Cunégonde s’approche de son père et s’agenouille de part et d’autre de son ventre. Radegonde vient saisir le pénis palpitant afin de le guider vers la vulve de sa sur.
Les deux surs ressentent le contact du gland contre l’entrée de leur vagin.
— N’ayez crainte, vous ne sentirez aucune douleur lors de la perte de vos hymens.
Radegonde caresse les seins de sa sur lorsque cette dernière abaisse son bassin pour venir s’empaler sur l’énorme verge de son père. La membrane de l’hymen grésille puis disparaît comme dissoute au contact du gland qui pénètre maintenant la cavité vaginale.
Les deux surs ressentent la progression en elle du sexe qui repousse maintenant les chairs vaginales autour de lui. Elles gémissent simultanément devant cette progression au plus profond de leurs entrailles.
Un sursaut les surprend lorsque le pénis vient buter contre le col de l’utérus de Cunégonde. Radegonde vient à pincer les tétons turgescents de sa sur afin d’aviver si ce n’est encore possible, l’extase d’être enfin comblée.
L’homme enchaîné qu’est leur père les regarde amoureusement lorsqu’en cadence, l’une contre l’autre, elles entament une dans de haut en bas, afin de multiplier les sensations vaginales autour du pieu paternel.
Les deux surs accélèrent progressivement leur danse lascive et érotique afin d’obtenir la précieuse semence de leur père. Mais celui-ci sait contrôler parfaitement son plaisir et retient avec délectation sa liqueur de vie afin d’augmenter le désir et le plaisir qu’il procure à ses deux filles.
Cunégonde et Radegonde sont en train de râler de plaisir devant l’orgasme qui s’annonce. Au moment ou Cunégonde est complètement empalée sur son père, celui-ci délivré enfin son sperme chaud et puissant qui vient frapper de plein fouet le fond du ventre de sa fille.
Les deux surs hurlent alors de joie, tétanisées de bonheur. Pendant quelques minutes, le trio reste immobile, reprenant souffle et force.
— Merci mes filles, vous avez été merveilleuses, mais il est temps d’échanger vos places maintenant. Radegonde, tu nettoieras le sexe de ta sur avec ta bouche afin d’éviter la perte de la moindre goutte de ma semence.
Radegonde, s’allonge alors entre les jambes de son père, tête tournée vers le haut. Un bruit de succion accompagne le relever de Cunégonde. Elle présente alors sa vulve encore béante à la bouche de sa sur qui avale les filets de sperme et de cyprine qui tentent de s’échapper du tunnel d’amour. Elle ressent alors, à travers la langue de sa sur, le goût de ce mélange et Radegonde ressent quant à elle sur sa vulve les caresses de sa propre langue.
Radegonde se relève alors pour venir se positionner au dessus de son père.
— N’êtes-vous pas fatigué, Père ? Aurez-vous encore suffisamment de semence ?
— Ne craignez rien, mes filles. Ma vigueur et ma semence sont suffisante pour vous déflorer également vos anus tout à l’heure.
Cette fois, c’est Cunégonde qui maintient le mandrin en position sur lequel Radegonde vient s’asseoir. Là encore, l’Hymen se dissout au contact du pénis triomphant qui écarte à nouveau les parois vaginales.
Les deux surs ressentent à nouveau les mêmes sensations avec ravissement mais elles essayent maintenant de profiter de leur expérience tout récemment acquise.
Elles se concentrent toutes deux pour, une fois Radegonde bien assise sur le braquemart paternel, crisper les muscles vaginaux autour de l’organe palpitant afin de permettre à chaque recoin de muqueuse de pouvoir profiter du plaisir de l’union.
— Tudieu, mes filles, comme vous y aller ! Souhaiteriez-vous capturer mon membre au fond de vos entrailles ? Quel plaisir vous me donnez ?
Après avoir relâché l’emprise autour du sexe paternel, Radegonde entreprend, aidée par sa sur la même danse verticale autour du pénis. Toutefois, à chaque fois que le pénis est au plus profond du vagin, celui-ci se crispe à nouveau pendant quelques secondes.
Les deux surs ont décidé cette fois d’obtenir la jouissance de leur père avant d’exploser elles-mêmes en un unique orgasme.
Le père enchaîné tente de résister à nouveau aux vagues de plaisir qui lui montent dans les reins.
— Comme vous apprenez-vite mes filles ! Vous êtes déjà expertes à me faire jouir.
Le flot de sperme vient soudain frapper l’utérus de Radegonde. Les deux surs tentent encore de ralentir leur orgasme et s’accordent encore quelques allers et retours sur le pénis qui se raidit à chaque giclée de semence, entraînant à chaque fois une nouvelle contraction du vagin de Radegonde.
La pléthore de sensations vient à bout des deux surs dont les corps se convulsent soudain de plaisir.
