Hé bé.. Il fait nettement moins chaud en traversant la cour, ça tombe bien parce que tout ça est assez torride.. Mais je suis franchement nul ! J’aurais dû comprendre que ce Claude, c’était le pote du Richard, pote de Serge, qui lui servait de rabatteur en refilant sa carte à des clients bon à prendre.. Bon, c’est fait, c’est fait. D’ailleurs ça plaît à tout le monde, y compris le chien qui gambade à mes côtés. Je me suis fait un nouveau pote..

Claude m’attend dans la salle, l’air guilleret. On évite de commenter la séance dans la chambre, petit vin de noix, saucisse sèche, le pied ! On cause de nos vies, nos projets, le clébard en rond à mes pieds. Toc toc, la voilà.. Toute pimpante, en pleine forme, fait une caresse au bon chienchien.., et vient s’asseoir sur mes genoux, le bras autour du cou. Je me sens bien. Claude continue à nous parler du coin où il vit bien, malgré tout le travail que ça nécessite. Et puis demain c’est dimanche, il nous propose d’aller à la messe à la petite église sur la colline, pas bien loin. Que c’est un peu folklorique et qu’il aime bien y aller, l’occasion de croiser les autres paysans du coin et de bavarder en ce jour de repos. «Oui, oui, c’est sympa, on ira, hein mon Marc ?».

Le dîner est aussi agréable que le midi, juste que les bouteilles du petit vin sympa défilent un peu vite. Allez, c’est les vacances ! Claude, au bout de la table, recule sa chaise, pareil pour moi, j’allume une clope, «Chérie, tu nous ferais un petit café ?» – «Bonne idée !». Il lui explique où est le matériel, et nous la regardons, au fond de la salle, toute à son affaire. Elle est vraiment charmante cette jeune femme, bientôt 18 ans, encore jeune et déjà si femme, ça se ressent. Elle revient, les tasses, puis la cafetière. Elle tient à nous servir, passe à l’angle de la table, entre Claude et moi. Elle sert Claude d’abord.

Je ne vais pas résister, je passe doucement ma main sur ses fesses.. Elle se tourne vers moi pour me servir, tout sourire.. Elle n’a pas fini de me servir le café que ma main est passé sous sa jupette.. Je lui empoigne l’entre-jambes, elle a juste le temps de poser la cafetière sur la table.. Je la tourne plus vers moi et lui abaisse vite fait son slip.. Je croise le regard de Claude qui n’en perd pas une miette.. Elle prend appui sur mes épaules pour se laisser aller.. Son petit clitoris, ça mouille en-dessous.. Je pénètre du doigt.. Elle râle.. Je la branle.. Je la bascule en avant sur mes genoux.. De mes pieds je lui écarte largement les jambes.. Je regarde Claude, lui fais signe de la tête.. En un tour de main, il la sort, la présente à l’orifice, l’y enfonce entièrement.. Elle crie, elle crie, elle va jouir.. Le chien s’est redressé.

Le paysan pilonne, fouille, reins puissants.. Je bande.. Elle sent ma queue bandée sur son ventre.. Elle gémit.. Il lui prend les cheveux, lui tire la tête en arrière.. Sa bouche est ouverte, offerte.. Je la fouille de mes doigts.. Il prend son temps, depuis le temps.. Les murs de la ferme s’en souviendront, de ces orgasmes bruyants.. Elle se cambre, il vient de lui enfoncer le pouce dans le cul.. Elle n’en peut plus de jouir, il se répand.. En plusieurs spasmes.. En elle.

Hmm.. Tous lessivés.. Claude se rajuste, s’assoit. Brigitte reste allongée sur mes genoux. Le chien me regarde. Il est bien élevé. Un signe léger, il va laper.. Miam.. La belle explose.. Tous au lit !

Ne rien penser, ne rien dire, se coucher, dormir. Demain sera un autre jour.

Et il sera bien nouveau.. Au café dans la salle on est comme joyeux tous les trois. Regards complices, peu de mots. «On y va ? 10 heures, c’est bon. On prend ma 4L». Brigitte passagère avant, je somnole encore un peu à l’arrière. «Ouais.. On a une tradition avec le curé, une fois par mois on va se confesser avant la messe. On y raconte n’importe quoi, c’est juste une tradition. Ça vous dirait ?» – «Bah.. Pourquoi pas ! Ça fait si longtemps qu’on a pas connu ce truc du confessionnal !».

