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Ah…les dames bien mûres – Chapitre 3




Une fois de plus, je suis resté quelques jours sans revoir ma charmante voisine si ce n’est que durant de très brèves apparitions au travers de ses rideaux. Par une belle matinée ensoleillée de fin novembre, alors que le givre recouvrait déjà les arbres nus de la ville et que les cantonniers disposaient les guirlandes de Saint-Nicolas, je vis soudain Madame P. sur le trottoir d’en face en discussion avec une autre dame de son âge que je connaissais de vue. Elle était très élégamment vêtue d’un manteau de fourrure 3/4 et d’une petite toque assortie posée légèrement en biais sur sa belle chevelure blonde qui recouvrait sa nuque. Une jupe noire recouvrait le haut de superbes bottes brunes en cuir de Russie. Un splendide foulard Hermès en soie grège lui entourait le cou : toujours la grande classe ! Elle pivota légèrement et m’aperçut, me faisant un sourire. J’allai vers elles, et après avoir salué son interlocutrice, je me tournai vers Madame P. Sans lui donner le temps de réfléchir, je posai ma main sur son avant bras et me penchai pour lui faire la bise, comme si nous étions amis de longue date. Je sentis un léger mouvement de recul, mais elle me tendit sa joue que j’embrassai délicatement. Sa peau était douce comme un riche velours. A ma plus grande surprise, elle me rendit alors un léger baiser sur la joue.

— Bonjour, Marthe, lui dis-je, comment allez-vous ?

— Bonjour, Jean-Luc, très bien, merci, et vous-même, depuis le temps que nous ne nous sommes revus ?…

Ainsi donc, comme je ne lui avais jamais indiqué mon prénom et elle le sien, elle avait, comme moi, empoigné le bottin de téléphone…pas folle la guêpe, mais de plus en plus intéressante !

— Je ne veux pas interrompre votre conversation, ma chère, je vous rappellerai un de ces prochains jours. Au revoir !

— Oui, volontiers, à bientôt.

Je saluai encore son amie et repris mon chemin. Après une dizaine de mètres, je me retournai comme pour traverser la rue et je vis que les deux dames me regardaient m’éloigner, pendant que Madame P. semblait parler. J’aurais bien voulu savoir ce qu’elles disaient de moi. Petit curieux, va ! Elle me fit encore un petit signe discret de la main, auquel je répondis tout aussi discrètement. Mon c?ur battait à cent à l’heure, et je croyais encore sentir son eau de toilette. Ce simple petit intermède m’avait fait bander comme un fou, et je rentrai dans un tea-room dans les toilettes duquel je dus aller calmer mes ardeurs; C’est en pensant à elle que j’envoyai de puissantes giclées de sperme qui finirent malheureusement dans un kleenex. Je remontai et m’attablai dans la petite salle où je commandai un café. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir rentrer dans l’établissement et se diriger vers le comptoir pour y acheter son pain. Je me levai afin qu’elle me voie et l’invitai à prendre un café avec moi.

— Volontiers, me fit-elle, mais je ne pourrai rester longtemps, car ma fille vient déjeuner chez moi tout à l’heure, et je ne suis guère en avance.

Une fois les consommations servies et la serveuse éloignée, elle me regarda en souriant, et me dit sur un ton de reproche:

— Comme vous y allez ! Je discutais avec cette mégère de Madame C. et j’ai dû lui inventer toute une histoire pour justifier notre semblant de connaissance. J’ai ensuite dû lui dire que j’avais une course urgente à faire pour m’en débarrasser, car elle n’aurait pas manqué de me poser encore d’autres questions indiscrètes. Vous pouvez dire que vous m’avez mise dans un drôle d’embarras !

Cependant, ses yeux brillaient et contredisaient ce qu’elle disait. Je jurerais même qu’elle m’avait vu rentrer dans l’établissement et qu’elle y était venue bien sciemment, mais je me gardai de le lui dire.

Je ne puis que lui présenter piteusement mes excuses, tout en lui avouant que j’avais apprécié au plus haut point le petit voile qu’elle avait bien voulu lever sur sa vie privée lorsque je l’avais ramenée chez elle à la Toussaint. Ostensiblement, mon regard descendit de ses yeux à sa bouche, puis à son cou et enfin s’arrêtèrent sur l’opulente poitrine qui gonflait son manteau encore fermé. Elle sentit le feu de mon regard sur ses seins…

— Qu’il fait chaud, ici, permettez que je me mette à l’aise !

