VIII. DE DÉCOUVERTES EN DÉCOUVERTES

Les deux jeunes amoureux restèrent donc seuls à garder les affaires de tout le monde. Chloé était allongée sur le ventre avec un magazine de mots croisés et Paul regardait la plage. Ils échangeaient sur leurs impressions de cette matinée finissante. Sur l’expérience de sodomie de Chloé et l’échange avec Janine et Antoine. Elle avoua que de le voir niquer avec Janine lui avait donné envie de le faire tout de suite avec Antoine mais qu’elle avait aussi aimé faire l’amour devant lui avec Philippe.

− Finalement, on est quand même différent sur un point…

− Ah oui lequel ?

− Et bien si moi je nique avec une femme t’as besoin de niquer avec un homme quasiment en même temps alors que moi, je peux te regarder baiser sans pour autant avoir envie de le faire…

− Je peux savoir ce qui te fait dire ça ?

− Et bien regarde, ce matin avec Philippe… je n’ai pas eu besoin de niquer avec maman pendant quil te baisais. Pour être franc, je n’y ai même pas songé.

− Peut-être que c’est parce que c’était Philippe ?

− Non, je ne crois pas…

− Alors là si un gars venait pour niquer avec moi, tu pourrais rester à côté sans rien faire ?

− Oui, je le crois… tu veux faire l’expérience ? On parie quoi ?

− Pourquoi, t’as un mec sous la main, maintenant, pour me sauter ?

− C’est possible ; il y a un jeune qui n’arrête pas de faire des allers-retours sur la plage, en passant toujours un peu plus prêt de nous, et qui semble franchement obnubilé par ton cul… Alors, on parie ?

− Ça dépend, il est comment physiquement et il a quel âge à peu près ?

− Il doit avoir moins de 25 ans, il est grand. Il me fait un peu penser à Stéphane en un peu plus baraqué et en blond.

− Et sa bite ? Elle est comment ?

− Je ne suis pas un super spécialiste ; toutes le bites me paraissent petites mais je dirai qu’elle doit avoir à peu de chose près la taille de celle d’Antoine en plus fine. C’est une bite qui me semble assez standard, en fait.

− Il bande ?

− Non, pas vraiment…

− Va falloir que je le suce alors.

− Il y a des chances.

− Tu t’occupes de tout ? Tu le branches et tu lui fileras une capote normale, il y en a dans le sac de ta mère… moi j’ai oublié d’en prendre. Tu sortiras le gel aussi, des fois qu’il veuille m’enculer et que ça coince. On parie quoi alors ?

− Je ne sais pas… attends… celui qui gagne fait boire sa pisse à l’autre dans les dunes… ça te va ?

− Tu va te faire arroser alors parce que je suis sûre que tu tiendras pas.

Le jeune homme repassa peu de temps après, il avait 24 ans et s’appelait Sébastien. Ils s’en tinrent là dans les présentations. Paul n’avait pas menti, il était plutôt pas mal se dit Chloé. Elle se laissa prendre dans ses bras et embrasser à pleine bouche. Paul s’était allongé en appui sur un coude à côté d’eux. Il avait près de lui une boite de préservatifs et un flacon de gel. Il regardait avec intérêt sa partenaire et son amant.

Sébastien avait glissé une main sur le pubis de Chloé et un doigt inquisiteur explorait déjà sa chatte humide. Après quelques minutes, il abandonna sa bouche et incita la jeune fille à descendre vers sa queue tendue. Chloé se laissa faire et le prit en bouche. Elle n’avait sans doute pas l’expérience de Janine mais elle n’avait pas non-plus envie d’expérimenter une gorge profonde. Elle s’appliqua, cependant, à le sucer comme il faut pour faire monter encore le désir. Le couple se retrouva ensuite tête-bêche et le gars lui lécha la chatte. Paul commençait à bander sérieusement… Il sortit une capote et la donna à Sébastien. Ce dernier s’en empara et interrompit le 69. Une fois équipé, il s’avança entre les cuisses ouvertes de Chloé pour la pénétrer. Sa bite fine s’introduisit sans difficulté. Sébastien semblait attentif au plaisir de sa partenaire et débuta par de lents mouvements. Il prenait mesure de cette chatte. Chloé avait entouré ses jambes autour de sa taille et réclamait des mouvements plus forts, plus rapides. Le type la pilonna alors avec une cadence plus soutenue. Chloé haletait et s’accrochait à son dos. Sébastien sorti de la chatte humide et la retourna pour la prendre en levrette. Le couple s’activait, Chloé émettait une succession de « oui ». Son partenaire avait une vue imprenable sur sa rosette qui s’ouvrait de plaisir à chaque pénétration. Il introduit alors un pouce dans cet anus palpitant. Il le fit en douceur et bientôt Chloé se sentie prise des deux côtés. Cette intrusion éveilla son envie dune nouvelle sodomie.

− Mets-la moi dans le cul. Vas y doucement mais mets-la moi dans le cul s’il-te-plaît…

− Comment refuser, avec un cul pareil… je vais faire gaffe, promis.

