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Les filles se font brouter le pistil – Chapitre 1




1er Mai 2016.

En ce premier Dimanche du mois, Pierre, un jeune célibataire de trente – quatre ans, lézardait encore dans son lit malgré la pendule qui affichait déjà dix-heures du matin. Il trouvait agréable de profiter de cette journée sans travail à sa façon, cest à dire de ne rien faire.

Ses bonnes résolutions se trouvèrent brusquement ébranlées par le carillon de la sonnette dentrée.

Qui cela pouvait-il être ?

Il nattendait aucune visite et sa famille nhabitait pas la région. Lui-même résidait dans cette ville de province depuis sa dernière mutation six mois auparavant. Il navait pas encore eu loccasion de se lier damitié ni dentamer une amourette de passage.

Un peu agacé, il sortit du lit et compléta sa tenue minimaliste, en loccurrence un simple slip, par une serviette de bain et se dirigea vers la porte dentrée.

Il jeta un coup dil par le judas et aperçut deux jeunes filles denviron dix-huit, vingt ans. Des vraies pin-up de magazine publicitaires. Une brune et une blonde platine aussi jolies lune que lautre. Il ne pouvait en voir plus par lilleton, aussi décida- t-il douvrir, oubliant sa tenue.

Les filles furent un instant surprises de se trouver devant un homme à demi-nu, mais la force de lhabitude leur permit de placer leur phrase rituelle.

   Bonjour, nous vendons du muguet, cest deux euros le bouquet.

Pierre néprouvait pas le besoin den acheter mais quelque chose le poussait à faire durer cette charmante visite.

   Attendez, je vais chercher de largent. Jen ai pour une minute.

Il ouvrit un tiroir et en sortit un portefeuille de cuir noir avant de revenir vers ses visiteuses. Pierre tenta dextraire une pièce de deux Euros, exercice malcommode au cours duquel sa serviette chuta à terre, le laissant en slip devant les deux jeunes filles. Linstant de surprise passé, elles esquissèrent un sourire en découvrant lérection prononcée de lhomme devant elle. La bosse moulée dans le slip ne laissait planer aucun doute sur létat desprit du trentenaire.

   Excusez-moi dit Pierre en ramassant la pièce de tissu.

Une main agile saisit la serviette par un coin et tira avec force.

La blonde aux cheveux au carré le fixait intensément, un sourire malin découvrant ses dents perlées. Mais ce sont ses yeux qui en disaient le plus long en cet instant. De beaux yeux bleu azur qui cherchaient son regard.

   Ce nest pas bien de cacher son inventaire comme ça. Nous aussi on aimerait bien voir la marchandise, hein Sylvia ?

La brune Sylvia hocha la tête tandis que sa copine Gwenaëlle saisit lélastique du slip. Elle abaissa brusquement le sous-vêtement tandis que Pierre commençait seulement à réagir, mais trop tard désormais, les parties sexuelles à lair.

   Wahooouu, cest plutôt sympa ça ! Regarde un peu Sylvia. La belle tige avec les deux clochettes. Je navais jamais vu un brin de muguet comme ça. On peut Toucher ?

Sans attendre la réponse, la fille empoigna le membre dont elle testa lélasticité par pressions rapides.

Sylvia sapprocha et saisit les testicules à pleine mains. Elle se mit à les pétrir avec vigueur, pour le plus grand plaisir de leur propriétaire.

Pierre néprouvait plus le désir de se soustraire à ce traitement de faveur tandis que son membre réagissait maintenant pleinement à ces caresses manuelles.

   Pas mal, mais ça nembaume pas trop pour linstant. Jaimerais bien sentir de plus près.

La jeune blonde se pencha et sentit la bite à plein nez tandis que Sylvia continuait à malaxer les couilles de Pierre.

   On sent comme un quelque chose, cest drôle comme parfum. Je me demande à quel goût ça correspond.

Elle engoula le membre aussitôt, plongeant la colonne de chair dans sa bouche chaude et accueillante.

Pierre ferma les yeux, savourant cette occasion inespérée de satisfaire ses envies de baise les plus primaires. La double gratification que les filles lui accordaient le faisait rapidement monter vers la jouissance finale. Tandis que Gwenaëlle continuait à le pomper avec une science consommée, Sylvia lui pressait les calebasses comme pour en extraire le jus.

La suceuse se rendit compte de létat de lhomme et recracha le membre luisant de salive.

   On pourrait peut-être faire connaissance de façon un peu plus approfondie, non ?

Pierre acquiesça et les conduisit dans sa chambre de célibataire. Il éprouvait une excitation particulière tant lidée de faire venir deux jeunes inconnues en ce lieu lui paraissait relever de lintime, un peu comme les gâteries que ces deux filles venaient de lui accorder.

