Suite..

Ma chère fille Cécile se trouvait à genoux avec mon engin de 23 cm dans la bouche. Il faut vous dire que la nature m’avait bien avantagé, un sexe de 23 cm, de long et de près de 6 cm d’épaisseur, et mon médecin ne pouvait m’expliquer pourquoi j’avais une quantité importante de sperme lors de l’éjaculation, cela ne dérangeait pas trop et ma femme était toute heureuse de tout avaler.

— Allez chérie, enfonce toi cette grosse bite au fond de la gorge, comme c’est bon, et tu suces aussi bien que ta mère. Je te laisse la directive d’aller vite ou doucement, prend ton plaisir au maximum et je te dirai lorsque je serai sur le point de juter dans ta bouche, oh ! Cécile c’est merveilleux ce que tu me fais !

— tu aimes cette pipe papa ? Moi je me régale de queue dans ma bouche, elle est douce et chaude, jamais je n’ai eu une bite aussi belle et douce dans ma bouche, je t’aime papa et maintenant je veux que tu te déverses en moi, je veux goûter à ta liqueur d’amour, je t’aime papa !

— Moi aussi je t’aime ma chérie, mais arrête de parler et fait moi jouir, mes couilles son pleines, elles t’attendent pour se vider, tu vas te régaler mon amour !

Cécile recommença sa fellation, elle était très attentionnée et s’appliquait du mieux possible, son plaisir à sucer cette grosse queue était aussi intense que celui de son père qui n’allait pas tarder à balancer la purée.

— Oh ! Oui chérie va plus vite oui, continue ma salope enfonce la bien, je viens chérie c’est bon, tellement bon !

Cécile s’était reculée un peu afin que la grande tige de son père ne soit plus tout au fond de la gorge, mais que seul le gland se trouve à l’intérieur de la bouche, elle le coinçait bien fort entre ses lèvres et ses deux mains étaient autour de la bite en continuant doucement la masturbation.

— Oui ! Ça vient chérie, que c’est bon putain ta bouche est délicieuse, garde le maximum afin de me montrer ta bouche de belle salope bien remplie par mon sperme.

Après plusieurs jets de la liqueur blanchâtre, Cécile ferma ses lèvres, puis son père l’aida à se remettre debout. Elle regarda son père droit dans les yeux, il y avait dans son regard, de la joie et du bonheur. Elle pencha légèrement la tête en arrière afin de bien garder le perme et elle ouvrit doucement se lèvres, il faut dire que vu la quantité, elle avait les joues gonflées.

— On peut dire que tu as la bouche pleine et tu sais qu’on ne parle pas la bouche pleine, fais voir ma chérie ?

Elle ouvrit la bouche et puis elle avala l’importante quantité de ce nectar !

— Ton sperme est très bon, je l’adore, et je crois que je vais venir souvent te pomper et quelle bite ! Une queue aussi belle doit être entretenue pas sa ou ses femmes. Tu pourras me la donner à sucer quand tu voudras. Tu vas mettre maman au courant ? Moi cela ne me dérange pas surtout que j’aimerais tellement la caresser, lui lécher la chatte, si je fantasmais sur toi mon papa chéri, il y a encore plus de temps que je fantasme sur maman, elle belle et un corps parfais qui ne demande qu’à être caressé et jouir.

Tu t’imagines papa, deux femmes se baisant et toi nous prenant à tour de rôle dans la chate ou notre petit trou ? Parce que je compte bien que tu vas me sodomiser comme maman !

— Oui ! Je l’imagine maintenant, j’imagine toi à cheval sur la tige, ta mère à cheval sur ma bouche te faisant face, moi je la lècherai et toi tu lui rouleras une merveilleuse pelle pendant que tu baiseras ma queue et nous feras jouir tous les trois ensembles.

— J’ai envie maintenant que tu me lèches la chatte à ton tour, tu veux bien mon papa chéri ?

— On a plus le temps mon amour, je dois impérativement retourner chercher ma voiture et ta mère ne va pas tarder à rentrer, mais rassure toi chérie on va bien trouver un petit moment d’ici qu’on se couche. Lorsqu’on sera couché, je parlerai avec ta mère, en la sondant sur ses fantasmes, je verrai bien ce qu’elle en pense, nous n’avons jamais vraiment parlé de l’inceste alors il faut que j’y aille mollo !