Il sortit de la chatte qu’il trouvait en fait un peu large et appuya sa bite à l’entrée de service. Avec douceur, il fit pénétrer le gland. Il marqua un petit temps d’arrêt, une fraction de seconde à peine et repris sa progression. Il rentrait petit à petit, s’arrêtant puis repartant à chaque fois qu’il sentait le muscle se détendre. Une fois au fond, il se pencha sur le corps de la jeune fille et l’embrassa dans le cou pour lui signifier qu’il était bien rentré. Chloé gémissait. Il commença à bouger, doucement puis de plus en plus vite. Janine et Antoine qui revenaient de leur baignade surprirent la scène et, ne voulant pas déranger le trio, attendirent à distance.

− C’est le petit blond qu’arrête pas de mater le cul des femmes… Dit Janine étonnée

− On dirait bien… Il n’a pas l’air de se débrouiller trop mal.

− C’est vrai… D’après Claude, il enculerait très bien.

− C’est sans doute ce qu’il lui fait car elle a l’air de vraiment apprécier le traitement.

À une dizaine de mètre d’eux, à quatre pattes sur une natte de plage, Chloé couinait et savourait une belle sodomie. Sébastien prenait maintenant beaucoup plus son pied dans ce conduit plus étroit. Il sentait monter la sève et, quand la jeune fille le sentit se tendre, elle émit un long râle de plaisir. Elle sentait qu’il remplissait son préservatif, la verge profondément enfoncée dans ses entrailles. Une fois l’affaire terminée, le gars se retira. Il embrassa Chloé sur la bouche rapidement et serra la main de Paul avant de s’en aller. Janine et Antoine purent approcher.

− Alors les jeunes, on ne s’ennuie pas à ce que je vois… Fit Antoine amusé.

− Euh, non, pas le moins du monde. Cette plage et pleine de possibilités de rencontres fort intéressantes…

− Oui, par contre tu viens de perdre ton pari ma chérie, je ne me suis même pas touché.

− C’est vrai, tas gagné, mais c’était si bon de perdre. Reconnut-elle en lembrassant amoureusement. Je crois que jadore me faire enculer devant toi. Tu veux qu’on y aille tout de suite ou tu te vides les couilles avant ?

− On ira plus tard, là je prends lautre option !

Paul attrapa Chloé, se jeta sur elle, sans se soucier de la présence de Janine et d’Antoine, et l’embrassa avec fougue. Son sexe appuyait à l’entrée du vagin de Chloé et la pénétra avec toute la douceur qui lui était habituelle. Il progressa lentement, écartant les chairs pourtant bien lubrifiées. Chloé émit un long gémissement de plaisir. Il venait d’atteindre le fond de sa matrice. Il lui susurrait des mots doux à l’oreille et se mit à bouger en elle. Il l’astiquait avec passion. Elle se sentait remplie, non seulement par le membre long et épais de son compagnon, mais aussi de tout son amour et de toute sa tendresse. La proximité des deux rapports fit qu’elle atteignit très vite un premier, puis un deuxième orgasme. Elle en enchaîna un troisième qui marqua l’abandon de Paul surexcité. Dans un râle de bonheur, il répandit en elle sa liqueur. Ils tombèrent enlacés en se faisant de doux baisers et en se souriant amoureusement. Leurs yeux pétillaient de bonheur. Janine et Antoine étaient restés muets, serré l’un contre l’autre. Se rappelant soudain de leur présence Chloé se retourna vers eux.

− Désolé, ça nous a échappé…

− Il n’y a pas de quoi être désolé, Chloé… Répondit Janine, vous êtes très beaux tous les deux et si naturels.

− Il n’y a pas à dire ma chérie, l’amour, ça a quand même plus de classe que la baise, non ? Remarqua Antoine.

− C’est vrai, mais aimer comme ça, il n’y a toujours qu’une personne avec qui c’est possible…

− C’est pour ça que ça fait aussi du bien de baiser, intervint Paul.

− Mais, c’est quand même rare, Paul, de voir des jeunes de votre âge baiser d’un côté et s’aimer d’un autre.

− C’est parce que beaucoup de jeune de notre âge baise en croyant aimer et les autres s’aiment mais ne savent pas baiser. Il faut apprécier les deux pour que ce soit vraiment bon, tu n’es pas d’accord avec moi, Chloé ?

− Parfaitement… mais nous, en plus, je crois qu’on a fait vachement de progrès, sur les deux tableaux en l’espace de deux jours…

− Vous êtes franchement incroyables tous les deux… Vous faites preuve de tant de sagesse et de maturité, mais vous avez en plus une vivacité d’esprit surprenante. Si on mettait de côté votre physique, on pourrait croire que vous êtes en couple depuis longtemps, comme nous ou comme Claude et Philippe. De toute évidence vous avez admis des principes que beaucoup d’autres n’arriveront jamais à intégrer en toute une vie. Mais,… quel âge avez vous donc ?

− Notre âge ?! Paul a 18 ans et moi 21…

− Vous êtes vraiment superbes… je… je ne sais pas quoi dire.

