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Ma belle fille – Chapitre 3




Il est 8h15 lorsque j’arrive chez Jenny, elle m’ouvre la porte habillée de sa nuisette en satin comme je lui ai demandé hier après-midi.

D’emblée je me colle à elle et nous échangeons un baiser, j’en profite pour glisser ma main sous le satin et constate qu’elle est nue dessous. J’empoigne ses fesses et mon doigt glisse dans sa raie fessière descendant jusqu’au périnée.

Montons dans ta chambre nous y serons beaucoup mieux que je lui glisse à l’oreille.

Ok, je prends juste le téléphone Philippe doit m’appeler dans quelques minutes.

Nous entrons, le lit n’est pas encore fait, je retire mes vêtements et lui demande de garder sa nuisette.

Quel bonheur d’être dans ce lit, combien de fois j’ai imaginé Jenny nue dans son lit en train de faire l’amour et aujourd’hui mon rêve le plus fou se concrétise. Nous nous embrassons, nos mains glissent sur nos corps respectifs et petit à petit j’arrive à la faire se mettre en position inverse me permettant ainsi de poser ma bouche sur son minou et lui donner la possibilité d’en faire tout autant avec mon sexe.

Nous nous caressons buccalement parlant, ma langue explore l’intérieur de sa chatte, je me délecte de son nectar intime, mes mains empoignent ses seins, ses tétons se dressent et se durcissent. Il n’est pas un recoin de son intimité qui ne subit pas la fouille de mon muscle, j’aspire son clitoris, le mordille par moment, Jenny n’est pas en reste, sa bouche s’active sur ma queue.

Nous en sommes encore aux préliminaires lorsque le téléphone sonne…

Après trois sonnerie, Jenny décroche, pour ma part je continue à explorer son nid d’amour, par instant mon nez bute sur son oeillet, l’odeur qui s’en dégage est très agréable, je pense qu’elle a du se préparer avec soin.

Au téléphone son mari lui demande si elle a passé une bonne soirée et si tout va bien.Elle lui répond qu’elle se sent en pleine forme allant jusqu’à pousser le vice à lui dire: dommage que tu sois si loin…

Je suis plus que bandé, tout comme Alain j’ai une envie subite de la prendre, son mari en faux voyeur décuplant mon excitation.

Je m’extrais sans faire trop de bruit,Jenny qui a compris mon désir se positionne en levrette, les fesses bien relevées, m’offrant l’accès à sa chatte que j’investis aussitôt. Je plonge au plus profond de son intimité alors qu’elle essaie de garder son mari en lui disant qu’elle va aller faire des achats en ville et notamment de la lingerie pour lui être encore plus désirable. Au réponse qu’elle lui donne je crois comprendre qu’il lui fait part de ce qu’il aimerait qu’elle porte. Pas de soucis mon chéri, je vais remplir la commode.

Quelques banalités puis elle raccroche alors que je m’active dans ses reins.

Je me retire, elle se retourne, ouvre le compas de ses cuisses et je réinvestis son nid douillet. Nos deux corps ne font plus qu’un, mon sexe va et viens, j’alterne avec des pénétrations courtes ou longues, arrachant des soupirs de contentement de la bouche de ma belle fille qui manifestement apprécie notre accouplement incestueux. Je résiste du mieux que je puisse pour ne pas éjaculer trop vite, je veux faire durer notre baise et Jenny me donne l’impression d’avoir de courtes jouissances à chaque fois que je percute son utérus.

Refusant de jouir trop rapidement, je me retire de cet écrin et je m’empresse de la caresser afin de lui procurer un plaisir clitoridien. Mon doigt agace sa petite excroissance devenu très sensible du traitement qu’elle subit depuis plus d’une heure.Je la sens prête à avoir un orgasme important, aussi je ne relâche pas ma caresse et Jenny dans un long feulement crispe ses jambes, cambre son torse faisant gonfler sa poitrine et tendue comme un arc elle se laisse aller à son plaisir.

Je la laisse récupérer, puis je me couche sur elle, mon membre n’a pas perdu de sa vigueur et glisse entre ses cuisses, ses lèvres intimes s’entrouvrent et mon gland s’insinue dans son antre juteux. Là encore je prends tout mon temps, Jenny reste inerte me laissant prendre mon plaisir en elle. Je suis heureux de posséder cette femme, ma belle fille, celle que je pensais coincée dans sa vie de bourgeoise, inaccessible et qui en moins de vingt quatre heures se donne à moi pour la seconde fois!

Je continue à investir sa chatte et dans un dernier coup de rein, je m’épanche au plus profond de sa chair.

Nous restons soudés l’un à l’autre un bon quart d’heure avant que nos deux corps se séparent.Je me mets sur le dos, une main posée sur son sexe, l’autre autour de son cou.

Elle en fait presque de même dans un silence réparateur.

Après un passage éclair dans la salle de bain nous nous habillons et prenons le chemin de V2 pour aller faire les boutiques et me permettre de corrompre encore plus ma belle fille. Mon intention étant de l’obliger à s’exhiber devant des inconnus, pour ce faire je lui ai demandé de mettre un body moulant sans soutien-gorge ,une jupe courte et ample, uniquement des collants sans culotte et des chaussures avec un talon haut. Ce fut un régal…

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