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Quelques jours d'égarement – Chapitre 1




Quelques jours d’égarement

Nous nous promenions en campagne. Nous étions bien et marchions tendrement enlacés dans un chemin creux ombragé. Il y faisait relativement frais.

Nous longions des herbages où paissaient des vaches et aussi parfois des chevaux. Nous étions satisfaits d’avoir loué ce gîte rural et profitions pleinement de ce repos après de longs mois de travail acharné. Elodie avait abandonné tailleur et escarpins et j’avais remisé costume et cravate.

Au fond du champ, qui formait un vallon verdoyant, circulait un ruisseau que nous entendions chanter et nous décidâmes d’aller s’asseoir au bord pour une petite pause. Nous passâmes sous les barbelés. Elle avait un peu peur des animaux et je dus la convaincre que nous ne risquions rien. Ce qui s’avéra vrai et nous restâmes là une petit moment tendrement enlacés, couchés dans l’herbe.

Nous entendîmes soudain des hennissements provenant de l’autre berge du ruisseau. Des coups frappés sur le sol, encore des hennissements. Intrigué, je franchis le ruisseau et sortis de la futaie. Un homme en qui je reconnus notre hôte, un paysan à l’allure un peu rustique mais trompeuse, car il était très agréable, tentait d’équiper l’étalon qui occupait le pré.

Il me vit, me fit un signe et après quelques coups de tête d’esquive de l’animal, parvint à lui passer un licol.

Puis il le guida vers moi.

— Pas facile, le bougre ne veut pas rentrer. Pourtant s’il savait ce qui l’attend !!

— Ah bon quoi donc ?

— Je lui ai trouvé une jument à saillir.

— Ah, je comprends, dis-je en riant. Il va donc passer un bon moment.

— Et ouais ! Il traversa le ruisseau en direction dElodie, restée de l’autre coté.

Et vous ça va ? Ajouta t-il en me faisant un clin d’il.

— Euh oui ça va. Tout est parfait.

— Je ne vous ai pas interrompu, j’espère ?

— Non, non nous nous reposions simplement.

— Ah oui, mais à cette saison parfois, on se sent bizarre Tiens et bien comme Roméo ! Il tendit sa main vers l’étalon. Elodie et moi découvrîmes que ce dernier, ayant sans doute compris les intentions de son maître, était pris d’une certaine raideur entre les pattes arrières.

— Tu t’emmerdes pas toi ! dit l’homme à l’adresse de son animal. Y’a une dame !

Je surpris les yeux écarquillés dElodie face au gigantisme de l’engin qui dotait ce bel étalon.

— Ah bah alors ! Lâcha t-elle.

— Vous n’en aviez jamais vu une comme ça, n’est ce pas ?

— Non, dit-elle le rouge aux joues.

— C’est vrai qu’on est vraiment peu de choses, termina t-il en faisant un clin d’il et en tirant sur le licol. Allez, j’en connais une qui saura quoi en faire. Si ça vous dit

Le paysan disparut dans le chemin. Les sabots ferrés du cheval claquant sur les cailloux.

— Tu as vu ça, me dit-elle en riant, incroyable non.

— Effectivement, c’est impressionnant, dis-je. Ah si seulement .

— Quoi.

— Si j’étais doté d’un tel engin, ma vie serait différente

— La mienne aussi

— Tu ne vas pas me quitter pour cet étalon.

— Hum, j’y songe.

— Tu ne saurais pas quoi en faire.

— Tu crois ça ?

Nous éclatâmes de rire.

— Allez on rentre, on va voir les exploits de ce Roméo.

Nous regagnâmes la ferme.

Devant la grange, le paysan tenait l’étalon au licol et tentait de le convaincre de monter la jument nerveuse qui en fait ne semblait pas disposée.

Après de longues minutes d’essais infructueux, découragé, il laissa tomber.

Je vis combien le regard dElodie était attiré par la hampe de l’étalon qui devait mesurer 80 cm.

La scène s’acheva quand le paysan décida d’abandonner et que la jument attendrait.

Le soir, au lit, Elodie se fit câline. Sous le drap, elle glissa sa main vers mon entrejambe.

— Qu’est ce qui t’arrive ?

— Tu n’as pas envie ?

— Je n’ai pas dit ça. Sa main commençait à me caresser la queue qui se déploya dans sa main.

— Pas déçue, dis-je en riant.

— Si un peu.

— Oui mais au moins celle-ci tu peux la prendre dans la bouche, dis-je en lui prenant la tête et en la poussant sous le drap. Elle m’avala tout au fond. Elle aime sucer et ne s’en prive pas pour mon plus grand bonheur.

— Mais si tu continues à insister, je vais t’emmener voir ce Roméo.

Ma main glissa sur sa hanche. Je la sentis se cambrer. Je contournais la rondeur de la fesse et du bout des doigts caressait la raie. Elle se recula.

— Entre les fesses, tu ne pourrais pas, c’est impossible.

Mon gland fut aspiré brutalement, pendant que ses doigts me massaient les couilles.

— Ca t’a excitée de voir ça ?

Sa langue frottait sous mon frein. Elle m’embrassa goulûment le gland et l’aspira.

Mes doigts pénétrèrent entre les cuisses qui s’ouvrirent. Sa chatte coulait déjà.

— Tu es tellement ouverte que peut être tu pourrais le prendre dans la chatte.

Son doigt glissa entre mes fesses. Mon majeur rampa dans la fente trempée. Elle soupira d’aise quand j’envahis sa grotte.

— J’ai envie de te voir sucer cette hampe énorme.

Sa croupe s’agitait pour aider mes doigts à la baiser.