− Tu sais, Janine, vous aussi, vous êtes vraiment beaux et incroyables… Quand vous êtes parti vous baigner tout à l’heure, je vous ai suivit du regard. Vous étiez si amoureux, si proches que je me suis demandé si on vous ressemblerait un peu dans trente ans, Chloé et moi… Et sincèrement j’espère que oui.

− Tu es vraiment un amour Paul…

Quand Claude et Philippe revinrent de leur escapade dans les dunes, Janine et Antoine étaient seuls. Claude était couverte de traces de sperme sur le visage et la poitrine, toutes plus ou moins en train de sécher. Chloé et Paul étaient partis se baigner et se rincer de leurs ébats dans la chaude eau de mer du pertuis breton.

− Les enfants ne sont pas là ? Demanda Claude curieuse.

− Non, ils s’ennuyaient en compagnie de vieux croûtons comme nous alors ils sont partis.

− Et plus sérieusement, ils sont où ? Dans les dunes ou dans leau ?

− Ils sont dans les vagues pour l’instant mais tu ne vas pas me dire que tu tinquiètes pour eux ?

− Ben, toujours un peu, pour Paul… Expliqua Claude, mais là, c’est surtout que j’ai faim. On a fait attendre tout les monde et maintenant, on ne va pas pouvoir faire autrement que de les attendre…

− Ils ne devraient pas tarder tu sais. Ils y sont parti il y a une bonne vingtaine de minutes et j’imagine que eux aussi ils vont avoir faim… l’amour ça creuse.

− Parce que vous avez remis ca ?

− Pas nous, eux… Fit Antoine.

Janine et Antoine racontèrent leur retour de baignade avec Chloé prise par le grand blondinet et la douce étreinte qui suivit avec Paul.

− Tu sais, ils ont du tempérament ces deux là ! Conclu Janine

− Ô oui, je sais,… Mais qu’est-ce qu’ils fichent bon-sang !

− Calme toi, ma chérie, dit Philippe rassurant, regarde là-bas, je crois que ce sont eux qui reviennent, le petit couple qui se tient par la main. On va pouvoir sortir les victuailles et la bouteille de rosé… j’espère qu’il est encore assez frais.

Le pique-nique un peu tardif fut très sympathique, les trois couples s’entendaient bien. Les plaisanteries grivoises d’Antoine enjouèrent le repas. Claude trouva que les jeunes buvaient vraiment beaucoup d’eau mais elle mit ça sur le compte de la chaleur et du bain de mer. A l’issue de ce moment agréable, ils annoncèrent à Claude qu’ils allaient, à leur tour dans les dunes. En gravissant la pente sableuse, l’eau ingurgitée durant le repas commença à se faire sentir sur leurs vessies.

− Putain, Paul, j’ai envie de pisser…

− retiens toi un peu,… moi aussi, j’ai envie de pisser mais d’abord, il faut qu’on trouve un coin correct.

Ils explorèrent un peu, il y avait quelques hommes qui tournaient à la recherche de partenaires. Le jeune couple souhaitait sisoler. Ils sinstallèrent dans une petite dépression entourée d’herbes folles qui leur paraissaient à labri des regards.

− Je vais m’allonger là et tu pourras te soulager ma chérie. Dit Paul en se mettant au sol

− Mais, je croyais que…

− Oui, je vais te pisser dans la bouche, rassure toi, mais après. D’abord, je voudrais que ce soit toi. Moi aussi, j’ai envie de boire ta pisse, tu sais.

− Comme tu veux, cochonnet, moi je ne tiens plus.

Il déposa le sac de plage qui ne contenait que les capotes et le gel et s’allongea sur le sable. Chloé s’accroupit au dessus de son visage, écarta les ourlets de son sexe. Paul avait une vision de rêve, il ouvrait la bouche attendant la miction. Le flot commença timide puis il se fit plus dru. Le jet chaud et doré lui éclaboussait le visage. Chloé finit par le diriger avec plus de précision. Paul laissait sa bouche se remplir et avalait juste avant qu’elle ne déborde. Ils entendaient des commentaires un peu plus loin et venant de directions différentes. Quand le flot se tarit, le visage trempé et joyeux de Paul était entouré d’une auréole de sable mouillé.

Chloé le laissa se relever et se mit à genoux devant sa bite. Paul ne mit pas longtemps à pisser. Le jet qui aspergeait Chloé atterrit d’abord sur sa poitrine avant de remonter vers sa bouche. Elle avait trop envie de la boire, elle lui goba le sexe et se mit à avaler la pisse au fur et à mesure que le flot envahissait sa gorge. Deux gars de trente ou quarante ans approchèrent ; ils tenaient l’un et l’autre leurs bites molles à la main.