— Tu vas lui parler aussi de mes fantasmes pour elle ?

— Oui ! Mais selon ce qu’elle me répondra sur les siens. Allez ma chérie, ne t’en fait pas et compte sur moi !

Claude revint à sa maison que vers 19h00 le garagiste avait pris du retard. Bonsoir mes chéries lança- t-il aux deux femmes qui se trouvaient l’une à côté de l’autre dans la cuisine. Il s’intercala entre elles et déposa un baiser sur la bouche de sa femme ainsi que sur celle de Cécile. Sa douce et tendre épouse se mit à rire en ayant vu Claude embrasser sa fille sur la bouche.

— Qu’est-ce qui te rend si heureux mon chéri, au point de baiser les lèvres de ta fille ?

— Rien de bien spécial si ce n’est que la facture de la réparation a été bien moins élevée que je ne le pensais d’où ma joie et je vous prépare un petit apéritif ?

Les femmes acquiescèrent dans signe de tête. Ils discutèrent longuement de chose et d’autre pendant tout le repas et vers vingt-deux heures Claude et sa Julia se retrouvèrent nu dans le lit, alors que Cécile dans la même tenue que ses parents était allongée sur son lit, les jambes écartées au maximum. Sa main gauche caressait son sein gauche titillait avec deux doigts le téton qui commençait à se durcir et de sa main droite, elle se caressait son minou, puis son majeur entra dans le vagin et dans le même temps son pouce frottait doucement le clito. Tout en se masturbant et elle parlait : Au mon papa chéri, mon amour, comme je voudrais que ce soit toit qui me branle la chatte, comme j’aimerais jouir sous tes doigts, comme je t’aime mon amour, je sens que je vais jouir, c’est bon et merveilleux à la fois, je jouis chéri rien que pour toi. Elle avait envie de crier sa jouissance, de prononcer le prénom de son père.

Je suis certaine qu’il doit bien la baiser ma salope de mère, il doit et j’en suis sur lui enfoncer sa grosse queue dans son petit trou, qu’est-ce qu’elle doit bien jouir !

Elle avait raison, Claude était debout aux pieds du lit la queue à la main pendant que sa femme se mettait en position à quatre pattes juste au bord du lit, de ce fait Claude et son bâton de 23 cm était juste en face de la rosette.

— Allez mon chéri ! Enfonce ta queue, mon petit trous attend après toi, vas-y enfonce à sec mais doucement et pour sentir moins la douleur je vais me branler en même temps.

— Tu es sur ma petite salope que tu veux être prise à sec sans aucune préparation, mais je vais huiler ma tige avec ta mouille, je vais te baiser ta moule un avant de prendre ton cul que je vais te défoncer un max avant que tu jouisses du cul, je t’aime ma chérie, mais tu restes malgré tout ma salope à moi, ma petite putain.

— Oui ! Mon chéri je suis ta chienne, ta salope de pute, baise-moi chéri, défonce ce cul que tu aimes tan tu me fais jouir mais je veux que tu te vides les couilles dans ma bouche, j’ai envie de boire toute ta  liqueur.

-Tu auras tout ce que tu veux salope.

Claude enfonça son engin d’un coup dans le nid d’amour et lorsqu’il arriva au maximum de ce qu’il pouvait entrer, il commença quelques va et vient, la mouille dans le vagin faisait son effet, il coulissait parfaitement bien, au bout de deux minutes, il se retira et présenta son sexe bien graissé de la mouille de sa femme devant la rosette. Sa main gauche agrippait la hanche et la droite tenait sa longue queue. Son gland commença à entrer, il continua à pousser et inexorablement son sexe pénétrait dans l’antre chaud et serré du cul de sa femme.

— Comme c’est bon mon amour, il rentre doucement et je n’ai pas eu mal au début allez, pousse un peu plus fort chéri je veux que tu me démontes le cul, comme c’est bon de te sentir à l’intérieur, en plus je sens que je vais jouir de ma chatte, vas-y mon salop baise-moi plus fort, oh oui chéri c’est bon ce que tu me fais, allez lime mon cul oui comme cela, plus vite encore, je jouis chéri, je jouis c’est merveilleux !

— Tu vas encore jouir mais du cul salope, dis-moi que tu es ma salope !

