Père Noël venait de terminer sa tournée et l’avait bien fini en donnant une petite leçon à un morveux et en ayant profité des faveurs d’une bourgeoise après lui avoir prouvé que son mari la trompait et avait une deuxième famille. Ok ce n’est pas très classe de faire ça à Noël mais ça aurait bien fini par se savoir un jour et puis, il fallait bien se rappeler que cette femme avait supposé publiquement des murs pédophiles au père Noël. Il n’allait pas se laisser faire quand même. Comme il le disait lui-même. : « Chuis pas comme l’autre charpentier clouée sur sa croix soit disant né ce jour-là. Moi si on m’emmerde, c’est coup de boule rotatif multidirectionnel dans la gueule. Je ne tends pas l’autre joue ». C’est satisfait de sa soirée qu’il partit en direction du bar tenu par Gégé qu’il allait voir chaque année.

Quand il finit par atterrir, au petit matin, sur le toit d’un immeuble à proximité de sa destination pour se téléporter en bas, il entendit tout un tumulte de camions de pompier. Il se téléporta dans une impasse sombre et commença à se diriger vers le bar tenu par le fameux Gégé quand il le vit dehors, couvert d’une couverture pendant que les pompiers éteignaient l’incendie qui ravageait son bar.

— Gégé, salut ! il s’est passé quoi là ?

— Une . Une bande de jeunes est venue hier soir complètement bourrés. Ils m’ont demandé à boire mais j’ai refusé. Les voyant dans un état pas possible, je leur ai conseillé de rentrer chez eux d’autant que je voulais préparer mon étalage pour les pauvres avec des trucs à manger et tout le reste. Commença-t-il à raconter d’une voix tremblotante, un café chaud à la main

— Ok . Et ensuite ?

— Fous de rage devant mon refus, ils ont tout cassé et ça les faisait marrer. L’un d’eux, pris d’une folie pyromane, aspergea mes rideaux et mes murs d’alcool et y mit le feu en se marrant avant de partir. J’ai essayé d’éteindre seul mais . Dit-il avant de s’effondrer en pleur dans le bras du Père Noël.

— Si y avait bien un mec qui ne méritait pas ça ce matin c’est toi. Tu donnes ton temps pour les pauvres, tu leur offres à boire et du réconfort et t’as des connards qui te défonces tout. C’est minable .. Attend reste là je reviens.

Ne supportant pas la situation, le père Noël reparti à son véhicule et fouilla partout.

— Bordel de merde mais elle est où ? Cette putin de boite est bien quelque part. Chui certain de l’avoir Ah la voilà mon « kit d’urgence ».

Il retourna vite, avec sa boite mystère sous le bras, vers Gégé qui restait prostré en appuis sur un mur, voyant le spectacle de son bar brulé.

— Gégé, tiens c’est pour toi.

— Ecoute Nico, j’ai pas le morale pour ton délire père Noël. Je suis désolé de te le dire comme ça mais ce n’est vraiment pas le moment.

— Je comprends mais prend quand même ce coffre.

— Ok . Merci . Même devant un malheur tu restes dans ton rôle ? Au moins ça m’aura redonné un semblant de sourire.

— Pas de soucis. Bon je vais te laisser alors.

— Par contre c’est quoi la combinaison du cadenas ?

— Pense à Noël. Allez moi faut que je parte à plus.

Gégé était là devant ce coffre mystère et son cadenas à quatre chiffres. Noël ? . 2512 comme le vingt-cinq décembre ? Oui ça s’ouvre et à l’intérieur . Bon sang ! Une dizaine de lingots d’or ! Il referma la boite et tenta de rattraper son bienfaiteur. En courant comme un dératé, il fini par le rattraper mais il ne semblait pas l’entendre quand il l’appelait surement à cause de tout ce chahut avec les pompiers, la police, les journalistes locaux, . Le père noël ne s’était pas aperçu qu’il avait été suivi. Tout content d’avoir fait une bonne action, il appuya sur sa télécommande au moment même où Gégé lui mis sa main sur l’épaule. Il fut téléporté en même temps que lui.

— Bon sang mais il s’est passé quoi ? on est où là ?

— Bordel Gégé mais qu’est-ce que tu fous là ?