— Je veux la voir tremper dans l’entrée de ta chatte, oh putain, je veux te voir te baiser avec cette queue énorme.

Elle respirait fort, la bouche pleine de ma queue.

— Je sais que ça t’a excitée, salope, je le sais, tu aimes la queue.

Elle lâcha ma bite, posa sa tête sur mon ventre et me branla vigoureusement.

— Continue, continue de me dire des trucs, soupira t-elle, excite moi.

— Je veux voir ta chatte déborder de la semence de ce cheval, je veux voir ton corps souillé.

Elle jouit en s’empalant sur mes doigts et en reprenant avidement ma queue en bouche.

Je ne tardais pas à la rejoindre dans le plaisir et éjaculais sur sa langue.

Nous ne parlâmes pas de ce qui venait de se passer. Nous avions sans doute un peu honte d’un dérapage tout à fait incontrôlé. Néanmoins, nous avions pris tous deux beaucoup de plaisir.

Nous ne revînmes sur le sujet que le lendemain. Et au cours de la discussion très excitante, Elodie m’avoua que les pénétrations hors normes la faisaient vraiment fantasmer. J’en avais eu la preuve la veille.

Dans l’après midi, nous nous retrouvâmes au lit dans le même état que la veille.

Elle ronronnait littéralement, je sentais son corps agité de spasmes de plaisir. Chacune de mes caresses déclenchait une réaction, certes flatteuse, mais disproportionnée.

— Qu’est ce que tu as ? Demandais-je.

— C’est de ta faute, avec tout ce que tu me dis, je suis hyper excitée.

— Tentée ?

— Je veux jouer avec mon corps et perdre l’esprit. Je suis prête.

Je glissais ma main sur son ventre, elle se cambra, je descendis sur son entrejambe, elle s’ouvrit.

Sa chatte était déjà trempée et ouverte. Elle planta ses dents dans mon cou et soupirant. A part dans l’orgasme, je ne l’avais jamais vu comme ça.

— Mais tu es chaude, bouillante !

— Je veux des sensations pour rassasier ce désir incroyable je n’en peux plus ! Ta bite ne me suffira pas !

Elle se liquéfiait sur mes doigts qui jouaient à l’entrée de son sexe. Ses lèvres étaient souples, parfaitement détendues.

— Trouve quelque chose, je t’en supplie ! Fais moi jouir comme une chienne.

Je jetais un coup d’il circulaire dans la chambre pour répondre à cette supplique. Rien.

Je me levais. Sa main remplaça la mienne.

— Eh là, pas trop vite, sinon tu n’auras plus envie, dis-je.

— Attache moi, sinon je ne pourrais m’en empêcher !

Je pris la ceinture de son peignoir et lui ligotais les deux poignets en passant le lien dans la tête de lit en fer forgé. Une autre ceinture lui maintint les chevilles. Crucifiée sur le lit, elle me supplia encore de me dépêcher de la satisfaire.

Je partis dans la cuisine car je pensais que la solution à mon problème s’y trouvait. J’ouvris le frigo et contemplait les concombres que le fermier nous avait donné en précisant qu’ils seraient à coup sûr délicieux. Quatre beaux concombres ! Quatre ! C’était trop mais bon.

— J’ai trouvé, criais-je.

— Dépêche toi de venir me baiser, je t’en supplie !

Ces propos vicieux dElodie m’excitaient vraiment. Je me sentais attiré par cette expérience.

Je revins dans la chambre en exhibant mes concombres. J’aperçus alors derrière la fenêtre la silhouette de notre hôte. Il fixait Elodie nue, indécente, attachée sur le lit. Il me fit un sourire complice. Sans hésiter, j’allais jusqu’à la porte fenêtre et l’ouvrit.

— Vous tombez bien, lui dis-je.

— Je ne vous dérange pas ?

— Pas du tout, entrez.

Il contempla le corps offert dElodie. Admiratif.

Sans faire attention à lui, je m’assis sur le bord du lit. Elle regarda mes légumes avec envie, le corps agité d’ondes. La présence du fermier ne fit que l’exciter plus encore.

— Montre moi ta queue, lui dit-elle gémissante.

Le fermier n’attendit pas et descendit la fermeture éclair de sa cotte de travail, sous laquelle il était nu. Il avait un corps trapu, musclé et poilu. Il était taillé grossièrement dans un bloc. Il exhiba une belle bite qui surgit d’un épais buisson de poils. Il se débarrassa de son vêtement et s’assit de l’autre coté dElodie. Il posa sa grosse main calleuse sur le ventre creusé par la cambrure de ce corps en délire.

J’avais posé les concombres entre les cuisses dElodie et lui caressait doucement l’intérieur de la cuisse. Il en saisit un et posa le bout juste à l’entrée de ce ventre béant. Le corps dElodie fut agité par un nouveau spasme. Elle tentait de se frotter sur la pointe.

— Met le moi, vite !

Le fermier eut un sourire. Il approcha encore le légume qui se colla entre les lèvres gluantes.

— Je t’en prie, lui dit-elle, ne me laisse pas comme ça, met le moi.

Encore deux centimètres. Il tenait toujours le phallus végétal et poursuivit la progression.

Elodie accueillait sans difficultés cette bite verte.

— Encore ! Tout au fond, baise moi tout au fond.

J’étais fasciné et excité par cette vision. Elle s’agitait autour de ce pieu. Ses beaux seins pointaient.

Le fermier posa la main sur ce beau globe de chair bronzé. Ses deux doigts saisirent le téton et le pressèrent. Un râle envahit la chambre. Le concombre était à moitié planté en elle, distendant ses lèvres intimes.