La petite église est assez haut perchée sur la colline, l’endroit est superbe en cette belle matinée. La 4L garée à l’écart, voilà la petite esplanade devant l’église, une bonne douzaine de gaillards, des paysans pas tout jeunes, et deux ou trois femmes, au moins 80 piges, Claude avait raison, elles sont parties les jeunes. Accolades de Claude avec ses copains, nous restons discrets, un peu à l’écart. Les hommes nous dévisagent, surtout Brigitte. Les anciennes se chuchotent à l’oreille, ça doit être féroce..

Le curé apparaît sur le perron, la quarantaine dynamique, salue de la main. Claude s’avance vers lui, quelques mots près de son oreille, le curé nous regarde sans insister, et invite les quelques paroissiens à entrer dans l’église. «Tu vas aller te confesser Marc ? Juste pour rigoler !» – «Mon ange, si j’y vais, tu iras ?». Elle se marre, mais oui..

On me fait signe que c’est à moi d’y aller en premier. Soit. J’écarte le rideau, le referme et m’assoit. Étonnant ! La séparation d’avec le curé n’est qu’un rideau à mi-hauteur, ce n’était pas comme ça quand j’étais ado. Ok.

— Mon fils avez-vous péché ?

— Oui mon père

— Péché de chair ?

— Oui mon père

— La jeune femme avec vous, c’est votre fiancée ?

— Oui mon père

— Elle a aussi péché par la chair ?

— Oui mon père

— Dites-lui qu’elle doit se confesser

— Bien sûr mon père

— Je dois l’entendre avec sa bouche

— Pardon mon père ?

— Oui mon fils, de sa bouche

— Je vais le lui dire

— Je vous absous de vos péchés mon fils

Je n’ai rien compris à l’histoire. Je sors du confessionnal, un peu ahuri, pour dire à Brigitte que c’est cool, que c’est pas long, que c’est juste comme ça pour lui faire plaisir dans son taf de curé. Je ne croyais pas si bien dire.. Sa «confession» s’est éternisée, plus de 10 minutes.. Pas pigé de suite, les rigolades de l’assemblée m’ont réveillé.. Je repense au réduit de confesse pas séparé en bas.. Confesse ? Oui, con-fesse. Ah, merde.. Encore un.. Mais non, pas assez de place pour ça. Alors il est en train de se faire sucer.. Je me souviens des séances au ciné, dépucelée de la bouche elle avait terminé la gorge pleine, par deux fois. Pris goût à la bite, au sperme ?

Brigitte sort du réduit en s’essuyant la bouche du revers de la main.. Les vieilles murmurent sourdement «Catin..», les gaillards se marrent, je l’entraîne rapidement dehors, le curé sort du confessionnal : «Il n’y aura pas messe aujourd’hui, à dimanche», nous allons vers la 4L avec Claude, ses potes le rejoignent : «Ben t’en va pas ! On va boire l’apéro en bas. Hein mademoiselle ?». Brigitte hésite, je ne sais que dire, j’ai perdu le contrôle.. Claude se décide : «Juste un verre alors..». Et c’est reparti..

Le bistro sur la petite place, «La tournée», le patron est un vieux bonhomme, on se pose au comptoir, les autres ne tardent pas, la salle devient bruyante, ils s’enfilent des verres de rouge cul sec.., en voilà un qui s’approche de nous : «Alors la p’tite dame, ça donne soif ??», la bande éclate de rires gras, un second : «Encore faim peut-être ??», un troisième n’hésite pas, chope la main de Brigitte et lui pose sur sa braguette, un quatrième avance, sort la sienne, attrape l’autre petite main et lui fait prendre sa grosse bite, lui tient le poignet et commence à se branler avec, un autre encore passe derrière elle et lui fourre la patte sous sa jupette, Brigitte sursaute.. Le rouge lui monte aux joues, les yeux comme hagards, on la bascule en avant sur un des tabourets, troussée, slip arraché, pénétrée en bouche, pénétrée en con, se tenant des deux mains sur des bites qu’elle branle.. Je suis fasciné, Claude prend son tour, il l’enconne, le foutre dégouline sur ses cuisses, elle ne cesse de jouir, criant, dès que sa bouche baveuse est libre.. Un abattage en règle.

Nous sortons, titubant, elle est couverte de foutre, nous croisons deux vieilles, elles lui crachent dessus, mélangeant leurs crachats aux traînées de sperme «Traînée ! Putain !»..

La 4L à peine garée dans la cour Brigitte file vers notre gîte, suivie par le chien soudain très joueur.., je suis Claude dans la salle, il sort la bouteille de gnôle, une grande rasade, pff.., et puis une autre.. Quelle histoire.. (à suivre..).

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