— Je voulais te parler mais . On est où là ? il s’est passé quoi ?

— T’aurais jamais dû voir ça.

— Et puis ce quoi ce . Truc ? On dirait un camion fuselé comme un hélicoptère. C’est quoi ? un cerf peint sur la carrosserie ?

— D’après toi ? Un véhicule rouge, un père Noël, ..

— Non tu ne me feras pas croire ça. Père Noël est un personnage du folklore populaire.

— . Basé sur un personnage réel et modifié par la société de consommation.

— Il me faudra une preuve pour que je l’accepte.

— Noël 64.

— Quoi Noël 64 ?

— Tu devais avoir cinq ans et tu m’as surpris sous le sapin. Sans réveiller ta mère, je t’ai raconté une histoire et on a partagé un chocolat chaud. T’as même renversé ta tasse sur mon manteau. Je n’ai jamais pu le ravoir complètement d’ailleurs.

— Comment tu sais ça ? Je m’en souviens à peine. J’ai cru à un rêve avec le temps.

— Bah non ce n’était pas un rêve. C’était moi.

— Putin . Le père Noël ? Le vrai Père Noël ?

— Bah oui.

— Mais t’es encore en vie depuis le temps ? Je veux dire, vous êtes plusieurs ? Vous vous relayez ?

— Non. Tout le monde me crois immortel alors qu’en fait je vieilli beaucoup plus lentement que vous c’est tout.

— Bon . Bah écoute, je ne sais pas quoi te dire.

— Un merci devrait suffire.

— Merci, vraiment merci. Avec ça et l’assurance je vais faire rénover mon bar. Tu verras il sera encore mieux qu’avant.

— Je te fais confiance. Promet moi juste de ne pas arrêter de te préoccuper des plus démunis.

— Et arrêter de voir cette lueur de remerciement à chaque fois qu’ils viennent me voir ? Je ne changerai ça pour rien au monde. D’autant que dans le quartier on est peu à se soucier des nécessiteux. . Par contre tu peux me dire comment on redescend ?

Après avoir raccompagné Gégé au sol, Père Noël retourna dans son véhicule pour repartir chez lui. Durant le trajet, Zéphyr, l’intelligence artificielle qui l’accompagnait lui posa une question.

— Père Noël, vous venez ici chaque année, pourquoi ne lui avez-vous pas dit la vraie raison ?

— Tu voulais que je lui dise quoi ? « Salut c’est moi le mec qui a niqué ta mère neuf mois avant ta naissance ». Je n’aime pas m’attacher. Même si sa mère était une sacrée chaudasse et une pro de la pipe à l’époque, elle aurait fini par vieillir et .. non je en veux pas et puis je ne sais pas comment il aurait réagis. Si ça se trouve il m’en aurait collé une. C’est mieux comme ça. Je suis peut-être un chaud lapin avec des gosses un peu partout mais je préfère veiller sur eux de loin et à ma manière.

— Comme vous voudrez. Sinon, votre grand ami « le connard » vient d’appeler.

— Tu lui as fait le coup du répondeur bien sûr ?

— Oui mais il veut vous voir, dès que possible.

— Et mes vacances ? Il y pense ? Envoi lui un mail en lui disant que je suis pris pour le siècle à venir.

— Il a dit que vous aviez une semaine pour venir.

— Et merde . OK on y va mais faut que je passe à la maison d’abord. Cette fois il n’aura pas ce qu’il veut.

Il reparti au Pôle nord et échangea sa tenue rouge et blanche par un ensemble de salopette et chemise à carreaux façon bucheron québécois en se disant que cette fois il ne se ferait pas avoir.

Il fit le trajet en quatrième vitesse et une fois arrivé sur place et en sortant de l’ascenseur, il revit la jeune fille de l’accueil.

— He ! salut toi.

— Bonjour père Noël. Je vous reconnais à peine sans votre tenue habituelle. Vous voulez prendre quelque chose ?

— Oui un café pour l’instant et . Toi, si t’as du temps de libre après.

— Alors pour le café ça va être possible par contre pour . Ah ! Attendez . M Johnson vous attend. Je vous emmène.

— Dommage. Ce sera pour après.

