(petite erreur sur le chapitre précédent, mon prénom est Florent et non Julien qui est le prénom de mon copain dont on va parler ici)
Moi aussi, je m’habille rapidement pour aller à la Fac.
Après la première conférence, je retrouve Julien qui était dans un autre cours.
« Salut Julien tu vas bien ? »
« Oui très bien, si tu as le temps, on va se prendre un café à la cafet. »
« OK »
Après le passage à la machine à café, nous nous asseyons à une table.
« Tu as vu la tenue de Josy en face ? Putain, elle est vachement bandante je sais que c’est André qui la baise mais j’aimerais bien me la faire. Pas toi ? »
« Tu as raison, elle vachement bien foutue mais actuellement je suis sur un coup très spécial »
« A la Fac ? »
« Non, je baise ma mère »
« Eh, tu déconnes, tu rêves ? Tu fantasmes sur ta Mère ! Karine ? »
« Non, je te dis que je la baise »
« Alors là, je suis scié. J’y crois pas. Raconte un peu »
« Ça a commencé en la surprenant par hasard aux toilettes la porte ouverte. C’est vrai que souvent, en la voyant en petite tenue de nuit, je matais ses gros seins et essayais de deviner son entrejambe. Un jour, je me suis même branlé en pensant que je la baisais.
Hier, la porte des toilettes était donc entrouverte, je suis entré, Karine n’avait pas l’air très offusquée mais bien sûr un peu surprise. J’ai su plus tard qu’elle faisait exprès de s’exposer pour voir ma réaction. Elle m’a avoué qu’elle m’avait surpris un jour en train de me masturber devant un film porno et qu’elle avait pu constater que j’étais bien membré.
De fil en aiguille j’ai obtenu la permission de lui caresser la poitrine, puis le cul et la chatte et ce matin on a eu une bonne partie de baise. »
« Là tu m’excites grave Florent. Moi aussi chaque fois que je vais chez toi, j’ai plaisir à voir ta mère et moi aussi, ses gros seins et son cul me font bander mais évidemment ça s’arrête là »
« Je me suis rendu compte qu’elle était assez salope. Ça te plairait de la baiser ? »
« Bien sûr mais tu es fou, elle ne voudra jamais ! »
« Si elle aime le cul, j’arriverai à la décider. Je t’en reparlerai. Mais si tu viens à la maison avant, surtout ne fais rien paraître »
« OK. Bon, c’est l’heure, il faut que je revienne à mon cours. Ciao Florent »
« Ciao. A plus »
En rentrant à la maison, Karine est arrivée et prépare le dîner.
« Alors Florent ta journée s’est bien passée ? »
« Oui maman et toi ? »
Je m’approche d’elle et commence à lui caresser les fesses.
« Allons Florent ne recommence pas. Ce matin ne t’a pas suffi ? »
« Et toi, tu y as pensé dans la journée ? »
« Oui mais je pense que j’ai eu un moment d’égarement et j’ai un peu honte pourtant quand je suis allé aux toilettes au bureau, j’ai récupéré ce qui restait de ta semence et je me suis masturbée. Mais nous devrions arrêter là. Moi, aller avec les hommes de mon âge et toi avec tes copines de Fac. »
« Mais non, maman Karine, c’était merveilleux, regarde je suis à nouveau excité. Touche »
« Non, ne me provoque pas, je prépare le dîner, va dans ta chambre devant un de tes films et soulage-toi. Je t’appellerai quand ce sera prêt »
Au cours du repas, nous bavardons sur tout un tas de sujets et de temps en temps je lui caresse les jambes avec mon pied sous la table. Elle ne réagit pas. Je pense à ma conversation avec Julien.
« Cet après-midi j’ai bavardé avec Julien, on parlait des filles et je lui ai raconté notre aventure »
« Quoi ? Mais tu es fou ! C’est un secret que nous devons bien garder, c’est de l’inceste et je t’ai dit qu’il vaudrait mieux qu’on arrête. Quelle image vais-je avoir aux yeux de Julien quand il va venir à la maison ? Tu es impardonnable. Qu’a-t-il pensé ? »
« Il m’a dit que quand il venait, il louchait sur tes formes et que tu l’excitais beaucoup »
« C’est vrai que j’ai souvent surpris son regard sur mes seins et sur mes cuisses quand je suis assise dans le fauteuil en face de lui »
« Je te soupçonne de le faire exprès en remontant ta jupe jusqu’à la lisière de tes bas. Après tout c’est bien toi qui m’as provoqué avec ton exhib dans les toilettes. Pour en revenir à Julien, aimerais-tu qu’il te baise ?»
