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Sophie et Laurence – Chapitre 9




Sophie appuie sur la sonnette après un dernier regard satisfait sur sa tenue.

Puis quand Poppy ouvre, elle prend une attitude marrante.

Kikou ! Surprise ! Salut, Foxy, tu vas bien ?

Eh, salut toi ! Qu’est-ce que tu fais là ? C’est quoi encore cette combine avec Laurence, vous magouillez quoi les deux folles ?

Rien, j’entre ou je t’explique dehors ?

Entre vite, foldingue, comme si j’allais te laisser sur le devant de l’entrée, allez hop.

Elle est vêtue d’un magnifique body-string très sexy en dentelle assez transparente couleur camouflage, en observant bien, je distingue ses aréoles roses et la touffe rousse qui orne son pubis juste au-dessus de son abricot lisse et fendu bien haut, très échancré sur les cotés, dos nu et décolleté profond. Des dim-up noirs dans des mules à talons hauts et un foulard transparent de la couleur de ses cheveux entourant sa taille complètent sa tenue, elle est d’une beauté à couper le souffle.

Dis-moi, tu t’es mis en bombe bébééééé pour recevoir ma chérie !

Mais rien n’est trop beau pour elle ! ! Ni pour toi ! dit-elle en prenant une pose hypersexy.

Une fois entrée dans la douceur de son appartement bien rafraîchi par la grande baie vitrée sans rideaux et entièrement ouverte, Poppy tape un truc sur son téléphone.

Juste une alarme pour ne pas louper l’heure.

Le pose sur un meuble et plonge son regard profond dans le noir de mes yeux, en souriant, elle me tend la main.

Poppy enchantée.

Sophie enchantée… connasse, viens, dis-je en lui tendant les bras.

Nous rions joyeusement, Poppy se colle et serre ses bras dans mon dos, je remonte mes mains sur ses épaules, pressant mes avant-bras sur ses seins, après une bise sur chaque joue, nos bouches se sourient et décident d’échanger leur rouge à lèvres d’abord par de petits bécots, puis dans un baiser très vite devenu profond et mouillé.

Après ton coup de fil ce matin, comme Laurence n’a pas encore passé de moments intimes avec Chloé ni moi avec toi, nous avons décidé d’inverser nos places, tu regrettes ? Tu veux que je reparte ?

Arrête ton mytho, nous n’avons ni toi ni moi envie de te voir partir, et plus j’y pense et plus je trouve que c’est une bonne idée.

Je la regarde en souriant :

Vraiment tu penses ça Poppy ?

Oui, pour une première fois, c’est mieux d’être seulement à deux, pour nous, mais également pour Laurence et Chloé et puis on s’amusera toutes les quatre ensemble ce soir.

Tu verras, tu ne regretteras pas, Chloé est une nana super sympa, canon et quand on s’est chopées dans l’avion, j’ai pu constater que c’est un super coup !

Mais en attendant, viens ici chaton que je m’occupe un peu de toi, tu es bien trop couverte.

Nous rions toutes les deux tandis que Poppy retire ma ceinture, déboutonne dans mon cou le col de ma robe, passe les mains sous le fin tissu qu’elle fait glisser sur mes épaules et qui finit en un petit tas à mes pieds.

Je me retourne et me baisse afin de ramasser ma robe et de la poser correctement sur un fauteuil.

Oh, très joli ce string mon chaton ! Il me tarde de découvrir les petits trésors qu’il renferme, il paraît que ton petit bouton est assez exceptionnel !

Je ne sais pas ce que ta chérie t’a dit chaton, mais ça, c’est très bien, mais vraiment très bien passé entre nous !

Oui, elle m’a raconté, elle est ravie des moments que vous avez passés et impatiente que nous soyons toutes les trois, mais elle a gardé un truc un peu mystérieux dont elle me parlera plus tard quand nous serrons seules chez ses parents avec Max, tu sais ce que c’est toi ?

Je m’en doute, elle t’en parlera elle même.

Au moment où elle finit sa phrase, Ben son joli Beauceron vient par derrière et me colle sa truffe entre les fesses, je sens sa langue chaude et rappeuse qui titille mon petit trou rendu très accessible de par la finesse de la ficelle de mon string.

Je sursaute en criant de surprise.

Oh, excuse-moi, je ne l’ai pas entendu ni vu venir, le cochon, il m’a léché le trou de balle, quel salopard ! Une fois Max, je ne sais pas si Laurence te l’a dit, il nous a bouffé la chatte pendant qu’on dormait ce cradot !

