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Le mercredi, un bon cuni – Chapitre 2




De la suite des évènements, je ne sus aucun détail, ni ce soir-là ni un autre jour. Je compris simplement que ma petite Laurie (avec laquelle je n’avais jamais prétendu entretenir une relation exclusive) pratiquait joyeusement et chaque semaine des séances de broute-minou réciproques, en parallèle à nos soirées de luxure anale.

Christine, son "amie du mercredi", avait pu assister en partie à l’une de ces soirées. Je me souviens encore de son corps tendu et des tressautements violents et erratiques de sa main sous sa culotte. Indéniablement, la jeune femme avait apprécié le spectacle.

Désireux de ne pas être en reste, je me présentai donc un mercredi soir chez Laurie (dont j’ignorais le statut déjà ancien de baisodrome) avec ma ferme intention de me faire rendre la pareille. Arrivé dans le couloir, je m’approchais de la porte de la chambre de Laurie. L’oreille collée à la fine porte, j’entendais distinctement les gémissements des deux amantes.

C’est goguenard, content de ma petite blague que je frappe alors à la porte :

— Laurie, je sais que tu es là. Tu pourrais la mettre un peu en sourdine, tout ce que tu fais s’entend dans le couloir !

Après quelques secondes, la porte s’ouvre d’un coup sec. Laurie, totalement nue, m’attrape par le poignet et t’attire sans tendresse dans la chambre qui m’avale en un instant.

Christine est allongée sur le lit, jambes entre-ouvertes, à la place que j’occupais quelques semaines auparavant quand elle avait fait irruption dans ma relation avec Laurie et dans ma vie.

— Mais t’es con ou quoi ?! Tu peux pas être discret.

Christine et moi échangeons un regard complice pendant que Laurie m’enguirlande. Définitivement, nous avons le même humour !

Laurie saperçoit de ce regard et se tourne vers Christine :

— Ah non, tu ne vas pas t’y mettre toi aussi !

Christine se lève et réconforte Laurie.

— Allez ce n’est rien. C’est passé inaperçu et si quelqu’un a entendu Jérémy, il ne peut pas avoir compris son allusion.

Laurie se calme un peu. Elle se tourne vers moi et, gamine, me tire la langue ! Nous rigolons à nouveau, cette fois à trois.

Je m’installe, les filles se rhabillent légèrement, nous discutons. C’est la deuxième fois que je vois Christine et je prends le temps de la détailler un peu physiquement. Un peu plus grande que moi, c’est une jeune femme bien dans sa peau. Elle est blonde avec une peau très blanche qui tranche sur le teint ambrée de Laurie. Son visage n’est ni très beau ni très harmonieux mais il est éclairé par de grands et magnifiques yeux verts. Ses seins sont bien développés et lourds, elle doit certainement les aplatir fermement durant les parties de Volley-ball. Pour ainsi dire, ce n’est pas, physiquement parlant, mon type de femme mais son caractère et son aura jouent beaucoup en sa faveur.

La discussion du soir n’a ni queue ni tête. Tant de sujets sont abordés, tout juste effleurés. Deux ou trois verres d’alcool chacun, quelques substances illicites de fabrication artisanale inhalées et nous voilà en train de refaire le monde. Finalement, tard dans la soirée, la discussion est revenue au sexe. Christine me demande ce que je pense du sexe entre filles.

— Jérémy, tu penses quoi de deux filles qui se mangent la chatte ?

Je lui réponds que, comme une grande majorité des hommes, l’idée me plait particulièrement.

— Oh tu sais, je suis un mec. Ça m’excite comme un dingue !

Christine s’enquiert de mon expérience à ce sujet.

— T’as déjà maté deux gonzesses ensemble ?

Dépité, je dois lui signifier mon inexpérience totale, hormis sous la forme des vidéos visibles sur internet.

— Jamais pu, mais sur internet je chope la trique à chaque fois que je vois 2 minettes qui se broutent le minou, t’imagines même pas !

Je ne sais pas si c’est l’alcool ou autre chose, mais j’ai eu une légère impression de décalage entre la réalité et les sous-titres. Heureusement, notre consommation qui était restée raisonnable ne me permit pas de m’enfoncer dans un violent bad-trip style "Las Vegas parano".

Un hochement vigoureux de tête suffit donc pour reprendre mes esprits et remettre la matrice à l’endroit.

Juste à temps pour voir Christine poser sa main blanche sur la cuisse mate de Laurie et entreprendre de remonter la courte nuisette de la jolie métisse.

— Installe-toi tranquillement et profite du spectacle, me dit Christine d’un voix douce qui me parvint comme dans un rêve.

