Bismarck vient vers moi, il est très impressionnant mais semble très gentil.
— Ne t’en fais pas, il impressionne, mais c’est une bonne pâte, mets-toi sur le dos devant lui, et laisse-le faire.
Je m’allonge sur le tapis les jambes ouvertes. Bismarck vient entre elles et me donne un grand coup de langue sur le sexe. Je suis électrisée. Il le remarque et donne un autre coup, suivi d’un autre. Il me lèche la vulve avec son énorme langue qui s’enfonce de temps en temps au plus profond de ma chatte. Au bout d’une minute, j’explose dans un gigantesque orgasme, Bismarck continu, il s’abreuve de ma cyprine, qu’il semble adorer. Je reviens doucement à moi, il est maintenant au-dessus de moi, Brigitte l’a fait avancer. Sa bite sort presque complètement de son fourreau, elle est nettement plus grosse que celle de Rex et violacée, un liquide clair en sort goutte à goutte. Je me redresse sur mes coudes pour la gober, je sens le bout au fond de ma gorge libérant toujours ce liquide que j’apprécie beaucoup.
Mais Bismarck veut a priori autre chose, il se libère et revient sur mon sexe. Je me redresse, me mets à quatre pattes et attends. Bismarck vient derrière moi. Il donne un grand coup de langue sur mes fesses. Au second coup, sa langue glisse entre elles et vient me titiller l’anus. Je sens Bismarck avancer sur moi, son torse glisse sur mon dos. Avec ma petite taille, je passe sous son ventre sans problème. Soudain, je sens le bout de sa bite qui vient buter sur mon périnée. Une seconde plus tard, elle est entièrement rentrée dans mon sexe. Il commence de violents et rapides coups de reins. Sa bite me remplit complètement le vagin, mais je suis complètement dans un autre monde. Je me concentre sur cette magnifique bite me laboure à un rythme fou dans l’unique but de me donner du plaisir, et je compte bien en avoir comme jamais.
— Oui mon Bismarck, vas-y, vas-y, baise ta chienne.
Comme s’il avait compris, il se déchaîne encore plus. Soudain, une langue vient me titiller le clitoris, c’est Julie qui s’est couchée sous moi. J’ai assez de présence d’esprit pour la faire glisser jusqu’à ce que son sexe soit sous ma bouche. Je replie mes bras et m’empare de sa vulve ruisselante, je lui aspire avec délice le clitoris. Que demander de plus, j’ai une magnifique bite qui me défonce le con, une langue active sur mon clitoris et ma propre langue sur celui de la personne qui me fait penser à l’amour en ce moment. Je suis submergée par un terrible orgasme qui me coupe les jambes quand je sens son bulbe s’enfoncer en moi et me remplir de son sperme, c’est Julie qui me maintient en me soutenant comme elle peut. Mon corps est parcouru de frissons et de feux d’artifice qui explosent partout. Je ne peux rester en position et finis par m’écrouler sur elle qui m’enlace dans ses bras. Je continue à lui titiller le clitoris avec ma langue jusqu’à ce que je la sente se raidir et jouir. Le sexe de Bismarck me libère, il coule toujours par petits jets, Joy se précipite et l’embouche. Je vois qu’il continue d’éjaculer dans sa bouche, j’ai un petit sentiment de frustration, mais Julie me ramène à ma joie en se retournant pour plaquer son corps contre le mien et m’embrasser langoureusement. Ce corps contre le mien et ce baiser m’électrisent, je suis parcouru d’un frisson de plaisir que ressent Julie qui accentue encore son baiser. Je suis heureuse, et heureuse de rendre Julie heureuse.
