Le parc est traversé en son centre d’une pièce d’eau, elle aussi en longueurs et en méandres, plantés de saules pleureurs majestueux et traversée de petits ponts. Une rambarde court sur toutes ses berges pour éviter que les enfants et les animaux ne s’égarent dans l’eau.

Ils marchent un moment le long de cette pièce d’eau jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent un moment pour admirer la vue.

Ils sont à l’ombre, le panorama devant eux est baigné de soleil, une demi douzaine de cygnes progressent lentement à la surface de l’eau, plongeant la tête et battant des ailes de temps à autres.

Il s’est placé derrière elle, la prenant dans ses bras, les mains croisées sur le bas ventre, il la caresse parfois un peu tout en lui donnant de petit baisers dans le cou.

Elle est appuyée contre lui. Elle aime sentir sa main qui la touche un peu et prolonge l’excitation qui ne la quitte pas depuis ce matin. Quand elle y pense c’est fou et pourtant elle a encore envie là, alors qu’ils pourraient être vus. C’était si bon sur le banc.

Elle se penche un peu et pose les mains, assez écartées, sur la rambarde. Ses fesses le touchent lui et elle peut constater qu’il est toujours en érection. Elle en est ravie et un peu désolée, c’est de sa faute s’il est encore dans cet état là.

Les mains qui caressaient son sexe disparaissent et elle les sent passer derrière.

Il a sorti son sexe et elle le sent remonter l’arrière de la chemise.

Elle se cambre un peu plus et écarte légèrement les jambes. Un peu mais pas trop ou elle sera trop bas.

Il se colle à elle et elle ressent cette sensation familière et délicieuse de son gland qui frotte contre ses lèvres.

Frottements et frissons et puis cette sensation sans égal quand ses lèvres s’écartent sous la pression de sa verge. Placés de la sorte, le frottement sur son point g est plus fort, elle le ressent bien mieux. Une main est revenue caresser sa toison et tourner autour de son clitoris.

Ses mouvements sont longs, il ressort presque complètement avant de plonger aussi loin qu’il peut.

Elle pousse et se plie pour qu’il entre mieux encore. La sensation délicieuse remonte lentement, résolument.

Il ressort complètement avant de ré-entrer. La mains continue à lui masser le clito.

A chaque fois qu’il sort, elle a un moment de doute, sa respiration s’arrête, et puis la sensation d’être comblée revient et elle pousse un profond soupir.

Elle sent qu’elle y est presque, elle va jouir encore, dans ce parc où on les observe peut-être.

Il ressort à nouveau et cette fois elle ressent une pression plus haut. Elle essaye de se détendre et de s’ouvrir. C’est inconfortable et pourtant elle le veut là. Elle veut jouir et qu’importe si elle le regrette plus tard.

La friction sur son clitoris et la tension de son anus, elle n’a plus d’autre conscience que ces deux points de son corps.

Elle le sent peut-être éjaculer en elle mais déjà son propre orgasme a commencé à l’emporter. Elle se contracte sur lui qui continue à pousser et elle se laisse porter par l’intensité du moment.

"Ne bouge plus s’il te plait, je n’en peux plus." lui demande-t-elle enfin. "Mais ne te retire pas trop vite".

La main se retire et très lentement elle le sent sortir d’elle. Elle ne pensait pas jouir tellement en se faisant prendre comme cela.

Il l’attire vers lui et ils disparaissent dans le feuillage d’un saule.

Il lui retire la chemise pour essuyer ce qui s’écoule d’elle et lui rend pantalon et t-shirt.

Un peu choquée mais encore à demi perdue dans les nuages de son plaisir, elle se rhabille sans lui demander de lui rendre ses sous-vêtements.

"Allons boire quelque chose, nous en avons besoin" lui propose-t-il "et puis peut-être pourrions nous aller au cinéma"

"mouais" elle ne semble pas totalement convaincue "je ne suis pas certaine que j’aie envie de m’asseoir tout de suite" continue-t-elle avec un sourire entendu "mais c’est vrai que le cinéma me semble une bonne idée".

"Nous essayerons de trouver un film qui n’a pas trop de succès, on ne sait jamais ce qui pourrait arriver dans le noir"

"Rhoo, tu es incorrigible tu sais".

Laprès midi est avancé mais le soleil est toujours haut. Il est agréable de se promener et bien que le parc soit enchanteur, ils le quittent et finissent par trouver une terrasse avec de la place.

Pendant quils attendent leur apéritif, elle se lève et lui dit « je reviens, une course à faire ».

Il la regarde séloigner en souriant, il aime voir pointer ses seins sous son t-shirt, il aime regarder son petit cul séloigner, il aime la regarder tout court.

Il reste seul, à lattendre, une dizaine de minutes. Elle fini par revenir et lembrasse avant de sasseoir. Elle semble heureuse.

« Tu me fais faire des folies tu sais » lui dit elle en souriant.

« On peut savoir ? »

« Passage à la pharmacie. Javais besoin de quelque chose pour plus tard mais je te dirai pas quoi. Tu nas pas été assez gentil pour mériter plus de détails » elle a son sourire taquin quand elle fini la phrase.