Tout doucement, il commença un lent va et vient sans cesser de maltraiter le sein. Il tira sur le téton. Elodie se mordait les lèvres.

Le concombre quitta la chatte qui resta ouverte. J’adore la vue de son sexe après l’amour mais là, c’était fantastique !

Le fermier porta le concombre à sa bouche et lécha le jus qui l’enduisait.

— Tu le veux derrière aussi ? Demandais-je à Elodie.

Il m’arrive souvent de la sodomiser et elle aime ça mais le diamètre était bien supérieur à celui de mon membre.

— Bien sûr, qu’elle le veut, me dit le fermier, tu vois comme elle est chaude, je vais l’enculer et elle va aimer ça.

Je défis les liens des chevilles et nous prîmes chacun un pied pour la forcer à nous présenter sa croupe en plaquant ses cuisses sur ses flancs. Le fermier lubrifia le légume dans la chatte et ensuite posa l’extrémité contre la pastille lisse.

Il poussa et le bout rond disparu entre les fesses.

— Allez-y, allez-y, ne cessait de répéter ma tendre moitié.

— C’est le cheval qui t’a excité ? lui demanda t-il.

Elle ne répondit pas juste un soupir.

Son illet se dilatait lentement. Le fermier se pencha et goba le téton. Je fis de même avec l’autre. J’entendais la respiration haletante de notre victime consentante.

— C’est bon, c’est bon, ne cessait-elle de répéter.

Elle poussa un petit cri.

Je me redressais. Jamais je n’avais vu son illet si ouvert, jamais je n’avais pensé qu’elle puisse accepter une telle sodomie.

— Tu veux les deux en même temps ? dit le fermier en approchant son visage de celui de ma salope de femme.

— Vas-y, oui, vas-y.

J’aimais la voir se faire toucher, baiser, sodomiser par ce type rustique. Je ne faisais que regarder maintenant, spectateur de l’orgie.

Le fermier planta un second concombre dans la chatte. Elodie se tordit de plaisir.

— Détache moi, me souffla t-elle.

J’obéis à cette supplique, curieux de voir ce qu’elle allait faire. Elle tenta aussitôt de saisir cette bite parfaitement gonflée.

Le fermier se pencha pour regarder les deux orifices occupés dElodie. Il manuvrait les légumes alternativement. Chaque pénétration était profonde. Je ne l’avais pas souvent vu aussi gémissante. C’était bon.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, il libéra les deux issues. L’illet m’apparut totalement dilaté puis lentement se referma. La chatte trempée resta ouverte.

Elle se plia en deux et avala la queue du paysan, qui râla de plaisir. Il posa ses mains dans les cheveux et appuya pour qu’elle l’avale totalement.

— Putain, mais ta femme est une furie, elle en veut !

— Oui, c’est une vraie salope, elle aime se faire baiser. Si tu as des amis, invite les, elle leur fera plaisir.

Elodie embrassait le gros gland et le léchait avec une gourmandise évidente. Je savais que mes propos l’excitaient encore plus.

— J’ai envie de bien te baiser, dit l’homme en la regardant. Je vais t’emmener à l’écurie, j’aime baiser là bas.

Il tira Elodie par le bras et sortit en la tirant. Nous traversâmes la cour de ferme tous les trois nus.

Il la poussa contre les mangeoires et il y prit appui, pliée en deux, croupe offerte.

— Putain mais quel cul ! dit-il en contemplant les fesses.

Il les écarta largement, entrouvrant l’illet préparé par le concombre. Il plongea son majeur dedans sans délicatesse, arrachant à sa victime un gémissement.

Il la traitait de tous les noms et la sodomisant de tout son doigt. Les yeux clos, elle écoutait avec délice. Une chaîne destinée à attacher les bêtes pendait de la mangeoire, il s’en saisit et l’enroula autour de son cou gracile.

Il planta son index aux cotés de son majeur. Elle s’offrait totalement, les reins cambrés, les fesses ouvertes.

Enfin il se présenta derrière elle et posa son gland contre son orifice.

— Tu le veux ?

— Oui, vas-y, encule moi fort.

Elle ne parlait jamais comme ça.

Le paysan contempla son outil et d’un coup encula Elodie jusqu’à la garde.

Il la tenait aux hanches et écartait les fesses pour bien voir. Les seins de ma moitié se balançaient sous elle. Il les attrapa et se mit à les pétrir férocement.

— Viens la baiser aussi, me dit-il en s’écartant. Elle va me sucer encore.

Je le remplaçais de la même façon, brutalement.

— Tiens espèce de pute, dis-je en donnant mon coup de reins.

Le paysan trouva sa bouche gourmande. Tout en l’enculant, je la regardais sucer.

Nous échangeâmes nos places plusieurs fois, baisant ses deux orifices à volonté.

Elle avait déjà joui mais en demandait encore.

Je commençais à faiblir. Après une série de coups de reins rapides dans ses deux ouvertures, je sentis ma semence monter. J’éjaculais abondamment à l’entrée de son anus béant.

Le paysan prit ma suite et ramona fébrilement Elodie jusqu’à l’orgasme.

Sa semence se répandit sur l’orifice gras.

Il se soulagea en beuglant et inonda la raie déjà trempée.

Il reprit ses esprits. Il claqua les fesses dElodie comme il l’aurait fait à une bête.

— Toi, dit-il, tu vas passer une bonne semaine ici.

Il repassa sa cotte et me fit un clin d’il et prétexta du travail pour s’esquiver sans plus de cérémonial, nous laissant seul.

Je contemplais le corps ravagé de Elodie, et retirais la lourde chaîne, puis nous regagnâmes l’appartement.