Le trentenaire mince et brun, le corps entretenu par la pratique quotidienne de son footing, observait les deux filles qui commençaient à se dévêtir sans précipitation, mettant dans leurs gestes ce quil fallait de sensualité.

Elles quittèrent leurs ballerines, déboutonnèrent leurs chemisiers, retirèrent leurs pantalons avant de dégrafer leurs soutien-gorge, libérant des poitrines bien faites couronnées dauréoles sombres. Sylvia surtout possédait des mamelles aux standards exigeants de Pierre. Assez gros par rapport à ceux de sa copine, mais surtout en cette forme de poire que Pierre affectionnait par-dessus tout. Il en était friand plus que de nimporte quoi. Se régaler de ce quil aimait le plus au monde lui mettait la tête à lenvers.

Cela à tel point quil remarqua à peine les filles retirer leurs culottes bien sages, dont laspect contrastait avec le tempérament de feu de leurs propriétaires. Des culottes blanche pour lune, noire pour lautre, quelles jetèrent négligemment sur le dossier de la chaise appuyée contre le mur.

Sans plus attendre, Pierre lécha les gros seins de Sylvia. Ils associaient une douceur alliée à une merveilleuse fermeté. Sa langue glissait sur la peau, faisant frémir la fille qui répondait à ce traitement en recommençant à lui manipuler les calebasses.

« Décidément, elle aime ça. Cest vraiment son truc de tripoter les couilles des mecs. »

Gwenaëlle repoussa Pierre tout à coup, le faisant tomber sur le lit moelleux où sa partenaire ne tarda pas à le rejoindre, le couvrant de son corps chaud et agile. Dautorité, elle sempala sur le membre quelle convoitait tant. Sylvia ne restait pas inactive et entreprit de rouler une pelle grand style à Pierre dont elle enserrait le corps comme une naufragée.

   Quelle tempérament. Vous faites toujours des extras comme ça où je vous ai vraiment tapé dans lil ?

   Cest pas tous les jours quon tombe sur des beaux bruns à moitié à poil. Alors profite au lieu de dire des conneries.

Pierre ne demandait pas mieux et sactivait, faisant rapidement pousser des soupirs à la fille qui bientôt ondula violemment du bassin, précédant de peu lexplosion de Pierre qui envoya sa semence dans le vagin de Gwenaëlle.

Sylvia prit le relais mais, à la vue du membre tout flasque désormais, elle se plaignit auprès de sa copine :

   Tu aurais pu en laisser un peu, regarde avec quoi je dois faire maintenant.

   Tu nas quà le remettre en forme, cest bien à ta portée non ?

Sylvia sempara du membre et le prit en bouche. La jolie brune à la peau mate fixait le propriétaire de lengin de ses yeux sombres. La bouche aux dents très blanches sactivait goulûment sur le sexe qui retrouvait déjà de sa vigueur tandis que Pierre caressait la lourde chevelure brune de la suceuse. Elle sactivait à remettre en état son amant de passage avec une science consommée de la pipe. Pierre ne sentait pas les dents de la fille, pourtant bien visibles de là où il était. Le mandrin de chair fut bientôt assez dur au goût de Sylvia qui sempala dessus à la façon de sa copine.

   Quest-ce que tu pompes bien, on va voir si tu es aussi forte à ce petit jeu quà celui de la suce.

   Et on va voir si tu sais aussi bien te servir de ta queue quelle a bon goût.

La jolie brune entreprit une chevauchée dun genre nouveau sur son étalon quelle ne ménageait pas, lécrasant dans une variante de la position à la romaine qui avait déjà épuisé plus dun de ses jeunes amants. Sa façon de senvoyer en lair témoignait dun tempérament plus survolté que celui de sa copine.

Pierre caressait ce corps si chaud quil en fut surpris.

   Quest-ce que tu es brûlante, une vraie plaque de four.

   Tu sais bien que les Méditerranéennes, on a le sang chaud.

Elle confirmait ce que Pierre avait déjà deviné, à savoir que cette fille possédait des origines Méditerranéennes qui lui donnaient ce physique typé particulièrement agréable à la vue. Son excitation nen était que plus grande et se traduisait par un labourage en règle de lintimité de la fille. Les coups de boutoir senchaînaient avec puissance et régularité, fouillant lintimité chaude et moelleuse de la fille.

Les deux partenaires conclurent leur étreinte dans la semi- conscience dune jouissance particulièrement forte, faisant oublier le rapport mécanique que pierre venait davoir avec Gwenaëlle.

Sans plus attendre, les deux filles se rhabillèrent, embrassèrent rapidement lhomme sur la bouche et repartirent aussi soudainement quelles étaient apparues, laissant à Pierre une impression de rêve éveillé dont il sortit en prenant une douche chaude, histoire de mettre un peu dordre dans cette journée plutôt bien commencée.

FIN

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