Chloé, qui était en train d’avaler la fin de la miction de Paul, eut un mouvement de surprise quand un jet chaud lui frappa les épaules et la nuque sur son côté droit. Elle allait tourner la tête quand un second l’atteignit à la joue droite et sur les seins. Un troisième gars se présenta à qui Paul laissa la place frontale. Cétait un grand gars avec des origines africaines ou antillaises qui arborait un large sourire et tenait entre ses doigts une bite plus longue que la moyenne. Bien campé devant elle, les jambes légèrement écartées, il commença à pisser sur elle également. Chloé ne buvait plus mais laissait sa bouche ouverte et l’onde déborder sur son menton. Le gars avait du se retenir longtemps car son flot était puissant. Il déplaçait son jet, inondant de sa pisse odorante ses seins et sa chatte quelle masturbait déjà avec frénésie. Le jet finissant revint vers la bouche, elle prit le gland en bouche et avala les dernières goûtes. L’urine de ce métis d’une cinquantaine d’année était forte en saveur, presque comme celle de Paul le matin.

Après sêtre soulagés, les trois hommes restèrent autour de Chloé. Ils se masturbaient et elle entreprit des les sucer alors que Paul restait en retrait. Elle passait d’une bite à l’autre avec gourmandise, elle en appréciait les différences de taille et de saveur. Très consciencieuse et appliquée, quand elle en avait une en bouche, elle branlait les deux autres. Les types caressaient sa chevelure trempée de pisse, lui pelotaient les seins et la traitait de bonne petite pute et de bonne suceuse. Puis ils la relevèrent, l’embrassèrent les uns après les autres, la pelotèrent, des doigts et des lèvres soccupaient de ses seins, de sa chatte et de son cul. Chloé s’abandonna totalement à ces attouchements. Elle mouillait, gémissait et finit par dire qu’elle voulait qu’on la baise, Alors Paul distribua une capote à chacun des trois gars.

Chloé fut d’abord mise à quatre et le premier, qui lui avait pissé sur la nuque, la pénétra il avait une bite courte et épaisse qui remplissait visiblement bien l’entrée de sa grotte. Le gars s’activa comme un damné tout de suite. Il semblait ne penser qu’à son propre plaisir et ne fut pas long à venir. A peine deux minutes après avoir commencé à la besogner, il sortit sa bite, retira précipitamment sa capote et jouit sur le dos et les fesses tendues de Chloé. Elle était déçue mais ne dit rien.

Fort heureusement les deux autres soccupaient delle à nouveau. Le second à la prendre fut le métis. Il se coucha sur une serviette et la fit grimper sur lui. Sa bite, longue et épaisse, rentrait bien en elle. Il la pilonnait en donnant de rapides coups de bassin qu’il arrêta quand le troisième gars se présenta derrière elle.

− Non ! Sécria Chloé inquiète.

− Laisse toi faire, ma Chérie, lui dit Paul qui se tenait près delle. Ne t’inquiètes pas, il est venu me demander. Ils se connaissent bien tous les deux et ont l’habitude de le faire ensemble.

− Aaaah ! Gémit Chloé ramonée par la belle bite du métis.

− Il m’a assuré qu’ils seraient très doux, poursuivit Paul, et, comme je lui ai dit que tu étais novice, il a dit qu’il mettrait un point d’honneur à ce que cette première soit pour toi un vrai plaisir. S’il te fais le moindre mal, je suis à côté et ils giclent tous les deux, OK ?

− Aaah ! Ooo OK Aaaah ! Ah oui ! Répondit la jeune femme incapable de se concentrer vraiment.

Chloé venait de répondre affirmativement à une demande qui ne lui plaisait pas vraiment. Elle trouvait sa chatte déjà bien pleine et ne se sentait pas de livrer son cul en même temps. Elle trouvait quil avait déjà bien servit pour un premier jour et, surtout, elle se souvenait des mises en garde de Philippe. Pour faire passer la pilule, elle essaya de se persuader que mal que Paul avait donné son accord car il avait jugé le type digne de confiance.

Le gars lui prépara l’anus en lhumectant avec son abondant jus de chatte pendant que le métis la besognait doucement. Il y pénétra un doigt, la sensation était plaisante. Le métis lui ramonait la chatte lentement pendant que lautre lui préparait son cul avec beaucoup de douceur. Chloé se détendit, ses barrières cédaient alors les doigts qui assouplissaient sa pastille se retirèrent et le type y appuya sa verge. Le métis arrêta de bouger, le gars derrière elle augmenta la pression de sa bite. Chloé se surprit à en avoir envie, ses sphincters souvrirent et une deuxième bite la pénétra. A peine entré, le gland disparut très vite et le reste suivit sans aucune difficulté, tout en douceur. Chloé se sentait remplie.

− Ça va ma chérie ? Lui demanda Paul impressionné

− Oooh ! Oh la vache ! Dou doucement, aaah. Oui ça ça va. Cest cest juste énorme, Aaaaah.

− Alors petite salope ! Taimes ça, hein ? Cest bon ? Demanda celui qui lenculait en sactivant doucement. Il est super ton cul, tu sais. Ooh

− Aaaah, oh oui ! Aaaah !

− Ça cest vraie bonne pute, dit le métis qui ne bougeait toujours pas. Pas vrai qutes quune pute ?

