Chapitre 4

Jamais je ne me suis réveillé comme ça un samedi matin.

Hier, après avoir honoré la bouche de Christine, le sexe de ma fille, celui d’Émilie et leurs deux petits culs à elles toutes deux, je m’étais effondré tandis qu’elles se gamahuchaient sous mes yeux.

Et ce matin, je me retrouve allongé sur le dos. Ma queue est bandée au maximum. Elle a une raison. Je vois une tête blonde à ma droite, une brune à ma gauche. Mes deux nouvelles femmes se passent consciencieusement ma verge d’une bouche à l’autre. Je quitte une humidité chaude pour être guidé dans une chaleur humide ! J’ai été déjà plus malheureux.

Je caresse les deux masses de cheveux que je vois. À ce moment-là, elles m’abandonnent. Elles me regardent. Elles rampent sur moi de concert. Elles s’approchent de ma bouche et me font un long baiser chacune de leur côté. Nous mélangeons en fait nos trois langues en ouvrant nos bouches. C’est une sensation divine à laquelle je n’avais jamais goûté.

Je sentais bien que nous n’allions pas en rester là. Eve m’apprend :

Papa, il faut que tu dises bonjour à nos sexes et aussi à nos culs.

Je m’inquiète un peu :

 Ma chérie, je veux bien, mais je n’ai que ça !

En même temps, je désigne ma verge tendue et humidifiée par le passage dans leurs bouches. Elle me répond :

On y a pensé.

Décidément… elles ont réponse à tout, mes deux nouvelle femmes. Elle continue :

Émilie va te tenir bien droit et moi je vais me mettre sur toi. Après on va inverser les rôles puis tu iras visiter nos petits trous pendant qu’ils sont tout propres. Après, on va te faire jouir avec nos deux bouches. Ça te dit ?

Elle me demande ça innocemment en me regardant avec ses yeux verts qui me rappellent tellement ceux de ma femme si aimée. Émilie en rajoute en me fixant à son tour avec ses beaux yeux bleus :

Dis oui, Daniel, s’il te plaît, on en a tellement discuté avec Eve ! On voudrait tellement que tu nous dises bonjour à toutes les deux comme ça

En souriant, je leur réponds :

Oui, mes chéries, ça me dit beaucoup.

Elles ne me disent pas merci. Elles s’embrassent à pleine bouche sous mes yeux. La langue de chacune s’introduit profondément dans la bouche de sa voisine. Elles en profitent pour me caresser le torse avec leurs seins. Je les flatte doucement. Ils sont à la fois à la fois lourds et fermes comme des seins de vraie femme et très doux, avec une chair juvénile, comme des seins de petites filles de seize ans. C’est la réflexion que je me fais en les sentant descendre à mon sexe. Très vite, le peu de remords que je pouvais avoir disparaît : j’ai à ma disposition deux superbes filles, gaulées comme des déesses, qui n’attendent que de me satisfaire. Alors, peu importe qu’elles soient tout juste majeures – j’entends sexuellement parlant puisque je crois que la loi leur donne à partir de leur âge, le droit de disposer librement de leur corps. En plus, puisqu’elles sont d’accord, je ne fais pas de détournement de mineures. Je ne suis pas très sûr de moi mais mes sensations l’emportent sur ma raison, ce qui fait que je m’en moque. Et des sensations, dieu sait si j’en ai.

Elles font exactement ce qu’elles m’ont dit : Émilie prends mon sexe dans sa main et le tient bien vertical. Pendant ce temps-là, ma file Eve pose l’ouverture de son sexe juste sur mon gland et elle descend doucement. Émilie retire sa main et bientôt je suis enfoncé en totalité dans le sexe de ma fille. Elle ferme les yeux de plaisir, j’en fais autant.

Émilie profite de nos positions pour chatouiller le clitoris d’Eve qui la prend dans ses bras et la serre contre un sein en lui disant :

Oui, merci, ma chérie ! Je vais t’en faire autant tout à l’heure.

Ma fille remonte doucement et me quitte visiblement à regret, mais elle s’empare de mon sexe et, à son tour, le tient verticalement. La même scène se répète, avec Émilie dans le rôle de la cavalière.