Quand il arriva dans le bureau de son contact et une fois l’hôtesse partie, il resta à bonne distance.

— Bonjour mon ami, je suis ravi de

— Je ne vous serre pas la main, j’ai plutôt envie de vous l’envoyer dans la gueule.

— « Vous » ? Voyons . Après notre précédent rendez-vous on peut se tutoyer.

— Comme tu veux p’ti con. Bon tu veux quoi ?

— Tiens, les résultats financiers et le montant des sommes qu’on va te donner pour l’année en cours.

— Merci mais ça aurait pu être envoyé par mail ?

— Oui mais il y a autre chose. Il y a des rumeurs qui circulent. Il paraitrait que certaines femmes racontent, sur internet, avoir été engrossé par un père noël.

— Et alors ? j’ai bien le droit de m’amuser non ? Et puis je n’ai violé personne. Ce sont elles qui proposent.

— Ça nuit à ton image, mon gros, et à la nôtre.

— Oh là, je te vois venir coco. Si tu comptes me faire du chantage pour m’obliger à coucher avec toi comme l’année dernière ? Tu oublis de suite.

— T’es sûr ? même si je montre ça au patron ? dit-il en lançant une vidéo de l’année dernière sans le son où on le voit tenter de lui retirer son froc avec brutalité avant de l’enculer.

— Salopard t’avais tout filmé ?

— Attention. Si tu me touches, je porte plainte pour coups et blessures. Donc maintenant on va passer un marcher. A chacune de nos entrevues on couchera ensemble dans mon bureau.

— Jamais.

— Si tu refuses non seulement je porte plainte pour viol grâce à la vidéo mais je déballe toutes les plaintes de ces femmes que tu aurais engrossées. Je peux ruiner ta vie saches le.

— Chiche.

— OK, Monsieur le président ? vous pouvez venir s’il vous plait ? je voudrais vous parler. On a un grave problème avec le père Noël. Demanda-t-il en appuyant sur son interphone.

Le PDG arriva en trombe et entra sans frapper.

— Bon c’est quoi le problème ?

— Monsieur le président, j’ai honte de vous avouer ça mais cet homme que vous tenez en si haute estime m’a violé l’année dernière. Je n’ai rien dit parce que j’avais honte. Et là, il me fait du chantage pour recommencer.

— Allons bon. Le père Noël serait un violeur pédé. Qu’avez-vous à dire pour votre défense ?

Le père noël sorti alors de sa poche un petit appareil.

— Ce n’est pas moi le violeur. C’est lui qui, l’année dernière, m’a fait du chantage pour assouvir un de ses fantasmes déviants. D’ailleurs sur la vidéo qu’il a fait à mon insu, ok on me voit lenculer mais après c’est lui qui me force. Et vu ma tête à ce moment-là, on voit que je n’étais pas d’accord. Et si après ça vous ne me croyez toujours pas, écoutez ça.

— C’est un dictaphone ?

— Oui, celui que vous m’aviez offert il y a quelques années. Il n’est plus tout jeune mais il marche encore. J’ai enregistré notre conversation dans laquelle il énonce pleinement ses menaces.

Après avoir entendu la conversation et vu la vidéo en intégralité. Le jeune M Johnson, au pied du mur, tenta de se défendre sous le regard inquisiteur de son chef.

— Écoutez, je peux tout expliquer

— Vous êtes viré.

— Mais

— Y a pas de mais, dehors, et estimez-vous heureux que ça n’aille pas plus loin.

Pendant que « le connard » comme il l’appelait, s’en allait la queue entre les jambes, tout Penot, le père Noël jubilait il n’eut qu’une phrase pour lui avant qu’il ne passe la porte : « Et oui ! Ce n’est pas au vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces. Tu croyais vraiment que j’allais me laisser faire comme la dernière fois ? Tu voulais te faire enculer et ben c’est fait. A sec avec du verre pillé et arrosé de vinaigre ». Du coup, en attendant de lui trouver un remplaçant, le PDG décida de prendre le relai lui-même. Après avoir discuté des perspectives de ce partenariat, ils se serrèrent la main.

— Ça c’est ce que j’appelle un vrai partenariat commercial.

— Excusez-moi encore de vous avoir fait subir ce type.

