Hier soir, Maryse a échangé un plaisir charnel avec son époux, mais des visions érotiques sont apparues lorsqu’elle a repensé à monsieur Bouteille. Le premier client qu’elle a eu et qui était en train de se masturber dans la chambre.
Ce n’est pourtant pas un apollon. Il a une petite bedaine, et puis son hygiène semble être assez désastreuse, et pourtant au fond d’elle, une envie est apparue. Elle qui a toujours été fidèle à son époux après dix ans de mariage. D’ailleurs, son mari est son seul et unique partenaire. Est-ce que c’est ce sentiment qui la trouble ?
Qui lui donne envie de franchir le pas de l’interdit ? Autant de question qui torture l’esprit de cette pauvre Maryse. Toujours est-il qu’il est deux heures du matin. Elle essaye tant bien que mal de s’endormir. Mais c’est assez compliqué.
Il est sept-heure et demi, le réveil d’Antoine sonne, ce dernier part travailler. Et comme d’habitude, son épouse se prépare pour être présentable afin d’effectuer les prestations qui lui sont demandées chez le fameux monsieur Bouteille.
Inconsciemment ou pas, en ces derniers jours d’été, elle a choisi de mettre une robe lui arrivant à peine au-dessus du genou, mais ce n’est pas ce détail qui pourrait paraître gênant. Le petit bémol se situe un peu plus haut puisque son décolleté est un peu pigeonnant et laisse paraître suivant les mouvements la lisière de son soutien-gorge.
Elle prend sa voiture et part au domicile du sexagénaire. Il est neuf-heure, elle sonne à la porte. L’homme l’accueille en lui tendant la main, qu’elle serre cordialement. Comme tous les matins, il lui propose un petit café avant de commencer ses activités, ce qu’elle ne refuse pas. Ils discutent aussi de l’actualité, puis au bout de dix-minutes Maryse s’active.
Après avoir remis en état la cuisine, une partie de la salle de bains et dépoussiérer les bibelots de la salle à manger la veille, elle prend la décision de faire la chambre. Elle met dans un panier les vêtements sales. Tout y passe, les slips souillés, les chaussettes mal odorantes et quelques chemises froissées.
Elle fait deux machines étant le linge à l’extérieur de la maison, puis passe un grand coup d’aspirateur dans la pièce. L’homme est quant à lui dans le jardin, il s’occupe de ses plantes vertes et arrose ses fleurs de saison. Elle regarde tout de même l’heure, il est dix heures trente, il n’y a plus qu’une heure et demie de travail.
La chambre est vraiment un chantier incroyable. L’aspirateur semble même souffrir de la situation à tel point qu’il se bouche. Maryse se penche donc en avant pour voir d’où provient cet incident. Un gros bout de papier en est la cause. Elle essaye de l’enlever et s’aperçoit qu’il s’agit d’un magazine.
Bien entendu, ce dernier a une connotation pornographique, puisqu’on y voit clairement une fille se faire prendre par un sexe d’une taille inimaginable. La femme d’Antoine est prise de panique, ne sait que faire de ce bout de papier hormis le fait de le mettre à la poubelle.
Elle se penche une fois de plus pour vérifier si le dessous du lit n’est pas encombrer. Malheureusement, c’est le cas, et il s’agit d’un tas de revues pornographique. Au même moment, monsieur Bouteille fait son apparition. Avec une voix plutôt moqueuse, ce dernier lui indique qu’elle a une paire de fesses plutôt jolies.
Elle sursaute, se réajuste et se trouve un peu bête avec les livres dans la main. Ce dernier lui demande si la lecture est plaisante, mais Maryse ne se laisse pas faire et lui répond qu’elle souhaite simplement aspirer le dessous du lit afin de faire son travail le plus consciencieusement possible et qu’elle ne pensait pas tomber sur ça.
