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Sens et soumission – Chapitre 1




Martine se hâtait d’arriver à son rendez-vous. Le soir tombait lentement sur la ville et l’appartement de son amant était encore loin. Et il avait été précis, ferme, exigeant comme à son habitude. 20.00hrs précise.

Le message sur son répondeur comme à l’habitude, décrivait comment elle devait s’habiller et ou elle devait se rendre. Comme à chaque fois, elle essayait de respecter scrupuleusement ses ordres, et ces temps-ci, les ordres, -les exigences elle devrait dire- avaient été plus osés à chaque fois.

Leur relation au départ ’classique’ avait rapidement pris un tour assez particulier pour Martine qui n’avait eu que quelques relations dans sa vie.

Intriguée à chaque nouvelle rencontre, excitée et se demandant parfois dans ses songes jusqu’ou elle irait, Martine était vêtue d’une jupe noire de coton qui lui arrivait jusqu’au chevilles. Des bas noirs complètait le tableau pour la partie du dessous. Un pull noir également, en V, moulant faisait ressortir encore plus ses seins aux formes ’poire pointue’.

Pour ses 21 ans, Martine était déjà bien sensuelle, avec ses formes dessinée accentuant son dos courbé et faisant ressortir ses fesses que l’on sentait fermes et légèrement musclées.

De longs cheveux légers bruns clairs descendant mi-dos complètait le tableau de derrière.

De face, Martine portait des lunettes rondes, qui faisait toutefois ressortir ses grands yeux marrons, et la forme de son visage.

Ses lèvres, bien dessinées, légèrement pulpeuses, en forme de ’O’ laissait apparaitre un petit bout de langue lorsqu’’elle souriait, lui donnant un air petite fille jouette qui attirait souvent le regard des hommes plus âgés.

Sous ses vêtements, elle ne portait qu’un slip de coton, ’blanc comme neige’ précisait le message.

Pas de soutien, ustensile encombrant pour son amant, et cachant la beauté de ses seins. Elle adorait lorsqu’il la complimentait sur son corps, la faisait rougir quelque fois par ce côté direct de sa personnalité, qui laissait entrevoir une dureté sous une apparence tendre.

Un léger parfum, pas de maquillage. Naturelle.

Elle arrivait devant son appartement. Une légère angoisse l’étreignit lorsqu’elle pressa sur la sonnette, d’ou se dégagea un gong aigu.

Ses pensées revenait en arrière, 6 mois plus tôt, quand à la sortie de l’université elle trébucha sur le trottoir et manquit de s’étaler de tout son long.

Ce fut sa main, vigoureuse qui la retenit. Ce fut cette main et juste après ces yeux qui provoquèrent chez elle un choc. Dureté du regard, douceur des mains. Peut-être cela lui rappelait-elle un peu son père, disparu assez tôt dans sa vie, lui laissant un manque qu’elle n’avait pas su combler au travers de ses jeunes amants. Trop jeune pour comprendre, trop impatient de caresser, de jouir, et de ne pas prendre le temps de donner. D’aimer.

Martine pressa la sonnette, deux fois, comme précisé par son amant. La porte s’ouvrit, l’invitant à prendre l’ascenseur qui se trouvait au fond du couloir.

Il habitait au 4ème et dernier étage. La porte de l’ascenseur s’ouvrit, face à la porte de son appartement déjà entreouverte, invitation muette à entrer.

Une lumière illuminait légèrement le fond du couloir. Faible, d’un ton orangé, il devait s’agir d’une bougie.

Martine arriva au centre de la pièce principale. Comme meuble, un divan placé contre le mur, et au milieu, un fauteuil qu’elle connaissait déjà bien avec des accoudoir et un siège en forme de fer à cheval complèté par un haut dossier.

Le premier jour qu’elle l’avait vu elle s’était demandé à quoi cette forme pouvait bien servir. Drôle d’assise s’était-elle dit.

Mais elle avait vite compris. Elle se rappelait maintenant avec angoisse cette nuit vécue il y a quelques mois.

Il l’avait fait entrer dans la pièce en la tenant par la main, pour l’amener vers un divan situé contre un des murs de la pièce.