− Aaaah ! Aah oui, aaah ! Je suis une salope, aaah ! Baisez moi, salops ! Aaaah

La grosse verge du métis restait immobile pendant que l’autre, plus fine, s’activait dans son cul. Chacune de ses poussées entraînait une contraction de son bassin et de ses muscles vaginaux qui se resserraient autour du pieu débène. Chloé se mit à couiner, à jouir, elle était prise des deux côtés à la fois. Elle se sentait pute, ces hommes la traitaient de pute, elle était pute. Le spectacle et ses cris attiraient un publique de plus en plus nombreux. Une dizaine de types de tous âges se branlaient autour d’elle. Le type dans son cul jouit le premier et sortit. Alors, très vite, le métis la retourna et la baisa dans la position du missionnaire. Les voyeurs sétaient rapprochés, certains la touchaient, lui caressaient les seins. Paul intervint une ou deux fois pour en écarter un ou deux qui auraient voulu être plus entreprenant. Chloé n’arrêtait pas de jouir, elle était transportée dans un autre monde et poussait des râles de plaisirs. Dans un dernier orgasme le métis sorti d’elle, arracha sa capote et vint asperger ses seins et son visage de son sperme chaud.

Réalisant soudain la quantité d’hommes qui les entouraient et considérant le plaisir qu’elle venait de prendre, Chloé se mit à genoux et proposa à tous ceux qui le désiraient de jouir sur elle. Le groupe se resserra, elle en masturbait certains, en suçait d’autres. Les premiers jets ne tardèrent pas à arriver. Quand un homme se retirait du petit cercle de branleurs, un autre prenait sa place. Elle avait le foutre d’une quinzaine d’hommes sur les cheveux, le visage et les seins quand un gars commença à lui pisser dessus. Il baladait son jet sur son ventre et sa chatte en la traitant de putain. Chloé se caressait le ventre et la poitrine en mélangeant cette miction aux trainées de sperme qui la couvrait. Le pisseur fut vite imité par un deuxième qui entreprit de lui retirer, de la même manière, le sable qu’elle avait de collé dans le dos. Les mictions terminées, Chloé se releva, c’était fini. Elle se blottit dans les bras de Paul qui l’embrassa. Son sexe était tendu à faire peur. Alors elle lui demanda de rajouter sa semence à celles des autres. Il le fit sans aucune hésitation, après seulement deux mouvements de masturbation, il lui envoya son foutre abondant au visage et dans les cheveux.

Quand ils retournèrent auprès des autres, Philippe était en train d’enculer Janine pendant qu’Antoine baisait Claude. Ils posèrent leur sac de plage discrètement et coururent vers les vagues. Il jouèrent à s’éclabousser un peu, riaient et Chloé se lavait de ses souillures. Après quelques minutes rafraîchissantes, ils remontèrent la plage en se tenant par la taille.

− Tu te rends compte de ce que tu m’as fait faire, cochon ?

− C’est vrai que c’était un peu chaud, tous ces mecs qui sortaient de nul part…

− Je ne parles pas de ma douche de sperme, ça c’était plutôt drôle, et puis j’ai sucé de jolies queues. Je parle des deux gars à qui tu as donné ton accord pour la double pénétration…

− Tu n’as pas aimé ?

− Cn’est pas la question ! Ils auraient pu me faire mal et javais pas envie !

− Dans l’absolu, c’est vrai, mais, je te l’ai dit, le type qui t’a enculé est venu tout de suite me demander la permission. Au début, il y avait même le métis avec lui. Il m’a dit qu’avec sa bite toute fine, il ne baisait les filles que dans le cul et qu’il n’avait jamais fait de mal à aucune. Apparemment, d’après ce qu’il raconte ils seraient connus comme le loup blanc. Ils m’ont juré qu’ils ne te laboureraient pas comme des ânes et que tu ne prendrais que du plaisir. J’ai choisi de leur faire confiance. Oui, à ce moment là, j’ai pris un risque et je m’en excuse mais je crois qu’ils n’avaient pas menti.

− Non, ils ne t’ont pas menti… c’est vrai qu’ils m’ont bien fait grimper au rideau… Mais tas entendu ce que jtai dit, javais pas envie !

− Tu m’en veux ?

− Non, mais quand on fait des trucs comme ça, faut faire gaffe. T’es quand même là pour t’assurer qu’il ne m’arrive rien et, au départ, par sécurité, je t’avais dit pas de sodo et toi, y a trois mecs qu’on ne connaît ni dÈve ni d’Adam qui débarquent et tu me files en sandwich à deux d’entre eux ! Alors, pour cette fois, vu comme ils s’y sont pris, je te dis merci mais ne recommences jamais ça ! Si je dis que je ne veux pas faire un truc cest que je ne veux pas. Cest tout ! Cest mon cul quand même, tes pas d’accord ?

− Je lferais plus, promis fit Paul penaud.

C’est sur cet échange qu’ils arrivent vers les parents et leurs amis en train de papoter. Paul est un peu contrarié par les propos de Chloé. Il sait qu’elle a raison tant sur le fond que sur la forme et qu’il n’aurait pas du faire une chose pareille. Claude voit tout de suite à sa mine qu’il est soucieux.

