Je me suis marié il ya quinze ans, mais j’ai toujours eu des fantaisies pour les femmes en bottes et vêtements moulants, de préférence en cuir.
J’en ai offerts à ma femme, mais elle ne les a jamais portés.
Il y a cinq ans, par un jour de pluie nous sommes allés à un anniversaire ; elle a mis son short en cuir, ses collants et ses bottes.
Au cours de cette soirée, elle s’est rendu compte comme ses vêtements faisaient la différence.
Sur des annonces érotiques, j’avais connu un gars qui recherchait une femme mariée pour avoir des relations sexuelles. On a discuté ; je lui ai demandé s’il pouvait séduire ma femme et, dans le cas où il réussirait, il pourrait la baiser. Mais tout cela devrait rester un secret entre nous.
Je lui ai donné le numéro du portable de mon épouse ; il s’est fait passer pour un ami de longue date qui avait perdu mon numéro ; le seul qu’il avait, c’était celui de ma femme que j’avais donné au cas où il perdrait le mien. À partir de ce moment, elle a échangé des messages avec lui, mais elle ne men a jamais rien dit, alors que lui, il me disait tout.
Ils ont commencé à parler entre eux de fantaisies. Bien entendu, je lavais mis au courant de mes goûts particuliers concernant les vêtements et les bottes.
Tous les jours, c’était lui qui lui disait ce qu’elle devrait porter le jour suivant ; entretemps, elle lui avait avoué qu’elle m’aimait bien, quelle n’avait jamais eu l’idée de me trahir, mais qu’elle avait un penchant pour les motards : tous les samedis, quand elle va faire ses courses, elle ne peut s’empêcher de faire une escapade dans un bistrot plein de motards en tout genre.
C’est à partir de ce moment-là que ma femme et Marc ont commencé à me trahir virtuellement : elle adorait les gars crus et vulgaires. Marc a commencé à la traiter de connasse : ça l’excitait, me disait-il. Lui et moi, nous avons mis au point un scénario : je devais linviter au cours dun week-end, un mois plus tard. Entretemps, il devait téléphoner à la connasse pour lui dire comment elle devrait être habillée, et quelle devrait trouver un prétexte pour menvoyer quelque part, le plus loin possible, dès son arrivée.
Le jour dit, tout s’est bien déroulé : il avait apporté une paire de bottes à talons très hauts pour elle. Avant qu’on entre dans la maison, il m’a bloqué dans un angle, et là, il a pris ma main, me la mise sur sa bite et m’a demandé si réellement je voulais être cocu. J’ai répondu que oui.
Sous mes doigts, sa bite avait l’air d’être en forme
Aussitôt rentrés, j’ai présenté Marc à Catarina, qui portait un chemisier en satin noir avec la fameuse minijupe en cuir fendue derrière, un collant à coutures, perchée sur des chaussures à talons de onze centimètres.
Sous prétexte davoir oublié le couscous, elle ma prié daller en chercher. Comme le traiteur était assez loin, je lai appelé en cours de route pour lui demander de laisser la commande derrière son magasin au cas où il fermerait, et je suis revenu sur mes pas pour les observer.
Elle portait les bottes que Marc lui avait données, noir brillant, avec des talons de 17 centimètres. Quand il a sorti sa bite, il n’a pas attendu : il la lui a fait sucer, chose qu’elle ne me fait jamais ; ensuite, il la relevée brutalement, s’est frotté contre elle tout en faisant d’elle une salope : sa jupe était déjà toute mouillée par sa bite. Ils allèrent dans la cuisine, où il la mise sur la table ; là, il a bien frotté les légumes sur sa chatte ainsi que sur sa bite puis, d’un coup, il la pénétrée de sa grosse queue. Ils ont joui ensemble ; jamais je n’avais vu sa jupe éclaboussée par autant de sperme !