L’homme ricane puis lui demande de tout poser sur le bureau qui est à proximité de la porte et lui dit qu’il fera plus attention à l’avenir. La femme exécute l’ordre de monsieur Bouteille.
Son ventre se serre légèrement, elle suspecte ce dernier d’avoir des idées perverses à son sujet. Dans tous les cas, elle doit faire ce qui lui est demandé. Elle a à peine le temps de poser les revues que l’homme lui a mis une petite claque sur les fesses. Elle semble frustrer par ce comportement, mais repense aussitôt à ses rêves plus ou moins érotiques de la veille.
Elle continue donc de passer l’aspirateur en dessous du lit, mais monsieur Bouteille ne change pas de position. Ce dernier est accoudé au montant de la porte, il continue de regarder vicieusement en dessous de la robe de Maryse. Il se délecte de ce spectacle puis au bout d’un moment enlève la fermeture éclair de son pantalon et sort son sexe.
Il commence à se masturber. Sa verge prend une forme généreuse. Lorsque l’épouse d’Antoine se relève et se retourne, elle voit l’homme faire sa petite affaire. Dans un premier temps, elle prend un air outré, lui demande de ranger son matériel, et de se soulager un peu plus tard. Mais l’esprit de cette dernière en décide autrement à tel point que le bas de son ventre commence à bouillir de désir.
Elle essaye d’être la plus professionnelle possible puis sort de la pièce. Il est onze heures, l’heure du repas approche et comme la veille, elle demande à monsieur Bouteille ce qu’il désire. Celui-ci ne répond pas, elle retourne dans la chambre et voit ce dernier se masturber, allonger sur le lit.
Elle lui indique que la veille, il lui avait promis qu’il ne recommencerait pas et qu’il se tiendrait correctement. L’homme lui répond assez sèchement qu’aujourd’hui, ce n’est pas lui qui a provoqué cet effet, mais bien elle lorsque son fessier est apparu devant ses yeux. Effectivement, avec un peu plus de prudence cet incident n’aurait pas eu lieu, et peut-être qu’avec une tenue un peu plus correcte l’homme n’aurait pas réagi de cette manière.
Maryse sait très bien ce qu’elle recherchait aujourd’hui. La masturbation de la nuit précédente n’est pas anodine, elle est bien au contraire révélatrice d’un besoin de découvrir. Et pourtant, jusqu’à maintenant, après dix ans de mariage et de fidélité, aucun signe ne pouvait prétendre à cette situation.
Inconsciemment, la femme d’Antoine se rapproche de monsieur Bouteille. Essaye dans un dernier baroud d’honneur de le convaincre d’arrêter, que ce n’est pas génial de mélanger le sexe et le travail, mais ce dernier ne l’écoute pas et continue de se masturber en regardant la femme avec un air pervers.
Cette dernière ne se prive pas de jeter un il de temps en temps sur ce membre beaucoup plus imposant que celui de son époux. Ce dernier étant à douze centimètres alors que monsieur Bouteille possède facilement cinq à six centimètres de plus. L’homme s’aperçoit de ce micro évènement, et lui propose un coup de main. Elle aimerait bien au fond d’elle goûter à cette verge épaisse, noueuse et d’une longueur respectable. Son esprit continue de la torturer, pour preuve, elle a encore fait deux pas de plus, elle est désormais à quelques centimètres de la bordure du lit. Monsieur Bouteille lui demande de faire un tour sur elle-même avec un ton assez autoritaire.
Maryse n’ayant pas l’habitude d’être traitée de la sorte exécute l’ordre. Sauf que l’homme ne veut pas voir une robe être emportée par le vent, mais bel et bien, les fesses de cette dernière. Elle soulève timidement le bas de sa tenue, et montre donc son derrière à l’homme qui la convoite.
Mais visiblement, cela ne lui suffit pas et demande une nouvelle fois avec un ton autoritaire d’enlever le string qui est la dernière barrière de son intimité. Elle semble hésiter pendant quelques secondes, puis enlève petit à petit son string. Elle le fait avec beaucoup de sensualité.
