Depuis le décès de mon père, je vis avec ma mère Elodie dans la belle villa que nous avons achetée avec l’héritage en attendant que je me marie, mais cela ne semble pas se préciser. Aujourd’hui, j’ai 25 ans, elle en a 55.
De tout temps, j’ai fantasmé sur le corps de ma mère, je la trouve particulièrement sexy avec une abondante poitrine apparemment très ferme. Elle s’habille toujours élégamment jeune, corsage blanc dilaté par sa poitrine ou pull moulant à col roulé, minijupe en cuir noir, bas ou collant noir et jolis escarpins à talons très hauts, car elle ne mesure qu’un petit 1,50 m.
Même si elle se promène fréquemment en tenue légère à la maison, je ne peux qu’imaginer ce corps de femme désirable. Je n’ai jamais pu la surprendre dans un déshabillé le matin ou lorsqu’elle prend sa douche, pour me faire une idée réelle de son anatomie.
A force de mater des films pornos sur Internet où je recherche plutôt les femmes lui ressemblant, j’ai eu l’idée coupable d’installer une mini-caméra dans sa chambre. J’ai pu ainsi la surprendre dans des instants de plaisirs solitaires où elle se donne pleinement. Chaque fois que je revisionne les enregistrements, je me masturbe en imaginant que je suis avec elle.
Impossible de lui avouer mon fantasme, nous n’abordons que rarement le sujet du sexe sauf quelquefois, à l’occasion d’un film avec des séances un peu osées, mais sans jamais parler de nous.
Aujourd’hui, nous sommes samedi, c’est repos. Après le déjeuner, je m’installe au salon devant la télé pour le match de rugby Clermont/Béziers. Maman est dans la cuisine en train de repasser.
Julien, l’orage gronde, peux-tu aller me chercher le linge qui sèche sur le fil dans le jardin avant qu’il ne pleuve ?
OK, c’est la mi-temps, j’y vais.
Arrivé près de la corde à linge, je me trouve nez à nez avec, entre autres, un soutien-gorge en dentelle, deux petites culottes assorties, une paire de bas et quelques torchons.
Voilà, je pense que tout est sec.
Un peu excité par ces dessous, je prends le soutien-gorge dans mes mains, et le présente à ma mère.
C’est joli ça, tu dois magnifiquement le porter.
Merci Julien, j’aime bien la belle lingerie de qualité.
M’approchant d’elle, je lui plaque les bonnets par-dessus son corsage et en profite pour caresser cette poitrine que j’aimerais tant voir autrement que dans mes enregistrements de caméra.
Julien, qu’est-ce qui te prend ? Je ne suis pas une de tes copines !
Non, mais maman, je fantasme sur ton corps depuis longtemps et je ne peux plus me contenter d’imaginer ce qu’il doit être. Tu es excitante à souhait et au-delà de ma mère, je vois une femme qui me fait beaucoup d’effets. Je t’ai surprise quelques fois dans ta chambre et je te dis pas l’excitation que ça m’a provoqué. Aujourd’hui je me lance pour te le dire, j’ai de plus en plus de difficultés à garder ce petit secret.
Qu’est-ce que tu racontes Julien ? Je suis flattée que mon corps te fasse un tel effet, mais je suis ta mère. Comment as-tu pu me surprendre dans ma chambre ? Tu joues les voyeurs, tu mates dans le trou de serrure ?
Non, j’ai installé une mini-caméra dans ta chambre et je peux affirmer que tu as un corps splendide et quand je te vois te donner du plaisir, je prends aussi du plaisir solitaire.
Quoi ? à ce point-là ? Je me retiens pour ne pas te flanquer une gifle petit pervers. Si tu n’inventes pas ton fantasme, j’exige que tu me montres ce que tu enregistres.
Non, tout est vrai, si tu es prête, sans te mettre en colère, viens voir sur mon ordi.
Je ne me mettrai pas en colère, je reste lucide, nous sommes deux adultes, faute avouée ; à demi pardonnée. Mais avoue que la situation mère -fils est un peu incongrue sur ce sujet.
Sur ce, j’amène maman dans ma chambre, mon ordi est allumé, je choisis un des derniers fichiers dans le dossier « Mum ». Maman est assise à côté de moi sur une chaise, j’ai pris place dans mon fauteuil de bureau, ce qui me permet de me retourner vers elle en pivotant. La séquence s’ouvre sur une image un peu sombre qui s’éclaircit progressivement grâce au réglage automatique. L’ »actrice » apparaît en train de se déshabiller lentement comme pour une séance de striptease. Elle se caresse la figure puis les seins, descend ensuite ses mains vers sa chatte. Elle écarte ses grandes lèvres pour bien extraire son clito et le branler comme une petite bite. La caméra zoome sur cette partie puis revient à un plan plus large. Dans le fond de la pièce, on aperçoit dans la pleine ombre un imposant gode planté sur une table basse. Elodie s’en approche, la caméra suit le mouvement.
J’observe maman à mes côtés, elle ne dit rien, mais semble très intéressée et les quelques mouvements de ses jambes et de ses cuisses sous sa jupe me font penser qu’elle est excitée par la vision de son propre jeu. Pas de chance, l’enregistrement est coupé par manque de place sur la microcarte SD. Ecran noir.