— C’est oublié. Bon moi je pars. Mes vacances m’attendent.

— Ah ! La Thaïlande.

— Non les Seychelles cette fois. J’ai loué un bungalow super luxe sur une île privative avec bouffe, alcool et vahinés à volonté pour moi tout seul.

— J’en connais un qui va s’amuser.

— J’espère bien. Dans le lot je pense que j’arriverai à en serer une ou deux, voir plus.

— Je l’espère pour vous. Bon je ne vous retiens pas plus.

Ainsi le père Noël s’était débarrassé d’un poids mort. Il allait repartir mais avant, il avait autre chose à régler : La petite minette de l’accueil. Il se dirigea alors vers son comptoir.

— Salut toi ! Alors ça tiens toujours ce café ?

— Il s’est passé quoi avec M Johnson ? je viens de le voir en colère, traverser le couloir.

— Il a fait une connerie. Il s’est frotté à plus fort que lui. Bon alors ce café ?

— crème ? sucre ?

— Sache, ma jolie, que je prends mon café comme je prends mes femmes : chaudes, serrées et allongées.

— Ah ? ça doit vous couter cher alors si vous payez 100 Dollars le café. Vous allez vous ruiner.

— C’est de l’humour ? café serré s’il te plait. Et tant qu’à faire viens donc en prendre un avec moi. Tu ne vas pas me laisser seul quand même ? Une petite pause te fera du bien.

Père Noël espérait passer suffisamment de temps avec elle pour que son influence passive la fasse craquer. Avec l’hôtesse d’accueil, ils se sont mis à parler de tout et de rien jusqu’à ce que la fille commence à ressentir des bouffées de chaleurs.

— Bon sang je ne sais pas ce qu’il m’arrive mais j’ai chaud tout d’un coup.

— Retire ta veste. Ça ira mieux

— Oui merci, c’est la première fois que .

— Bon sang mais fais gaffe. T’as renversé ton café sur ma cuisse. Je sais que ma salopette est pas toutes neuve et un peu tachée mais quand même.

— Je suis désolé. Attendez je vais vous nettoyer.

Père Noel sentait que ses phéromones commençaient à émoustiller la jeune fille. Il supposait qu’il ne fallait pas grand-chose pour la faire craquer. Il la voyait penchée sur le haut de sa cuisse, tentant de nettoyer la tâche qu’elle avait faite.

— Tu sais, dans cette position on pourrait croire que tu fais autre chose. Dit-il en lui effleurant la tête avec sa main.

— C’est vrai on pourrait croire des choses. Allons aux toilettes.

Entrainé par cette fille, pour lui c’était presque gagné. Dans les toilettes, elle était à genou devant lui à essayer tant bien que mal de faire partir la tâche.

— Dit moi, ce ne serait pas plus facile si j’enlevais ma salopette ?

— Euh si en effet . Bon sang j’ai chaud moi d’un seul coup.

— Attend, je l’enlève . Voila

L’hôtesse d’accueil se retrouvait à genou, devant cet homme en slip. Elle ne savait pas pourquoi mais une pulsion soudaine la poussa à baisser ce slip qui semblait déformé par une grosseur de plus en plus importante. Elle se saisit alors de ce pénis de bonne taille dressé devant elle pour le sucer.

— Ah bah finalement tu te décides ? Je suis sûr que tu l’as fait exprès de renverser ton café sur moi. C’était l’occasion de m’avoir en slip pour toi toute seule, hein ?

— Non che l’ai pas fais exchpres. Chétait un accident.

— Elle t’a jamais appris à ne pas parler la bouche pleine ta mère ?

— Chi mais .

— Mais c’est qu’elle continue ma parole .

— Décholé.

— C’est ça. Bah à mon avis, toi tu attends une fessée. Bah tu vas l’avoir et après je te montrerai comment te racheter.

Prise d’une pulsion sexuelle qu’elle ne comprenait pas, cette charmante jeune femme de vingt-trois ans se délectait de cette délicieuse friandise qu’elle avait entre les lèvres. Elle suçait ce gros mandrin avec une frénésie incontrôlable quand le père Noël la fit s’arrêter contre sa volonté.

— Non ! Je veux continuer.

