J’avais bientôt 19 ans et j’étais élève en première année de DEUG Math et Sciences. Au terme d’une année scolaire plus que banal, mon meilleur ami, Olivier, m’invite à passer deux semaines avec lui et sa famille dans leur maison de campagne située dans la région de Cavaillon. Nous voici donc en chemin pour passer deux semaines d’éclate. Il faut reconnaître qu’avec Olivier nous n’étions pas avard de projet surtout concernant la population féminine. Après l’autoroute et les petites routes locales, l’accès à la maison se fait par un petit chemin caillouteux. Sur place je découvre une charmante maison de type provençal sur deux étages, c’est le grand-père qui avait restauré cette ancienne bergerie et y avait apporté tout le confort.
Le rez de chaussée est composé de la cuisine, du salon et de la salle à manger; à l’étage on retrouve les quatre chambres et la salle de bain. On m’indique ma chambre et on me donne le premier conseil : le soleil est rude, il est déconseillé de rester dehors de midi à trois heures, il est préférable à ce moment de faire une sieste en conservant la fenêtre ouverte et les volets fermés, ainsi la chambre sera moins chaude pour la nuit. Après avoir rangé mes vêtements dans le placard, je rejoins mon ami dans sa chambre afin que nous discutions du programme du séjour. Il me fait remarquer que mon anniversaire est le week-end suivant et que pour cette date je n’aurai aucune précision quant à ce qu’il me réserve.
Le début de semaine est ponctué de ballades en vélo (plus pratique et rapide pour aller au village) pour visiter les alentours ou aller se baigner, le soir nous rejoignons ses amis sur la place du village pour discuter de la journée et du programme du lendemain. Le vendredi, il m’avertit de l’arrivée de sa soeur et de son copain avec leur nouvelle voiture : une 205 GTI (ndlr : l’histoire se déroule en 1991). Le repas du soir est ponctué de valeurs de puissance, de performance et de jugements dudit véhicule; seule la mère ponctue les interventions par un ’restez prudent avec ma fille, je vous en prie’. Parlons en de la fille, elle a 24 ans, se prénomme Stéphanie, doit mesurer environ 1 m 70 (mesurant 1m80, je remarque juste qu’elle est un peu plus petite que moi), ses cheveux sont chatains foncés raides et coupés mi-long, son tein est légèrement mat, ses yeux sont verts et elle a un corps parfaitement proportionné à mon goût : des petits seins (j’apprendrai plus tard que c’est du 85B) et des fesses rebondies et fermes (les jeans moulant sont révélateurs), elle est très mignonne et a beaucoup de charme.
Le samedi est la journée essai automobile, ponctuée de freinages violents et d’accélarations rageuses qui font la joie du pompiste et le désespoir de Stéphanie. Le soir, plus besoin de vélo, les allers et retours au village sont pour Eric une excuse supplémentaire pour essayer d’améliorer un chrono sur ce trajet. Voici venu le dimanche, jour de mes 19 ans, au lever j’ai droit à la bise de toute la famille et à un croissant recouvert de bougies (ça commence fort), puis Olivier m’annonce qu’aujourd’hui je dois exécuter à la lettre tout ce qu’on me dira sinon… En début d’après midi tout les parents prennent place à bord de leur R21 et Olivier et Eric partent avec la 205, ils sont tous hilares de me laisser là avec mes doutes quant à la suite de la journée; Stéphanie est restée à la maison car elle est fatiguée des ’performances de pilote’ d’Eric. Ne voyant rien d’autre à faire je monte dans ma chambre pour faire la sieste habituelle, mais je n’arrive pas à dormir je suis trop préoccupé par le complot d’Olivier.
A ce moment j’entends frappé à ma porte, c’est Stéphanie : ’- je ne te réveille pas ? – non, non, entre, je ne fais que penser à Olivier et à ses mauvais coups. – moi qui suis dans la confidence je peux t’assurer qu’il te réserve une belle surprise. – Ahhh ???’ Nous n’avions encore jamais discuté au cours du week-end, hormis le ’enchanté’ après les présentations et le ’bonjour’ du matin. Elle s’assoit sur le rebord du lit, elle est vétue de son jean et d’un simple T-shirt blanc, elle est pied nue comme d’habitude dans la maison. Nous discutons de tout et de rien, de l’ambiance en classe, du niveau de chacun, des études qu’elle a faites (BTS compta), de ce que nous désirons chacun dans la vie.
