Il y a quelques années, j’habitais encore chez mes parents. Nous avions une luxueuse villa, entourée d’un grand jardin, dans un quartier résidentiel des alentours de Bruxelles. Mes parents avaient divorcé depuis longtemps, et nous étions trois à habiter cette maison, à savoir ma mère, mon frère et moi. Mon frère avait deux ans de moins que moi. Ma mère était célibataire depuis son divorce et s’occupait de notre éducation.
Dans le quartier, très vert, aéré, tous les jeunes se connaissaient. La fourchette d’âge allait de 12 à 20 ans, en comptant les frères et soeurs de tout le monde. Naturellement, des groupes de copains – copines s’étaient formés. Mon frère et moi étions dans un petit groupe de copains. Les copains venaient jouer chez nous, nous allions chez eux, ils se bagarraient, courraient, criaient… Personnellement, j’étais plutôt avec un petit groupe de filles. Il y avait en particulier deux soeurs, Anne et Agnès avec qui je m’entendais bien. Evidement les filles lorgnaient sur les garçons et vice-versa ! C’était l’âge…
A la maison, nous étions très libres. Ma mère ne se gênait pas pour se promener en petite tenue (ou complètement nue) devant nous, et nous trouvions cela normal. Pendant l’été, elle bronzait sur une terrasse abritée… Le sol de la terrasse était invisible des autres maisons, sauf si l’on s’y tenait debout. Elle mettait son bikini, allait sur la terrasse, se couchait sur son essuie et enlevait son bikini pour ne pas avoir de marques de maillot ! J’ai toujours trouvé qu’elle avait un beau corps, qu’elle entretenait d’ailleurs avec soin.
Un jour, mon frère partit avec ses copains et je restais seule à la maison avec ma mère. Ma mère s’installa sur la terrasse. J’allais sonner chez mes deux copines et leur proposai de venir bronzer chez moi. Leurs parents étaient très stricts et elles durent demander la permission à leur mère, qui accepta. Elles montèrent mettre leurs maillots et revinrent une fois prêtes.
Nous n’avions qu’à traverser la rue pour arriver chez moi. Je les amenai dans le jardin et leur dit de s’installer en attendant que je mette mon maillot. Dans ma chambre, j’enfilai un bikini. Il était jaune avec des ficelles et des noeuds sur les côtés, je l’aimais bien. En passant devant la terrasse, j’aperçu ma mère au téléphone, nue comme à son habitude. Je rejoignis mes copines qui s’étaient sagement déshabillées, et se doraient au soleil en maillot une pièce bien couvrant… Je m’installai à côté d’elles, et nous commençâmes à discuter de tout et de rien. Comparé au leur, mon maillot était vraiment indécent ! Alors qu’elles étaient quasiment entièrement couvertes, je ne portais que quatre triangles de tissu.
Nous étions toutes les trois en maillots, en train de comparer nos poitrines. Les deux soeurs étaient très disparates de ce point de vue. Anne, la plus âgée avait des seins assez gros, volumineux et lourds tandis que sa soeur Agnès, plus jeune que moi d’un an, avait une poitrine vraiment petite. C’est à peine si on voyait que c’était une fille. Personnellement, j’étais entre les deux. Normale, quoi !
Alors que nous discutions des garçons du quartier, la sonnette retentit. Sachant que ma mère n’irait pas ouvrir (évidement, vu sa tenue), je me levais, abandonnant mes amies pour un instant. C’était le facteur qui apportait un recommandé. Un grand sourire illumina son visage lorsque j’ouvris la porte. Je compris qu’il me trouvait très à son goût… Je signais, alors que le brave homme me détaillait dans mon bikini jaune. Je pris le courrier et refermai la porte, toujours sous le regard ravi du préposé des postes. Je pensais que je n’allais pas faire la navette entre la porte et le jardin au cas où nous aurions d’autres visiteurs… J’accrochais donc un petit mot à la sonnette en disant
’Ne sonnez pas, nous sommes dans le jardin’.
Je retournai m’étendre près d’Anne. Poursuivant notre discussion sur les poitrines, je leur dis que j’avais envie de faire bronzer mes seins, ce à quoi Anne me répondit
:
– ’Tu es folle ! Si jamais quelqu’un nous voit…’
– ’Et alors ?’ dis-je, ’je ne vais pas en mourir, que je sache !’ Je n’aimais pas du tout l’aspect ’petite fille modèle’ qu’elle avaient…
– ’Jamais je ne ferais une chose pareille’ dit Anne.