Le soir, dans le noir, elle me dit combien elle avait aimé être traitée ainsi, comme la bête qu’elle était devenue. Elle avait joui à plusieurs reprises.

— Ce sera une semaine hors du temps, fantasmée lui dis-je.

Le paysan nous salua très cordialement et un grand sourire après une bonne nuit. Il était déjà au travail. Comme tous les jours nous partions nous promener autour de la ferme.

Alors que nous allions quitter la cour, il nous appela :

— Au fait, j’ai invité des amis comme vous me l’aviez dit hier. J’espère qu’elle sera prête car je leur en ai parlé et ils sont excités comme des puces ! Ils viendront pour l’apéro ! 18 heures, dans la cour ! Allez bonne ballade ! Il reprit le fil de son travail.

Nous n’en parlâmes même pas de peur de susciter une frayeur disproportionnée et malvenue car moi j’étais très excité. Je la sentais aussi curieuse et l’aveu du plaisir qu’elle avait eu la veille me rassura sur ses dispositions.

A 18 heures, nous étions dans le séjour et nous entendîmes plusieurs voitures entrer dans la cour. Je jetais un regard par la fenêtre. Ils étaient 5 dont un couple. Je fus surpris de voir sa tenue plus que provocante. Elle n’aurait pas détonné au Bois-de-Boulogne. Elle semblait intime avec tous les hommes. Je vis notre hôte lui indiqué notre gîte.

Elle s’approcha et frappa à la porte.

— Salut, je viens rencontrer ta femme, il paraît qu’elle est bonne à baiser et qu’elle aime ça.

Je m’effaçais et la laissais entrer. Elodie, assise dans le canapé, ouvrit de grands yeux en la découvrant.

— Salut chérie, ils sont impatients de te voir.

Je regardais cette femme ronde, sautillante sur ses hauts talons, sa croupe rebondie serrée dans une mini jupe de skaï, ses jambes couvertes de résille noire. J’avais remarqué sa poitrine énorme en ouvrant la porte. Son décolleté contenait à peine les seins lourds et j’avais même distingué le haut des aréoles.

— Tiens, dit elle en tendant le sac qu’elle avait apporté, tu vas passer ça, c’est exactement ce qu’ils aiment.

Elle s’assit sur une chaise, heureuse.

— Ah c’est bien d’avoir du neuf, y avait longtemps.

Entre ses cuisses, j’aperçus le blanc d’un string, moulant une chatte sans doute aussi rebondie que le reste.

Elodie sortit le contenu du sac.

— Allez chérie, passe moi tout ça, je te garantis que tu vas leur plaire !

Son regard vicieux détaillait Elodie.

— D’ailleurs, tu me plais aussi, je sens que l’on va bien s’amuser. Ils aiment bien ce genre de costume mais il faut le comportement qui va avec ! Allez !

Elodie partit dans la salle de bains.

— Tu sais que t’es pas mal aussi, dit-elle en me regardant. J’aime les beaux gars comme toi, jeune et fort. Viens.

Je ne bougeais pas.

— Allez viens, je ne vais pas te manger ! Quoi que ! Ça me tenterait bien. Viens.

Je m’approchais.

— Allez viens profite ! Elle écarta son décolleté et me fit voir un sein énorme. Une masse molle surmonté d’un téton gigantesque et ceinturé par une aréole surdimensionnée.

— Touche, n’aies pas peur, c’est du vrai !

Elle prit ma main et d’autorité la posa sur ce globe chaud.

— Allez, vas-y, profite ça te change !

Curieux, je pétris cette masse. La femme ronronnante, écarta ses cuisses pour me témoigner son affection.

Elodie sortit de la salle de bains. Une professionnelle n’aurait pas fait mieux. Maquillée à outrance, la femme délicate s’était muée en femme provocante.

— Super, t’es super, dit la femme en se levant et en la rejoignant.

Elle inspecta tout, sans aucune gêne comme une marchandise.

— Allez, faut y aller, ils doivent s’impatienter.

Nous rejoignîmes les 5 hommes qui, assis sous la tonnelle dallée immense, buvaient un verre.

Il n’y avait là que des stéréotypes de paysans. Solides, rustres.

Leurs regards ne me firent pas douter du fait que la chair fraîche les intéressait.

Il y eut un silence quand nous arrivâmes.

— Vingt dieux ! dit l’un d’eux.

Puis l’ambiance revint et les verres furent vidés.

La femme s’était assise sur les genoux de notre hôte. Celui-ci lui caressait l’intérieur des cuisses. Elle les laissait s’ouvrir.

— Et toi Mathilde, tu la trouves comment ?

— Moi, répondit-elle de sa voix grasse et un peu éraillée, je lui ferais bien des choses !

Elle agita sa langue vers Elodie, déclenchant des rires nerveux dans l’assemblée.

— Attention les gars, dit le propriétaire, quand elle a vu mon Roméo (l’étalon) elle était dans tous ses états. Elle aime les grosses queues !

— Comme la Mathilde, elle le connaît bien le Roméo !

— Hum, le Roméo, dit la Mathilde en passant une main entre ses cuisses, rien que d’y penser ça m’excite.

— Et si tu allais le chercher ton Roméo ?

— T’as raison, dit le propriétaire en se levant, je reviens.

Un des hommes attrapa Elodie par la main et l’attira vers lui. Sa jupe plus que mini cachait difficilement la naissance de ses fesses. Un bustier de soie cachait à peine ses seins qui pointaient. Elle se tint debout entre les cuisses écartées de l’homme. La grosse main calleuse se posa sur les bas résilles et remonta sur la cuisse fine.

L’homme se tenait l’entrejambe.

— Eh, t’es gourmand, dit un autre.

— Elle m’excite comme un dingue.