Quand j’émerge complètement, je vois Anne à quatre pattes avec Rex sur son dos. Son visage est transfiguré, elle est concentrée sur cette bite qui la baise et lui donne du plaisir. Je m’allonge sur le divan étrangement vide. Claire s’occupe de la vulve d’Anne, Joy pompe Bismarck pour en extraire la moindre goutte de sperme, et Marie est assise dans un fauteuil avec Brigitte qui lui broute le minou. Elle est la seule encore habillée, mais vu ce qu’elle porte, c’est comme si elle était nue. Sylvie filme encore et toujours. Julie vient contre moi, mais je la fais mettre tête-bêche, j’ai encore envie de jouir de sa langue et de la faire jouir de la mienne. Je la fais basculer sous moi pour pouvoir m’occuper à loisir de son sexe. Pendant ce temps, Bismarck renifle les fesses de Joy qui s’est mise à quatre pattes. Comme pour moi, il avance au-dessus d’elle et lui plante son sexe d’un seul coup jusqu’aux couilles.
— Ah putain, quelle bite.
Bismarck donne ses grands coups de reins ce que semble extrêmement apprécier Joy. Je suis sortie de mon observation quand la langue de Julie s’enfonce dans ma vulve. J’en fais autant et commence une série de gestes qui vont nous amener doucement à faire exulter nos corps. Je ne suis plus qu’un sexe qui veut aussi donner du plaisir à un autre sexe. Elle finit par exulter dans un superbe orgasme, agrippée à mes fesses pour me coller à sa bouche, ce qui fait que je la suis très vite. Nous jouissons en silence car nos bouches sont occupées à autre chose. En revanche Anne s’exprime bruyamment, elle hurle.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH je jouis, je jouis, il me fait jouir ce salaud, putain, quel mec.
Petit à petit, nous revenons à nous, Julie n’arrête pas de déposer des baisers sur mon sexe, mais bizarrement, ça ne m’excite pas, je ressens plutôt de la tendresse, voire même de l’amour. Nous nous levons, Anne est écroulée sur ses bras, son cul en l’air avec Rex qui se vide en elle et Claire qui la câline. Marie s’est elle aussi levée, elle regarde Rex d’un il inquisiteur puis me regarde.
— Tu crois que je peux le faire ?
— Bien sûr, il n’y a rien de vraiment spécial.
— Sauf que c’est se faire baiser par un animal.
— Oui, mais tu ne peux pas savoir comme c’est bon.
— Je vais essayer Rex, Bismarck m’impressionne trop.
— OK, attendons qu’il libère Anne.
Brigitte va voir ce qui se passe entre Anne et Rex. Elle regarde bien comment il est enfoncé en elle.
— Il y en a pour une minute au plus, son bulbe rétréci.
Elle a à peine terminé sa phrase que Rex se dégage et vient vers elle. Je regarde Claire qui n’a pas l’air de vouloir quitter les seins de son amour. Je m’agenouille derrière Anne et aspire le sperme qui commence à sortir de sa vulve. Enfin, je bois du sperme de chien. Et je suis très étonné de la similitude de goût avec le sperme d’homme. Je me délecte quand Claire me fait signe, je lui laisse volontiers la place, il y en a pour deux sans problème. Brigitte vient vers moi.
— Laisse-lui quelques minutes, il faut qu’il récupère un peu, mais c’est rapide, ne t’en fais pas. En attendant, peux-tu te mettre à quatre pattes.
— Oui, bien sûr.
Je me mets à quatre pattes sur le tapis. Brigitte s’agenouille derrière moi. Elle pose ses lèvres entre mes fesses et commence à me titiller la rondelle.
— Oui, oui, c’est bon, encore.
Brigitte s’active sur mon anus pendant que Joy s’écroule sous les assauts de Bismarck. Elle replie les bras, pose sa tête sur le sol. Marie va vers elle, se glisse sous son ventre et lui lèche le clitoris qui émerge, gonflé au maximum. Elle explose.
— Oui, oui ma chérie, oui, oui, vous me faites jouir tous les deux, encore, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Bismarck lui a enfoncé son bulbe, il se vide en elle.
— Oui, oui, féconde ta chienne, oui, oui.
Marie réussit à se glisser sous elle, maintenant, son sexe est juste sous la bouche de Joy. Elle s’en empare avec délectation. Marie ne tarde pas à jouir elle aussi.
— AAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Quand Brigitte juge que Rex est prêt, elle va vers Marie.
— A ton tour ma chérie.
Elle regarde Joy qui lui sourit.
— Vas-y, tu verras, c’est divin.