– ’Moi j’hésite…’ dit Agnès.
– ’Agnès, tu n’y penses pas !’ lui dit sa soeur d’un ton autoritaire ! ’Je le dirai à Maman !’.
– ’Et bien moi, je n’hésite pas …’ dis-je et joignant le geste à la parole, j’attrapais le noeud dans mon cou et tirai d’un coup sec, dévoilant ma poitrine à mes amies!
Je me recouchai aussitôt sur mon essuie et cessai la discussion. Finalement, Agnès suivi l’exemple de sa soeur aînée (cédant probablement à la menace de sa soeur) et resta ’sage’. Mes amies se couchèrent également et je sombrai dans la somnolence. Après un long moment, j’entendis une voix :
– ’Il y a quelqu’un ?’
Instinctivement, je mis ma main devant mes seins. Mes amies ouvrirent les yeux. Avant que je n’aie eu le temps de remettre mon maillot, le fils des voisins, Alex, arriva. C’était un des amis de mon frère, et c’était normal qu’il vienne le chercher. Quand il arriva à l’angle de la maison, il me vit et s’approcha. J’étais rouge comme une tomate et, pendant qu’il approchait, je me retournai sur le ventre, histoire de ne pas me montrer nue devant lui. J’étais à plat ventre par terre, n’osant ni me retourner ni me relever. Il me dit:
– ’Salut, ca va ?’
– ’Oui, ca va…’
– ’Ton frère est là ?’
– ’Non, il est parti avec des amis… Repasse plus tard si tu veux’.
– ’… OK …’ dit-il après un moment d’hésitation.
Et il tourna les talons. Durant cette courte discussion, il n’avait pour ainsi dire pas quitté mon dos et mes fesses des yeux. Il espérait probablement… De mon côté, j’avais chaud, et ce n’était pas seulement à cause du soleil ! Je sentais mes tétons érigés contre mon essuie.
Une fois qu’il fut parti, mes deux amies me dirent:
– ’Heureusement que nous n’avons pas fait comme toi ! Tu as vu comme il t’a regardé ?’
– ’Oui, mais il n’a rien vu… Ce n’est pas si terrible après tout…’
– ’Ben quand même… Nous, nous devons rentrer !’
– ’Dommage, il va peut-être revenir !’ dis-je, un sourire rêveur aux lèvres.
– ’Justement !’
Quelque part, j’espérais un peu le retour d’Alex… J’étais jeune et le moins que l’on puisse dire c’est que je n’avais pas une grande expérience du sexe. J’avais déjà vu ma mère nue, parfois mon frère sous la douche, mais rien de plus…
Après environ un quart d’heure, elles partirent et je me recouchai sur le dos, mes petits seins en plein soleil. Un peu plus tard, j’entendis un bruit du côté de la haie. Les voisins avaient un chien (une sale bête) et je pensai que c’était lui. J’en eus la confirmation quelques minutes plus tard, quand j’entendis le copain de mon frère appeler son chien. Il vint le chercher près de la haie et fatalement, il devait me voir, vu que je n’étais qu’à quelques mètres de leur jardin !… Je fermai les yeux et écoutai… Plus un bruit… Je l’imaginais en train de me regarder… Je pouvais presque sentir le poids de son regard sur moi… Après quelques minutes, qui me semblèrent des heures, je l’entendis repartir avec son chien… Ouf, l’alerte est passée…
Je me fis la réflexion que ce n’était pas si désagréable que cela d’être admirée… Alors que j’étais perdue dans mes pensées et je l’admets, un peu échauffée, je l’entendis revenir.
– ’Sylvie ?’
– ’Oui…’ il revenait vers moi… Cette fois-ci, je décidai de ne plus cacher ma poitrine, mais juste de me tourner sur le ventre…
– ’Tiens, Agnès et Anne sont parties ?’ Demanda-t-il d’un air un peu déçu. Il se mit en face de moi, les yeux rivés sur mes seins.
Je décidai de le tester un peu. Je m’appuyai sur les coudes. Mes seins commençaient à être vraiment visibles entre mes bras… Fermes, ils ne pendaient pas. D’où il était, Alex devait avoir une vue très intéressante…
– ’Oui, elles ont eu peur de toi !’
– ’Ah bon ? Heu… Dommage…’
– ’Qu’est-ce que tu voulais ?’