— Soit pas si gourmande. T’en fais pas on va reprendre mais d’abord, la fessée. Viens t’allonger sur le ventre, sur mes genoux. Lui dit-il en s’asseyant sur le trône.

Alors qu’il lui fessait le postérieur de sa grosse main, il la voyait gémir.

— Alors ? Tu comprends ta bêtise <Clac>

— Oui père noël <Clac>Je ferais plus attention <Clac>

— T’as l’air d’aimer ça hein ? <Clac>

— Si j’avais su <Clac> que c’était si bon avec vous <Clac> je vous l’aurais demandé avant. <Clac>

— Ça veut dire que si je reviens tu seras d’accord pour remettre ça ? <Clac>

— Avec plaisir <Clac>

— C’est bon à savoir. Aller relève toi et vire moi tes fringues. Je savais que t’étais une chaudasse mais pas à ce point. Faut pas grand-chose pour te faire partir.

Une fois à poil, elle écarta les cuisses et s’empala sur ce membre qu’elle avait dans la bouche quelques minutes auparavant. En plaquant la tête du gros barbu sur ses seins qu’il commença à sucer de son coté, elle commença à faire coulisser sa fente chaude, humide et accueillante sur ce membre qui ne demandait que ça. Elle commença à gémir tellement elle était excitée et, entrainée par son plaisir, elle accéléra le rythme.

— Mais c’est qu’elle aime ça dites-moi ?

— J’avoue

— Ah lalalala ! Que de temps perdu à se tourner autour.

— Euh on a juste pris un café.

— Je sais. On aurait gagné du temps en passant à l’action directement Bon c’est pas tout ça mais tu vas t’arrêter.

— Pourquoi ? c’est bon et je veux continuer.

— Ouais mais si tu continues dans neuf mois on t’appellera maman. J’ai autre chose en tête.

— Ah oui ? et c’est quoi ?

— Tu connais StarWars ?

— Oui mais je ne vois pas le rapport.

— Tu connais le coté obscure ?

— Oui mais .. Oh je vois. Alors fais attention s’il te plait je n’aime pas trop la douleur.

— T’en fais pas, je sais y faire. Mets-toi debout comme ça . Penche-toi en appuis contre le mur . voilà écarte bien les cuisses Voila. Bon bah serre les dents, c’est parti.

Père noël avec sa tenue de bucheron canadien, était en train de sodomiser cette jeune fille qui tentait de le snober il n’y a pas une heure dans son tailleur stricte de grande marque. Et le pire c’est qu’elle semblait aimer ça. Encouragé par ses gémissements de plaisir qui sonnaient à ses oreilles comme un chant de victoire, il accéléra le mouvement jusqu’à lui lâcher la sauce dans le fondement.

— Ah, C’était bon. Pour toi aussi j’espère ? demanda t’il en essuyant les dernières goutes de sperme qui lui perlait au bout du gland.

— Je m’attendais à avoir plus mal. J’avoue que j’ai vraiment pris mon pied. On recommence quand tu veux.

— C’est bon à savoir ça. Bon va falloir que j’y aille. Ma réservation pour mes vacances n’attend pas.

Enfin il avait réussi à ferrer cette petite donzelle. Il n’avait pas pu le faire l’année d’avant à cause d’un problème d’ébriété mais cette fois il l’avait eu. Alors qu’il faisait route jusqu’aux Seychelles avec ses valises qu’il avait préalablement emporté pour gagner du temps, il espérait bien pouvoir remettre ça avec elle à chaque fois qu’il y retournerait.

Comme pour la Thaïlande, il se posa non loin de l’aéroport et pris un taxi direction le port où l’attendait le responsable de l’agence qui avait préparé son séjour. Ils prirent tous les deux le bateau vers une petite île isolée de tout.

— Regardez monsieur Klaus, c’est celle-là.

— Elle est petite.

— Oui mais elle a tout le confort : Parabole satellite, cuisine équipée, électricité solaire et batteries rechargeable, Il y a même un jardin avec des légumes frais et des arbres fruitiers. En cas de problème sachez qu’un hélicoptère médical peut être là-bas en vingt minutes.

— Et la faune locale ?