Nous nous regardons en silence. Maman est toute rouge de honte et ne sait pas quoi dire. C’est elle qui rompt le silence :
Comme je te l’ai dit, je ne me mets pas en colère, je comprends même ton attitude, mais promets-moi que tu vas retirer cette caméra espion de ma chambre. Maintenant, tu en sais assez. Chacun se donne du plaisir comme il l’entend.
OK maman, Elodie, mais promets-moi à ton tour de m’offrir ce spectacle en réel dans ta chambre.
Tu vas peut être un peu trop vite en besogne, commence par respecter ta promesse, viens avec moi que je vérifie le débranchement de cette sacrée caméra.
Arrivés dans la chambre baignée par la pénombre, j’allume la lumière, récupère une chaise et déloge la caméra de son emplacement au-dessus de l’armoire. C’est Elodie qui éteint la lumière du plafonnier et allume une petite lampe Tiffany sur une table de chevet créant une atmosphère très intime.
Alors petit vicieux, tu veux vraiment le voir ce corps objet de tes fantasmes ?
Oh oui, tu sais bien que j’en meurs d’envie. Rien que d’être là à tes côtés, je suis très excité, je bande à mort.
Nous verrons cela plus tard.
Je n’ai plus l’impression d’être avec maman, mais avec Elodie.
Comme dans la vidéo de tout à l’heure, j’ai droit à un spectacle hyper-excitant.
Le dégrafage de son corsage laissant échapper un puis deux de ses énormes seins qu’elle extrait de leur bonnet me donne envie de me précipiter sur ces fruits de désir.
Non, n’approche pas tout de suite, il te reste à voir ma chatte et mon cul cependant, je t’autorise à te branler.
Ces paroles inhabituelles dans la bouche de ma mère me font un tel effet qu’effectivement, je glisse la fermeture éclair de mon jean et en extrais mon imposant phallus raide comme un gourdin.
Eh bien, mon gars, tu es sévèrement monté ! Tes copines doivent bien s’amuser avec un tel engin.
Cela dit, elle s’approche de moi, prend ma queue dans sa main, se penche et commence une fellation d’enfer. Elle n’a pas perdu l’habitude qu’elle devait avoir avec mon père ou qu’elle a encore avec d’éventuels amants. Gorge profonde puis aspiration de mon gland font vite monter la pression.
Attention, je pense que je vais jouir !
Non attends, calme-toi, tu vas me baiser et tout me donner dans le con. Viens sur le lit, nous serons plus à l’aise.
J’aurais voulu te voir te branler avec le gode qu’on a aperçu sur la vidéo.
Regarde, il est toujours là fiché avec sa ventouse sur la table basse, mais bouffe-moi la chatte pour bien me faire mouiller avant que je m’empale dessus.
Elle a baissé sa jupe qui tombe à terre et l’enjambe. Je me jette sur son imposante toison qui est pourtant déjà abondamment humide.
Oui, c’est bon, bouffe-moi le clito, il est hyper-sensible.
Elle se détache de moi et se dirige vers la table basse.
Tu veux que je me le mette ou tu préfères me baiser avec ?
Je veux te voir te trémousser sur cette grosse queue et voir tes seins se balancer au gré de tes mouvements.
Tu m’excites à me demander ça, regarde, je me la mets bien profond, c’est avec ce jouet que je me fais le plus souvent jouir. Tu vois mes seins, viens les caresser et me sucer les tétons, je sens qu’ils se dressent de plaisir. Regarde, je mouille comme une salope, ça coule sur la table, viens lécher ma mouille, je viens d’avoir un premier orgasme.
Jamais je n’aurais imaginé une telle débauche d’attitudes et de paroles lubriques de la part de ma mère en ma présence. J’ai devant moi une fieffée salope qui ferait bander un régiment.
Maman, je vais jouir, je sens que ça monte.
Viens vite cracher sur mes seins, mais ne m’appelle pas maman, pour le moment je suis Elodie ta pute.
C’est vrai Elodie, tu es une salope sacrément bandante, ah…, je pars, je lâche tout sur tes seins.
C’est bon, c’est chaud, je pars moi aussi un nouvel orgasme m’envahit ah…
Son orgasme est si fort qu’elle se raidit dans un râle bestial, se retire du gode et s’affale par terre les bras en croix, apparemment épuisée. Après un instant de répit qui m’a donné tout loisir d’admirer en réalité ce corps tant convoité, Elodie se relève, passe une main affectueuse sur ma joue.
Alors petit chenapan es-tu satisfait ?
Oh oui Elodie, c’était merveilleux, mais un peu court en fait je ne t’ai pas baisée.
Pour moi aussi, c’était sublime, je vais essuyer ton abondant sperme avec ma culotte pour le garder le plus longtemps possible près de ma chatte. Si l’occasion se présente, peut-être irons-nous plus loin…
Je pense que nous devrons provoquer cette occasion.
Nous verrons, maintenant chacun reprend sa place, je suis ta maman, mais dans le fond, je t’autorise à rebrancher ta caméra, nous aurions dû nous filmer.
Excellente idée maman Elodie.