ÉVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 23 : Les cuillères.
Nous sortons nus du garage en portant nos vêtements dans nos bras, et même si sa sodomie a été au départ douloureuse, Alice ne semble pas devoir en supporter de séquelles, puisque son magnifique visage est à présent tout à fait détendu. Une fois dans la maison, elle me prend mes habits des mains, puis elle se dirige vers notre chambre, sans doute pour aller ensuite dans la salle de bain. Pour ma part, je vais dehors où je me douche rapidement près de la piscine pour enlever les restes de sel, mais également la mouille de mon amante qui a coulé le long de mes jambes.
Lorsque j’ai terminé et que je me suis séché, je m’installe dans une chaise longue, et je souris en entendant revenir mon petit bout de femme, grâce aux clacs-clacs joyeux que font ses mules à talons hauts en bois. Cependant, elle ne vient pas me retrouver, et lorsque je comprends qu’elle est en train de se diriger vers la cuisine, sans doute pour préparer notre repas du soir, je lui demande en forçant légèrement la voix, afin d’être certain qu’elle m’entende :
Tu as besoin d’aide, ma Chérie ?!
Elle me répond en parlant fort elle aussi :
Non mon Amour ! Je pense pouvoir m’en sortir toute seule !
Suite à cette affirmation, je reste assis à fainéanter, me remémorant avec bonheur les principaux évènements de la journée, au cours de laquelle ma timide compagne a bravement vécu de nouvelles expériences. La plus marquante étant bien évidemment qu’elle a osé se balader complètement nue au milieu d’autres personnes, qui lui étaient de surcroît parfaitement étrangères. Je ne peux pas m’empêcher d’éprouver une certaine fierté d’être le responsable de son évolution, même si bien entendu c’est elle qui a fourni tous les efforts pour y parvenir. Et je m’émerveille en pensant à la rapidité à laquelle mon amante s’adapte à ces bouleversements survenus dans sa petite vie qui était bien tranquille.
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Au bout d’une dizaine de minutes, comme ne rien faire pendant qu’Alice est en train de s’activer ne me convient pas, je décide d’aller la retrouver. Elle est en train de préparer sa sauce carbonara alors que les lardons sont déjà cuits, par conséquent, je me dis qu’il est temps de mettre le couvert sur la table de la terrasse. Mon petit bout de femme m’accueille dans la cuisine avec un sourire, et lorsque j’ai terminé la tâche que je me suis assignée, je descends à la cave chercher une bouteille de Chianti blanc.
Les tagliatelles sont délicieuses et je complimente ma cuisinière qui ne rougit pas, mais a plutôt l’air satisfaite d’être arrivée à me contenter. Tandis que nous mangeons ensuite le fromage, et alors que je pensais que ce sujet était clos, elle me demande :
Lorsque tu es allé faire du naturisme dans l’Aude, vous étiez à poils tout le temps ?
Je souris avant de répondre :
Oui. C’est un endroit où les vêtements ne sont pas tolérés, par conséquent tout le monde y vit complètement nu. Port-Leucate est un quartier de la ville de Leucate, et dans cette dernière, les gens vivent de façon traditionnelle. Mais dans la zone naturiste, il y a un camping, et diverses résidences composées soit d’immeubles avec des appartements, soit de villas privées pour les plus fortunés, ainsi que plusieurs commerces. Tous les accès qui y mènent sont surveillés, de façon à empêcher l’intrusion des gens habillés et autres voyeurs. Et étant donné qu’il n’est pas facile de se garer lorsqu’on n’est pas résident, ceux qui ont élu domicile à cet endroit, même si c’est de façon temporaire comme pour les vacances, restent entre eux. Et bien entendu, ils s’habillent lorsqu’ils vont faire des courses ou du tourisme dans les environs.
Alice réfléchit quelques instants, puis elle me dit :
En gros, puisqu’ils sont isolés, c’est comme s’ils vivaient dans une enclave, et qu’on devait passer une frontière pour les rejoindre.
C’est tout à fait ça, et cette frontière est symbolisée par la nudité.
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Comprenant que son intérêt pour le naturisme n’a pas pour but d’alimenter la conversation, étant donné que nous n’avons pas besoin de nous parler pour être heureux, je lui demande :
Est-ce que c’est une expérience que tu aimerais tenter ?