A partir de ce moment, elle commence à se confier : elle est déçue par Eric, sa nouvelle voiture est tout pour lui, il ne parle que d’elle, fini les confidences, les débats tendres sur les projets de mariage ou d’enfants. Elle réagit soudain : ’-Excuse-moi de te parler de ça, mais en fait tu n’as pas d’expérience en ce domaine ? As-tu une petite amie ? – eeeuuuh (moi hyper gêné) – en as-tu déjà eu une ? – ppfff plein (moi pas très convaincant) – peu importe en fait, en tout cas retiens la chose suivante : les femmes sont sensibles, fait les rêver, soit tendre avec elles et tu auras tout ce que tu veux. – c’est vrai !! (moi enthousiaste)’ Un moment de silence s’établit entre nous, elle me fixe dans les yeux, approche sa main de mes yeux pour les fermer et me dépose un baiser sur le bout des lèvres. ’- tu vois ta gentillesse et ton écoute m’ont donné envie de te faire plaisir à mon tour.’ Je ne sais plus où je suis, c’est merveilleux, je n’ai toujours pas réouvert les yeux, je savoure le moment. Elle reprend : ’- eh ! Tu m’écoutes ! Tu es avec moi ? – oui, oui, tu es merveilleuse – merci, c’est gentil’ me répond-t-elle en souriant Je suis de nouveau envahit par son regard mais il est différent, plus profond, comme si elle attendait quelque chose de moi ou cherchait quelque chose en moi. Nous sommes à présent l’un en face de l’autre, assis en tailleur, elle s’approche de moi et me glisse tendrement à l’oreille : ’- il va falloir que je prenne les choses en main si je veux qu’on progresse’ ’- ?????’ Je ne sais plus quoi faire ou dire, elle se rapproche encore et m’embrasse délicatement, je sens ses lèvres chaudes et humides sur les miennes, ce n’est plus le baiser chaste de remerciement de tout à l’heure ! J’essaie de suivre et de lui rendre son baiser, sa langue commence à effleurer mes lèvres, elle passe et repasse avant de rejoindre la mienne.
Elle a mis ses mains sur mes joues afin de guider mes mouvements, je me laisse faire mais je ne sais que faire de mes mains, j’entreprends d’en poser une sur un des ses genoux et l’autre sur son épaule. Cette position n’est pas aisée, et au bout d’un moment elle se recule et me fait part de son inconfort : ’- pas évident comme ça, hein ?? Attends un instant.’ Elle déplie ses jambes et les passe autour de ma taille et viens s’assoir délicatement sur mes jambes toujours en tailleur. ’- ainsi, on sera mieux, je ne suis pas trop lourde ??? – non, non, c’est idéal, je pourrai rester des heures. – ne dit pas ça ce serait dommage tu manquerais beaucoup de choses… ’ Elle recommence alors à m’embrasser, voyant qu’à présent j’avais compris (à peu près) le fonctionnement elle ne me tient plus la tête et glisse ses mains sous mon t-shirt.
C’est divin, je la sens explorer mon dos avec douceur, je commence à être dans tous mes états, elle me retire le T-shirt en me disant qu’il fait à présent trop chaud, son buste fait un mouvement de recul et je comprends qu’il faut que je lui retire le sien à son tour (je commence à comprendre de plus en plus vite). Je mets ainsi à nu cette poitrine délicatement enveloppée dans un soutien gorge de dentelle blanche, elle reprend ses baisers sur ma joue puis mon cou. J’explore à mon tour son dos, et je remarque sa respiration qui change à chaque passage sur la partie inférieure, à présent je ne la caresse plus, je l’effleure avec le dos de mes doigts toujours dans cette partie apparemment sensible, elle ne m’embrasse plus le corps, elle a laissé sa tête retomber sur mon épaule et sa respiration se fait de plus en plus haletante, je sens ses bras me serrer, ses mains se crisper sur mon corps, elle relève la tête, me regarde droit dans les yeux et dit : ’- maintenant il va falloir que tu assumes l’état dans lequel tu viens de me mettre.’ Mes mains sont remontées au niveau de l’agrafe du soutien gorge et je cherche à l’oter, elle sourit, passe ses mains dans son dos et me guide, elle bascule à nouveau son buste en arrière afin que je puisse libérer sa poitrine de sa géôle.