Une fois cette première opération terminée, elles exigent à toute force que je rendre visite à leurs petits trous, pour leur dire bonjour. C’est moins évident que pour leurs sexes, mais avec un peu de crème ça se passe très bien.

J’ai une trique énorme, je dois le reconnaître. Si on me proposait à ce moment un trou, n’importe lequel, à bourrer de toutes mes forces, je me déverserai dedans après l’avoir défoncé.

Je suis sur le dos. Elles s’agenouillent près de moi et me font passer d’une bouche à l’autre. Je ne sais pas quelle est la première qui a reçu mon sperme. Ce que je sais, c’est qu’elles sont toutes les deux de véritables déesses de la pipe. Je leur demande si elles ne se sont pas entraînées sur leurs petits copains. Elles me répondent que c’était avec des godes, en regardant des films porno, porno, parce que les gars de leur âge sont vraiment trop cons !

Au bout d’un moment, avec des bouches si habiles, je me mets à éjaculer. Tranquillement, elles continuent à se passer ma verge d’une bouche à l’autre jusqu’à ce que plus rien ne sorte de moi. A ce moment là, tout naturellement, elles s’embrassent sous mes yeux. Elles reprennent un peu leur souffle puis, tandis que je caresse leurs seins, elles me nettoient le ventre avec leurs langues.

Quand tout est terminé, Eve se tourne vers moi et me dit :

Tu sais, papa, je crois bien qu’on va te réveiller tous les matins comme ça !

Les bras m’en tombent. Je tente :

Mais, Émilie ne va pas coucher tous les jours ici !

Bien sûr que non, me répond l’intéressée, mais tu sais, je vais dire à maman que je vais passer tous les week-ends chez Eve. Comme elle sait que nous sommes amoureuses l’une de l’autre et que nous faisons l’amour depuis longtemps, elle ne dira rien, parce que nous avons de super-résultats au Lycée. Tout en mettant notre plan pour toi au point, nous nous nous sommes juré, d’ailleurs, d’avoir au moins une mention bien au Bac. Et on vise la mention très bien, j’aime autant te dire

Je leur ai répond :

Vous êtes formidables, mes chéries. Je vous admire. Moi, au Bac, j’ai au la mention passable, mais ça m’a suffi ! Après, j’ai arrêté et je me suis lancé dans la vie active, comme on dit aujourd’hui.

Et tu as bien réussi, papa, je suis fière de toi.

J’ai attendu quelques secondes puis j’ai repris :

Venez vers moi, allongez-vous chacune d’un côté de moi.

Elles m’ont obéi tout de suite, en se collant contre moi, leurs seins chauds contre mes côtes. Je leur ai caressé le dos, en descendant jusqu’à leurs fesses et je lui ai dit :

Merci, mes petites. C’est la première fois depuis très longtemps que j’ai un réveil comme ça.

Eve m’interroge :

Papa, avec maman, vous faisiez l’amour tous les matins ?

Oui, ma chérie. Et si tu savais à quel point tu lui ressembles.

Je sais, papa, Émilie me l’a dit il y a longtemps en voyant une photo de maman.

Tu es son portrait craché… et tu es partie pour devenir une grande amoureuse comme elle.

Et moi ? interroge Émilie.

Toi aussi, ma beauté. Mais…

J’ai été obligé de m’interrompre. Eve avait pris ma verge dans ses mains, Émilie jouait doucement avec mes couilles en les flattant de la paume de la main. J’étais dans un état de bandaison incroyable.

En souriant, Eve m’a dit :

 Tu n’es pas mal, pour un vieux ! Tu démarres au quart de tour !

Émilie a joint son rire à celui de ma fille. J’ai fait semblant de me mettre en colère :

 Ah c’est comme ça ? Je suis vieux ? On ne joue plus, mesdemoiselles !

Je me suis assis sur le lit et je les ai mises à plat dos, l’une à côté de l’autre. Je suis allé farfouiller dans les vagins tout neufs. J’ai un peu cherché à tâtons avec mes doigts et bientôt j’ai eu la joie de les entendre jouir de nouveau. Sous elles, le drap était trempé. J’agitais mes doigts de chaque main dans un vagin rempli de cyprine. Ça faisait un gargouillis obscène qui leur plaisait beaucoup. Une odeur de sexe flottait dans l’air.