Christine passa derrière Laurie, remontant dans son mouvement la nuisette semi-transparente. Agenouillée derrière la jeune femme passive, elle caresse ses seins et l’embrasse dans le cou. La tension sexuelle est très claire entre les deux amantes. La respiration de Laurie se coupe par intermittence lorsque les caresses se font plus appuyées. Son corps réagit aux mains de Christine qui caressent son ventre. Ses yeux mi-clos s’accompagnent d’un sourire lorsqu’elle tourne son visage vers Christine afin d’échanger un baiser tendre et humide. Laurie s’abandonne enfin aux baisers dans le cou et aux mordillements d’oreille. Ce spectacle très sexuel est empli de douceur féminine. L’opposition des couleurs de peau, collées l’une à l’autre, en rajoute dans l’excitation du moment.

Christine, tout en souplesse, se dégage de derrière Laurie qu’elle allonge sur le lit, la tête légèrement surélevée par un gros coussin. Un genou entre ses jambes écartées, Christine approche lentement sa bouche du visage de son "amie du mercredi", tandis que sa main remonte du genou vers la cuisse et le sexe offert. Le baiser est long, tendre, passionnel. Laurie maintient fermement la bouche de Christine au contact de la sienne pendant que celle-ci introduit un doigt fureteur dans son intimité. Laurie repousse Christine de quelques centimètres. Elles se regardent, elles se sourient, elles s’embrassent à nouveau.

Christine parvient à se dégager de cette étreinte. Sa bouche glisse doucement jusqu’aux seins de sa belle qu’elle effleure. Sa langue taquine le téton dressé avant de descendre encore sur le ventre. Elle y prodigue quelques mordillements aux effets immédiats sur Laurie qui se trémousse. Enfin elle arrive au dessus de ce sexe à la toison entretenue. Les poils du pubis sont coupés courts à 5 ou 6 millimètres dans un triangle bien formés. Les lèvres quant à elles sont totalement épilées. Je vois les grandes lèvres de Laurie qui encadrent le doigt inquisiteur tandis que la bouche de Christine s’approche de son objectif immédiat. Celle-ci sort la langue qui pointe entre ses lèvres roses et vient taquiner le clitoris. Laurie se tend sous cette caresse buccale. Les coups de langue sont appuyés, ils s’accompagnent de quelques baisers sur la toison et sur les grandes lèvres gorgées de sang. Le doigt coulisse sans effort dans le vagin lubrifié. Laurie maintient la tête de la première femme qui a partagé son lit d’une main câline. La langue experte monte et descend, la tête oscille puis se refixe fermement sur ce petit bourgeon. Christine sort son doigt qu’elle présente à Laurie. Celle-ci se redresse pour le gober et gouter sa mouille pendant que la caresse buccale se fait plus appuyée. Je vois, à la position de sa mâchoire inférieure et à l’ampleur des mouvements, que Christine a remplacé son doigt par sa langue sur l’intimité humide de Laurie.

Son nez prend place sur le clitoris, la langue est, avec certitude, collée à la vulve dégoulinante de mon amante des jeudis. Laurie perd tout contrôle et toute volonté. Je la vois, étalée sur l’arrière, la tête renversée et les yeux fermés. Son visage respire l’extase. Je ne perds pas une miette de ce spectacle, pour l’excitation phénoménale qu’il entraîne mais aussi pour tous ces petits "trucs" qu’un homme ne découvrira jamais seul et qui, visiblement, font monter les filles au rideau.

Je me suis positionné à l’opposé de ma place initiale. Les petits seins de Laurie sont dressés, son corps fin et mat se déroule devant moi jusqu’à ses jambes largement ouverts où je ne vois qu’une tête blonde aux yeux verts magnifiques s’affairer avec application et savoir-faire. Christine lèche ce sexe avec envie. Le goût lui plait visiblement. Sa langue fait des mouvements verticaux amples. Elle me regarde dans les yeux tandis que Laurie chavire définitivement. Par 2 fois, elle relève légèrement la tête et me gratifie d’un sourire coquin et adorable.

Le bassin de Laurie est parcouru de mouvements incontrôlables. Christine sent monter sa jouissance et redouble d’énergie sur le sexe offert. Les coups de langues se font plus rapides, plus forts. Sa langue s’insinue dans le vagin trempé qui appelle cette pénétration. Laurie jouit enfin en de longs gémissements accompagnant les tensions qui se propagent dans son corps.

Après quelques instants de repos, permettant à Laurie de reprendre ses esprits, Christine remonta son visage vers elle, présentant sa bouche odorante à un long et doux baiser, scellant une séance que, simple spectateur, j’avais trouvée magnifique.

Laurie nous avoua que, comme lors de notre exhibition sodomite devant Christine, elle avait pris un plaisir incomparable à vivre sa jouissance sous un regard la dévorant des yeux.

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