Les apéritifs sont forts, en reprendre une troisième fois serait exagérer. Le mélange dalcool et de glace est ce dont ils avaient besoin après les activités du parc.

Les cinémas ne manquent pas, ils finissent par choisir un film qui ne devrait pas trop attirer de spectateurs. Une salle vide serait lidéal mais à leur plus grande déception ce nest pas le cas. Pire encore, la rangée du fond est déjà occupée. A défaut, ils prennent place vers le milieu, assez loin des autres spectateurs.

Elle se cale sous son bras pendant les publicités. Il lui donne de petits baisers dans les cheveux et joue du bout des doigts avec son sein droit, le caresse à travers le tissus et en éprouve la pointe. Elle est assez couchée sur lui pour ne pas dépasser du haut du fauteuil.

Elle parle peu, semble distraite et même si le contact sur son sein nest pas désagréable, ce nest pas cela qui occupe ses pensées. Elle est impatiente que le film commence, que la salle soit enfin plongée dans lobscurité. Depuis une heure, elle ne pense presque plus quà ça.

Une envie tenace qui la surprend et lexcite. Elle ne sait même pas si elle parviendra à la réaliser mais quand elle bouge, une petite douleur au creux des fesses lui rappelle comme elle a eu bon en sortant des sentiers battus.

Elle a envie de prendre son sexe dans sa bouche. Depuis quil lui a dit « suce moi » sur le banc, lidée fait son chemin dans sa tête. Elle a grandi, grandi, grandi et occupe maintenant presque tout lespace.

Lidée lécoeure et lexcite.

Enfin la lumière diminue, lobscurité sinstalle et le film commence.

Elle lui murmure « je reviens » et se glisse hors de ses bras.

Il la voit se mettre à genoux et lui écarter les jambes.

Elle défait les ceinture puis ouvre le pantalon et le tire avec le caleçon jusque sur ses chevilles.

Quelque chose dhumide lui touche la verge, humide et froid. Une lingette ou quelque chose du genre.

Il ne comprend pas trop ce quelle fait mais il na aucune intention de interrompre.

Elle commence par lui nettoyer lextérieur du sexe. Ce serait plus simple sil était en érection mais il ne lest pas encore. Elle essuie partout puis le décalotte pour essuyer le gland et lintérieur du prépuce.

Elle le nettoie du mieux quelle peut, le plus rapidement possible, elle a très envie de commencer.

Lorsquelle est satisfaite, elle plonge dessus, elle veut le sentir durcir dans sa bouche. Le prendre tout tant quil est flasque et le sentir se développer et la remplir peu à peu, gonfler contre sa langue jusquà ce quelle doive se reculer.

Elle le prend dans sa main et le pousse contre son ventre pour faire remonter les bourses et les lécher, les aspirer une après lautre dans sa bouche et les enrober de sa langue.

Elle ne se lexplique pas, elle naime pas ca et pourtant elle est trempée à la pensée de ce quelle fait.

Elle remonte du bout de la langue tout le long de la verge puis la reprend en bouche.

Elle profite davoir les deux mains libres pour enlever son prorpe pantalon, elle veut pouvoir se toucher.

Une main reste sur le clitoris et de lautre elle lui saisit les couilles, les caresse et les sert.

Dans sa bouche, la lange danse entre le frein et lorifice au sommet du gland.

Elle le sent frémir sous ses caresses.

Elle sapplique, accélère, ralenti, lenfonce le plus loin possible mais elle ne peut le prendre tout.

A sa respiration, elle sait quil approche de léjaculation.

Elle ralenti la cadence et accélère les caresses sur son clitoris, elle pousse même trois doigts dans son sexe avant de les ressortir et de refrotter frénétiquement son clitoris.

Sa bouche monte et descend sur le membre palpitant.

Elle ne sait pas encore si elle arrivera à aller au bout de son envie.

Elle va savoir. La verge dans sa bouche a comme un tremblement et elle sent le sperme se répandre par saccades.

Le contact gluant sur sa langue la révulse.

Au prix dun énorme effort elle lavale.

Son esprit est obnubilé par une seule idée, ne pas vomir. Elle en oublie le reste mais la main sur son clitoris ne sest pas arrêtée et cet orgasme là la prend complètement par surprise.

Elle reste un long moment la tête contre sa cuisse, une main tenant toujours cette verge qui se dégonfle et redevient mou.

Quand elle a un peu récupéré, elle lui remonte son pantalon et remet tout en place tant bien que mal.

Elle a raté un bon tier du film, elle ny comprendra plus rien et elle sen fout.

Elle reprend sa place sur son siège dans le creux de son épaule et accueille avec satisfaction la main qui recommence à lui caresser le sein.

Elle boit un peu de son coca pour se rincer la bouche.

Elle a du mal à croire ce quelle vient de faire et pourtant en éprouve un certaine fierté.

Cette journée est folle et faite de folies, lidée quelle nest peut être pas encore finie lui donne des picotements au bas du ventre.

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