C. et moi étions collègues dans le même établissement. Elle, professeur de Français, la quarantaine, moi de mathématiques, la trentaine. A mon arrivée le jour de la prérentrée, le stress m’aveuglait et je me préoccupais fort peu de l’aspect physique de mes collègues. Je m’en contrefoutais littéralement. Certes, j’avais une femme mais l’arbre ne cache pas la forêt. Seule la perspective de travailler m’obsédait.
Puis le jour de la rentrée était vite venu, les simples politesses avec les collègues faisaient place, petit à petit à des conversations plus poussées, lors des pauses café et déjeuner. Parfois même nous sortions prendre un verre le soir, après les cours donnés à des élèves survoltés. Bref, tout se passait normalement.
Au niveau professionnel en tout cas, car à la maison je me retrouvais devant une compagne formidable mais déconnectée de sa sexualité. Elle refusait mes avances, arguant la fatigue, ce genre de chose. Ce qui me frustrait au plus haut point.
J’en étais venu à regarder des vidéos porno très régulièrement pour satisfaire ma libido. Mais quel temps perdu à errer de site en site, à aller toujours plus loin dans la mise en scène sexuelle. J’étais devenu dépendant sexuel concernant le porno et je m’en étais bien rendu compte. Alors j’ai décidé du jour au lendemain d’arrêter pour faire du sport à la place. De façon intensive pour calmer mes ardeurs.
Et ce n’était pas chose facile, dans cette société où le culte du corps est exacerbé. Dans mon milieu professionnel où je côtoyais des collègues plutôt charmantes finalement, et certaines étudiantes précoces aux courbes exceptionnelles…
Bref, voilà ce qui se passait dans ma vie. Jusqu’au jour où E., une collègue, m’avait confié en riant que C. avait été trompée par son mari et que ce dernier la suppliait de ne pas le quitter. Ce qu’elle n’avait pas fait.
Je ne sais pas pourquoi mais à partir de cette confession, moi qui n’avais jamais particulièrement fantasmé sur C., je me mis à élaborer des scénarios sexuels entre elle et moi. Le soir, chez moi, il n’était pas rare que je pense à elle. L’imaginant entrer dans ma salle de classe après les cours pour papoter. Puis je me masturbais en pensant qu’elle, la femme trompée, se mettait à caresser mon sexe à travers mon pantalon. Que celui-ci gonflait de désir, puis qu’elle me déboutonnait le jean , baissait mon caleçon pour me le mettre en bouche. Et elle faisait cela en me regardant dans les yeux l’air de dire, « Putain quelle bonne bite mon cochon, est-ce que ça te plaît ? ».
C’était souvent ce scénario auquel je pensais et j’avoue que j’éjaculais assez vite, caché lamentablement dans les toilettes pour ne pas que ma femme me voie…
Cette situation était devenue tellement obsédante pour moi que dans la réalité, à chaque fois que je croisais C. dans les couloirs de l’établissement, je me sentais gêné, coupable. Mais malgré tout horriblement attiré par elle. En clair, je l’évitais le plus possible. Car je me persuadais que si je lui parlais, que j’allais au-delà du simple « bonjour ça va ? », je me mettrais à rougir tellement qu’elle devinerait à coup sûr ce que j’avais dans la tête.
Chose cocasse, ce qui devait arriver arriva. J’étais un soir en train de corriger mes copies. Il n’y avais presque plus personne dans l’établissement. Je sursautai lorsque j’entendis toquer à ma porte. Je me dis : « Bordel de merde, un parent d’élève vient se plaindre ou quoi ? ».
Mais non, c’était C. Elle remarqua sans mal ma surprise quand je la vis mais je ne suis pas sûr qu’elle ait pu lire tout ce que j’avais eu en tête auparavant tant j’étais désarçonné. Et puis la télépathie n’existe pas bien sûr. Il fallait que j’arrête ma paranoïa.
— Je te dérange pas j’espère ? Me demanda-t-elle.
— Euh, non… dis-je laconiquement.