La glace est brisée. C’est la première fois de sa vie qu’elle se montre à un autre homme qu’Antoine. Elle en a les jambes qui tremblent dû au stress. Elle reprend donc les tours sur elle-même. Monsieur Bouteille semble satisfait de ce traitement de faveur et tente audacieusement de poser une main sur la fesse droite dénudée de Maryse. Cette dernière ne proteste pas.
Le désir de franchir le pas est en train de prendre le dessus sur tous les principes de fidélité qu’elle avait mis en place jusqu’à maintenant. L’homme s’assoit sur le bord du lit, penche la femme en avant, lui écarte les globes et plonge la tête la première en direction de son abricot baveux.
Il se délecte avec passion de ce nectar puis prend la décision de glisser deux doigts dans cette fente humide. Maryse réagit en poussant un petit cri d’émotion. L’homme continue ses préliminaires, et surtout ce cunnilingus d’un délice incroyable. Il lèche les lèvres de cette vulve de haut en bas, entre sa langue dans le puits d’amour et n’hésite pas une seconde de mordiller le clitoris qui est sorti de sa cachette.
Il retourne la femme face à lui, saisit les bretelles de sa robe avec douceur afin de faire apparaître une belle poitrine. Un quatre-vingt-dix C classique, mais qui fait tout son effet.
L’excitation de monsieur Bouteille est à son comble. Il saisit les seins à pleines mains, fait coulisser les tétons dans le creux de sa main, puis se met à les gober comme un affamé. Maryse vacille un peu sur ses jambes, et finit par se coucher dans le lit du sexagénaire.
Elle l’embrasse, puis glisse une main sur son sexe. Elle le masturbe et approche sa bouche afin de lui offrir une fellation. Sa langue parcourt le long de ce sexe en érection, aspire son gland puis se met à califourchon au-dessus de lui. Lentement, mais surement, la femme d’Antoine s’empale sur la verge de monsieur Bouteille.
Elle ressent de la peur, elle a l’impression qu’elle va être perforée. Mais, elle ne se prive quand même pas de faire des mouvements. Elle monte, elle descend sur ce pieu, puis l’homme saisit les fesses de cette dernière afin d’imposer sa cadence.
Il y va d’une manière assez brutale, puis retourne Maryse afin de la mettre sur le dos. Il lui écarte les jambes de façon outrageuse, puis la pénètre avec beaucoup de vigueur. Malgré sa petite bedaine, monsieur Bouteille fait monter sa partenaire dans les stratosphère du plaisir.
Pour preuve, cette dernière vient d’avoir son premier orgasme et par la même occasion à inonder le sexe de l’homme. La femme se positionne sur le côté, afin d’être prise en cuillère. L’homme qui est inconditionnel des fesses de sa partenaire ne se fait pas prier.
Il la prend de nouveau de façon bestiale tout en titillant les tétons de Maryse. Cette dernière ne crie même plus, elle grogne de plaisir. Monsieur Bouteille met la femme à plat ventre, savoure une nouvelle fois les fesses de cette dernière en les mordillant et les saisissant avec force.
Il présente son sexe à l’entrée de sa vulve, la pénètre avec force. Les mouvements sont beaucoup plus rapides, un peu comme le bouquet final d’un feu d’artifice. D’ailleurs, ce dernier met à peine dix minutes pour jouir dans le vagin de Maryse. Les deux amants reprennent leur souffle, s’embrassent tendrement, puis discutent brièvement.
La femme remercie l’homme. Il fait de même. Elle se prend une douche afin d’être présentable auprès de son deuxième client de la journée. Durant le trajet, Maryse se pose des questions, c’est la première fois qu’elle trompe Antoine, en plus avec un homme plus âgé qu’elle de trente ans. Elle n’a pas de remords, se dit qu’il sera son seul amant puis arrive devant la demeure de monsieur Dubois.