L’amour au pluriel

Bonjour a tous, je m’appelle Sarah et j’ai vingt-sept ans. L’histoire que je m’apprête a vous conter s’est passée il y a environs dix ans. 

Originaire de la région parisienne, à cette époque j’étais tout juste majeure. Déjà à ce temps-là j’étais très bien formée pour mon âge. Je mesure 1,80m les cheveux bruns et les yeux verts. J’ai un physique plutôt agréable et des formes qui ne laissent pas les hommes indifférents. Je venais à ce moment de rentrer à la fac en première année de licence en psychologie à la Sorbonne. Dès les premières semaines de cours, je savais que je plaisais à mon prof qui dispensait l’enseignement théorique sur le développement et l’histoire de la psychologie en Europe. Il ne nous fallu pas longtemps pour nous côtoyer à l’extérieur et nous rencontrer autour d’un café ou de tout autre excuse dont j’avais le secret Nikolaï  avait à cette époque trente-cinq ans et était célibataire. Originaire de Russie, il avait la particularité de savoir parler plus de quatre langues différentes et de venir d’une des familles des plus fortuné de St Petersbourg. Sharrah, sa soeur aînée avait cinq ans de plus que lui et travaillait au sein de l’ambassade d’Angleterre à Paris et de la ville Toulouse.

Elle avait ainsi un pied a terre au sein de ces deux grande villes où elle naviguait le plus clair de son temps.  Sans oublier ces interminable vas et viens entre Paris et Londres. Nikolaï résidait donc chez elle compte tenu de ces nombreux déplacements et de ces absences qui rendaient le lieu vide et libre d’accès. 

Bercée par ce nouvel amour et la tendresse que cet homme d’âge mur m’apportait, je cheminais au grès de mes désirs et de mes études. Il faut dire que mon histoire familiale personnelle ne se soldait jusque là que par une absence totale de mon père et une mère complétement absorbée par son emploi d’ingénieur en informatique au sein d’une des plus grandes firme française d’armement. Elevée par différents beau-père dont les rapport avec certain étaient des plus ambiguë, le dernier avait été le plus entrepreneur et pervers. En effet, la sexualité m’avait tiraillée très jeune à la vue des différentes rencontres avec les hommes qui avaient une relation sexuelle avec ma mère. Comme je l’ai déjà dit au début de ce récit, la morphologie et l’aspect de mon corps étaient des plus avantageux depuis mon plus jeune âge. Les formes voluptueuses de ma poitrine laissaient deviner de jolies rondeurs en deçà de mes vêtements, donnant libre cours à l’imagination de quelques caresses érotiques au plus prédateur des hommes.

La courbe de mes hanches donnaient à l’aspect de petite fille celui d’une jeune femme mûre dont la tenue vestimentaire amplifiait les traits de maturation. La cohabitation, au sein d’un petit appartement parisien, avec un homme étranger dont ma mère faisait la collection depuis plusieurs années était, comme vous pouvez vous en douter, très difficile. Les rapports avaient été jusque-là limités avec certains, à un âge où les jeux de barbie et de camaraderie reste plus prégnants dans la tête d’une petite fille. Mais au fil des années, cela s’est complexifié, m’ayant rendu la vie très difficile.

Dans les premières années de mon adolescence, les caresses érotisées de certains hommes me plurent beaucoup. A cette époque mes préoccupations se portaient davantage sur la nature de ces gestes doux et câlins dont les efflux me donnaient des bouffées de chaleur et des désirs sexuels dont je n’avais aucune idée. Le discours plaisant de certains au sujet de certaines partie de mon corps, dont j’en comprend aujourd’hui seulement le sens exact, n’avait que d’autre but que de m’attirer vers une quête de leur propre désir inassouvi. Les caresses appuyées sur mes cuisses les matins, sous la table de la cuisine, me projetaient à certains moments dans une infinie pensée. Je sentais le va et viens de leurs mains chaudes le long de mon entre cuisse et les frictions que certains pouvaient me faire. Je portais souvent à cet âge où l’innocence et l’imaginaire se confondent, des chemises courtes en guise de tenu matinale. Cet accoutrement de jeunesse permet, à des moments d’inattention, d’entrevoir les formes les plus intimes de mon corps à ces collectionneurs d’érotisme qui leur confère certaines libertés et passages à l’acte.