Après un petit blanc, elle enchaîna :
— Je te demande ça parce que j’ai l’impression que tu m’évites ces derniers temps, qu’est-ce qui t’arrive ? Tu ne viens même plus boire un pot avec nous le soir.
— Ben… Non, non… Je suis assez pris c’est tout, pas de problème.
Elle devina bien que ce n’était pas crédible. C’est vrai que ma façon de parler avait changé en plus avec du recul. L’intonation, assez impersonnelle.
— Mais, j’ai fait quelque chose de mal ? Parce que j’ai l’impression que tu m’évites… Tu continues à parler avec les autres. Pas avec moi.
— Non vraiment, tu n’as rien fait de mal rassure-toi. C’est moi qui…
— Qui quoi ? Dit-elle étonnée.
Je ne savais absolument pas quoi répondre. Je me sentais comme un vulgaire gamin devant rendre des comptes. Elle se découragea :
— Bon… Je m’en vais alors ?
— Non ! M’exclamai-je en m’étonnant moi-même de ma bêtise. Il allait encore falloir que je m’explique.
Elle se retourna, intriguée, et attendis que je continue. Je pensai alors à toutes ces soirées à me branler assidûment en pensant à elle, à toutes les saletés délicieuses que l’on faisait avant ma jouissance solitaire et pathétique. Il me sembla qu’il valait mieux arrêter de raconter n’importe quoi.
— Ben je me trouve dans une situation délicate en fait…
Elle leva le sourcil.
— J’ai quelqu’un, toi aussi mais… je sais pas, je peux pas m’empêcher de penser à toi et moi parfois… Je sais c’est stupide… confessai-je en baissant la tête.
Il se passa des secondes interminables avant qu’elle ne réponde :
— Ah bon ! Dit-elle tout simplement en souriant.
Ce sourire ne m’échappa pas.
— Ça te fais rire ?
— Non, non ! Te vexe pas. Je m’attendais pas à ça mais c’est flatteur !
— Mouais…
— Mais attends, quand tu dis toi et moi : c’est-à-dire en couple ou…. ? demanda-t-elle avec un air malicieux.
— Non non pas en couple, j’aime ma femme ! Plutôt… autre chose.
Là j’avais rougi et je me doutais bien qu’elle l’avais perçu. De toute manière ça importait peu désormais. J’avais tout déballé ou presque.
— Ça reste entre nous j’espère… Je t’ai dit la vérité pour pas que tu crois que je te t’apprécie pas… dis-je, inquiet.
Elle ne dit rien. Elle se retourna doucement vers la porte de classe. Elle la ferma à clé puis elle s’approcha de moi, toujours silencieuse.
— A ton avis, tu crois que je vais répéter ça ? demanda-t-elle au bout d’un instant, alors qu’elle ne se tenait plus qu’à quelques centimètres de moi.
J’étais toujours assis sur ma chaise.
— Si tu fantasmes sur moi et que je suis pas insensible à tout ça… Et vu que moi aussi j’aime mon mari mais que…
Elle caressa mon visage, ce qui me fit sursauter.
— P… Pardon, tu ne veux pas passer à l’acte ? dit-elle, gênée.
— Je…
Je la regardais dans les yeux puis me vint en mémoire toutes ses choses que je lui faisais, et qu’elle me rendait. Je sentis mon pénis se durcir. Puis je lui attrapa la main. Son visage se décontracta aussitôt et je vis poindre un sourire très particulier.
— Dans tes fantasmes… Dis-moi… Qu’est-ce qu’on faisait ?
Je n’hésitai plus :
— C’était pas si différent, tu entrais dans ma classe, comme ça… Et après tu déboutonnais mon pantalon…
— Comme ça ? dit-elle en s’exécutant doucement. Et en ayant la satisfaction de voir que je bandais. Ses mains effleurais mon sexe. Je lâchai un soupir.
— Oh putain…
— Continue, et après ? poursuivit-elle en caressant mon sexe.
— Après tu… Tu sortais ma bite et tu la suçais.
Elle se mordit les lèvres et me dit :
— T’es un porc.
