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Érotisme par correspondance – Chapitre 3




Bonjour Gary,

Je fus un peu rassurée quand je te vis sortir de la salle de bain d’une allure plus tranquille, plus cool qu’auparavant. Je ne savais pas ce que t’avais dit Pierre mais je constatais que cela t’avais mis en confiance. Nous commençâmes alors notre apéritif en devisant d’abord sur le club de vacances puis sur les activités et restaurants des alentours. Le champagne aidant, cest la rose aux joues, les yeux brillants de mille feux que je participais à la conversation. Je faisais de moins en moins attention à ma position et ma mini-jupette se faisait un plaisir de découvrir largement mes cuisses où je sentais ton regard se promener. Pierre ne risquait pas non plus d’atténuer mon trouble ayant posé une main caressante sur celles-ci.

Pierre amena alors la conversation sur les restaurants et surtout les bars qu’il qualifia d’intimiste et t’interrogea pour savoir si il y en avait ici à l’instar du Cap d’Agde. Nous comprimes qu’à priori tu ne devais pas trop avoir l’habitude de ce genre de moeurs car aucune adresse précise ne te vint à l’esprit. Mais tu sembla très curieux sur le sujet et Pierre se fit alors un grand plaisir de t’expliquer et de te raconter, pas encore dans le détail bien sur, nos nombreuses sorties dans ce genre d’établissement. Il alla jusqu’à t’expliquer comment il apprécie particulièrement quand je m’habille d’une manière très sexy et que je dévoile mes charmes à d’autres hommes.

 

J’étais collé contre Pierre, et plus il décrivait certaines scènes et comment cela l’excitait au plus haut point, ses mains, ségaraient sur moi, sur mes jambes, mes cuisses petit à petit totalement découvertes et mes seins nus apparaissant par intermittences. Assis en face de nous, il était clair que tu me détaillais, même me déshabillais des yeux en souriant dun air gourmand. Mais tu ne semblais pas encore prêt à aller plus loin. Pour faciliter les choses, Pierre se leva et après avoir choisit un CD de slows, me prit la main, mentraîna sur le côté de la petite table vers l’entrée. Les yeux dans les yeux, étroitement enlacés, nous nous offrons quelques instants de pure tendresse sous tes yeux. Mais, très vite, nos sens séveillent, ses mains glissent sur mon corps, faisant tout pour que je mabandonne à des sensations plus charnelles.

Voyant notre reflet dans le miroir du placard de l’entrée, Pierre me retourna dos à lui et laissa ses mains remonter lentement de mon ventre pour glisser le long du décolleté. Sous ton regard brûlant que japercevais dans le miroir, Pierre fit échapper mes deux globes de chair douce et ferme aux pointes durcies, du léger vêtement pour se dresser fièrement et soffrir aux caresses. Presque instinctivement mes reins se mirent à onduler contre son ventre et la masse de chair gonflée, que je sentais contre mes fesses. Sentant mon abandon, Pierre laissa une main ségarer sous ma mini-jupette, contourner ma hanche pour sinsinuer lentement entre mes jambes, sur mon string, que je ne cherchait plus à protéger.

J’ondulais de plus en plus et, frémissante, mabandonnait au plaisir, t’offrant toujours assis, le spectacle de mon corps à demi dénudé. Pierre prolongeait ses caresses en me murmurant qu’il madorait, qu’il avait très envie de moi, de me regarder prendre du plaisir mais surtout de me voir faire l’amour avec toi. D’entendre cet aveu, me déclencha un délicieux orgasme qui envahit mon corps. Il savait que ce genre de jouissance non seulement était loin de me rassasier mais ne faisait que me désinhiber un peu plus, m’offrant alors sans retenue. Je lui offris alors un baiser très sensuel tout en te jetant un regard de feu et retourna m’asseoir sur le canapé.

 

Je bus une gorgée de champagne pour me rafraîchir avant de madosser langoureusement au fond du canapé. Mon top encore navait pas retrouvé sa fausse sagesse et lon pouvait encore entrevoir par instant la courbe de mes seins tandis que, jambes croisées très haut, je te laissait profiter de mes cuisses galbées, largement découvertes. Après avoir joui devant toi des caresses de mon mari, il était normal que tu puisse me mater sans aucune gêne, même avec une certaine excitation, voire avec quelques envies ou fantasmes. Pour ma part, la bosse que tu ne cherchais plus à cacher et qui déformait totalement ton pantalon, nétait pas pour me déplaire.