— Je suis ta chienne, ta salope de pute, baise-moi fort, allez encule moi chéri comme tu aimes le faire et comme j’aime que tu m’encules le plus loin possible.

Claude était entièrement dans le cul de Julia, ses couilles venaient cogner contre les fesses lorsqu’il faisait des aller et retours. Pendant environ dix minutes il lima l’intérieur du cul de sa femme, il sentait la jouissance monter et il savait qu’il ne tiendrait plus bien longtemps.

— Chérie, je ne vais pas tarder à lâcher la purée, c’est trop bon de te sodomiser à sec !

— Moi aussi je sens que je vais jouir mon amour, alors accélère encore un peu plus que je jouisse et viens mettre ta queue dans ma bouche je te boire et te la nettoyer ensuite.

Elle venait juste de finir de parler qu’elle poussa un hurlement de plaisir, sa jouissance était telle qu’elle n’avait pas pu se retenir de crier. A peine avait-elle fini de crier qu’elle changea de position, elle s’allongea sur le dos, la tête dans le vide, Claude n’eut qu’à placer sa grosse queue dans la bouche de sa femme, après avoir branlé sa tige un aller et retour qu’il se déversa dans la bouche, par de longues saccades, vu la position de la tête une bonne partie de la liqueur s’écoula directement dans le gosier. Julia garda dans sa bouche une bonne partie du sperme et changea de position, regarda son mari et ouvrit légèrement la bouche, lui montra tout ce qu’elle avait à l’intérieur et avala, enfin elle attrapa le sexe et commença à le lécher sur toute sa longueur non sans oublier d’enfourner le gland afin de récolter les dernières gouttes qui pouvaient se trouver encore à l’intérieur du sexe du son mari !

Revenu à une position normale dans le lit, enlacés l’un contre l’autre, Julia posa la question ;

— C’est la première fois que je te vois embrasser notre fille sur la bouche que s’est-il passé dans ta tête ?

— Rien de spéciale, si ce n’est que je n’ai pas réfléchi après t’avoir embrassé et cela c’est fait naturellement ! Serais-tu jalouse mon amour ?

— Non ! Mais j’ai été surprise. Je trouve qu’elle est devenue une femme maintenant, et elle est attirante car elle est belle et elle a un corps de rêve qui donne dans envies.

— On dirait rien qu’à t’entendre que tu es attirée par notre fille, je vais t’avouer une chose, c’est que moi, je suis attiré par elle, lorsque je la regarde je te vois, elle a tout de toi, c’est ton clone ni plus ni moins. Tu n’as jamais été attirée par une femme même par ta fille, tu n’as jamais fantasmé sur elle, même un petit peu ?

— J’avoue que oui ! Il n’y a pas longtemps, j’ai pensé à elle et dans la nuit j’ai rêvé de Cécile, que je lui caressais les seins et que nous nous embrassions, j’ai le souvenir de ce rêve et que ce baiser m’avait donné des envies lorsque je me suis réveillée.

— Aurais-tu toujours cette envie ?

— Oui ! Mais c’est ma fille et la morale nous interdit de faire des choses avec nos enfants.

— Il faut laisser la morale aux autres ici on est chez nous et tout ce qui se pratique dans notre maison reste dans la maison. Tu as certainement un peu peur et tu ne sais pas comment aborder la chose avec Cécile ?

— Tout à fait et il y a toi, tu peux être déçu de mon comportement !

— Non ! Pas du tout au contraire et je vais t’aider. Demain matin j’ai beaucoup de travail mais je rentrerai de bonne heure dans l’après-midi, comme tu seras à la maison et que Cécile ne sera pas là, alors nous en reparlerons et on mettra un plan en place si tu es toujours d’accord si tu me fais confiance.

— Je suis d’accord avec toi et tu as toute ma confiance sinon cela voudrait dire que je ne t’aime pas, alors rassure-toi je t’aime plus que tout au monde. Cela ne te dérangerais pas que notre fille se gouine avec moi et vice et versa ?

— Non pas du tout puis peut être que je pourrais participer ?

— N’était-ce pas ton fantasme faire l’amour avec deux femme ?

— Oui ! Allez, on dort maintenant, bonne nuit mon amour.

Toujours enlacés, ils endormirent heureux d’avoir pu se confier certaines choses de la vie les concernant ainsi que leur fille.

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