Puis elle sortit mon sexe, que je n’avais jamais vu aussi dressé. Aussi dur et mouillé de désir. Elle n’était pas indifférente à tout ça :
— T’as une putain de bite mon salaud.
Et elle la mit en bouche.
Tout se qui suivit dépassa ce que j’avais imaginé. C’était bien réel et je ne me contrôlais plus. Je devenais aussi animal que dans mes fantasmes. Elle m’encourageait dans ce sens :
— Hum, c’est trop bon de tromper mon mari avec toi, me dit-elle en me léchant les couilles tout en caressant ma verge.
— C’est trop bon ce que tu fais !
— Gros porc !
— Salope !
— Hum, oui c’est bien ce que je suis avec toi, une pute si tu veux ! Tu t’es imaginé que je te branlais comme une pute ?
Et elle me branlais divinement bien.
— Oui comme une pute. J’ai envie de te bouffer la chatte…
— Oh, oui vas-y dit-elle en baissant précipitamment sa jupe puis sa culotte.
Sa culotte était trempe, je n’avais qu’une peur, c’était une éjaculation un peu trop précoce à l’idée de ce qui m’attendait.
— Je vais lécher ta belle chatte.
Elle n’était pas épilée. Mouillée, douce. Je me mis à écarter ses lèvres précautionneusement et j’y plaquai ma langue. Il me sembla même boire une petite gorgée de son jus salé et délicieux. Elle gémit de plaisir en se mettant la main devant la bouche, de peur d’être entendue par tout l’établissement scolaire.
Je continuai, encore et encore à la lécher. Je ne sais pas si c’était ma salive, mais elle mouillait toujours plus. L’idée de lui pilonner la chatte commençait à me travailler sérieusement.
— Ta chatte est trop bonne, ça te plait, salope ? dis-je, sans aucun sens de la retenue.
— Aaaah mais oui, t’es con ! Tu vois pas comme tu me mets ?! Et puis tu vas me faire jouir si tu continues comme ça ! Enfonce-moi ta queue, prends-moi comme une chienne, vas-y !
Je me relevai, lui enlevai les vêtements gênants et l’allongeai sur mon bureau. Je pris mon sexe dans la main et l’approcha du sien. Puis je la fixai dans les yeux sans rien dire.
— Ben alors, tu vas me la mettre oui ? Baise-moi mon salaud ! s’impatienta-t-elle.
Et je fis un brusque mouvement de rein. Ma queue venait d’entrer dans sa grosse chatte velue. J’émis un râle de plaisir.
— Aaaaah, mon Dieu !!! cria-t-elle, presque.
Mes mains s’agrippèrent à sa taille, et je fis des va et viens incontrôlables, tel un chien. J’avais presque l’impression de baver tellement j’étais hors de moi. Sauvage.
Elle ne me quittait pas des yeux. La bouche grande ouverte tellement elle haletait.
— Putain, C., je vais jouir j’en peux plus ! dis-je.
— Attends, attends juste un peu je viens, je viens aussi….
Et elle émit un long soupir. Une énorme tension venait de s’apaiser en elle. Je compris qu’il était temps pour moi de me lâcher. Mais elle m’interrompit :
— Attends ! Je veux que tu jouisses comme dans le meilleur de tes fantasmes. Parce que ça sera la première et dernière fois qu’on fait ça. Je ne m’en passerais plus si on continue… dis-t-elle.
Surpris mais beaucoup trop excité pour me laisser détourner de mon animalité du moment, je m’approchai doucement de sa bouche. Elle me sourit, elle n’avait pas l’air de trouver ça étonnant comme final.
Elle saisit mes couilles et planta son regard dans le mien. Puis je lui pris la tête et la dirigeai vers mon gland. Elle l’avala presque. Je gémis.
— Hum… Oui c’est bon, grosse salope…
Elle me suça voluptueusement, de la salive coulait sur ma verge. Mes couilles frissonnaient de plaisir. Je lui saisis la tête des deux mains.
Et je jouis de la façon la plus intense de mon existence.