Avec leurs mains, elles ont tenté d’arrêter les miennes, d’enlever mes doigts de là où ils étaient, mais elles ont fini par comprendre qu’elles n’auraient pas le dessus. Elles se sont finalement laissé faire toutes les deux, les cuisses écartées, en se tenant par la main pour se communiquer leurs émotions, c’est tout du moins comme ça que j’ai compris leur geste de tendresse.

Quand j’ai vu qu’elles étaient revenues de leur orgasme, je leur ai demandé :

Alors, mesdemoiselles, vous aviez prévu ça ?

Elles se sont assises à leur tour et m’ont embrassé longuement sur la bouche.

Eve m’a appris :

 Oh papa, c’était bon !

et Émilie a opiné de la tête.

Bon, les filles, maintenant, on se lève, on se douche, moi je me rase et on mange, parce que j’ai faim.

En riant, elles ont reconnu :

Nous aussi.

Émilie a précisé :

 Pendant que tu te rases, on peut paresser un peu au lit, Eve et moi ? On prendra une douche avec toi quand tu seras rasé. Tu es d’accord ?

Je me suis mis à rire :

Il me faut une dizaine de minutes pour me raser. Tu veux en profiter pour faire l’amour avec Eve, c’est ça ?

Elle s’est mise à rougir puis a avoué :

 Je voudrais qu’on parle toutes les deux mais on peut aussi faire un peu l’amour, j’adore ta fille !

Eve s’est précipitée dans ses bras en disant :

Moi aussi je t’aime, Émilie !

J’ai simplement ajouté :

 Bon, je vous laisse, mais… soyez sages !

Tu parles ! Je n’avais pas encore franchi la porte de la salle de bains qu’elles se caressaient les seins et le sexe en s’embrassant à pleine bouche.

Pendant que je me rasais, j’ai entendu des bruits d’amour mais aussi des chuchotements qui m’ont fait me méfier instinctivement : qu’est-ce qu’elles me préparaient encore ?

Il m’a effectivement fallu une dizaine de minutes pour me débarrasser de ma barbe.

Je suis sorti pour leur dire que j’avais fini et que nous pouvions aller nous doucher tous les trois ensemble.

Ce fut une joyeuse bousculade. Il est vrai que si la cabine de douche était spacieuse, elle n’avait pas été conçue pour permettre à trois personnes de se doucher ensemble.

Nous nous sommes mouillés tous les trois, puis j’ai savonné mes deux petites femmes et elles m’en ont fait autant. Eve, ma fille, s’est arrêtée à un moment et m’a dit :

 Tu sais, papa, Émilie et moi on a pensé que tu pouvais nous laver plus profond.

Comme elle a vu, à mon regard, que je ne comprenais pas ce qu’elle voulait, elle m’a exposé :

 Je vais te savonner ton bel outil, comme ça.

C’est ce qu’elle a fait. J’étais déjà bien bandé, ça n’a rien arrangé ! Elle a continué :

Voilà, tu vas le mettre profond dans Émilie avec mon aide et tu vas faire quelques petits aller-retour, pour qu’elle soit bien nettoyée de l’intérieur. Je me charge de la rincer avec la douche. Ensuite, on inversera.

C’était donc de ça dont elles avaient discuté pendant que je me rasais.

Elle a pris ma queue pleine de savon, pendant qu’Émilie se pliait en deux. Eve m’a guidé jusqu’à l’ouverture du sexe de son amie, l’a un peu ouverte, elle aussi et je me suis enfoncé dans cet antre de délices. Pendant que je faisais quelques mouvement, Eve m’a saisi les couilles à pleines mains et les a flattées. Inutile de dire dans quel état j’étais.

Après quelques mouvements, elle a certainement jugé que son amie était bien savonnée, puisqu’elle m’a sorti de force de l’abri où j’étais bien installé. Elle a réouvert la douche puis a nettoyé profondément le sexe ensavonné d’Émilie. Après, elles ont inversé les rôles et c’est la jolie blonde qui m’a guidé à l’intérieur de ma fille. Là aussi, je me serais bien lâché, mais ces coquines avaient tout prévu.