− Qu’y a-t-il, trésor ? Ça ne s’est pas bien passé votre escapade dans les dunes ?

− Si, ça s’est très bien passé sauf que…

− Tu l’as mal vécu, c’est ça ? Chloé, dis moi ce qu’il y a ; quand il est comme ça, il me faut toujours trois jours pour lui tirer les vers du nez !

− Alors rassures toi, Claude, nous l’avons très bien vécu tous les deux. Mais ce petit coq n’a pas respecté les règles qu’on s’était fixées au départ. On navait dit pas de sodomie parce que je me disais que je pouvais tomber sur des brutes épaisses qui me défoncent le trou de balle et je n’en avais pas envie.

− Et tu t’es faites défoncer le cul ? Paul ! Tu mériterais des gifles ! Comment as tu pu laisser faire ça ! Raconte moi tout depuis que vous êtes partis d’ici ! Je te préviens… Paul !

− Calme toi, Claude, ça ne s’est pas mal passé… Reprit Chloé rassurante, tu veux vraiment que je raconte tout ?

− Dans les moindres détails ! Exigea Claude irritée.

− Bon, on est parti vers la dune avec notre petit programme en tête, on avait bu pas mal deau à midi et on avait tous les deux une envie énorme. On cherche un peu et on finit par trouver un coin où s’installer ; une petite dépression entourée de hautes herbes un peu sur la gauche quand on monte. Paul s’allonge par terre…

Chloé poursuivit son récit sans omettre un détail et elle en était au moment où elle avait gobé la bite de Paul pour ne rien perdre de sa bonne pisse quand Claude linterrompit.

− Vous avez vraiment de jeux dégoûtant tous les deux… je me demande où vous êtes allé chercher ça ? Non mais tu te rends compte Janine !

− Oh Claude ! Ne joue pas les prudes, ils ne sont ni les premiers ni les derniers à faire ca. Mais bon, je ne sais pas si on a vraiment besoin de tous les détails… poursuis ton histoire, Chloé.

− Bon donc, sans entrer dans les détails, on en était là et trois gars se sont approchés et se sont joints à nous. J’ai reçu une belle douche dorée et puis après, j’ai commencé à les chauffer un peu. Ensuite ils m’ont relevée, embrassée, touchée et caressée. Je commençais à être bien chaude moi aussi et Paul leur a filé des capotes. Le premier qui m’a prise, c’était un petit frisé, la trentaine passée, avec des lunettes carrées et une petite bite bien épaisse…

− Ah oui, je vois qui c’est… et très franchement, lui, je trouve que c’est un gros con et il baise super mal… Affirma Janine.

− Je suis d’accord avec toi Janine, mais il a quand même un avantage c’est : « aussi vite entré, aussi vite sorti ». Ahahaahah !

Les deux femmes se marraient évoquant des souvenirs dexpériences personnelles avec ce type, devant Chloé un médusée de cette interruption.

− Je continue ou vous vous en foutez en fait ? Demanda-telle agacée

− Hihihhi ! Non… pardon, continue… Hihihi !

− Bon alors ! Le type finit son truc et la vient un grand métis, dans la cinquantaine, je dirais, pas mal foutu avec les cheveux grisonnants, assez sexy, en vrai.

− Ça c’est Leeroy… Un super mec, vraiment ! Affirma Janine qui le connaissait aussi. Il devait sans doute y avoir Carlos avec lui, un type de taille moyenne avec des cheveux très noirs et une bite très fine ?

− Exactement, c’est là le nud du problème, si jose dire, parce que quand l’autre star de la rapidité me baisait, ces deux types ont réussi à persuader Paul de les laisser me prendre en double… Alors, au départ, le Leeroy me besognait vraiment bien, à men faire oublier lautre binoclard. Je prenais vraiment mon pied. J’étais en train de monter tranquillement dans les tours quand tout à coup l’autre, le Carlos là, arrive derrière moi et commence à me toucher le cul ! Et voilà mon Paulo qui vient m’expliquer gentiment qu’il a parlé avec eux, et patati et patata, et, en gros, si je résume qu’ils me garantissaient un pied d’enfer pour mon premier double ! Alors là pardon ! On avait dit pas de sodo et me voilà embarquée dans un sandwich sans avoir les moyens d’argumenter quoi que ce soit à cause du plaisir que je prenait avec Leeroy ! Alors, oui ! Quand on est revenu de notre bain de mer, à l’instant, jai dit à Paul ce que je pensais vraiment de ça !

− Tu as de la chance d’être tombée sur eux, expliqua Janine sérieuse, moi qui suis d’ici et qui les connais depuis longtemps, je suis certaine qu’ils ont tenu parole… Ce faire prendre par eux deux cest vraiment super.

− Peut-être, Janine, contra Claude visiblement en colère après Paul, mais il n’empêche que toi, mon fils, tu as fait courir de gros risques à Chloé ! C’est indigne de toi ! T’es là pour la protéger, pas pour la mettre en danger ! Non mais tu réalises un peu ! Ah, tu mériterais…

− C’est bon, Claude, je lui avais déjà dit ça. Plaida Chloé pour tenter de lapaiser. Il a compris et il en est suffisamment contrarié, je crois… On va arrêter là, s’il te plaît.