« Tu te rends compte de ce que tu me demandes Florent ? Tu ne crois pas que tu exagères ? »
« Non maman, j’ai bien vu comment tu avais aimé notre partie et si tu t’amuses à exciter Julien avec tes tenues ou tes attitudes, tu devrais facilement franchir le pas »
« Je ne voulais plus qu’on parle de tout ça mais je dois reconnaître que notre discussion m’ébranle et je ne sais plus où j’en suis »
« Je suis sûr que tu mouilles Karine. Veux-tu que je dise à Julien de venir nous voir ? »
« Tu es intraitable mais j’ose te dire que j’ai envie »
« Je l’appelle. »
« Allô ! Julien accepterais-tu de venir passer un petit moment à la maison ce soir après le repas vers 21h ? »
« Oui, c’est possible. Demain samedi on n’a pas cours. Ta mère sera là ? »
« Oui bien sûr »
« Ah bon ; OK à tout à l’heure »
« Tu as entendu Karine, il est OK pour venir vers 21h »
« Tu vas le laisser me baiser devant toi ? »
« Bien sûr puisqu’il connaît notre histoire et je pourrai aussi participer »
« Comment veux-tu que je m’habille ? »
« Pour le soir, ta petite nuisette sur ton soutien-gorge pigeonnant, un porte-jarretelles avec tes bas noirs et pas de culotte. Pour l’accueil, tu mettras ta robe de chambre sans la fermer. »
« Tu es vraiment vicieux mon garçon mais je vais me préparer »
En montant se changer, Karine passe près de moi et me caresse subrepticement la queue sous mon jean. Je bande à mort en pensant à la suite.
21h30 Julien sonne à la porte. C’est moi qui lui ouvre. Il a apporté une splendide composition florale.
« Ce n’était vraiment pas la peine. Je reconnais là ton savoir-vivre »
« Tu sais, c’est la tradition à la maison, certains diraient que cette éducation est vintage mais j’assume. »
« Passons au salon, Karine nous prépare un petit dessert »
Nous discutons des partiels qui approchent quand maman apparaît dans l’embrasure de la porte un plateau chargé de sucreries dans une main et une bouteille de champagne dans l’autre. Elle est ravissante sous sa robe de chambre qui s’entrouvre sur ses cuisses à chacun de ses pas.
« Bonsoir Julien. C’est pour moi cette belle composition ? Elle mérite une grosse bise »
Après s’être libéré les mains, Karine s’approche de Julien et contre toute attente, l’embrasse directement sur la bouche. Julien ne se démonte pas et se colle contre sa poitrine si fortement qu’un sein sort de son soutien-gorge gonflant sa nuisette.
« Oh excuse-moi Julien je ne voudrais pas être indécente. »
« Ne vous excusez pas Karine, c’est plutôt agréable »
« Asseyons-nous les garçons et goûtez ces petites sucreries »
Comme elle le fait souvent, Karine s’assoit en face de son invité, la robe de chambre ouverte laissant apparaître le haut de ses bas et vaguement distinguer son importante toison à travers sa nuisette.
Julien n’en perd pas une miette, moi non plus et je sens que je commence à bander.
« Alors Julien, je vois et je sais que tu apprécies mes formes, ton regard me déshabille littéralement. »
« C’est vrai Karine et si j’osais, je vous déshabillerais réellement. »
« Ça te ferait vraiment plaisir ? »
« Oh oui mais Florent… »
« Il m’a dit qu’il t’avait raconté notre relation donc il ne sera pas gêné »
Cela dit, ma mère se lève et se plante devant Julien en laissant tomber sa robe de chambre.
« Fais ce que tu veux Julien, je te permets »
Julien se lève, commence à caresser les jambes de Karine à travers ses bas, remonte sur ses cuisses en soulevant la nuisette et atteint sa toison qu’il doit sentir déjà mouillée. Une main lui caresse la chatte pendant que l’autre lui caresse le cul.
Visiblement ma mère est très excitée, elle se caresse les seins qu’elle a sortis de son soutien-gorge et enlève complètement sa nuisette. J’adore cette tenue : Soutien-gorge à moitié défait, porte-jarretelles, bas talons hauts. Je bande dure et sors ma queue.
Karine dégrafe le Jean de Julien qui tombe à terre et son impressionnant membre dressé émerge de son boxer.
« Quelle belle bite tu as Julien, tu vas me sucer pour bien me faire juter et m’enfoncer ton énorme engin »
A mon tour, je me déshabille et m’approche de Karine pour la peloter par-derrière.
« C’est bon Florent, je sens ta queue sur mon cul mais d’abord je veux que Julien me baise très fort et quand il sera bien mouillé, je veux qu’il m’encule comme toi ce matin »
Julien couche délicatement ma mère sur le carrelage du salon et entreprend de la limer avec force. Chaque fois qu’il se retire pour mieux la pénétrer, un jet de cyprine arrose le sol.
