la bourgeoise me sourit.

Je léchais mes doigts et partais à la découverte de son intimité. Je n’étais pas un violeur. Je voulais d’abord l’ouvrir progressivement. La brutaliser, la faire crier, ou souffrir, cela ne m’intéresser pas. J’aimais forcer, prendre, c’était vrai, mais en douceur. Et le physique que j’avais facilité la chose.

J’effleurais délicatement de mon index. Surpris et ravi, je constatais qu’elle était déjà prête à l’emploi tant elle était mouillée. Je me tus, les deux autres ne devaient rien savoir. Mes yeux rieurs croisaient ceux de la femme. Qui comprit tout de suite le sens de ma moquerie.

Je ne dirai rien à personne. Garderai le secret. Je ne me moquerai pas d’elle. N’en profiterai pas. Elle respirait, rassurée et soulagée. Quand mes doigts entrèrent en elle, elle vint à leurs rencontres. S’abandonna, me laissa jouer avec son corps pour le plaisir mutuel. Tout cela sous les regards fixes de Bouboule et du neveu qui n’en perdaient pas une miette. Il avait fallu un simple clin d’il pour que le collègue comprenne ce que je désirais de lui.

Il s’approcha près de la table, tout en mettant sa queue à l’air. Sans qu’en lui ordonne, je vis la bourgeoise happait le sexe bandé dans sa bouche. Elle l’aspira goulûment. Les joues creusées par la succion faisant disparaître toute la verge. Puis elle le mastiqua la faisant aller et venir d’une joue à l’autre. Son menton écrasait les couilles du collègue. Son nez s’enfonçait dans les poils du pubis. La bouche de la vieille était comme amarrée à la bite.

La raideur de mon sexe était presque source de souffrance. Une souffrance délicieuse. Qu’une seule méthode radicale pouvait arrêter cela. Celle de fournir à ma bête qui grondait sa part de gâteau. Qu’elle réclamait depuis de longues minutes. Je la pris dans ma main à la recherche de sa fente. Que je pénétrais avec un soupir d’aise. Elle poussa un cri de protestation, sans doute pour faire bonne figure auprès de son neveu. Mais j’en avais cure. Nul besoin de pousser bien fort dans cette fontaine publique. Tant elle était mouillée comme une flaque. Je plongeais en elle sans mal. Dedans, c’était chaud et serré. Elle tortilla du cul.

Bouboule cria son plaisir. Lui arrachant une horrible grimace. La bouche grande ouverte. Tirant la langue. Comme sil s’étouffait. Ses reins donnaient encore quelques coups. Puis plus rien. Restant immobile, comme mort.

Moi je glissais onctueusement dans son cratère. Le vagin s’était refermé dessus. M’épousant comme une bouche qui suce. Bouboule rassasier rangea son sexe. Reboutonna son pantalon, alors que je pinais la bourgeoise à fond. À grands coups rectilignes. À la limer mécaniquement, comme un robot.

Mais elle, ça lui faisait des choses. Elle gémissait, hoquetait. Venait furieusement à la rencontre de mes coups de bite.

Pour le neveu, la bosse qui lui gonflait l’entrejambe commençait à grossir dangereusement. Il était temps de mettre un terme à la vanité de ce développement. Une érection sans éjaculation cétait aussi ridicule qu’une chatte sans poils

Je continuais mes va-et-vient réguliers. Méthodiques qui avait l’air d’extasiée la bourgeoise. Aussitôt Bouboule présenta le neveu devant la bouche de sa tante. Le gamin submergeait par le désir, tenta de glisser son sexe entre les lèvres de sa tata.

La tante retrouvait sa lucidité et secoua la tête. Cherchant à se dérober tant cette caresse lui était odieuse. Spontanément Bouboule prenait doucement sa tête entre mes mains et la maintenais fermement. Vaincue elle entrouvrait les lèvres et se laissa envahir par la queue du gamin. Je regardais avec avidité les lèvres de la bourgeoise entourer le gros gland dont une partie restait dehors. Elle semblait téter. Je n’en croyais pas mes yeux. Elle faisant ça. Elle reculait la tête et je le voyais réapparaître dans son entier. Luisant de salive. Puis elle s’avançait et le gland disparaissait à nouveau. Le neveu en dansait de bonheur.

Sentant mon plaisir arriver. Je me redressais. Basculais la tête en arrière et criais mon allégresse. Je n’avais pas su résister plus longtemps aux contractions de la femme. Discrète, à peine perceptibles. Mais autant d’invitations à libérer son plaisir à elle aussi. Elle n’était plus qu’une poupée de chiffon livrée au bon vouloir de chacun.

Sitôt retirer que déjà Bouboule prenait ma place. Garant son sexe dans le parking souterrain grand ouvert de la femme. Il la prenait à grands coups de reins. Entre temps le neveu avait éjaculé son offrande à sa chère tante. Tandis que Bouboule comblé s’abattait sur la femme de tout son poids.

— Viens, on se tire. Le suppliais-je.

Bouboule reprenait ses esprits. Nous nous rhabillâmes en rigolant avec forces commentaires et clins d’il.

— Elle est bonne ta tante ! Tu ne crois pas gamin ?

— Heu oui !

— Tu as pris ton pied, au moins ?

Il n’osait pas l’avouer. Surtout que sa tante n’était pas loin.

— Elle sera plus docile maintenant avec toi. Tu verras on n’a fait que révéler la chienne qui se cachait en elle. J’ai connu cela avec une tante. Et je peux t’avouer à toi que je ne connais pas que j’avais passé avec elle des très bons momentsAllez, salut

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