Elle s’assit dans le fond du divan, remettant sa jupe en place. Une bouteille de champagne reposait sur la table basse face au divan. Il lui proposa un verre, avant de s’assoier à ses côtés. Ils burent une gorgée chacuns, le temps de faire passer les bulles, puis il passa à l’action.

Elle s’en rappellait encore comme si c’était hier. Jamais un homme ne l’avait désiré ainsi. Il s’était jeté sur elle au sens presque bestial du terme. Cette scène l’excitait encore chaque fois qu’elle y pensait.

Il l’avait embrassé tendrement au départ, avant de lui ouvrir la bouche de plus en plus grand, lui happant la lnague, suçant ses lèvres, ses mains s’attaquant à ses seins en même temps pointant sous son pull de laine.

Puis, rapidement, une de ses mains passa sous son pull, remontant pour s’attaquer à son soutien-gorge, lui soulevant le mamelon hors de son balconnet.

Une main ferme, caressant la pointe, tout en massant le sein. Il continuait à l’embrasser, son autre main lui tenant la nuque, l’empêchant ainsi de dégager sa bouche de ces lèvres qui l’avait saisie.

Son autre main quitta son sein, pour descendre le long de ses jambes, puis rapidement passa sous sa jupe, puis remonta vers le haut de ses cuisses. Sans hésiter, elle se dirigea vers le triangle bombé et humide cachant son sexe.

La main écarta l’élastique, se glissa rapidement au fond de son slip, empoignant son pubis et cherchant sa fente, pour y glisser son index. Sa langue ouvrait sa bouche cherchant sa langue, la dévorant littérallement.

L’index imprimait son va et vient au fond de son vagin, caressant son clitoris au passage, le massant. Elle devenait folle de plaisir et d’envie de se faire pénéter.

Quand elle voulu lui caresser son sexe, il l’empècha, ramenant son bras le long de son corps, puis il commenca à la déshabiller, retirant son slip blanc, puis sa jupe, et termina par son pull et son soutien.

Martine était maintenant nue, jambe assez écartée, afin de lui permettre de caresser son sexe, et de glisser son doigt dans sa fente. Ses seins étaient dressés, pointus, gonflés de désirs, son souffle, son halètement augmentait au fur et à mesure que son doigt caressait ses lèvres.

Le rythme du doigt accèlera, la pénétrant de plus en plus profondément, ressortant chaque fois pour pincer délicatement son clitoris. Les gémissements finirent par devenir des cris, puis un long cri de plaisir.

Petit à petit, martine reprenait ses esprits, émergeant d’un brouillard de bonheur qu’elle n’avait jamais connu avant.

Son amant se leva, puis lui prit délicatement le bras pour l’aider à se relever.

’A moi maintenant’ lui dit-il dans le creux de l’oreille. Puis il la plaça devant lui, en la tenant par la taille, prit un bandeau qu’il plaça devant ses yeux, serrant suffisamment pour qu’elle ne puisse voir même par dessous.

Martine était dans le noir total. Debout, tenant ses bras, ne sachant ou placer ses mains.

Son amant la prit par les épaules afin de l’amener au centre du fer à cheval, la présentant de dos au dossier du fauteuil.

Ensuite, comme un rituel bien connu maintenant, car ses phantasmes étaient toujours les mêmes la première fois qu’il amenait une jeune fille chez lui, il mit une musique douce, se servit un verre de Margaux, repositionna le mirroir qui était contre le mur et qui maintenant le regardait, brancha la caméra, puis s’assit dans le fauteuil.

Elle était maintenant devant lui, dos face à lui, jambe l’une contre l’autre, on distinguait légèrement son sexe et ses poils bruns entre ses cuisses; ses fesses parfaites, fermes, avec une timide forme de poire, donnaient envie d’être écartées.

Chaque chose en son temps, pensait-il.

Et maintenant, passons aux choses pratiques, voyons comment tu suces, tu me diras combien d’amants tu as eus pensa-t-il en souriant.