Ah oui, nos amis à quatre pattes ont parfois de bonnes attentions hihi.

Ben panier ! L’ordre avait claqué sec comme un coup de fouet.

Poppy me prend la main et me fait tourner afin de mieux regarder mon corps, à peine dissimulé par ce minuscule bout de tissus pour quelques instants encore.

Nos mains se séparent et atterrissent dans nos chevelures en jouant avec les mèches et faisant se rapprocher nos visages et reprendre ce délicieux baiser, là où nous l’avions laissé, nos langues tournent avec une certaine frénésie, tantôt chez ma belle, tantôt dans ma bouche.

Nos visages deviennent brillants de salive tout autour de nos bouches gourmandes, légèrement baveuses tandis que nous titubons lentement, grisées par ces fougueux et troublants baisers.

Sans briser le couple de nos bouches, nos mains libres partent découvrir les trésors de l’autre, Poppy passe doucement de mes hanches à mes fesses tandis que de mon côté, je passe sous la dentelle du body pour découvrir enfin ses seins… jumeaux de ceux de ma femme, ma main caresse, tâte, tourne les doigts sur un mamelon déjà tout gonflé et heureux du traitement que je lui inflige tendrement.

Hum Laurence ne m’a pas menti, tes seins sont merveilleux, dis-je en les dénudant, ramenant la dentelle au milieu de ces deux globes laiteux.

Merci chaton tu es gentille, hihihi oh il ne t’a pas loupée, ton petit trou est tout mouillé hi hi.

Son majeur, passé sous la ficelle, se mit à jouer sur ma rondelle, quant à moi, j’avais abandonné ses cheveux pour mieux m’occuper de sa poitrine, je joue avec, m’amuse à coller ses tétons contre les miens, nous rions de bon cur, puis Poppy passe ses mains sur mes hanches, sous l’élastique de mon string, le descend légèrement, plie ses genoux et commence à me lécher les seins sur tout le tour puis viens me gober les tétons qu’elle agace délicieusement de sa langue et de ses dents.

Les réactions de mon corps ne se font pas attendre, mes tétons pointent encore davantage sous cette sensuelle torture et mon minou commence à ce noyer, je ne peux retenir un léger tremblement.

Oh chaton, il est grand temps que je te le retire ! La météo de ta jolie vallée annonce une vague d’humidité qui arrive.

Elle rit encore en s’agenouillant pour retirer complètement mon string qu’elle balance sur le fauteuil puis viens plaquer sa bouche sur mon pubis, léchant de sa bouche gourmande les poils blonds de ma petite touffe.

Oh ton minou a la même coupe que celui de ta chérie, c’est trop mignon.

Puis elle replonge langue dardée vers mon abricot de plus en plus juteux et replace son majeur, lubrifié après passage rapide entre mes grandes lèvres, sur mon petit trou toujours mouillé.

Je tire près de moi un pouf de cuir qui se trouve à proximité pou y poser un pied, ce qui m’écarte les cuisses assez largement afin de m’offrir à la bouche gourmande de Poppy.

Je vire la pince qui retenait ses cheveux et plonge mes mains dans les longues boucles de ma rousse, je me caresse le ventre avec, joue avec ses oreilles puis reprend ma caresse capillaire, instant de douceur maximum contrastant avec la tempête qui se prépare à quelques centimètres plus bas sous la bouche dévoreuse de mon amante affamée.

Tandis que derrière son doigt disparaît doucement entre les chairs légèrement dilatées de mon anus qui le reçoit avec bonheur, devant Foxy se déchaîne !

Trois de ses doigts branlent énergiquement et de plus en plus profond mon conin trempé et ouvert tandis que sa bouche découvre avec délice la taille impressionnante de mon bouton d’amour avec lequel sa langue danse un véritable ballet d’amour aquatique, des bruits de succion s’échappent de cette bouche gourmande et de mon coquillage, tellement son adresse me fait dégouliner !

Je ne peux m’empêcher de lâcher des cris qui montent de plus en plus haut dans les décibels et qui ont pour effet de décupler les efforts de ma belle.

Derrière son majeur, rejoint par un collègue me remplissent profondément la petite grotte serrée qui ne l’est plus tant, car même si je ne suis pas ouverte autant que ma femme chérie de ce côté là, je n’en suis pas moins très accueillante et Poppy ne se prive pas de bien me visiter !