Elle se dégage pour venir se mettre à quatre pattes devant Rex. Je lui mets la serviette sur le dos, c’est ce qu’attendait Rex pour lui sauter dessus. Il donne de grands coups de reins, mais ne trouve pas son sexe. Je me saisis de sa bite pour la guider vers le sexe de Marie. Il s’enfonce d’un seul coup.
— Oh oui, oui, j’aime.
Rex se déchaîne, il la secoue comme un prunier, mais à voir son visage rayonnant, j’en déduis qu’elle aime particulièrement ça. Sylvie a quitté Joy et Bismarck pour venir filmer Marie et Rex. Elle tourne autour pour montrer tous les aspects de cette possession dantesque. Quand elle s’immobilise pour faire un gros plan du bulbe de Rex qui gonfle, Brigitte s’agenouille devant elle et commence un joli broute minou. Sylvie regarde Julie qui vient prendre la caméra. Elle la filme debout, les jambes écartées avec la tête de Brigitte qui s’agite devant elle jusqu’à ce qu’elle pose ses mains sur sa tête et se dresse sur la pointe des pieds en criant sa joie.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Elle retombe sur ses talons, se penche sur la tête de Brigitte secouée de soubresauts. Brigitte ne la lâche pas tant qu’elle la sent jouir. Elle a joui en très peu de temps, elle devait déjà être au bord de l’orgasme à force de filmer ces scènes de sexe. Quand elle est revenue à elle, Julie lui rend la caméra, elle reprend son film sur Marie juste au moment ou Rex enfonce son bulbe et commence à la remplir de son sperme. Joy, qui s’est libérée de Bismarck vient se glisser sous elle pour lui titiller le clitoris. Elle est sur ses coudes pour pouvoir atteindre le sexe de Marie. Se faisant, elle écarte les jambes, Sylvie en profite pour filmer le sperme de Bismarck qui coule de son sexe. L’image va certainement être furtive car Julie se précipite sur son sexe pour lécher le sperme. Je viens à côté d’elle, pour partager ce nectar de vie. Elle s’écarte un peu pour me permettre de glisser ma tête entre ses cuisses, mais au bout de quelques secondes, me fait comprendre qu’elle a encore envie de sperme. Nous léchons le sexe de Joy alternativement jusqu’à ce qu’elle soit bien propre et finisse par jouir de nouveau sous l’action de nos langues.
— Oh oui les files, je vous aime.
Marie succombe aux attaques de Rex et de Joy, elle s’écroule sur elle et criant sa joie.
— AAAAAHHHHH, quel pied, quel pied, encore mon Rex, encore, rempli moi encore, j’aime.
Rex donne de petits coups de reins en se vidant en elle. Au bout de quelques minutes, il se retourne et tire. Le vagin de Marie le libère d’un seul coup. J’aide Joy à l’allonger sur le divan, elle n’a plus la force de le faire d’elle-même.
— Quel pied les filles, jamais je n’ai joui comme ça, jamais.
Joy s’allonge à côté d’elle et la prend dans ses bras en posant sa tête sur son épaule. Marie semble apprécier ce geste et se blottit contre elle en fermant les yeux. Rex et Bismarck sont assis et nous regardent, ils semblent attendre la suite des évènements. Brigitte vient vers eux pour les caresser.
— C’est bien les enfants, reposez-vous un peu.
Je rassemble tout le monde.
— Je crois qu’il est temps de passer un petit moment à déguster quelques gourmandises.
Je vais chercher des gâteaux dans le frigo et nous y faisons honneur en rigolant. Au bout d’une demi-heure, nous débarrassons la table et retournons à nos turpitudes. Claire regarde Rex avec envie. Elle va le caresser, il comprend tout de suite ce qu’elle veut et place son museau sur sa vulve. Il donne un grand coup de langue ce qui l’électrise, elle se met à quatre pattes devant lui. Nous n’avons pas le temps de poser la serviette sur son dos qu’il lui monte dessus et lui plante son vit directement dans le sexe.
— Oh oui, putain que c’est bon.
Rex s’active sur son sexe pendant que Sylvie les filme. Je viens vers elle.