Gros bisous

Cécile

Bonjour Cécile,

Ces dernières minutes témoignent des mouvements de chair rose les plus sensuels de ma vie. L’harmonie entre la musique et tes grincements ne me firent absolument pas douter d’un orgasme puissant.  Ce scénario un peu fou alimente la robustesse entre mes deux genoux. Tu t’en doutes n’est ce pas ? Pendant que la pièce brûlait d’érotisme, ton regard incisif, lui, alimentait et enflammait mes propres ardeurs. L’air se fait exception. Mon verre de mousseux ne pouvait plus rien me faire. Lorsque tu finis par te dérober de ton mari suite à ta jouissance non dissimulée, mon excitation s’était déjà matérialisée. 

Te savant à mon exacte opposée, sur ce canapé, je voulais à tout prix qu’à travers le tissu de mon habit, tu te fasse une idée de ce qui t’attendais. On dit que cette partie de l’anatomie est le point d’orgue d’une belle personne. Si tu tentais de la connaître, elle te serait flatteuse, et réactive.

Je te vois rouge. Est ce ton mari, moi, ou l’apéro ? Peu importe. le plus important est ton regard posé au bon endroit ; Cette ouverture buccale exhibant ton organe me fait palpiter. Chacune de mes respiration est un calvaire tant elles ne trouvent pas encore leur objectif ultime.

Tandis que Pierre partit préparer quelques amuses bouches pour nos papilles, toi et moi entrons dans un imaginaire érotiques transcendant. L’oeil malicieux, tu m’a déjà probablement mis à nue. Ton corps est totalement dévoué et mélangé à ce canapé de satin,  et mes yeux se promènent le long de ce corps tant désiré, je perçois par à coup des formes qui me ravissent. Ces dunes glissantes et dangereuses reluisent d’un passé encore fiévreux. Leur Sommet semble pointer vers ma direction, comme un appel, ils veulent que je m’aventure vers eux.

J’imagine. J’imagine. Nos deux corps semblent s’attirer mutuellement, mais surtout semblent désirer la même chose. Comme deux sirènes ayant envoûtées mon long voyage, je serais enjoué de me reposer entre ces deux beauté fatales offertes par la nature.

Alors que je n’avais pas encore pris conscience de mes mouvements, je me retrouvais déjà à tes côtés sur le divan, essayant de capter une fois de plus ton  regard. Mais tu te détachais difficilement de mon entre jambe. C’est pourquoi j’entrepris de tenter le tout pour le tout, et commençai à t’enlacer, toi, la lauréate de ma douleur, et à embrasser langoureusement ton visage écarlate. 

Bisous à tout les deux.

Gary

Bonjour Gary,

Après avoir répondu sensuellement à ton baiser, je me suis dégagée de ton bras avec douceur pour ne pas te froisser et me suis levée en te prenant par la main pour t’attirer vers moi. Je ressentais bien ta fougue de jeunesse mais je voulais te faire déguster l’attente du plaisir, la montée inexorable de l’excitation qui amène à la délivrance dans une explosion des sens. Ce type de plaisir que l’on découvre avec la maturité. Un nouveau slow du CD démarra, plus chaud, comme moi qui tattira contre moi. J’aperçus le regard de Pierre qui, revenant de la cuisine, nous regardait et qui semblait dans un grand sourire me donner son total acquiescement pour une danse qui forcément allait devenir torride et devenir le déclencheur de débordements beaucoup plus érotiques.

Je danse maintenant collée à toi, ta main plaquée contre mes reins tandis quune autre remonte de ma hanche vers ma poitrine pour se poser sur un de mes seins et caresser ma pointe dardé de désir. je gémis doucement sous la caresse de tes mains glissant sous mon top et ma minijupe, sur ma peau nue. je ne peux m’empêcher d’onduler contre toi, mon ventre contre le tien comme pour éveiller encore plus ton désir. A mon tour le glisse une de mes mains entre nos deux corps, coquine, pour prendre toute la mesure de ta virilité qui ne paraît attendre qu’une seule chose, être libérée. Ta main, posée sur mes reins, vient de glisser le long de ma cuisse, jusquà lourlet de mon vêtement, et relève lentement le tissu léger, découvrant mes fesses laissées pratiquement dénudées par mon string. Ta main glisse alors vers l’avant et progresse lentement vers le tissu en lycra.

Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un petit cri et me cambrer encore plus, quand tu glissa un doigt le long de mon string et commença un attouchement précis au travers du tissu au niveau de mon clitoris. Les yeux fermés, je m’abandonnais à cette caresse avec un évident plaisir. Je t’encourageais dune ondulation des reins, allant au-devant de la caresse qui soudain me fit vibrer ! Cétait mon deuxième orgasme de la soirée et le premier avec toi.

Comme à l’unisson, le CD s’arrêta et je rejoignis Pierre, légèrement essoufflée, pour me laisser tomber dans le canapé et me blottir contre lui. Pierre me demanda si j’avais aimé cette danse. Je lui ai répondu positivement et que j’avais particulièrement apprécié ton audace, semblant avoir totalement perdu ta gêne du début de la soirée. Je précisai également, amusée, que tu ne pouvais cacher que tu avais maintenant très envie de moi et avouait avoir pris beaucoup de plaisir à provoquer cette réaction sachant qu’il nen serait pas jaloux. Et comme pour me faire pardonner, j’attirai alors sa main pour la poser sur mes cuisses, linciter à remonter plus haut encore jusquà frôler mon triangle de lycra. Nous en rions tous deux pendant que Pierre profita de loccasion pour approfondir sa caresse et introduire un doigt puis deux dans ma vulve brûlante, tandis que son autre main retrouva ma poitrine gonflée de désir.

Sous ces caresses plus intimes, plus fortes, je ne riais plus. Les yeux mi-clos, la respiration plus rapide, insensiblement mon corps se livrait, sabandonnait, mes jambes souvraient lentement. Je glissai une main vers mon mari, vers sa braguette où mes doigts se crispèrent sur son désir. Cette fois, le désir était à son comble ! Il n’était plus le moment de jouer, je voulais maintenant du sexe, baiser avec une bite que je supposait dure et n’attendre que ça. Lorsque Pierre me retira mon top, libérant totalement ma poitrine fièrement tendue, je me suis tournée vers toi et dans un souffle, ne dis qu’un mot :

 – Viens…

 Très gros bisous

Cécile

Bonjour Cécile, 

Tuméfié par ces idées, provoquées par ta fouge, mon manche n’en peux plus de cette attente. Moi même brûlait d’impatience. Tandis que j’humais mes doigts, suite à cet attouchement du fruit de mon hôtesse, Pierre quant à lui repris le travail dont il m’avait laissé le soin de poursuivre un instant. Le souffle court, le regard fuyant tu ne résistais plus. Dans un élan de raison, tu m’as donné tout ce dont j’avais besoin pour comprendre qu’il était temps pour nous de jouer à un jeu autrement plus sensuel que les précédents. "Viens", ce simple mot, qui à lui seul signifiait que nous allions tous les trois nous organiser dans une fornication bestiale, sût me convaincre immédiatement. 

Te voir empoigner la virilité de cet homme partageant ta vie et tes ébats sexuels m’excite. Te voir la poitrine libérée de sa dernière cage, et ces boutons pointant en ma direction m’excite. Te voir en appétit face à nos sexe m’excite. Mais surtout, admirer ce lycra baignant dans un liquide que j’ai travaillé du bout de mes doigts tout à l’heure m’obsède.

Ni une ni deux, ma tenue tombent en intégralité, devant cette tornade de péchés, attirant mon regard sur cette prodigieuse masturbation que tu offre au dard gonflé d’envie de ton mari. Lente mais ferme, tu sais ce que tu fais, ta technique semble sans faille. L’air conditionné frappant son sexe, les mouvements de bas en haut, puis de haut en bas fais par tes doigts semblent ne pas avoir lassé cet homme. Serrant parfois très fort sa verge pour lui insuffler une douleur qui fait monter le désir, ton autre main lui malaxe les testicules. Le plaisir est déjà bien engagé, mais avant que ta bouche ne s’engage sur son sexe, j’entrepris d’approcher le mienne de cette vulve que tu m’offrais volontairement, sans honte, puisque désormais tu t’étais mise à genou sur le sofa, ta langue approchant lentement de sa bite.