— Elle est là : cinq magnifiques créatures préparées selon vos goûts. Je ne vous demande pas ce que vous comptez faire avec elles, je l’imagine déjà.

— Inutile en effet surtout quand on demande des jeunes femmes à forte poitrines.

— Comme vous dites.

Lors de leur approche vers le ponton, les filles étaient déjà là, en bikinis presque trop petits pour contenir leurs seins. Elles semblaient euphoriques à l’idée d’être les servantes d’un homme qui leur avait été vendu comme riche et dont la générosité était proportionnelle à sa satisfaction.

— Bon, nous voilà arrivés. N’hésitez pas à appeler si vous avez besoin.

— Promis, à dans quinze jours.

Pendant que le bateau s’éloignait, trois des filles prirent chacune une valise pendant que les deux autres se placèrent chacune sous un bras de leur client pour un petit tour du propriétaire.

Comme chaque année, ces vacances étaient l’occasion pour le père Noël d’évacuer toute la tension accumulée durant l’année, de se changer les idées et de ne penser qu’à une chose : le sexe et se détendre.

Les filles étaient là pour s’occuper de lui et des tâches ménagères. Il n’était pas rare que l’une d’elle soit invitée sous la douche avec lui car il avait soit disant du mal à se savonner le dos. Evidemment, vous imaginez bien qu’elle se retrouvait souvent à ramasser la savonnette. Chaque nuit il alternait les filles dans son lit qui s’y donnait à cur joie de le satisfaire. Quand il n’arrivait pas à se décider sur le choix de sa partenaire du soir, il lui arrivait d’organiser un jeu : un colin-maillard nudiste où la dernière qu’il n’arrivait pas à choper était la gagnante. Vous imaginez bien que dès qu’il en attrapait une, elle se faisait palper par tous les bords. C’était soit ça, soit le strip-poker.

Il n’était pas rare non plus, quand certaines des filles voulaient faire bronzette, qu’il se mêle à elles quand il s’agissait de leur étaler de l’huile sur le corps. Ses mains baladeuses avaient tendance à s’attarder sur certaines zones bien précises. Il lui arrivait aussi d’en honorer une à même le sable de la plage après avoir congédier les autres.

Bref, Père Noël s’est bien amusé durant ces quinze jours et les filles aussi. C’était moins intense qu’en Thaïlande mais il s’était amusé. Comme à chaque fois, il offrit à chacune des filles une bourse pleine de pièces d’or pour service rendu. C’est après avoir quitté ses partenaires, fait un long trajet en bateau, et pris un taxi depuis le port jusqu’à l’aéroport que Père Noël retrouva son Véhicule.

— Avez-vous passé de bonnes vacances, Père Noël.

— Très bonnes, merci de t’en soucier

— Tant mieux car, après ce qu’il s’est passé chez votre sponsor principal, le PDG veut vous revoir.

— Ah oui ? Et pourquoi ?

— Il a choisi la remplaçante de M Johnson et veut vous la présenter.

— La remplaçante ? Une femme ? Ohhh ! mais c’est une excellente nouvelle ça. Bon, retour à la maison faut que je me change.

— A vos ordres.

Après un retour chez lui en quatrième vitesse, il fila directe dans son dressing room.

— Bon, je ne peux pas me présenter devant elle en short et tong. Surtout pour une première entrevue, faut y mettre les formes. Allez je fais péter le costard.

Il reparti pour Atlanta en costume italien couleur gris, pantalon assorti, chemise blanche col ouvert, barbe et cheveux peignés et lavés.

Quand il débarquât à l’étage de la direction dans le bâtiment du siège sociale de son sponsor, la jeune femme de l’accueil qu’il avait culbuté la dernière fois était là derrière son comptoir.

— Wha la classe ! T’es beau comme ça.

— Merci. Je dois voir le PDG.

— Oui il vous attend .. Vous prendrez un café ensuite ?

— Le même que la dernière fois ? Oui pourquoi pas mais cette fois pas la peine de tacher mon pantalon pour m’attirer au toilettes.

— Ça tombait bien ce n’était pas de café dont j’avais envie.

— On s’est bien compris alors.