Ses seins sont magnifiques les bouts sont tendus sous l’excitation, j’entreprends de les embrasser, elle me serre la tête dans ses bras en me lançant un ’continue, tu es doux’ qui m’encourage. Je passe mes mains sur sa poitrine puis, comme pour le dos, utilise à nouveau l’effleurement, j’en dessine délicatement le contour avec l’ongle du pouce. Elle a les yeux fermés, sa respiration redevient haletante, elle reste accrochée à mon cou, sa tête repose sur le dessus de mon crâne. Elle se relève et me lance : ’- arrête sinon je ne vais plus pouvoir me tenir.’ Avant que j’aie eu le temps de répondre, elle libère ses jambes de mon tour de taille, soulage mes jambes et me projette le buste en arrière sur le lit, j’en profite pour étirer mes jambes qui commençaient à s’endolorir. Elle me chevauche alors et recommence de fougueux baisers, j’essaie d’atteindre son dos mais elle retire mes mains et les plaque sur le lit en me disant ’- laisse toi faire pour l’instant, je te dirai quand j’aurais besoin de toi’ Elle descend tout doucement sur mon buste en m’embrassant et en me mordillant, je commence juste à réaliser ce qui se passe et ce qu’elle va m’offrir.
Mon bermuda et mon slip ne sont qu’une formalité, ils volent sur le plancher de la chambre et laissent apparaitre mon sexe raidi et déjà humide. Elle commence par embrasser le gland puis elle le parcourt avec sa langue avant de l’avaler, elle pose une main à la base et débute des mouvements d’aller et retour et de succions simultanés, je sens sa langue jouer avec mon sexe dans sa bouche chaude et humide, de l’autre main elle me caresse les bourses, je ne tarde pas sentir l’orgasme venir et n’ai pas le temps de la prévenir, la première giclée lui fait faire un mouvement de recule mais elle garde mon sexe en bouche et accueille les autres tout en continuant ses mouvements. Je ne sais plus où je suis, je ne dis rien, je regarde fixement le plafond pendant qu’elle finit de me nettoyer, puis elle remonte vers moi et me demande : ’- ça va ?’ Je ne réponds pas, je l’entends mais ne réponds pas, je suis ailleurs.
Elle s’allonge à mes côtés et me caresse le torse en attendant que je revienne à moi. Je la regarde, elle m’embrasse et je lui dis : ’- merci, mais je suis désolé que si vite… – non, c’est normal, ne t’inquiète pas, et ce n’est pas terminé’ Elle m’embrasse à nouveau fougueusement et se laisse glisser sur le dos afin qu’à mon tour je puisse m’occuper de son corps. Sa peau me semble de plus en plus douce et une odeur s’en dégage, l’ivresse me guette. J’emprunte le même chemin qu’elle a utilisé pour moi, j’arrive à son jean, elle me murmure juste un ’doucement’. Peut être l’envie d’en savoir plus me poussait à précipiter les choses. Je libère délicatement la ceinture et défait les boutons un à un, elle soulage son bassin afin que je retire le pantalon. Apparait alors devant moi, son slip de dentelle coordonné avec le soutin gorge, il est auréolé et humide, je ne suis donc pas le seul à être particulièrement excité. Je parcours l’élastique de la taille en glissant un doigt en dessous et le fait ainsi délicatement glissé, je vois apparaitre petit à petit une toison brune et peu étoffée, l’odeur se fait de plus en plus forte. Son slip glisse le long de ses jambes et elle l’envoie balader d’un simple geste, elle garde uniquement une cuisse écartée et je commence à parcourir avec ma langue ce tendon qui apparait et qui me ramène vers son sexe humide et gonflé, je l’embrasse, ma langue pénètre entre ses lèvres à mesure qu’elle écarte la seconde jambe.
Je m’installe entre ses jambes et commence à embrasser toutes ses chairs et je remarque une proéminence qui à chaque contact semble faire haleter Stéphanie, je concentre mes baisers sur son bouton à plaisir, je vois son ventre qui commence à être pris de spasme, son bassin se balance, elle est prise de frisson, ses mains se crispent sur les draps avant de me saisir la tête et de la relever pour que nos regards s’échangent, elle me jettent alors : ’- pas comme ça, viens me faire l’amour’ Elle joint les mots à l’action et me fait remonter sur son corps en tirant délicatement sur ma tête, je l’embrasse. Une de ses mains a saisi mon sexe et le caresse, il ne tarde pas à reprendre de la vigueur, elle me guide vers son sexe et, à l’aide de l’autre main posée sur mes fesses, contrôle la vitesse de pénétration.