Avec l’âge et plus d’assurance encore que dans mon enfance, j’ai eu aimé attiser ces hommes de mes tenues et d’un comportement plus affriolant. Je me plaisais à me pencher au dessus de leur épaule et laisser entrevoir ce décolleté qui soulignait ma poitrine et son imposante volupté. La peau de leurs visages se collant au chair de mes seins remplissait alors ma quête de fantasme et d’érotisme d’adolescente. Je sentais ainsi en moi monter toute la puissance de la femme en devenir et le désir sexuel que mon corps ne cessait d’accroitre. Au fil des années, les caresses de ces hommes se faisaient plus précises. Les caresses devinrent plus ciblées au niveau de mon sexe et des mes seins. Certains pouvaient aller jusqu’à me caresser entre les lèvres et humer l’odeur qui se dégageait de leurs doigts. J’aimais sentir être désiré et désirable. Les pressions exercées sur mes seins me donnaient des frissons et me perdaient dans des fantasmes plus extrêmes encore. Imaginant un visage écrasant sa bouche sur ces bouts si durs et intimement sensibles.

J’aimais sentir être tiraillée de ces doigts étrangers et pousser le vice jusqu’à soutenir leur regard pour les exciter davantage. Au fur et à mesure du temps qui passait, leurs doigt s’immisçaient en moi jusqu’au fond de mes entrailles. J’étais alors prise de spasmes et d’une irrésistible envie de profiler mes doigts aux abords de ce bouton qui me faisait tellement de bien. Mes envies d’autrefois d’être seulement désirée se transformaient en une véritable prise de corps et d’exploration de mes désirs. Un assouvissement de mes distorsions corporelles, assujettie par ces hommes plus enclins à me découvrir et me percer a jour. J’étais devenu une proie qui ne pouvait contrôler ses désirs les plus fantasmatiques. Une seule et même obsession habitait a cet instant mon esprit. Assouvir mes désirs sexuels les plus inavouables !

Cette course effrénée à vouloir assouvir mes désirs et fantasmes dura près de trois ans. Je pu découvrir pendant cette période mon penchant pour les rapport sexuel violent et ma tendance S/M.

Ce n’est qu’au lycée que j’eu mes premier émois pour les personnes de même sexe. J’avais alors quinze ans. Je prêtais de plus en plus attention aux filles de ma classe et je pouvais facilement m’imaginer leurs contours et leur forme sexy qu’elles cachaient sous leur jeans moulant. Mon imagination à l’époque débordait et je pouvais me projeter en leur compagnie les soirs de solitude et de grandes excitations. Sous mes draps lors de mes essais préliminaires où les caresses devancent les grands ébats sexuels, je me surprenais à fantasmer en leur compagnie à caresser de ma juteuse langue leur triangle interdit. La compagnie de mes amies féminines lors de nos rassemblement sous les douches des vestiaires restait un des moments les plus expressifs de mes désirs lesbiens. Je me plaisais à regarder leurs corps dénudé se trémousser sous cette eau qui conférait à leur masse musculaire un aspect scintillant. Le déhanchement de certaines, à bouger leurs corps de manière sensuelle, me poussait à certains moments à resserrer mes cuisses afin de cacher le gonflement de mes lèvres et mon appétence à venir à leur contact.

La peur d’être découverte bridait mes désirs et me frustrait considérablement, me conférant une certaine jouissance que je ne comprenais pas. Quelle était cette force qui d’un côté me frustrait et dans un même laps de temps me procurait autant de plaisir ? Telle la théorie de Newton que je voyais en cours, sur la loi de la gravitation avec ce fameux G. Ainsi faisais-je connaissance timidement avec la jouissance de l’abstinence. Un autre aspect de la sexualité que je ne connaissais pas encore

Mais revenons un peu a ce qui m’amena a vous écrire cette histoire.

Si vous avez aimé je poursuivrai mon récit.

Sarah.

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