Visiblement, sa dernière séance avec le gros barbu ne l’avait pas laissé de marbre. Elle avait visiblement envie de remettre le couvert mais pour lui ça allait dépendre d’une chose : sa nouvelle partenaire commerciale. Si elle aussi elle tombe sous son charme, il avait peur de ne pas pouvoir assurer sur les deux tableaux.

— Ah bonjour Père Noël !

— Bonjour monsieur . Mademoiselle

— Laissez-moi vous présenter Selena Ibanez. Ce sera elle qui gèrera votre dossier désormais.

— Parfait.

— Bon je sais que vous avez beaucoup à faire donc je vous laisse faire connaissance . Ah euh vous passerez me voir à mon bureau avant de partir. Il faut que je vous parle.

— C’est noté.

Ainsi le Père Noël se retrouvait seul, dans ce grand bureau, avec cette belle jeune femme dont les origines mexicaines n’étaient plus à prouver. Ils se sont assis sur le canapé, jugé plus confortable, et elle a commencé à décrire sa vision de son travail et sa méthode pour arriver aux résultats voulus.

Même si il semblait l’écouter religieusement, il était beaucoup plus intéressé par ses formes et en particulier son décolleté. Elle lui déballait des documents reflétant l’état de son dossier, avec les sommes allouées et ses obligations Enfin bref, elle lui faisait son speech et lui en profitait pour se rapprocher d’elle de plus en plus, prétextant avoir du mal à lire.

Cette fille semblait irréprochable professionnellement mais il sentait que quelque chose clochait : elle ne semblait pas réceptive à son charme. « Ce n’est pas vrai, je suis tombé sur une bouffeuse de pelouse ou quoi ? » a-t-il pensé à un moment ayant déjà constaté le même phénomène chez des lesbiennes. Il avait beau la coller de plus en plus pour lui faire respirer ses phéromones Rien. C’était la première fois qu’une femme, hétérosexuelle, lui résistait et pourtant il voyait, sur le bureau une photo d’elle avec un homme, son mec surement. « Bon bah tant pis pour elle. Elle ne sait pas ce qu’elle rate. Ça en fera plus pour l’autre ». Il continua à l’écouter et elle semblait vraiment connaitre son affaire.

Plus tard, sur la fin du rendez-vous, intriguée par le fait qu’il soit vraiment le père noël, elle lui posa des questions sur lui, sa vie, « C’est le moment de passer aux confidences ? Ok mais c’est donnant-donnant. » Pensa t’il. Il voulait savoir pourquoi son charme ne marchait pas sur elle alors il la questionna aussi pendant que lui ne se contenta de lui révéler que le strict minimum. Il ne voulait pas passer pour un pervers à ses yeux.

Elle resta peut loquasse mais il réussit quand même à apprendre qu’elle avait toujours vécu seule avec sa mère en Floride, n’ayant jamais connu son père. Il eut un gros doute sur son histoire. Une fois le rendez-vous fini et après l’avoir salué, sa nouvelle partenaire voulu le prendre en photo en souvenir. Ce qu’il accepta puis, il se dirigea d’un pas pressé vers le comptoir d’accueil pour y retrouver personne. C’est déçu de ne pas y retrouver l’hôtesse d’accueil qu’il entra dans les toilettes où il fut agrippé par celle qu’il attendait. Elle était déjà nue et ne voulait pas perdre de temps.

— Et ben, t’es devenu vorace toi ?

— C’est bien toi qui ne voulait pas perdre de temps non ? lui demanda-t-elle en se mettant à genou et en déboutonnant son pantalon.

— Effectivement mais va falloir faire vite. Le patron m’attend.

— Ok alors prend moi tout de suite.

Vu qu’elle était plus que consentante et déjà toute mouillée (elle s’était visiblement préparé à la main), après s’être fait suffisamment sucé pour bander assez, il la plaqua face au mur, une jambe relevée et l’encula sauvagement à vive allure jusqu’à jouir rapidement. Alors qu’il se rhabillait, sa partenaire était encore plaquée contre le mur un large sourire jusqu’aux oreilles.

— Dis-moi, tu pourrais venir me voir à Noël durant ta tournée ?

— Durant non, après oui.

— Super ! ça te permettra de décompresser un peu.

— Pour ça j’ai mes vacances.

— Et bien comme ça tu seras doublement en forme.