Devant, ce sont maintenant quatre doigts qui entrent, sortent, tournent au plus profond de mon vagin dilaté tandis que sa bouche aspire, se frotte, sa langue tourne, ses dents mordillent, agacent mon clito complètement tendu et décapuchonné comme rarement il ne l’a été par une bouche dont il faisait connaissance pour la première fois !

Je ne retiens plus du tout mes cris qui s’échappent par la baie vitrée ouverte renseignant par la même occasion le voisinage sur ce qui se passe en ce moment même chez qui semble s’occuper d’une chatte très sensible !

D’un coup, je le sens monter, faisant naître partout en moi des milliers de papillons m’envahissant complètement et font exploser cet orgasme ravageur qui parcourt tout mon corps en feu qui se consume de plaisir.

Mon cur tape à tout rompre, ma vulve ouverte inonde la bouche et le visage de mon bourreau d’amour, mes bras se tendent, mes mains serrent et mes doigts se crispent dans la chevelure malmenée par ma jouissance, je ne puis contrôler le tremblement de mes jambes qui ne me soutiennent plus, je commence à m’écrouler lentement, emportée par un véritable tsunami.

Poppy retire sa main d’entre mes fesses, se redresse d’un coup sans pour autant retirer ses doigts devant et vient me soutenir afin de ne pas tomber, mais ne m’abandonne pas pour autant.

Sa bouche chargée de cyprine se colle à la mienne et sa main en folie totale sur mon minou déclenche plusieurs orgasmes successifs à en mourir de plaisir.

Je crie en m’accrochant à Poppy qui me soutient comme elle peut tout en me caressant doucement le minou, elle m’étale la cyprine des cuisses au nombril, je redescends doucement des sommets du plaisir où Poppy vient de m’envoyer, je lui souris puis ris maintenant de bon cur, heureuse d’avoir tellement joui, je me ressaisis un peu et tiens à nouveau debout toute seule, nous nous embrassons en riant.

Oh Poppy, merci, c’est délicieux, tu es une femme formidable, Laurence ne m’a pas menti, tu es super !

C’est parce que vous êtes faites pour être aimées petits chatons d’amour, je sens que l’on va passer de formidables moments toutes ensembles.

Elle m’entraîne sur le clic-clac déjà en position, lit proche de la baie vitrée, m’assoit au bord, puis elle part direction la cuisine américaine qui est ouverte sur la salle à manger et sur le salon où nous sommes, tandis qu’elle prépare deux mojitos, j’observe cette femme magnifique avec qui je fais l’amour, la vie est vraiment merveilleuse parfois.

Elle revient tenant les deux verres, face à moi entièrement nue d’une beauté incroyable, les seins fiers, son minou rose bien fendu et brillant du jus de l’amour et sa touffe rousse magnifique qui donne envie d’y plonger le visage.

Elle vient au bord du lit et me tend un verre.

A ta santé mon amour ! A notre rencontre, à ta femme et à nos moments futurs mon chaton !

A nous ! Vraiment, c’est un miracle qu’on ait donné ce chien à Laurence, ce qui a provoqué notre rencontre.

Hi hi hi tu n’imagines pas à quel point ma chérie… J’en suis très heureuse aussi, allez, buvons !

Tout en discutant, nos regards ne cessent de parcourir le corps de l’autre et à nos sourires, il est évident que chacune trouve l’autre magnifique, ayant envie de rendre ce délicieux cunni à Poppy, je bois mon verre rapidement.

He bien, dis-moi chérie, tu meurs de soif ou tu es alcoolique chaton hihi ?

Ni l’un ni l’autre Foxy, je suis juste affamée de ton minou.

Je pose mon verre au sol et roule sur le clic-clac pour me retrouver à plat ventre la tête entre les cuisses de ma proie.

Bois tranquillement chérie, je m’occupe de toi.

Poppy se pose sur les coudes et écarte un peu plus ses jolies jambes, ouvrant légèrement la fente de son abricot luisant devant mes yeux, sa jolie touffe rousse m’attire irrésistiblement et c’est sur elle que je plonge mon visage en premier, langue sortie.

Elle sent remarquablement bon et les quelques gouttes de sueur qui perlent dans sa forêt intime d’abord m’enivrent puis régale mes papilles, ma langue explore en détail chaque recoin de ce doux pelage.

Hum j’adore ta douceur chaton, tu me fais craquer !

Trop facile mamy, tu es trop bonne hihi !

Tu vas voir la mamy jeune connasse !! hihi !!