Eh bien… pas pour moi en vérité. Car rester seule avec toi, et ce, quelle que soit ma tenue, suffit amplement à mon bonheur.
Cet aveu me fait bien évidemment énormément plaisir, cependant je ne dis rien en me contentant de sourire, et je la laisse continuer :
Mais tu as sans doute remarqué que Léa au contraire de Léo, est aussi craintive vis-à-vis des autres que je l’étais à son âge. Par conséquent, je me suis dit que se retrouver à poil au milieu d’autres gens de façon naturelle serait un bon moyen pour la décomplexer. Car si elle parvient à être à l’aise dans ce genre de situation, je suis convaincue que cela l’aidera grandement à gagner de l’assurance, dans sa vie de tous les jours.
Mon petit bout de femme n’a pas tort et son raisonnement est logique, néanmoins et bien que cela ne me regarde pas vraiment, je me permets de faire une objection :
À condition qu’elle soit d’accord pour tenter l’expérience. Car si je ne me trompe pas, tes filles ne sont même pas au courant que tu es devenue toi même une nudiste.
Tu as raison, mais il me suffira de faire mon coming-out. Ce qui étant donné que nous nous sommes déjà vues sans aucun vêtement dans la salle de bain, ne devrait pas poser de problème. Et pour ce qui est de faire du naturisme, je vais le leur proposer. Je sais que Léo qui est nettement plus délurée que sa sur, sera tentée par l’expérience. Par conséquent, je pense que c’est elle qui va arriver à convaincre Léa.
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Je réfléchis quelques instants à ce plan qu’elle a échafaudé assez rapidement, et qui me semble plein de bon sens, puis je lui fais :
Si je comprends bien, une fois qu’elles auront eu leur bac, tu vas les emmener en vacances chez les nudistes. C’est bien ça ?
Alice sourit, avant de répondre :
Je pensais plutôt y aller au mois d’août, étant donné que c’est à ce moment-là que toi tu auras tes congés. Cela nous laisserait le temps de trouver un appartement, si celui de tes amis n’est pas disponible.
Puis elle ajoute après m’avoir fait un petit sourire :
À moins que l’idée d’avoir à nous supporter toutes les trois ne te paraisse insurmontable…
Je lui réponds le plus sérieusement du monde :
Si à terme, nous devons vivre ensemble, ce sera un bon entraînement. Mais pour que j’apprenne à les connaître un peu avant que nous ne partions en vacances, elles pourraient par exemple venir ici samedi prochain, pour manger une paëlla cuite au feu de bois.
Cette invitation me vaut un magnifique sourire de la part de mon petit bout de femme qui me demande non sans humour :
Tu vas le faire alors que j’ai perdu mon pari ?
Bien entendu. Et tu laveras mon Alpina dimanche, à moins que tu ne veuilles leur demander de t’aider…
Cette fois, elle rougit légèrement, avant de répliquer :
Déjà, je ne suis pas certaine qu’elles oseront se mettre à poil pour se baigner, même si moi je le serai, alors pour ce qui sera d’aller sur le devant de la maison pour faire du nettoyage d’auto, je pense qu’il est encore trop tôt pour l’envisager.
Sur ce deuxième point, je plaisantais. De toute façon, il n’est pas question que tu te décharges de ton gage sur tes filles. Ce serait trop facile. Mais pour ce qui est du fait de savoir si elles oseront faire du nudisme ici, moi je pense que oui, et si tu veux on peut parier.
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Alice me regarde quelques instants en silence, probablement parce qu’elle réfléchit à la chose, puis elle me demande :
Et quel serait cette fois l’enjeu de ce pari ?
Avant de parler d’enjeu, on va commencer par définir clairement le pari en question. Parce que si j’ai bien compris, Léo risque de suivre ton exemple sans se poser de questions, par conséquent, on va gager sur le fait que Léa arrivera à faire comme sa sur. Tu es d’accord ?
Ça me semble assez logique, même si je suis convaincue qu’elle n’osera pas se mettre à poil en ta présence.
Je l’avais compris. Mais en même temps, si elle y arrive, ça l’aidera pour ce qui sera d’aller plus tard chez les nudistes. On pourrait même entre les deux lui proposer d’inviter Marc Charlène et Dorine, car si on se retrouve tout un groupe à être nus, ça sera pour elle encore un pas en avant.