— On verra. Bon moi je dois voir le patron.

A peine sorti des toilettes, il se retrouva face à celui qu’il voulait voir.

— Ah bah vous voilà ! Je commençais à me demander si vous alliez venir . Votre braguette est ouverte.

— Oups excusez-moi <Ziiip>.

— Pas grave venez je . Mademoiselle que faisiez-vous dans les toilettes pour hommes à moitié nue .. Ah ok, je vois. Veuillez-vous rhabiller et reprendre votre place Nous en reparlerons.

— Euh ne l’engueulez pas, c’est de ma faute.

— Mouais . Bon passons, Suivez-moi.

Le PDG amena Le père Noël et lui offrit une photo encadrée.

— C’est qui cette fillette ?

— La mienne, enfin la vôtre. Celle que vous avez conçu avec ma femme parce que je ne pouvais pas le faire moi-même.

— Elle a l’air en forme.

— Oui et c’est pour ça que je voulais vous voir. Je voulais savoir si vous étiez partant pour recommencer avec ma femme ?

— Ce n’est pas que je ne veux pas mais durant toute l’année, j’ai des obligations .

— Je vous laisse carte blanche, vous pourrez faire ce que vous voulez.

— Je vous l’avais dit la première fois, votre femme elle ne me plait pas. Elle avait eu un accident il me semble et

— Alors là je vous arrête de suite. Elle ne porte plus aucun stigmate ni cicatrice. En plus elle a acceptée de se faire opérer pour faire affiner sa silhouette. Regardez là ! Elle n’est pas belle en bikini ?

— Faites voire . Oh, putin ! . Pardon . mais c’est vrai qu’elle est nettement mieux.

— Oui elle a accepté de m’offrir ça pour mon anniversaire. Alors convaincu ?

— Bah écoutez si ça peut vous faire plaisir .

— Merci et arrêtez votre numéro de blasé de service. Ce n’est pas comme si c’était désagréable à faire.

— C’est vrai . On se met d’accord sur le lieu et la date ?

— On fait comme ça.

Le père Noël venait donc d’accepter de coucher avec la femme du PDG. Il était beaucoup plus enthousiaste cette fois car il l’avait vu et elle était devenue une vraie bombe. Il ne faut pas être hypocrite. S’il avait accepté c’était aussi pour se mettre le patron dans la poche. D’après vous pourquoi l’avait-il accepté la première fois ? Il n’est pas dit que, sans ça, il s’en serait sorti aussi bien face aux accusations de son ancien partenaire commercial qui voulait le faire chanter avant ses vacances.

Le père Noël reparti chez lui dans son véhicule mais son nouveau contact qu’il venait de rencontrer l’intriguait.

— Zéphyr, cherche sur internet ce que tu peux trouver sur Selena Ibanez. Compare-la avec ma liste de livraison spéciale.

— A vos ordres .. Correspondance trouvée.

— Montre-moi ça sur ma tablette.

— Elle est la fille de Lucinda Ibanez.

— Fait voir la photo ? . Ah ouais OK.

— vous l’avez séduite il y a environ trente ans il me semble ?

— Ouais et elle est née neuf mois plus tard je l’aurais parié .. Putin, chui dans une sacrée merde si elle fait le rapprochement je suis cuit.

— Peut-être auriez-vous dû prendre vos précautions ?

— Je voudrais bien t’y voir toi. Je me souviens d’elle, elle voulait se suicider en sautant d’un pont et je l’en ai dissuadé. Elle a accepté de me tailler une pipe pour me remercier mais elle était trop réceptive à mon charme. Résultat : elle m’a littéralement violé dans une ruelle . Bon ok je me suis un peu laissé faire. Dès que j’ai su qu’elle avait eu un gosse, sans savoir le sexe, je l’ai mise dans ma livraison de pièce d’or. Et, comme toutes les autres, ça s’est arrêté à la majorité du môme. Ensuite elle a déménagé et je l’ai perdu de vue.

— Vous ne l’aviez jamais revu ?

— Jamais et puis j’avais autre chose à foutre.

— Il semblerait que vous l’ayez retrouvé finalement. C’est une bonne chose.

— Ça j’en suis pas si sûr.

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