− Et bien moi je vais quand même rajouter quelque chose ! Intervint Philippe visiblement fâché aussi. Regarde moi bien, Paul, j’emmène ta mère tous les jours ou presque dans les dunes et ça se passe très bien ! Pourquoi ? Parce que je respecte deux règles principales de sécurité. La première c’est : Ne-fait-confiance-à-personne ! Et la deuxième c’est : Reste vigilant tout le temps !

− Je… j’ai compris, parrain, je ne ferai plus une bêtise pareille…

Paul fut très contrarié de cette mésaventure. Il ne prononça plus un mot et s’enferma dans son coin et dans ses pensées. Chloé faisait des efforts pour le réconforter mais ceux ci semblaient bien inutiles. Il ne dit rien non plus sur le chemin du retour et, arrivé dans la maison, il se dirigea directement dans la chambre, se mit au lit et fondit en larmes.

Paul se fustigeait plus durement encore que quiconque ne l’aurait fait, il s’incriminait. Tous ses défauts, qu’ils connaissait bien sans jamais avoir rien fait pour les corriger, y passaient. Lui qui s’était toujours cru si supérieur, il n’était, en fait, pas à la hauteur et avait déçu tout le monde à commencer par Chloé et sa mère. Claude ne l’avait pas seulement accablé de reproches justifiés, elle s’était surtout montrée extrêmement fâchée après lui. Il pouvait largement les compter sur les doigts d’une main les fois où sa mère sétait mise en colère après lui. Aussi ce courroux exceptionnel donnait toute la dimension à la gravité de son acte.

Comment Chloé pourrait-elle lui pardonner son inconscience, son immaturité, son incapacité à la protéger, comment ? Comment pourrait il se regarder encore dans une glace ? Comment avait-il pu être aussi stupide et si criminel ?

Paul était désemparé et tout son corps était secoué par un vague à lâme terrible qui se répandait en flots de larmes. Chloé était venue le trouver pour lui dire que ce n’était rien et que tout allait bien. Elle lui expliqua qu’elle avait éprouvé beaucoup de plaisir mais c’était comme sil ne l’entendait pas. Pire ! Ses mots déclenchaient parfois des sanglots plus forts encore. Elle finit par quitter la chambre et rejoignit Philippe et Claude dans le salon.

− Alors ?

− Alors quoi ? Tu ne l’entends pas ? Je suis dans l’incapacité de faire quoique ce soit… j’ai beau lui répéter que ce n’est pas grave et que ça n’a pas eu de conséquence fâcheuses, c’est comme si il ne m’entendait pas. Je… Ça me déchire le cur de le voir prostré comme ça et inconsolable ! Je ne l’ai jamais vu dans un état pareil… Expliqua Chloé en se mettant à pleurer.

− Attends, ma puce, je vais y aller. Je suis sa mère ; il m’écoutera peut-être… Affirma Claude en montant rejoindre son fils.

− Je ne donne pas 5 minutes avant qu’elle redescende… Paria Philippe visiblement perplexe.

Chloé restait muette, espérant que Claude réussisse à apaiser la tristesse de Paul mais à l’étage, les sanglots s’intensifièrent et Claude revint blême et désemparée.

− Gagné. Dit simplement Philippe.

− C’est affreux, je ne sais pas ce qu’il a… J’ai essayée de le prendre dans mes bras. Il est complètement tétanisé et quand j’ai commencé à lui parler, ça a été pire encore… Il faut que tu fasses quelque chose, Philippe.

− À part une piqûre de tranquillisant dans la fesse où ailleurs, je ne vois pas ce que je pourrais faire d’efficace et même ça, je crains que ça ne soigne que les effets du mal et pas le mal lui même. Alors je ne la ferai pas et, en tant que médecin traitant, je te défends de lui faire toi. On peu savoir ce que tu lui as dit de si efficace ?

− Que… que c’était normal qu’on lui ait fait des reproches et que Chloé avait eu beauc…

− Stop ! Vous faites fausse route les filles ! Où est votre intuition féminine ? Êtes-vous si certaines de l’origine de son mal-être ? Est-ce simplement qu’il se reproche son initiative malheureuse ou plutôt chanceuse, en définitive ? Croyez vous que ce soient les reproches qui le mettent dans cet état ?

− Ben… non, enfin je ne sais pas Philippe… Répondit Claude incapable de répondre, si tu sais ce qu’il a va le voir, va lui parler… puisque tu as l’air de dire que tu sais, vas-y !

− peut-être que je sais, ou que j’en ai une vague idée, mais ce n’est sans doute pas moi qu’il a envie d’entendre.

− Et bien, si ce n’est pas toi et que, nous, il ne nous écoute pas, je ne vois pas qui peut lui parler ! Qu’en penses-tu Chloé ?