Tu as raison, mais c’est à la condition qu’elle franchisse la première étape. Ce qui nous ramène au pari.
Tout à fait, mais un dernier détail reste à régler. Moi, je serai nu ou pas ? Parce que je pense que leur imposer ça à toutes les deux n’est pas une bonne idée. Au départ, le mieux serait que tu sois la seule à l’être, et que si elles se décident toutes les deux à faire comme toi, ensuite on leur demande si ça les dérange que je retire mon bermuda. De cette manière, il n’y aura aucune contrainte de notre part, et les choses se passeront plus naturellement.
Bingo. Et pour les enjeux ?
Si tu gagnes, tu seras dégagée de ta corvée de laver mes voitures. Et si tu perds, je choisirai jusqu’aux vacances comment tu devras t’habiller. Surtout lorsque tu viendras boire le café avec moi le midi.
Cette fois, mon petit bout de femme devient écarlate, et elle me demande aussitôt :
Tu ne vas m’imposer des tenues indécentes, au moins ?
Bien sûr que non, je n’ai pas l’intention de t’obliger à provoquer des attentats à la pudeur. Mais ce sera plus sexy que tes tenues habituelles. Pour cela, il faudra que tu me m’envoies le contenu de ta garde-robe, que tu auras filmée ou prise en photos, et que tu m’autorises éventuellement à faire quelques achats, si tu n’as rien qui me convienne.
Toujours aussi rouge, mais visiblement émoustillée par cette idée, mon amante me répond aussitôt :
Bingo !
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Nous débarrassons ensuite la table et nous rangeons la cuisine, puis je vais chercher la carpette qui est sèche, avant d’aller retrouver Alice dans notre chambre. Cette dernière qui en a profité pour refaire le lit, dont nous ne nous étions pas inquiétés jusqu’à présent, sourit tandis que je remets le tapis devant le miroir. Cependant, je lui dis :
Ce soir, j’ai envie de te faire tendrement l’amour, et pas de te prendre comme une cochonne.
Elle me répond du tac au tac :
C’est ballot, parce que moi j’ai envie de me faire à nouveau enculer.
Cela me confirme comme je l’avais supposé, que lorsque nous étions dans le garage mon petit bout de femme a bien vécu sa sodomie sans lubrification, et qu’elle ne doit en porter aucune séquelle puisqu’elle est à nouveau demandeuse. C’est pourquoi je lui fais :
Ce n’est pas incompatible, et on peut faire ça tendrement sur le lit. Il me suffit juste d’aller chercher le spray, qui sauf si tu l’as changé de place doit toujours se trouver à l’intérieur de ton sac à main, dans la pièce à vivre.
Il y est, mais j’ai également envie que tu me prennes à sec, et sans préliminaires.
Tu en es certaine, car tu risques de la sentir passer.
Oui, mais c’est mon cul. Par conséquent, c’est à moi de gérer la douleur.
Je réplique amusé par la situation :
Est-ce que ma grosse cochonne serait en train de devenir masochiste ?
Si tu arrives à m’expliquer à partir de quel moment on le devient, je pourrai peut-être te répondre. Moi, tout ce que j’ai constaté, c’est que le plaisir éprouvé après la souffrance est plus intense. Et comme tu me l’as toi-même fait remarquer, mon trou du cul a de la mémoire, et il attend déjà avec impatience que tu viennes l’écarteler avec ta queue. Je suis prête à parier qu’au bout de quelque temps, il s’ouvrira de lui-même pour te faciliter le passage. Par conséquent, j’ai envie de profiter pleinement des premières fois, de me sentir perforée, et de jouir des sensations que cela me procure, avant qu’elles ne disparaissent.
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Une fois de plus, je suis complètement bluffé pas les propos d’Alice, mais absolument pas choqué. C’est pourquoi je lui réponds :
Je ne suis pas certain que cela puisse marcher pour ta rondelle, mais il existe des pommades astringentes. Tu devrais demander à Charlène ou a Dorine qui ont des connaissances plus approfondies que moi en la matière, si certaines d’entre elles pourraient être utilisées pour la sodomie. Si c’est le cas, tu aurais l’impression de te faire dépuceler l’anus à chaque fois.