Les doigts épais montèrent sous la jupe et contournèrent la fesse. Par rapport à Mathilde, Elodie paraissait maigre alors que sa croupe voluptueuse envoûterait n’importe quel mâle.

— Tu es une salope, dit l’homme en levant les yeux vers elle.

Elle lui fit un grand sourire.

La main flattait les fesses. L’homme s’approcha d’elle. Un mouvement de la main cachée par la minijupe. Elodie écarta les cuisses.

— Tu es une vraie fontaine.

Je devinais qu’il avait atteint la chatte de ma moitié.

Le propriétaire s’approcha enfin tenant Roméo par la bride.

— Ah, fit la Mathilde, enfin.

Les hommes partirent d’un éclat de rire.

Il arrêta Roméo au milieu de la tonnelle.

Mathilde se leva et se dirigea sans hésiter vers le cheval.

Elle le flatta sur les flancs et l’animal sembla la remercier en tournant la tête vers elle.

— Il t’a reconnu !!

Mathilde pas émue des sarcasmes des pervers qui la regardaient, continua de caresser le pelage bai. Elle se tenait au niveau de la croupe.

— Alors, sa hampe t’a excitée ? dit-elle en s’adressant à Elodie que l’homme caressait encore.

Elle ne répondit pas, elle était toute rouge.

— T’avais jamais vu une queue pareille ?

La main de Mathilde descendait sur la cuisse. Elle se penchait nous laissant voir ses seins énormes aux tétons bandés.

Sa main tourna le ventre rond. L’étalon leva la tête et s’immobilisa.

— Moi j’ai déjà baisée avec lui, il m’a prise devant eux.

Sa main disparut sous le ventre. Le cheval leva les oreilles.

— Hum, je suis sûre que tu vas aimer.

La main de Mathilde se mit à bouger doucement.

Elle tenait le fourreau à pleine main et caressait l’animal.

— Viens, approche toi, dit-elle à Elodie.

L’homme qui la touchait repoussa Elodie. Elle me jeta un regard perdu. Un autre la poussa encore vers la Mathilde.

— Viens, n’aies pas peur, il aime ça, dit cette dernière de sa voix grasse.

Elodie était à deux pas de Mathilde qui continuait à préparer l’animal.

— Tu vois ça l’excite aussi.

La hampe apparut. Elle penchait vers le sol.

Je vis Elodie fixer ce membre géant. Un coup d’il vers moi. Puis à nouveau la hampe qui continuait à enfler. J’imaginais la tempête qui lui chavirait les esprits, prise entre un désir obscène et la honte de ce même désir.

Un des hommes se leva et s’approcha d’elle dans son dos. Il se colla à elle et je vis les grosses mains puissantes remonter sur le ventre plat de Elodie. Elle respirait fort et ses seins semblaient sur le point d’exploser.

— T’as envie hein, ma salope, souffla-t-il en emprisonnant sa poitrine.

Elle se cambra instinctivement, greffant sa croupe sur l’entrejambe bandé de l’homme.

Jamais je n’avais vu Elodie dans cet état. Elle ronronnait, ondulait, se frottait et semblait prête à tout. J’hésitais à prendre part à ses envies. Je bandais ferme et tous les fantasmes tapis au fond de moi surgissaient violemment. Ces hommes rustres, pervers, cet étalon à la hampe surdimensionnée qui la captivait.

La Mathilde s’agenouilla sous le flanc de l’animal. De là où j’étais je la voyais mal, j’entendais sa voix :

— Regarde ma chérie, comme elle est énorme.

Elodie la fixait, les yeux grands ouverts. L’homme lui dénuda la poitrine. Ses tétons étaient durs. Les grosses mains pétrirent ses seins généreux. Une main glissa vers la ceinture. Le ventre se creusa et la main passa entre les cuisses. Elle gémit.

— Putain, elle est dans un état, les gars.

J’entendis un murmure de Mathilde :

— Humm, viens goûter ma chérie, viens tu va voir, tu vas sentir cette grosse queue sous ta langue, viens. Huuummm !

L’homme poussa Elodie. Mathilde lui tendit la main et tira. Elodie se retrouva à genoux à ses cotés.

— Vas-y touche. Lance toi. C’est bien, vas-y, branle le.

Je ne pus résister et contournait la bête pour voir exactement ce qu’il se passait. La vision de la hampe démesurée emprisonnée entre les doigts fins faillit me faire jouir. C’était d’une violence incroyable !

Surtout le regard presque étonné dElodiequi caressait cette bite géante avec passion. Mathilde y allait de sa langue de temps en temps. Sa bouche gourmande s’approchait du gland étrange.

— Goûte maintenant !

Elle le fit, sous les yeux de tous. Les types commençaient à bien s’exciter et tous avaient sortis leurs bites dressées pour se caresser en la regardant faire.

Mathilde souriait en la regardant faire. Elle la laissa s’exciter encore plus puis elle l’attira entre les pattes. Elodie à quatre pattes présenta sa croupe à la hampe. Mathilde la tenait en main et la guida entre les fesses.

— Tu imagines, lui susurra t-elle, tu imagines ça dans ta chatte. Le gland frottait la peau douce des fesses rondes.

Mathilde malmenait la hampe et la frottait sur tout l’entrejambe dElodie.

Celle-ci se cambra brusquement :

— Non, non pas maintenant, dit-elle en se retournant vers Mathilde.

Celle-ci hésita.

— Tu veux prendre ton temps ? Tu as raison, il ne faut pas tout découvrir tout de suite.

Tourne toi !