Une fois qu’elles ont été propres, elles m’ont rincé à deux, ôtant toute trace de savon, puis elles m’ont essuyé ; je leur en ai fait autant.

Je commençais à avoir faim et elles aussi, visiblement. Je me suis habillé et, pendant qu’elles préparaient le café, je suis allé à la boulangerie d’à côté pour aller chercher une douzaine de croissants.

Lorsque je suis revenu, elles étaient encore nues et m’ont déshabillé en me disant :

On va manger comme ça. Si on fait tomber du café ou un morceau de croisant, on ne sera pas tachés.

Tu parles !

Je n’avais jamais pris un petit déjeuner dans ces conditions : mes deux diablesses nues de chaque côté de moi. A un moment, elles ont pris chacune un morceau de croissant dans la bouche et il fallu que j’aille chercher l’autre partie sur leurs lèvres. C’est probablement au cours de ce jeu que nous avons fait tomber beaucoup de miettes de croissant sur nous.

Nous avons quand même terminé ce petit déjeuner. Il ne restait plus rien à manger. Nous avons débarrassé la table, fait la vaisselle, puis je me suis demandé ce que nous allions faire.

Elles ne se sont pas posé la question : Eve s’est assise sur la table, Émilie m’a pris par la queue et elle l’a installée juste en face du sexe de ma fille. Elle m’a dit :

 Fais-lui encore l’amour !

J’ai pénétré ma fille jusqu’au fond de son petit vagin ; elle a mis ses mains autour de mon cou et m’a dit :

 Oui, papa ! Je t’aime ! Va fort !

J’ai commencé à lui faire l’amour de plus en plus sauvagement. Émilie ne restait pas inactive : elle la caressait, elle me flattait les couilles, elle a même mis un doigt à côté de ma queue dans le sexe d’Eve qui a hurlé en lui disant merci. Elle a enlevé son doigt et l’a fait sucer à Eve, puis elle l’a carrément pelotée. Moi j’admirais et je baisais à qui mieux mieux.

Au bout d’un moment, ce qui devait arriver s’est produit : j’ai éjaculé dans le ventre de ma fille, béatement.Elle m’embrassait à pleine bouche tandis que je lui caressais les seins et qu’Émilie, je m’en rendais compte maintenant, lui flattait les fesses.

Je me suis retiré. Ma verge a aussitôt été remplacée par la bouche et la langue d’Émilie, qui a nettoyé toute trace de mon sperme du vagin d’Eve. Après, elle s’est retournée vers moi et m’a nettoyé la queue. Je suis sorti de sa bouche brillant comme un sou neuf.

Eve m’a appris :

 Merci, papa, j’ai bien joui avec vous deux. Maintenant, il faut que tu en fasses autant à Émilie !

Le jeunesse actuelle ne doute de rien ! Elles voulaient me tuer, toutes les deux ?

Il n’empêche que j’ai fait la même chose à Émilie avec beaucoup de plaisir. Elle en a été aussi satisfaite que ma fille.

Après, je leur ai dit que nous allions discuter dans le it.

Nous nous sommes installés comme tout à l’heure, ma fille Eve à ma droite et son amie Émilie à ma gauche. Elles m’ont dévoilé leur plan : aujourd’hui, on ne faisait rien d’autre que de faire l’amour. Elles avaient déjà préparé les repas, il n’y avait plus qu’à réchauffer. Demain dimanche, ce serait différent, car Émilie était invitée avec sa mère à une réunion familiale. Du coup, elle était obligé de nous quitter ce soir vers 18 h, ce qui n’avait pas trop l’air de l’enchanter. Elle m’a même demandé :

 Tu comprends, comme tu vas avoir Eve à ta disposition pour tout le dimanche et même cette nuit, je voudrais bien que tu t’occupes surtout de moi. Eve et moi avons trouvé que ce serait normal

Si j’ai bien compris, je n’avais rien à dire. Elle a ajouté :

Mais il n’empêche qu’Eve va nous aider, tu sais ! On s’est bien renseignées. Tu vas voir.

Pour voir, j’ai vu !

(à suivre)

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