Cette fois, mon petit bout de femme devient carrément écarlate, et j’ajoute en comprenant pourquoi :
Si tu ne te sens pas encore assez proche d’elles pour leur parler de ce genre de choses, je pourrais peut-être le faire à ta place. Mais en attendant, allonge-toi sur le côté, je ferai ensuite la même chose derrière toi, et je forcerai le passage, mais en douceur. Comme ça, avec un peu de chance, nous y trouverons tous les deux notre compte.
Mon petit bout de femme m’obéit immédiatement après avoir retiré ses mules à talons, et nous prenons la position que le Kama-Sutra appelle « les cuillères ». C’est-à-dire que je m’approche d’elle tout en glissant un de mes bras sous son corps, pour venir palper celui de ses gros seins qui s’est affalé sur le drap. Pendant ce temps, mon autre bras qui lui est passé par-dessus caresse son ventre et sa vulve, sans oublier sa magnifique toison d’ébène qui me plaît tant. Lorsque je suis assez proche, je place mon sexe encore flasque entre ses fesses, et le me caresse lentement en me frottant contre leur peau douce, jusqu’à ce que je sois en pleine érection.
Ensuite, je cherche à tâtons, enfin façon de parler, l’entrée de sa grotte mystérieuse, ce qui ne me prend pas bien longtemps, et je m’enfonce lentement en elle en forçant le passage.
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Alice pousse à ce moment-là un petit geignement, qui je le sais parfaitement n’a pas été provoqué par le plaisir, mais étant donné que c’est elle qui a voulu que les choses se passent ainsi, je ne m’en inquiète pas. Je pénètre en elle millimètre après millimètre, tandis qu’elle reste passive. J’ai soudainement le plaisir de sentir une de ses mains qu’elle a glissée entre ses cuisses, venir caresser tendrement mes testicules, preuve que la douleur qu’elle est en train de ressentir est en accord avec l’amour que nous éprouvons l’un pour l’autre.
Lorsque mon membre a pénétré en entier, je me recule, et je commence à le faire coulisser en elle, à une allure que cette position m’oblige à garder modérée. Mon petit bout de femme ne tarde pas à m’accompagner dans mes mouvements tout en râlant doucement, et en continuant à me palper les bourses. Notre accouplement dure une dizaine de minutes pendant laquelle les plaintes poussées par ma partenaire ont gagné en durée, mais pas en intensité, et sans que je sache à quel moment la douleur a été chez elle remplacée par le plaisir.
Alors que son anus avait fini par complètement s’adapter aux dimensions de ma queue, preuve que je n’étais plus considéré par lui comme étant un intrus, il se resserre subitement autour de mon membre, tandis que mon amante pousse son premier et unique véritable gémissement, qui charme mes oreilles tant il est mélodieux. Bien entendu, ce massage délicieux provoque mon éjaculation, et je me vide dans son fondement.
Une fois l’orage orgasmique passé, nous restons quelques instants collés l’un contre l’autre, pendant que je continue à la caresser, puis je lui demande :
Ça va ? Tu n’es pas trop déçue par ma façon de procéder ?
Non mon Amour, c’était délicieux.
Puis elle ajoute malicieusement, en prenant une voix de petite fille :
Même si cette fois zé pas fait pipi.
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Sa remarque me fait éclater de rire, et lorsque j’ai retrouvé mon sérieux je lui fais :
Comme je te l’ai déjà dit, cette réaction n’est pas liée directement à l’orgasme, étant donné que les femmes qui n’ont jamais d’éjaculations ne sont pas frigides pour autant. Je ne suis pas un expert, mais à mon humble avis, ce phénomène est plutôt lié à la stimulation de la prostate, alors que la jouissance est elle provoquée par l’excitation prolongée des zones érogènes, dont l’anus fait partie.
Alice me répond sur un ton ennuyé, tout en s’avançant pour se dégager, et tandis que je dénoue mes bras qui la tenaient contre moi :
C’est bien joli les explications techniques, mais le plus important à mes yeux c’est de sentir ton foutre gicler en moi lorsque je prends mon pied. Tout le reste, ce n’est que du blabla.
Pour la punir de son impertinence, je lui mets une claque sur les fesses, ce qui lui fait pousser un petit cri de surprise, mais elle ne se plaint pas autrement et elle se relève pour aller s’asseoir sur le bidet, en laissant la porte de la salle de bain ouverte.
À suivre…