Faisant fi des baisers sur ton cou ou sur ta poitrine, je ne manquais néanmoins pas de caresser avant tout ces hanches si généreusement offertes à quelques doux coups de rein tandis que nous dansions. Le haut de ton corps étant désormais nu, je ne manque pas de frôler à plusieurs reprises deux mamelons qui mériteraient un traitement tout particulier eux aussi, mais préfère seulement les câliner. Je ressens chez toi une impatience qui s’accroît de plus en plus au fur et à mesure que Pierre et moi cajolons chaque parcelle de ton corps, brillant d’une légère humidité ambiante dans la pièce. Cette fois mes doigts s’attardent. Avec deux d’entre eux je commence par écarter délicatement tes lèvres afin d’en dégager ton clitoris pour commencer à le lécher. Ce léger son produit par ta bouche, alors que tes lèvres pulpeuses titillait le bout de Pierre, semble m’indiquer de continuer, voir même d’y aller plus fort. Je profite donc de ces encouragements pour insérer un doigt, puis deux, en plus de ma langue fiévreuse. J’aspire, je lèche, je suce, jusqu’à ce que ton visage se relève et déclenche un son assourdissant, en un mot : jouissif.

Pierre me regarde d’un air satisfait et me fais un clin d’oeil. Cela le temps que tu reprenne sa délicieuse fellation. C’est dans cette atmosphère de sexe que mon sexe quant à lui n’étais pas insensible au spectacle. Je me sentais d’un appétit sexuel grandissant. Et dévorait d’idées cette chatte en pleine ébullition. 

Bisous à tout les deux.

Bonjour Gary,

Quand tu promenais ta langue le long de ma fente, mon sexe devenait de plus en plus mouillé. Puis je sentis ta langue s’attarder sur mon clitoris tandis qu’un de tes doigts s’enfonçait délicatement dans ma vulve trempée de désir. Hummm c’était bon. Ta langue faisait gonfler mon clito devenu dur comme du béton. Ce n’était alors plus un doigt mais plusieurs qui entraient et sortaient de ma chatte. Le plaisir montait en moi de plus en plus, mon corps n’en pouvait plus. Ma langue glissait le long de la hampe de mon mari et descendait jusqu’à ses couilles. J’entrepris des les lécher et de les mordre doucement. Pendant que lui me caressait les seins dont les tétons étaient durcis par le plaisir. C’est offerte ainsi, appuyée sur mes avant-bras, le cul parfaitement cambré vers toi, la bite de Pierre au fond de la gorge, que je sentis ton sexe contre le mien. Tu m’écarta les jambes au maximum et, oui enfin, tu m’enfonça ta queue très profondément dans la chatte. Tes vas-et-vient était doux mais à chaque fois que tu t’enfonçais en moi, tu entrais ton sexe jusqu’aux couilles. J’avais l’impression que ta queue n’en finissait pas d’entrer dans mon intimité.

 

Pierre semblait prendre énormément de plaisir à me voir ainsi offerte à ta virilité. Sa queue était chaude et dure et j’adorais le sucer. Ma langue accompagnait chaque entrée et sortie de son sexe et je salivais comme une folle pour le lubrifier au maximum. J’étais terriblement excitée.

Après quelques minutes, je te sentis bouger de plus en plus vite dans ma chatte. Dans le même temps, un pouce pénétra mon petit trou. Puis tes deux pouces me pénétrèrent en même temps le cul. L’accélération de ton souffle me fit deviner que ton orgasme n’était plus très loin. Je m’appliquais alors à suivre tes va-et-viens pour que tes coups de queue me défoncent de plus en plus fort. Pierre, lui n’en pouvait plus. Il retint ma tête au dessus de son sexe et m’envoya au fond de la gorge de longues giclées de sperme. C’était un foutre chaud, très épais, je me tenais juste au dessus de sa queue la bouche un peu refermée afin de ne rien perdre de ce délicieux breuvage. Toi aussi, tu ne tarda pas non plus à jouir. Tu te plaquas contre mes fesses et tes petits coups de reins m’indiquèrent que tu éjaculais en moi.

Je jouissais également comme rarement je l’avais ressenti. Tu te retira alors doucement et resta un moment sous ma chatte, le gland contre mes lèvres intimes. Je me

demandait ce que tu faisais. Au bout de quelques secondes tu t’approcha de mon visage et me tendit ta queue. Elle était recouverte de ma mouille et de ton sperme qui avait dégouliné de ma chatte.

— Lèche.

Je ne m’attendais pas à ce qu’un jeune de ton age soit aussi vicieux. Excitée, j’ai sans hésiter glisser ma langue le long de ton sexe et l’ai léché jusqu’à ce qu’il n’y est plus une goutte de jus.

Cette soirée est sublime !

Très gros bisous

Cécile

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