Elodie obéit et s’allongea. Elle tenait toujours la hampe luisante. La vue de ce monstre reposant sur son ventre me poussa de façon irrésistible à sortir à mon tour ma queue. Je n’en pouvais plus. La hampe sombre se posa entre ses seins. Elle regardait le gland qui s’écrasait sur sa peau, laissant les traces gluantes. Elle prit appui sur ses pieds et releva son bassin vers le ventre. La hampe allait de sa chatte jusqu’à sa gorge. Elle ramena sa tête contre sa poitrine et approcha sa bouche de la chair animale gluante. Sa petite langue rose darda vers l’objet de son désir. Sa souplesse de gymnaste lui permettait cette prouesse physique.

Mathilde caressait sans douceur cette queue monumentale.

— Tu vas voir, il va t’inonder la bouche, allez lèche, donne lui du plaisir ! Plonge dans le vice, ne pense qu’à tes fantasmes. Allez, c’est ça, suce, suce encore.

Et Elodie le faisait. Avec une passion dévorante.

Elle tenait la queue à deux mains, branlant ce qu’elle pouvait, suçant de même. Les hommes s’étaient approchés, moi aussi. Nos regards la rendaient folle. Elle frottait sa chatte contre la chair sombre.

— Dis que tu aimes !

— Oui, j’aime, j’adore, je le veux en moi, je veux goûter son jus.

Mathilde branlait en même temps et soudain, la bête bougea, la hampe devint si raide qu’elle semblait de fer.

— Ouvre la bouche ! Il vient !

Elodie attendit, bouche ouverte, langue sortie, sans cesser de branler.

Le flot inonda son visage sous les cris de satisfaction de l’assemblée perverse dont je faisais partie.

Vision incroyable de cette crème épaisse et abondante, qui gicla en plusieurs fois, trempant le visage de ma dulcinée, ruisselant sur sa langue, sur son menton, ses seins. Elle ne refusa pas cette inondation, l’accueillit même avec soulagement. La hampe disparut, l’animal écarté. Restait Elodie, trempée, nue, offerte aux regards de nous tous.

Mathilde se plaça à quatre pattes entre les cuisses écartées. Elle approcha son visage de la poitrine et se mit à la lécher goulûment. La semence faisait des fils.

Les hommes se saisirent des deux femmes collées l’une à l’autre. Elle ne m’appartenait plus.

Elles se collaient, frottaient leurs seins, leurs ventres. Elles s’embrassaient avec passion, se caressaient furieusement. Elles étaient allongées sur le flanc. Les paysans, tels des maquignons au marché écartèrent leurs cuisses, dévoilant leurs entrejambes ruisselants de désir. Leurs chattes grasses étaient béantes prêtes à les accueillir.

Elles reçurent chacune l’hommage d’une queue tendue en elle. L’enchevêtrement de corps était obscène mais tellement excitant. Les coups de reins les firent gémir. Mathilde lapait le visage encore sale de Elodie.

Deux types les baisaient. Deux autres vinrent s’agenouiller à leurs têtes. Elles acceptèrent l’offre et avalèrent les queues qui se tendaient vers leurs bouches.

— Ah, les salopes, dit le propriétaire, enculez les ! Il se faisait sucer par Mathilde, les yeux exorbités.

Ses volontés furent exécutées, à la lettre et les deux femmes furent sodomisées de concert.

L’hallali dura de longues minutes, elles furent prises devant, derrière, échangées à plusieurs reprises jusqu’à l’apothéose que j’observais dans un état second.

Les semences jaillirent sur elles, sur leurs chairs intimes dégoulinantes. Corps arqués, bouches ouvertes, mains crispées sur des queues d’acier.

Le calme revint, l’espace ne fut plus envahit que par les derniers gémissements et les souffles courts.

Elodie était allongée sur le sol, cuisses écartées, bras en croix. Sa chatte était trempée, dilatée.

Le propriétaire se tourna vers moi.

— Tu ne veux pas la baiser ? me demanda t-il avec un sourire.

— Si.

Je me mis entre les cuisses et plongeait ma queue en elle.

Elle était anéantie et cela m’excitait encore plus. Ma bite flottait dans ses chairs gluantes. Je la pilonnais un bon moment avec ardeur. J’étais fasciné par les balancements de ses seins brillants d’humidité.

Je sortis d’elle et pour compléter le déroulement de la perversion que nous venions de vivre, lui ramenais les cuisses sur le ventre et la sodomisais d’un coup jusqu’à la garde.

J’éjaculais sur son illet ouvert sous les regards de nos hôtes.

Il était 21 heures. L’orgie avait duré trois heures.

Le lendemain, Elodie et moi nous promenions dans la forêt. Il faisait beau et chaud. Elle portait une robe légère qui flottait autour d’elle. Nous débouchâmes dans une grande trouée qui abritait un pré. Un splendide cheval noir s’y trouvait. Il devait se sentir seul car en nous apercevant, il s’approcha au petit trot et stoppa à la barrière.

En cavalière accomplie, Elodie s’approcha de lui et lui flatta l’encolure.

— Qu’est ce qu’il est beau, dit-elle admirative.

C’était vrai, cet animal était superbe.

Elle se plia en deux et passa sous le fil électrique. Elle se trouvait sous le cou énorme et passa son bras pour attirer sa tête. L’animal soufflait fort.

— Tu es seul, hein ? lui dit-elle. Il y a bien longtemps que l’on ne s’est pas occupé de toi.

Elle fit quelques pas pour le dégager de la clôture.

Je braquais mon objectif vers elle. Elle me fit un grand sourire pour la photo.

— J’ai bien envie de l’essayer, tu crois que je peux.

— Ecoute, on va pas le manger, vas-y fais toi plaisir.