« Vas-y Julien défonce-moi le con, baise, baise, mais ne jouis pas, je veux ton foutre dans le cul. Florent étends-toi par terre, mets un coussin sous tes fesses je vais m’empaler sur ta queue pendant que julien me ramonera le cul. »
Positions pas faciles à trouver sans quelques acrobaties. Une fois ma queue dans la chatte de Karine qui positionne bien son cul pour Julien, notre invité présente sa bite sur la rondelle de la salope.
« Rentre-moi à sec Julien, j’ai envie de bien te sentir même si c’est douloureux. »
D’un coup sec (c’est le cas de le dire !) Julien s’enfourne si fort que Karine tombe à la renverse et expulse ma queue.
« C’est pas grave Florent, prends la bouteille de champagne et branle-moi avec le goulot en faisant pénétrer le champ. Dans ma chatte, je veux voir l’effet des bulles »
La salope ! Elle a de sacrées idées, elle est vraiment chaude. Pendant qu’elle a les jambes écartées et qu’elle se fait ramoner par Julien j’introduis l’objet, je lui bourre la chatte profond avec la bouteille. Le liquide qui doit l’inonder coule sur le carrelage se mélangeant avec ses jets de mouille.
« C’est bon les garçons ! Je sens le goulot qui cogne la queue de Julien à travers la paroi. »
« Attention Karine, je vais jouir »
« Oui Julien dans mon cul, je sens que je monte en même temps. »
Effectivement, tous les deux sont pris de soubresauts accompagnés de râles de plaisir.
« C’est merveilleux les garçons, jouir par le cul avec une bouteille dans la chatte, c’est sublime. Félicitations je vous adore mais vous m’avez épuisée. Reprenons-nous autour d’un verre il reste encore du champ. Dans la bouteille »
« Mais maman, je n’ai pas eu mon compte, vous m’avez excité tous les deux, je n’ai même pas eu l’occasion de me branler »
« Ne sois pas triste Florent, tu sais bien que maintenant tu peux faire ce que tu veux de moi, je serai ta pute quand tu le voudras. Et toi Julien revient quand tu auras envie.
Est-ce que je peux vous demander quelque chose de spécial ? »
« Demandez toujours » répond Florent. »
« Si vous connaissez une copine un peu lesbienne, j’aimerais me gouiner avec elle, avec vous si vous le souhaitez »
« T’es vraiment une sacrée salope maman, du moins Karine »
« Peut-être mais j’ai l’impression que vous aimez bien ça. Bon, il est tard, toutes les bonnes choses ont une fin. J’attendrai de vos nouvelles. Salut les gars je vais me coucher et me reposer, je nettoierai le salon demain matin »
Sur le point de partir, Julien me confie « Putain ! Elle est bonne ta mère même dans les après-parties de bizutage de la FAC j’ai rarement eu l’occasion de m’éclater comme ça »
« Dans les parties de cul, ce n’est pas ma mère, c’est Karine. Je crois même que je vais l’appeler « Karine ma salope » »
« OK. Je dirai Karine pour les occasions. Il faut absolument qu’on lui trouve une lesbienne. Elle a envie et elle le mérite. J’ai une petite idée. Je crois bien que ma sur Liliane regarde souvent les filles au restau et quand nous sortons avec les parents. Mais je ne sais pas si elle est bi. Il faut que je réfléchisse à comment amener la discussion. Elle est assez libre quand on parle de cul en groupe. Mais c’est ma sur. Par contre, comme elle a 35 ans, c’est plus dans les âges de ta mère »
« Je te fais confiance Julien, on en reparle mais peut être après les partiels. Salut »
« OK Florent, salut ».
Julien parti, je suis encore tout excité et je vais rejoindre maman dans sa chambre.
« Maman, tu dors ? Est-ce que je peux entrer ? »
« Non je ne dors pas, je me repasse le film de la soirée entre »
Malgré la lumière tamisée de la chambre, je distingue bien Karine allongée les cuisses écartées avec un gode planté dans sa chatte.
« Tu te branles salope ? Tu n’en n’as pas eu assez ? Par contre moi j’ai envie de te baiser. Regarde comme je bande. »
« Approche que je te suce, je n’ai sucé aucune bite ce soir, je goûte bien le jus de Florent qui sort de mon cul mais j’ai envie de sperme, tu dois avoir de la réserve. Remplis-moi la bouche »
Petite partie jusqu’à ce que j’éjacule une bonne dose que Karine remue dans sa bouche et finit par avaler.
« Viens dormir à côté de moi si tu veux. Demain nous irons faire des achats ensemble. J’ai une petite idée. »
La nuit se termine calmement.