Et sans plus de formalités, elle ouvrit son manteau et retira son beau foulard. En se tournant pour poser le foulard sur la banquette où se trouvait son sac à main, elle fit un geste du bras qui entrouvrit largement le manteau, dégageant son buste époustouflant. Elle était moulée dans un pull blanc en laine sous lequel se devinait la forme sombre d’un soutien-gorge noir. Le souffle court, je ne pus que lui dire platement :

— Vous êtes ravissante, ma chère Marthe !

Je vis son visage rosir :

— Je vous en prie, ne tourmentez pas ainsi la vieille dame que je suis. Il y a belle lurette que les hommes ne me font plus la cour, et je vous rappelle que je suis veuve et respectable dans cette ville.

Bêtement, je ne pus que poursuivre la discussion sur la pluie et le beau temps, ensuite de quoi, nous nous quittâmes pour aller vaquer à nos occupations respectives. Alors que nous nous levions de table, je surpris un très bref et très fugitif regard de cette dame en direction de ma braguette, j’en suis absolument certain. Gênée, et comme prise en défaut, elle détourna vite le regard. Devant le tea-room, nous nous fîmes encore une bise très conventionnelle, mais alors sa main dans la mienne me fit une pression très sensible alors qu’elle avait mes lèvres sur sa joue.

Après midi, vers deux heures, je montai à mon petit observatoire, lorsque je vis la fenêtre de sa chambre à coucher s’ouvrir. Madame P. se pencha à l’extérieur et fit un signe d’au revoir à sa fille qui était sur le trottoir et rentrait dans sa voiture. Elle referma alors la fenêtre et tira les voilages. Soudain, la lumière de sa lampe de chevet jaillit et je la vis dans mes jumelles braquées, de profil dans son beau pull blanc à col montant, ses gros seins tendus comme des obus sous le lainage. Elle passa sa main sous le pull, et la voyant doucement bouger, je suis sûr qu’elle se pelotait ainsi. Sans plus réfléchir, je mis mon téléphone en main libre (quelle chance !) et l’appelai. Elle saisit un combiné sans fil sur sa table de nuit.

— Allô ?

— Re-bonjour, Marthe, c’est Jean-Luc, je vous dérange ?

Un léger silence, puis d’une voix un peu grave:

-Heu…non, ma fille vient juste de partir…

Dans mes jumelles, je vois qu’elle n’a pas retiré sa main de sous son pull où elle s’active toujours. Son visage marque quand même la surprise, sourcils levés.

— Vous savez, je voulais vous dire plein de choses, ce matin, mais n’en ai pas eu le courage…

— Quelles choses, par exemple ?

— Marthe, depuis l’autre jour, j’ai une envie folle de vous, Pardonnez-moi de vous l’avouer, mais j’y pense sans arrêt.

— Voyons mon cher Jean-Luc, ce n’est pas sérieux, Je vous l’ai déjà dit, je suis une vieille mamie, et veuve de surcroît !

— Ne craignez rien de moi, je ne veux que votre bonheur. Je suis sûr que votre corps réclame encore le plaisir qui lui est dû. Je trouve encore tellement de féminité en vous !

— Arrêtez, Jean-Luc, je vous en prie, taisez-vous !

Mais Madame P. ne se doute pas que je l’observe comme si j’étais à moins d’un mètre d’elle. Ses yeux sont fermés, sa main a relevé son pull, et je la vois distinctement caresser ses seins à travers le fin tissu de son soutien-gorge noir.

— Marthe, je meurs d’envie de vous embrasser, de passer ma main sur cette poitrine que vous m’avez vu contempler avec envie ce matin. Fermez les yeux et passez doucement votre main dessus, en imaginant que c’est la mienne qui court sur votre peau. Faites-le, je vous en prie, Marthe, faites-le !

— Non, oh non…Jean-Luc…

— Si, Marthe chérie, c’est ma main qui parcourt votre buste. Je sens les pointes de vos seins durcir entre mes doigts…les sentez- vous, dites-moi…

Je tremble d’excitation en la voyant aussi proche dans les objectifs de mes jumelles, ses doigts palpent les bouts de ses seins bandés.

— Ahhh, Jean-Luc, nous sommes fous, vous me rendez folle de faire cela.