Elle se mit de coté et d’une impulsion s’éleva pour se retrouver assise sur la bête. Dans son mouvement, j’aperçus son entrejambe nu. Coquine, pensais-je.

L’animal se laissa faire apparemment heureux que l’on s’occupe de lui.

Elle le manuvra facilement grâce à son expérience de cavalière, puis elle s’éloigna vers le fond du champ au petit trot. Je franchis la barrière à mon tour.

Le pré était très grand et elle partit jusqu’au bout faisant même prendre un galop lent au cheval.

Elle revint ensuite vers moi.

Elle était resplendissante et je la sentais vraiment heureuse de pouvoir monter.

Elle stoppa l’animal devant moi.

J’avais sa cuisse nue devant moi, la robe s’était relevée avec les secousses et le vent. J’entrevis même l’ombre de son entrejambe. Ses tétons pointaient sous le tissu.

Je me reculais un peu pour saisir cette image. Elle était superbe et tellement désirable que mon émotion finit par se voir. Cela la fit rire.

— La belle et la bête, me souffla t-elle.

Puis tout doucement, elle défit un à un les boutons de sa robe.

— En club ce n’était pas possible, alors je ne vais pas me priver, dit-elle devant mon regard un peu surpris. C’était un fantasme. Sa robe s’écarta pour dévoiler tout son corps généreux.

— Tu es splendide, confirmais-je.

— Je vois que tu aimes.

Elle fit faire une volte au cheval et le fit s’élancer. L’animal répondait bien. Avec la vitesse, sa robe se mit à flotter derrière elle. Je vis ses fesses nues, ses reins. Un cliché pour mémoire.

Je m’avançais dans le pré.

Elle revenait vers moi au grand galop. Puis au trot, elle se mit à tourner autour de moi.

Je gagnais le milieu du pré.

— Tu es belle, lui criais-je.

— Je t’excite ?

— Beaucoup.

Sans cesser de trotter elle se débarrassa de sa robe, la maintenant telle un étendard. Elle la lâcha à mes pieds.

— C’est bon ! hurla t-elle.

Elle arrêta l’animal près de moi. Elle était essoufflée, et elle se coucha sur la croupe de l’animal offrant sa nudité au soleil. Ses seins étaient gonflés et j’aperçus même sa chatte que les frottements sur le pelage noir avait du éveiller. Elle brillait. J’étais maintenant moi aussi réellement excité.

— Déshabille toi aussi, je t’emmène ! dit elle en se relevant prestement.

— Tu es folle, dis-je en riant.

— Allez, profitons-en. Allez, à poil.

En riant, je lui obéis, un peu surpris du tour que prenait la scène. Mais c’était assez tentant, il fallait bien l’avouer. Elle me tendit la main et m’aida à monter derrière elle. Curieuse sensation que de sentir sous mes fesses le pelage humide de la bête. Je me collais à elle, ma queue tendue se greffa contre ses reins, je posais mes mains sur ses hanches, le cheval s’élança à la première sollicitation de ses talons.

Cavalier médiocre, je devais me cramponner à elle pour ne pas tomber. A chaque fois que l’animal retombait sur le sol, ma queue frottait contre son dos, comme une caresse.

— Vas doucement, dis-je.

Elle le remit au pas.

Je me mis à l’embrasser dans le cou, et mes mains remontèrent sur ses seins. Elle me laissa faire, laissant sa tête aller sur mon épaule, me donnant l’autorisation de poursuivre. Je la mordillais dans le cou. Elle se recula encore pour bien sentir ma queue dure.

Ma main glissa sur son ventre et parvint sur le pubis imberbe. Elle soupira encore et je perçus un mouvement d’écartement de ses cuisses. Mon majeur parvint sur le haut de sa fente. Je perçus la chaleur qu’elle dégageait. Je posais ma phalange sur son clitoris. Il était gorgé de sang.

— Encore, continue me souffla t-elle.

Je fis glisser encore mon doigt et il rencontra les liqueurs épaisses que sa chatte secrétait. Elle était sexuellement excitée.

Quand mon majeur se présenta à l’entrée de sa chatte, elle l’avala littéralement en gémissant.

— J’ai envie de te baiser bien à fond, lui soufflais-je à l’oreille.

— Je t’en prie, fais de moi ce que tu veux, je coule comme une fontaine, j’ai envie.

Je ne la laissais pas finir sa phrase et lui plantait deux doigts dans son sexe trempé.

Nos mouvements menaçaient de nous faire tomber, je quittais le dos de l’animal et l’aidait à descendre. Elle se jeta littéralement sur moi.

— Je veux ta queue, prend moi ! Gémit-elle.

Je la repoussais fermement car j’étais tellement excité que je craignis une éjaculation précoce qui aurait brisé le charme. Elle se retrouva dans l’herbe. Elle s’offrait à moi, le bassin ondulant, le sexe offert. Je me mis à genoux et approchais mon visage de la fourche de ses cuisses. Elle attrapa ma tête et la plaqua contre sa chatte.

— Lèche, bois mon jus, baise moi.

Je ne pus résister à cette offrande et poussais ma langue entre ses chairs détendues par le désir.

Elle se cambra dans l’herbe rase. Elle était excitée comme jamais. Je vis ses mains chercher quelque chose. Quand je vis ses doigts attraper le fourreau de l’étalon qui patientait au dessus d’elle, je faillis défaillir.

— Oh la belle queue, dit-elle. Voilà ce que je veux en moi, un bel étalon. Je veux qu’il me baise !

Nous proférons souvent pendant nos étreintes des propos obscènes mais là c’était une première. Au lieu de me dégoûter, cela m’excita plus encore. Elle branlait doucement le fourreau.

