L’histoire que je vais vous raconter est réelle, il s’agit de la première fois que je me suis fait sodomiser, et par quelle queue !
C’étais un soir d’hiver, en 2009. J’étais jeune mais j’en avait vraiment envie, et puis à l’époque, j’étais très timide et n’osais pas aborder mes filles, je me rabattais donc sur les hommes pour assouvir ma soir de sexe, j’ai toujours été petit et mince, mais à cette époque je frolais la maigreur, cependant, j’étais plutôt mimi dans l’ensemble, un peu effeminé et une belle petite gueule d’ange.
J’ai rencontré mon amant sur un site de rencontres gay, et après quelques messages, nous nous sommes rencontrés pour que je lui fasse une pipe, et evidemment la relation a continuée, j’étais le jeune qu’il devait initier.
Cet amant, dont je ne citerais pas le nom pour de simples raison d’anonymat -on dira qu’il se nomme X- étais bien plus âgé du haut de ses 27ans, il avait un corp fin et musclé, il étais pas mal du tout, et avait une queue splendide, elle faisait bien 25centimètres de longueur pour 5 de largeur et étais légèrement courbée vers sa droite. Mais ce que je préférais chez lui, c’etais sa manière de l’utiliser. Il faisait preuve de tellement de douceur, il étais attentif à chacun de mes mouvements et se préoccupais en premier lieu de mon plaisir. Cette attitude me donnais envie de le combler, de faire tout ce qu’il fallait pour qu’il soit content.
C’est donc tout naturellement que je lui ai offert ma virginité anale.
Reprenons donc notre histoire, comme je disais, nous étions en plein hiver, je lui ai envoyé un message, et nous avons convenu, comme d’habitude qu’il vienne dans mon quartier et je le sucerais a l’arrière de sa voiture. Mais cette fois ci je lui demande un petit plus, de prendre du lubrifiant. Evidemment, il ne me demande pas pourquoi et le prend.
En attendant son arrivée, je me suis douché, et me suis doigté le cul sans trop de succès, il étais tout serré et je n’y rentrais au maximum qu’un seul doigt. Je commençais déjà à apréhender sa grosse queue.
Enfin, je me suis préparé, et je me suis rendu au point de rendez-vous pour l’attendre. Quand il est arrivé, nous sommes allé a l’arrière de sa voiture, et nous nous sommes vite déshabillé (Oui, même pour une pipe, je me déshabillais, c’est toujours plus agréable pour mon amant de voir mon corp nu, il peut me toucher et me matter a loisir comme ça). nous nous sommes embrassé puis je suis lentement descendu dans son cou, puis jusqu’a ses tétons, que j’ai mordillé et sucé. Ensuite j’ai continué ma route en passant sur son nombril pour finalement arriver à la base de son engin que j’ai lentement contourné pour lêcher ses bourses, avaler une boule, puis l’autre, puis les deux, puis lentement remonter du bout de la langue jusqu’au gland. Je me suis donc mis à avaler sa bite, bien que je ne puis pas l’enfoncer bien profond dans ma gorge. J’ai fait des va-et-viens, lêchant avec gourmandise, et bavant comme une chienne, sa bite me met l’eau a la bouche, je l’aime, elle est la seule qui peut me procurer un tel plaisir juste en la suçant et dieu seul sait que j’aime sucer !
Toute apréhension ayant disparue grace à l’excitation que me procurais cette belle pine de mâle, je me suis enfin décidé a lui offrir de m’enculer, non sans lui avouer que je craignais d’avoir mal. Mais compréhensif il m’a rassuré, m’a dis qu’il serais doux, et je l’ai écouté. Je me suis donc allongé sur le dos la tête contre la portière, les jambes écartées, lui offrant bien mon cul. Je l’ai vu se mettre du gel sur les doigts, puis l’appliquer sur ma rondelle encore toute serrée. Cette sensation de froid m’a tout d’abord semblée bizarre, mais elle n’a pas durée longtemps. Il m’a massé l’anus tendrement puis y a rentré tout doucement un doigt, puis un autre… Il a remi du gel, et a repris ses massages avec ses doigts en moi. Mmmmmmh que c’étais bon, je n’avait que deux doigts dans le cul mais couinais déjà comme une petite salope.
Quand il a tenté de rentrer le troisième doigt, j’ai ressenti une petite douleur, il a aussitôt arrêté quelques secondes, puis a repris son massage à deux doigts en attendant que je sois assez étiré pour permettre le troisième, qu’il a réussi à entrer sans douleur un peu plus tard. Je n’avais jamais ressenti ça, c’étais bien au delà de toutes les sensations que j’avais ressenti jusque là.
Mon anus étant uffisament dilaté pour permettre à sa verge d’y pénétrer sans me faire mal, X s’est donc mis au dessus de moi, a positionné son gland sur ma rondelle puis a imprimé de legers va-et-viens, faisant ainsi entrer petit a petit son gland… Une fois le gland entré, le reste de la pine glissa d’un coup et entra aux trois quarts. Je ne me suis jamais senti aussi plein, sa queue remplissant complètement mes intestins, il cessa un instant tout mouvement, puis recommença lentement ses mouvements, enfonçant son engin de plus en plus profondément en moi, si bien, qu’en quelques minutes, je me retrouvais avec ses 25 centimètres de chair en moi jusqu’a la base !
Petit à petit, ses mouvements de reins se sont fait plus rapides et plus puissants, je sentais ses couilles frapper countre les fesses, sa queue coulisser en moi frénétiquement, m’amenant à chaque coup, un peu plus près de l’orgasme. Je criais mon plaisir, je m’agrippais a X, je le bénissait de m’avoir fait découvrir ce niveau de plaisir.
Nous avons ensuite changé de position, il s’est donc retiré, et je me suis mis a quatres pattes, le cul bien haut, et la tête dans les sièges. Il a remis son gland sur ma rondelle et a re-poussé. Contrairement à la première fois, sa bite est entrée sans plus d’efforts, coulissant entièrement dans mon anus. Voyant celà, mon amant à recommencé à me baiser comme une chienne, violant mon petit trou, le martyrisant, se défoulant sur mon joli petit cul qui ne demandais que ça. Ma jouissance étais a son comble, je me suis senti complètement partir, des étoiles devant les yeux, des contractions dans mon bas-ventre, mon corp incontrolable, des cris sortant de ma bouche et la délicieuse sensation de liquide chaud dans mon anus, sa queue qui se contracte pluseurs fois, achevant de me faire jouir dans un ultime râle.
Nous sommes restés comme ça, moi allongé sur le ventre et lui sur moi, sa queue encore logée dans mon derrière, sans bouger pendant un bon moment. Puis il s’est retiré, laissant couler un flot de sperme sur ses sièges. Je lui ai bien proposé de nettoyer, mais il m’a dis que le cadeau que je venais de lui offrir valait bien tout les nettoyages du monde. Je l’ai remercié car c’est sans doute plus lui qui m’a fait un cadeau, j’ai tellement joui, c’étais ma première fois, et la meilleure. Je l’ai revu et je le revois encore aujourd’hui, un coup pareil, je le garde ! j’ai bien éssayé d’autres hommes, mais personne ne lui arrive a la cheville.
Depuis cette fois, nous avons beaucoup évolué, il y a eu des plans a 3 et j’ai appris la gorge profonde. Mais à chaque fois, c’est un bonheur de me faire baiser par lui.