— Oui, ma chérie, nous sommes mun peu fous, mais faites-le, donnez-vous du plaisir, je le fais moi aussi pour vous, je me caresse car j’ai baissé mon pantalon et mon sexe est érigé dans ma main. Je rêve que ce sont vos doigts qui entourent ma verge et longuement la caressent…dites-moi ce que vous faites, Marthe, vous vous caressez aussi, n’est-ce pas, décrivez-moi tout.

— Ohhh j’ai honte, Jean-Luc, ma main brasse mes seins…

Elle soupire fortement, et effectivement, je vois qu’elle les a sortis de leurs balconnets. Les mamelons sont érigés comme des petites bites au centre de ses grosses aréoles sombres, et elle les pince à tour de rôle.

— Marthe, comme je bande pour vous…si vous voyez dans quel état d’excitation je suis pour vous ! Et vous, dites-moi, dites-le moi, vous mouillez, n’est-ce pas ? Mettez votre main dans votre slip, dites-moi tout…

Je le vois alors qui défait rapidement la fermeture éclair de sa jupe qu’elle abaisse et enjambe sans lâcher le téléphone…quelle acrobatie. Elle enlève encore son slip, et reste ainsi, en bottes, bas et porte-jarretelles (décidément, c’est une adepte !), le pull remonté jusqu’au cou, ses gros seins ballottant à l’air libre, son stg sur le ventre. Elle s’assied au bord du lit, les cuisses grand écartée, livrant sa vulve détrempée à mon regard de voyeur comblé. C’est est trop, ma queue sursaute dans ma main et brutalement je jute comme un fou en lui disant :

— Ah Marthe, je jouis… je gicle pour vous tout mon sperme !

Les yeux fous, je reste toutefois braqué sur mes jumelles, heureusement bien fixées sur leur trépied. Je la vois partir au dos sur son lit, ses doigts s’enfournant dans sa grosse motte blonde.

— Oh oui, branle-toi, belle complice, fais aller tes doigts comme si c’est moi qui rentrait dans ta motte juteuse…

Je l’entends soupirer fortement et gémir. Ma queue, insatiable reprend vigueur entre mes doigts.

— Je voudrais sentir tes mains me branler, Marthe, comme je le fais en ce moment…

— Oh…oui… je le voudrais, je voudrais ta queue…elle est forte, elle est dure…hein ? Je voudrais tant te la branler…

— C’est toi qui me branle, Marthe…et moi, j’enfonce au fond de toi mes doigts…fais-moi entendre ta chatte…

Je le vois, superbe d’érotisme, ses grosses cuisses bien écartée, sa motte encadrée par les lignes fines du porte-jarretelles dont les attaches courent sur sa peau jusqu’à la lisière sombre de ses bas fumés, puis ses jambes en bottes de cuir qui battent l’air…elle descend alors le combiné qu’elle approche de son autre main dont les doigts s’enfoncent et ressortent de sa vulve trempée. J’entends alors distinctement le bruit de succion de sa masturbation effrénée et en bruit de fond des gémissements de plus en plus forts. Sa voix est rauque.

— Je vais jouir, oh…je voudrais que tu me baises, je voudrais ta queue…ta grosse queue…je la veux en moi…baise-moi, enfile-moi à fond…à fond dans ma grosse chatte…il y a si longtermps que l’on ne m’a plus prise…je veux…je veux… ta bite, ta queue…oh que c’est bon…je jouis…oh la cochonne…ohhh que j’aime…

Et dans un grand cri, je le vois se tendre comme une flèche, s’arque bouter comme pour se tendre vers une bite géante et imaginaire qui l’enfournerait…la mienne…ma bite dans son trou d’amour…ah baiser Marthe…lui foutre…

Moi aussi, alors, je jute encore et encore. Mon sperme gicle de ma tige raide comme une trique…J’entends son souffle…elle est essoufflée comme si elle avait couru. Elle a les yeux fermés et approchant le combiné de sa bouche, elle murmure :

— Oh Jean-Luc, que c’est bon…j’ai honte de ce plaisir…que me faites-vous donc faire ?

— Marthe chérie, nous avons fait ce que depuis quelques temps nous avions les deux en tête de faire réellement. Je me suis tellement branlé pour vous…Je vous veux, je veux faire l’amour avec vous…je veux vous baiser, Marthe…continuer ce que nous avons commencé…c’est un délice que vous m’avez offert…vous voulez, n’est ce pas…vous me voulez?

Dans un souffle, elle soupire :

— Oui…vous viendrez…je me donnerai toute à vous…vous viendrez…me baiser…me mettre…Jean-Luc chéri…

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