– ’Hein ? Heu… ah oui ? Il revient quand ton frère ?’
Très bonne excuse qu’il avait trouvé pour revenir !
– ’Euhh… je n’en sais rien’
Un silence gêné suivi…
– ’Bon ben à plus tard’ dit-il en rougissant.
Il allait partir quand je m’entendis lui dire:
– ’Tu veux aller demander à ma mère ?’
– ’OK… ’ dit-il. Sans se douter de rien, il se dirigea vers la maison, qu’il connaissait bien. A ce moment, je réalisai que je ne pouvais pas le laisser aller voir ma mère comme cela (vu sa tenue) ! J’étais piégée… Je me levai précipitamment, en lui criant presque:
– ’Non !’, puis j’ajoutais plus doucement ’Euhh laisse-moi y aller…’
Je n’avais pas pensé à me couvrir la poitrine, et je crus qu’il allait se mettre à baver en voyant mes seins… Je passai à côté de lui et le précédai dans la maison, où il me suivit jusqu’à l’étage. En montant, je sentais son regard sur mes fesses, cachées à peine par mon petit maillot… Je lui dis de m’attendre dans le couloir, alors que j’entrai dans la chambre de ma mère qui donnait sur la terrasse.
Je demandai à ma mère qui bronzait si elle savait quand mon frère comptait rentrer, et en profitai pour lui dire que le facteur avait apporté une lettre pour elle. Ensuite, je revins dans le couloir. Alex m’attendait gentiment. J’étais excitée par la situation et la fraîcheur de la maison. Je sentais mes tétons pointer alors qu’Alex ne les quittait pratiquement pas des yeux… Mon coeur battait la chamade…
– ’Tu es très belle…’ me dit-il, manifestement troublé.
A ce moment, ma mère rentra dans le couloir, entièrement nue, en disant:
– ’Sylvie, où as-tu mis ma lettre ?’
J’ai cru qu’Alex allait exploser. Il devint rouge pivoine et parvint à balbutier:
– ’Gllglgbl … bon… bonjour madame euuhhh pardon…’
Ma mère était tellement surprise qu’elle resta sans bouger pendant au moins une seconde, qui me parut durer une éternité. Alex la détaillait de haut en bas, l’air affolé. Puis, reprenant ses esprits, elle dit:
– ’Excuse-moi Alex, j’étais en train de bronzer… Euuh… Je vais mettre quelque chose…’ et elle retourna dans sa chambre, montrant ainsi ses fesses brunes !
Alex restait au milieu du couloir sans bouger. J’éclatais de rire en voyant son air ahuri… Ma mère revint presque aussitôt, elle avait enfilé un tee-shirt qui lui allait jusqu’en dessous des fesses. On voyait ses seins tendre la fine étoffe. Elle passa entre nous et descendit. Alex la suivit des yeux, hypnotisé…
Je lui demandai
– ’On redescend ?’
Toujours rouge pivoine, il me bredouilla…
– ’Hein ? Euh oui…’
Il avait l’air complètement perturbé… Je lui demandai, d’un air moqueur:
– ’Alex, ca va ?’
– ’Oui, oui… ’
Je le précédai dans l’escalier. Ma mère revint, sa lettre en main, et commença à remonter pendant qu’Alex descendait… Au moment où il arriva en bas, ma mère laissa tomber la lettre. En se baissant pour la ramasser, son T-shirt lui remonta sur les fesses, sous les yeux exorbités d’Alex qui avait une vue imprenable sur ses fesses brunes (et même plus). Tout en marchant, il manqua de taper la tête contre la porte. Je pouffai de rire encore une fois.
Une fois dehors, je me remis sur mon essuie, et commençai à lui parler.
– ’Alors, ca va, on s’est bien rincé l?oeil ?’
– ’Qui moi ? Euhh oui… c’est à dire non… Enfin euh…’
– ’Tu n’as jamais vu de femme nue ?’
– ’Non’ dit-il d’un air gêné…
– ’Et les seins… tu as quand même déjà vu des seins non ?’
– ’Euh… non, pas en vrai…’
– ’Eh bien regarde…’ dis-je en me relevant devant lui, poussant fièrement mes petits seins en avant… puis j’ajoutai:
– ’Cela ne m’étonne pas, revient demain et je te ferai une surprise…’
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Il avala difficilement sa salive et dit:
– ’Quelle surprise ?’
– ’Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise…’
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