— Ça ne te dit rien, tu n’as pas envie de prendre ton pied avec l’un d’eux ?
— Bien sûr que j’aimerais, mais je suis là pour filmer.
— Et être filmée, Bismarck ne te tente pas ?
— Oui, beaucoup même.
— Passe-moi ta caméra et prépare-toi.
— Ne t’en fais pas, je suis prête.
Elle me tend sa caméra et se met à quatre pattes. Bismarck vient vers elle, lui lèche les fesses et la raie. Julie vient vers elle.
— Oui, c’est bon, Julie, débrouille-toi pour qu’il me la mette dans le fion, s’il te plaît, je veux me faire enculer par cette belle bite.
Bismarck s’avance sur elle, sa bite raide vient buter contre une de ses fesses. Julie s’en empare et la dirige vers son fion. Quand il sent la rondelle de Sylvie au bout de son sexe, il donne un énorme coup de reins et s’enfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles. Sylvie se raidit.
— Ah le salaud, il me fait mal, mais c’est bon.
J’ai filmé la pénétration de la bite de Bismarck dans les entrailles de Sylvie, j’ai eu une sensation de douleur, je pense qu’elle a eu très mal, mais je remarque que ses traits se détendent de plus en plus.
— Oui, oui, vas-y mon chien, vas-y, c’est bon, c’est bon, encore, encore.
Bismarck continue sa saillie par des allers-retours rapides et amples. Comme nous toutes, Sylvie finit par replier ses bras pour poser sa tête dessus en restant les fesses bien hautes. Bismarck n’est pas gêné, il continue de plus belle. Julie se glisse sous elle pour lui lécher le clitoris.
— Oui, oui, j’aime.
Au bout de quelques instants, Bismarck donne un coup de reins un peu plus important et enfonce son bulbe dans le cul de Sylvie.
— Ah, putain quel morceau, ça y est, il me remplit, je sens son sperme m’inonder le fion.
Bismarck se vide en elle en donnant de légers coups de reins. Quand il le juge opportun, il se retourne, mais le cul de Sylvie ne veut pas le libérer. Ils restent collés l’un à l’autre. Je fais un gros plan sur la rondelle de Sylvie distendue par le bulbe de Bismarck. Cette situation déclenche un violent orgasme.
— AAAAAAAAHHHHHHHH oui, oui, AAAAAAAAHHHHHHHH, MMMMMMMMMMMMMM
Elle se calme doucement, Julie est toujours sous elle à lui lécher le clitoris, elle s’agrippe à ses hanches. Sylvie ne tarde pas à repartir en délire.
— OOOOOOOOOOHHHHHHHHHH, oui ma chérie, oui, oui, j’aime.
Quand elle reprend ses esprits, je passe sur Claire mais Rex l’a libéré et elle est sur le dos allongée sur le tapis avec Anne et Brigitte qui lui nettoient le sexe. Je remonte sur le divan pour voir Joy et Marie en soixante-neuf. Je réalise qu’elles ne se sont pas quittées d’une semelle depuis qu’elles se connaissent, c’est-à-dire au maximum six heures. Bismarck libère Sylvie qui s’écroule à côté de Julie. Elle est à plat ventre sur le tapis, les jambes légèrement écartées. Julie lui ouvre au maximum en lui soulevant les fesses pour que je puisse bien cadrer sa rondelle gonflée pas encore tout à fait fermée d’où s’échappe lentement le sperme de Bismarck. Elle s’agenouille entre ses cuisses et s’empresse de lui nettoyer le fion. Je me tourne vers Marie et Joy quand j’entends Marie jouir.
— Oh oui ma chérie, oui, oui, je t’aime, oui, oui, oh, ta langue, je t’aime, je t’aime.
Marie est complètement en transe, elle plaque Joy sur son sexe, son corps est complètement raide, sa respiration saccadée, elle jouit de tout son corps. Une petite dizaine de minutes plus tard, tout le monde est redevenu normal, j’arrête de filmer pour proposer un apéro, il est temps de boire un coup pour mon anniversaire, mais tout le monde n’est pas de cet avis.
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