— Viens mon beau, montre moi ta queue, murmurait-elle, la voix tremblante d’excitation.

Je replongeais entre ses cuisses pour laper sa chatte comme un fou. Je frottais mes lèvres, mes joues, mon nez contre la fontaine qui jaillissait de son sexe.

Lentement, la hampe de l’étalon se développa.

— Ah cette queue ! Je la veux dans la chatte ! Tu veux qu’il me baise ? Dis moi tu veux ???

Elle branlait la gigantesque bite noire qui prenait de plus en plus d’ampleur sans avoir la raideur maximale. Pour l’instant elle n’était encore qu’un sexe mou mais énorme, gonflé de sang qui descendait vers son visage d’ange pervers.

Elle frotta le gland étrange sur sa poitrine généreuse. Elle brillait de liquide séminal translucide, abondant, épais.

— Arrête, me dit-elle en me tirant les cheveux pour que je cesse la fouille de son sexe baveux.

Je me redressais à quatre pattes au dessus d’elle. Je me rapprochais pour mieux voir la hampe tacher ses seins pointés. Tout en gardant son regard planté dans le mien, elle manuvra la bite sombre et luisante et l’approcha de son visage.

— Tu veux bien ?

— Tu as envie ?

— Oui !

— Moi aussi..

Elle tendit sa langue rose vers le bout gonflé qui lui cachait la moitié du visage. Elle passa sa langue timidement et recueillit un fil de liquide. Elle remonta, avalant ce flux brillant. Elle allait poser sa langue sur la bête.

— Hummmm.

Elodie, ange démoniaque embrassait la queue géante. Ses lèvres s’écrasaient sur la peau et sa langue virevoltait à l’extrémité du gland.

— Vas-y, suce le bien. Tu es une chienne, une salope.

Elle aime que je la traite ainsi quand nous faisons l’amour.

Elle ouvrit grand la bouche et avala le gland. Elle ne me quittait pas des yeux.

— J’aime, j’aime, susurra t-elle pour mieux le reprendre ensuite.

C’était formidable. Ma queue coulait de désir. Je perdais pied et me sentais poussé par des instincts d’animal. Dans mon esprit embrumé se succédaient des images obscènes de sa chatte perforée par un vit monstrueux, de sa bouche honorant une queue diabolique, de ses fesses transpercées par une colonne de chair géante.

Je me penchais pour avaler un téton bandé, je dévorais son corps tendu par le désir. Elle continuait à sucer la bite de l’étalon. Soudain, je sentis quelque chose frotter ma joue. Quelque chose d’humide et chaud.

— Tu le veux aussi, souffla t-elle. Suce le avec moi !

J’étais dans un tel état d’excitation que plus rien ne pouvait me faire reculer. Je tournais mon visage et elle me fourra le gland dans la bouche. Sa langue vint jouer juste à coté et nous nous livrâmes à un duel pervers. Nous léchions la hampe de concert, avec la même volonté de trouver un plaisir pervers nouveau.

— Tu aimes ça ? me demanda t-elle.

— Oui, tu sais combien j’aime sucer des queux devant toi, répondis-je

Dans la passion qui nous agitait, nous étions totalement allongés cote à cote sous la bête.

Nos corps étaient agités de vagues irrésistibles, nous tenions la hampe chacun d’une main pour entretenir cette raideur pendant que nos bouches buvaient à cette source.

— Je veux qu’il me baise, haletait-elle, je veux que tu me la mettes dans la chatte, je t’en supplie.

Alors, guidé par nos fantasmes communs, je la plaçais sous la bête. Elle écarta largement les cuisses. En appui sur les coudes, elle contemplait les ravages provoqués par nos envies bestiales sur sa chatte béante et dégoulinante. Ses lèvres roses, brillantes étaient largement ouvertes, ses sécrétions s’en échappaient et coulaient dans sa raie épilée. Je saisis le membre et l’approchais de ce gouffre.

— Vas-y, allez, vas-y, je t’en supplie.

Je me mis à frotter le gland fortement veiné contre cette chatte visqueuse. Elle gémissait d’excitation et se malaxait les seins avec force, se pinçant fortement les tétons.

— Vas-y, baise moi avec cette queue.

Je forçais et le bout du gland se cala dans l’entrée. Elle ondula pour avancer son bassin et s’empaler elle-même sur l’étalon. J’étais fasciné par la vue de ses lèvres distendues qui peu à peu avalait le gode vivant. L’étalon avança un peu et pénétra plus avant dans le gouffre.

Mon autre main partit entre ses fesses et mon majeur flatta son illet.

— Je vais te la mettre dans le cul ! lui murmurais-je.

— Oui, ce que tu veux, tout !

Elle donnait des coups de reins violents, dosant elle-même la fouille de son ventre.

Elle se plia en deux, attrapa la hampe à deux mains et tira dessus pour l’enfoncer encore.

— Je suis une pute ! Humilie moi ! Mets la moi dans les fesses !

Je sortis la queue de sa chatte. J’étais subjugué par la dilatation de son sexe qui restait ouvert. Une liqueur blanche épaisse s’écoulait. L’animal avait-il éjaculé ? Je recueillis la crème avec mes doigts et la goûtais. Je reconnus ses sécrétions. Je repris possession de sa chatte. Elle accueillit quatre doigts sans aucune difficulté tellement elle avait été élargie. Une fois mes doigts bien enduits, j’entrepris de l’enculer. Un, deux puis trois doigts envahirent sa gaine.

Toujours pliée en deux elle avait repris la hampe en bouche et s’acharnait dessus, la poussa au fond de sa gorge, lapant la peau noire.

Je posais le gland sauvage sur

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