Je m’appelle Max et cette histoire est vraiment arrivée. Je voulais assouvir un fantasme secret. Célibataire depuis quelque temps, j’avais évidemment parfois des montées de désir. C’est au cours d’un de ces moments que je pris contact sur un internet avec une inconnue. J’avais vu qu’elle n’habitait pas loin de chez moi. Nous commençâmes à discuter, nous présentant mutuellement quand, au bout de quelques échanges, je lui fis part de mon fantasme : inviter une inconnue chez moi et si elle me le demandait, me caresser pour elle sans aucune autre demande de ma part. A mon grand plaisir, elle accepta ma proposition.
Je l’invitai donc à prendre l’apéritif un soir d’hiver. Elle arriva. Je ne l’avais encore jamais vue. Je la fis donc entrer pour aller dans mon salon et lui proposai donc de boire un verre. C’était une grande black. De suite j’avais remarqué sa poitrine plus que généreuse qu’elle avait mise en avant avec un joli décolleté. Elle s’était habillée un peu sexy. Sans doute pour m’encourager dans ce qui allait suivre.
Elle avait de longues et jolies tresses et paraissait gentille. Je nous servis. J’étais nerveux et excité à l’idée de la suite.
Nous commençâmes donc à boire nos verres et discuter un peu. Je voyais tout de suite dans ses yeux son désir de passer rapidement à l’étape suivante. Il est vrai qu’elle était venue pour ça. Elle regarda mon jean au niveau de l’entrejambe. Elle voulait sans doute vérifier si j’étais excité et prêt à le faire. Elle voulait me le faire comprendre. Elle voyait aussi mon trouble. C’était la première fois pour moi. Allait-elle me le demander ? Est-ce que je lui plaisais ?
Elle ne se fit pas attendre, et moins de 10 minutes après son arrivée me dit :
— Tu es d’accord ? Comme on avait dit ? Tu peux me montrer ?
Elle aussi avait dû beaucoup y penser. Je fais du fitness, je mentretiens et je ne suis pas trop mal.
— Oui, dis-je simplement.
— Alors tu peux te mettre nu pour moi,… et le faire ?
Je commençai donc à enlever mes vêtements, tandis qu’elle me regardait penchée en avant. Très vite, je me retrouvai en boxer. J’en avais choisi un court, un peu sexy, qui moulerait mon sexe de manière avantageuse. Ses yeux regardaient en direction de cette dernière barrière d’étoffe déjà déformée par mon désir. Elle voulait tout voir et c’était convenu comme ça.
J’étais très excité et elle le savait. J’avais déjà posé ma main sur mon sexe à travers le tissu. Avec une voix douce, elle me dit :
— Pourquoi tu t’arrêtes ?
En effet, j’avais marqué un temps d’hésitation.
— Puisque tu es excité, et que tu me l’as promis, enlève-le pour moi, s’il te plaît.
J’enlevai donc ce qui me restait pour me retrouver entièrement nu devant elle. Elle était assise sur mon canapé tandis que je lui faisais face assis dans un fauteuil le sexe dressé :
— Caresse-toi pour moi, comme on avait convenu, me dit-elle.
De toute manière, j’en avais trop envie.
— Fais-le doucement, continua-t-elle. Je veux bien voir.
Je saisis mon sexe dressé pour commencer des va-et-vient. Elle tenait toujours son verre, le regard très intéressé et moi j’étais très excité par la situation. Je continuai à me caresser, mon sexe très vite mouillé par le désir. J’aimais cette situation. Je continuai donc tandis qu’elle me matait de son regard devenu coquin.
— Continue, mais doucement… Fais glisser ta main jusqu’en bas, je veux te regarder.
Je lui obéissais et ma main allait et venait autour de mon gland.
— Lâche-la un peu, ne va pas trop vite…
C’est alors que je me suis levé pour m’assoir à côté d’elle. J’étais nu et elle tout habillée. Je pris donc sa main, pour la poser autour de mon sexe, ce qui n’était pas prévu dans notre accord. Elle accepta cependant sans rien dire, et commença à caresser mon gland mouillé, puis ma queue, plus excitée que jamais. Elle avait la main douce. Je la sentais tout autour de mon sexe. Elle commença de lents va-et-vient, puis descendit le long de ma verge, qui durcit davantage. Ses mouvements étaient contrôlés. Elle voulait que cela dure sûrement.
-Tu es très excité, me dit-elle d’une voix basse, presque gênée. Laisse-toi faire, tu me l’as promis.
Je plissai les yeux de plaisir tout en essayant de les plonger dans son regard. J’avais du mal à les garder ouverts, tant je prenais du plaisir. Elle me regarda tout en continuant à me caresser. Elle glissa ensuite sa seconde main sous mes bourses pour les caresser délicatement, puis descendit plus en dessous, écartant un peu mes jambes. Je sentais la pression de son doigt qui me titillait entre mes fesses et augmentait mon plaisir. J’étais son objet, consentant. Elle contrôlait mon plaisir.
J’étais tellement excité que je m’enhardis et posai mes mains sur ses seins faisant légèrement descendre son décolleté pour atteindre ses tétons. Ils étaient durs et j’avais envie de les entourer de ma bouche. Mais notre accord ne prévoyait pas ça. Elle accéléra donc ses va-et-vient pour reprendre le contrôle. Je me reculai. Je sentais tout mon corps se tendre. Elle prenait visiblement beaucoup de plaisir à me contrôler :
— Tu aimes ?
J’étais incapable de répondre.
Je ne pouvais plus résister et elle le voyait dans mon regard. J’étais au bord de l’extase. Elle continua un peu puis accéléra. Je n’étais plus maître de rien. Ma respiration s’accéléra et je la vis sourire. Elle savait que je ne pouvais plus résister et je jouis dans sa main en de longs jets de délivrance, tandis qu’elle continuait un peu ses caresses sur mon sexe trempé.
Nous restâmes quelques instants comme ça, le temps que je récupère, puis je me rhabillai.
— Merci, dit-elle, je ne savais pas si tu allais le faire.
Nous finîmes nos verres bavardant un peu et je la raccompagnai dehors… Je ne savais pas encore si nous allions nous revoir, mais j’avais adoré cette première expérience…