Il se pencha en avant, l’attrapant par la taille, pour la rapprocher de lui, ses fesses toujours tournées vers lui. En voyant cette fente et la douceur de ses fesses, une forte envie lui prit de tirer sur les deux globes et d’y glisser sa langue. Mais il se retenu, et la fit pivoter pour la mettre face à lui, tout en appuyant sur son bassin, il lui fit comprendre qu’elle devait se mettre à genoux.

Elle se retrouva assise sur les talons, les deux mains à plat sur ses cuisses; elle pouvait sentir les jambes de son amant contre ses épaules, devinant au travers de son bandeau ou elle se trouvait, ce qui la fit rougir légèrement.

Confortablement installé au fond du fauteuil, le dos renforcé par des coussins, il lui attrapa les deux avant-bras, pour les poser sur la bosse que formait son sexe, dans son pantalon, puis passa son bras derrière sa nuque et attira sa tête vers le bas de son pantalon. Il dut un peu forcer sur la nuque pour qu’elle suive le mouvement vers la bas. Martine comprit dès qu’il posa ses mains sur ses avant-bras, mais elle ne s’attendit pas à cette main sur sa nuque, intimant une envie pressante, un ordre presque, qu’elle devinait ’sans discussion possible’.

Le bandeau heureusement lui cachait sa timidité, et c’est donc penché vers son amant, qu’elle chercha à tâton l’attache de son pantalon qu’elle trouva assez facilement, décrochant le bouton, puis écartant les pans du pantalon, tout en tirant sur la braguette. Il ne fut pas longtemps pour qu’il se retrouve avec le pantalon largement ouvert, son slip tendu au maximum par sa verge gonflée de désir.

Il voulait sentir la chaleur de sa bouche, et vite. Pour activer le mouvement, il la rapprocha encore de son sexe, sa bouche se trouvant à quelques centimères maintenant. Elle comprit, et de ses deux mains attrapa son slip, détacha le bouton qui refermait les pans du slip, les écarta afin d’en dégager son sexe, qui libéré, se déplia, et toucha sa bouche en se dépliant.

L’amant rapprocha la lampe sur pied de la scéne afin de mieux voir, prit une gorgée de Margaux, et attendit la chaleur de la bouche de Martine se poser sur son gland.

Intimidée par la taille du sexe, martine commença à branler le sexe comme on lui avait apprit. D’abord doucement, descendant la peau vers le bas, puis remontant, doucement, s’appliquant dans sa tâche. Son autre main descendit jusqu’aux bourses de son amant, caressant, passant ses doigts dans ses poils.

Puis ses lèvres se posèrent sur le gland, lentement elle ouvrit la bouche, en grand, pour avaler le bout de son sexe, descendant progressivement, sa bouche s’ouvrant pour tenter de prendre le plus possible du sexe de son amant. Sa main continuait à le branler, ses lêvres coulissant le long du sexe, bas, haut, elle se mit à saliver, retenant le commentaire d’un de ses amants trouvant la salive un agréable liquide douceureux, propre à renforcer les sensations.

Et elle attrapa un rythme.

Il écarta les jambes, afin de mieux profiter de la scène, n’oubliant pas de cadrer la caméra sur la tête de martine montant et descendant petit à petit, puis plus rapidement, laissant glisser ses longs cheveux sur son dos en fonction des mouvements de sa nuque.

Pas mal se disait-il. Mais pas encore suffisamment excitant comme scène. Zoom arrière sur la caméra, cadrage large, il se pencha a avant, saisissant de ses larges mains son tour de taille et la redressapour lui faire prendre une pause vraiment excitante.

Sur les genoux, formant un angle droit de son corps, l’amant poussa surle bas de ses reins afin d’écarter ses fesses, ce qu’il complèta en glissant une de ses jambes entre ses cuisses, écartant ses deux jambes pour les mettre en équerre, en V, vue de l’arrière.

Cadrage avant, zoom serré, il avait une vue imprenable sur ses fesses, largement écartées, ou l’on devinait l’anus légèrement ouvert par l’effort de l’écart des cuisse; son sexe ouvert aussi, que l’on distinguait au travers de ses poils bruns foncés.

A suivre…

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