− Pour l’instant, rien, répondit la jeune femme, je voudrais juste savoir où tu veux en venir Philippe… que tu arrêtes de tourner autour du pot.

− Bon, le mal de Paul est un mal profond ! Il touche vraisemblablement à des questions d’amour propre autrement plus grave que les petites partouzes de la journée, de leurs dérapages ou de leurs conclusions. Paul est un garçon intelligent et les reproches que tu as pu lui faire en remontant de leur baignade, il les a compris et intégrés instantanément, OK ?

− Euh, oui c’est évident… Reconnu Chloé attentive.

− Comme n’importe qui de pas trop stupide à qui on fait un reproche, il avait peut-être besoin de le digérer tout seul et d’en évaluer la portée et les conséquences lui-même. Vous ne croyez pas ? Alors je vais vous poser deux ou trois petites questions et vous dire ce que je comprends… Quels sont les principaux défauts de Paul ?

− Il est parfois arrogant… Répondit aussitôt Chloé

− Prétentieux, aussi, continua Claude.

− Toujours sûr de lui et parfois méprisant, mais pas avec tout le monde ! Précisa Chloé qui ne voulait pas être trop sévère avec son amoureux.

− Voilà, arrogant, prétentieux, méprisant et sûr de lui, ça relève un peu de la même chose. On aurait pu dire aussi fier et ambitieux. Il a aussi les qualités de ses défauts d’ailleurs. Et Paul n’est pas un garçon déplaisant, loin de là. Paul ne veut pas être le meilleur, il surtout besoin quon reconnaisse son excellence et sa supériorité. Il n’est pas simplement fier de lui, il veut qu’on soit fier de lui. Il veut plaire, ou faire plaisir aux personnes qu’il aime et que celles-ci soient fières de lui… Combien de fois dans ta vie, Claude, t’es tu mise véritablement en colère après lui ?

− Euh, deux fois, vraiment… mais c’était pour des choses vraiment très graves !

− Oui, c’était pour des choses très graves et avec aujourd’hui, ça fait trois ! En plus de ça, comble de malchance, tu t’es mise en colère après lui devant des gens qui lui sont inconnus, étrangers. Sans compter que la dernière fois que tu t’étais mise en colère après lui, il avait à peine 12 ou 13 ans. C’était encore presque un gamin. Aujourd’hui, il a la prétention d’être un adulte ; Il est majeur, vit en couple, gagne sa vie et l’organise comme il l’entend… il sera sans aucun doute, comme notre charmante petite Chloé, diplômé de l’école normale supérieure, agrégé de philosophie et probablement titulaire d’une maîtrise de droit. Penses-tu sincèrement qu’il puisse se voire comme un enfant ?

− Tu es en train de dire que c’est de ma faute si… ?

− Pas exactement, Claude, rétorqua Chloé, car Philippe ne remet pas en cause la gravité réelle et potentielle de son comportement d’aujourd’hui, ni la validité de ta colère… Il dit que Paul, qui était entrain de méditer sur sa faute et sans indulgence déjà, comme on peut s’en douter, quand il s’est vu jugé et condamné ouvertement devant des gens qu’il ne connaît pas. Il sest senti rabaissé au rang de gamin, incriminé. Sa fierté en a prit un sacré coup, il a le sentiment de t’avoir déçue, c’est une certitude. Il a le sentiment de m’avoir déçue également. Mais je comprends quil doit, surtout, être fortement déçu de lui même. Ça loblige a remettre en cause son assurance et son jugement.

− Il doit avoir peur que tu ne le regardes plus comme avant, ajouta Philippe, et aussi, probablement que son amour pour Chloé. Je pense quil a honte et quil est plongé dans le désarroi le plus total, en proie à des sentiments mêlés de culpabilité, de frayeur et de détresse.

− Vous croyez que c’est à moi d’agir pour l’aider ? Demanda Claude désorienté.

− Pas exactement, ma chérie, c’est à vous deux… Affirma Philippe, mais ça peut vous prendre du temps. Aussi, je suggère que nous le laissions se reposer ; il a l’air de s’être calmé un peu. On mange un truc vite fait et ensuite vous irez, ensemble, vous coucher auprès de lui. Si vous n’avez pas les mots qu’il faut, ne dites rien. Montrez lui simplement par de la tendresse que vous l’aimez, dormez avec lui et veillez sur lui, c’est tout. Évidemment, si l’une ou l’autre a le sentiment de savoir quoi lui dire, alors n’hésitez pas… ce serait dommage de perdre du temps.

− Tu veux que j’aille dormir avec eux… mais, et toi alors ? Fit Claude surprise

− Moi ? Ça ne sera pas la première fois de ma vie que je dormirai seul. Ne t’en fait pas pour moi, tout ira bien. Paul a besoin de vous, donnez lui de lamour.

Ils dînèrent sur le pouce, un peu de charcuterie, de la salade et du fromage. Chloé prépara un plateau pour Paul, au cas ou, en n’oubliant pas de prendre de l’eau. Elles souhaitèrent une bonne nuit à Philippe et montèrent ensemble se coucher près de Paul.

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