Le bout de mon sexe est à l’entrée du sien, elle me regarde fixement, sourit et appuie sur mes fesses, je pénètre dans cet espace chaud et humide, elle soupire et je sens ses jambes se raidir, son bassin remonter, une fois au fond elle garde une pression forte sur mon postérieur pour que je ne me retire pas, elle relache puis rappuie afin de m’imprimer le rythme. Ses yeux sont clos, sa respiration s’accélère, elle glisse ses mains sur mes hanches et ses ongles me blessent au rythme de ses spasmes. Sa tête s’agite, ses bras retombent sur le lit, sa respiration s’accélère, ses jambes me ressèrent, son bassin remonte, elle retient sa respiration un instant, ses mains se crispent sur les draps et elle lâche un long soupir suivi d’une respiration haletante, tous les muscles de son corps se relachent, elle me repousse pour que je me retire et elle roule sur le ventre parcouru de frissons. Je suis à ses côtés, je lui caresse le dos, elle me regarde, sourit, puis referme les yeux, elle savoure l’instant. Elle se rapproche de moi en me disant : ’- tu n’as pas joui ? – non – alors laisse moi t’offrir quelque chose, mais tu me laisses tout faire et tu fais strictement ce que je te dis – OK’ Je n’allais quand même pas refuser !
Elle relève son bassin et m’indique de passer derrière, elle saisit mon sexe en passant une main entre ses jambes et le caresse, il est encore humide du jus de ses entrailles, elle maintient sa prise à la base et elle m’invite à la pénétrer puis à me retirer et à étendre le liquide sur son anus. Elle me fait faire la manoeuvre 3 à 4 fois avant de me dire : ’- tient ton sexe droit, ne bouge pas et laisse moi faire.’ Je ne pensais pas en arriver là ! Elle rapproche son anus de mon sexe, elle tourne la tête pour me voir et sourit en me murmurant ’doucement’, elle se cambre, et avec une main sur mes fesses me fait la pénétrer, son anus est petit, dans un premier temps mon gland s’écrase dessus puis elle se détend et il s’insère en douceur, dès qu’il fut complètement à l’intérieur, elle m’arrête, elle a les yeux clos et dit ’- un instant, laisse moi m’habituer, c’est la première fois’ Je ne bouge pas et attends son ordre pour avancer, qui ne se fit pas attendre ’- Vas-y, mais doucement’ je continue en douceur, une fois au fond je m’arrête, elle murmure : ’- hhmm, c’est bon, tu aimes ? – oui – alors vas-y, prends ton pied’ Je débute alors de lents allers et retours, ses yeux s’ouvrent et se ferment en cadence, une de ses mains vient me caresser les bourses. Je ne tarde pas à jouir, je dois me maitriser pour ne pas m’effondrer sur elle. Je me retire en douceur et viens m’allonger à ses côtés, je lui demande : ’- ça va, tu n’as pas eu mal ? – non, ne te fais pas de souçi, tu as été très doux – merci – je ne l’avais jamais fait auparavant, je crois que je recommencerai mais seulement avec des amants gentils comme toi – merci’ Elle se love dans mes bras et nous profitons ensemble de ces instants.
Je sens son odeur sur mon corps, l’ivresse me reprend. Elle se lève et me dit qu’il faut prendre une douche, c’est vrai que nous sommes en sueur mais je ne veux pas perdre son odeur. Elle m’invite à la prendre ensemble, ce que j’accepte avec plaisir. La douche fut ponctuée de baisers et de tendres caresses. Nous nous installons sur la terrasse à l’ombre des parasols, chacun avec un rafraichissement, sa main parcourt ma cuisse et j’en profite pour lui caresser le bras ou la joue. Environ une heure plus tard, nous apercevons les voitures qui reviennent avec à leurs bords des amis de fac. Ils ont mis beaucoup de temps car le train avait du retard, peu importe, j’avais eu un fantastique cadeau d’anniversaire.
La fête débuta en soirée et dura une partie de la nuit. Olivier était tellement fier de sa surprise qu’il ne pouvait pas deviner l’objet réel de ma satisfaction. Stéphanie et Eric durent partir le lundi matin, tous mes amis restèrent la semaine à dormir sous des tentes. Malgré leur présence et les délires qui en découlaient, j’avais les idées ailleurs…
Jack, France