Je me permets exprès pour t’emm… un peu, Laurence m’a parlé de ton petit coup de blues !! Hi hi tu es trop conne ma vieille tu es super belle, trop top ! Et ne le répète pas, mais Laurence et moi, on est tombées amoureuse hihi.

Vous êtes trop mignonnes mes chatons.

Puis tendrement, mes mains caressent ses cuisses douces et fermes, ma bouche descend lentement, très lentement, en laissant traîner ma langue, son abricot fleure bon son élixir d’amour et achève de m’enivrer.

Mes mains posées sur les côtés de son pubis écartent doucement ses grandes lèvres déjà gonflées de sang afin d’ouvrir un peu plus encore son abricot surmonté de sa sonnette à plaisir légèrement décapuchonnée.

Sans plus attendre, je pose en ronronnant ma bouche en cur sur ce joli bouton d’amour, puis ma langue le découvre gentiment, tendrement, puis de plus en plus insistant sur cette zone si sensible qui arrache déjà de chauds gémissements à ma belle qui ondule du bassin.

Je décide de lancer mes doigts dans la bataille et doucement, mon majeur pénètre sans effort très loin le vagin trempé de ma belle. La cyprine coule en suivant la raie fraîchement épilée et inonde doucement son petit trou brun qui cède et laisse passer un doigt curieux.

Ma langue passe à la vitesse supérieure, mais curieusement, c’est ce moment que choisit Poppy pour me prendre par les épaules et me fait remonter sur son corps, le visage face au sien, elle me lèche, m’embrasse à pleine bouche puis se recule un peu et me sourit, me tourne doucement et m’allonge sur le dos et se tourne à son tour pour prendre un truc posé à côté de notre terrain de jeux.

Attends mon amour, je veux te couvrir, m’allonger entièrement sur toi et nous prendre mutuellement.

Poppy revient devant moi, tenant à la main un drôle de gode à deux glands, pas un double dong, non plutôt deux bites ensemble avec un angle bizarre !

Regarde chérie avec ça, je vais te couvrir, nous allons nous baiser mutuellement, tu connais chaton ?

Heu non, nous n’avons pas ce genre de jouet, juste un canard, un dauphin et des pinces à tétons.

Regarde, j’ai aussi des pinces à seins, on va se les mettre en croisant les chaînes, comme ça, nous serons reliées par nos tétons mon petit chat et unies aussi par le minou.

Doucement, Poppy se rentre le gode dans le minou et l’enfonce profondément, au moins quinze centimètres d’un coup, puis pince une chaîne à chaque aréole gonflée, magnifique.

Oh, tu les mets comme Laurence hihi vous avez vraiment les mêmes mamelons chérie.

Oui, allonge-toi chaton, je vais te le mettre aussi et ensuite je m’enfonce en toi.

Sur le dos, les cuisses ouvertes, j’attends Poppy qui maintenant vient sur moi, me pose les pinces sur chaque pointe de seins qui durcissent encore plus sous la morsure de l’acier.

Elle passe sa main sur le côté pour prendre le chibre en main et se couche sur moi en le guidant entre mes lèvres ouvertes et trempées et me pénètre

profondément d’un coup jusqu’au fond de ma grotte accueillante, sans arrêter de pousser, ce qui lui rentre encore un peu plus en elle aussi.

Poppy me caresse les seins, jouant avec les chaînes qui relient les pinces, déclenchant de vives, mais bonnes douleurs dans nos nichons excités, puis me dévore la bouche en même temps, tandis que je réponds à son baiser profond, elle commence à onduler du bassin, imprime de lents et doux va-et-vient en nous, ses cuisses sont jointes, les miennes écartées et nouées autour de sa taille.

Oh Poppy, oui encore hum j’aime comme tu m’aimes mon amour, oui plus profond.

Je prends moi-même les chaînes en main pour les secouer et relancer la douleur dans nos seins.

Oui chaton, vas-y, remue les bien, c’est bon, tu aimes avoir mal hein toi aussi humm encore ouii.

Nos respirations s’accélèrent de plus en plus suivant l’amplitude et la force des ondulations de Poppy que j’accompagne maintenant en suivant son rythme, mes seins ne sont plus que plaisir et douleur et encore plaisir de plus en plus intense tandis que maintenant on entend le claquement de nos monts de vénus tellement nos coups de reins sont violents, chacune défonce le plus fort possible la chatte remplie de l’autre.

Nos bouches baveuses se séparent pour crier l’orgasme qui nous emporte les deux en même temps, malgré l’intensité de la jouissance, aucune de nous ne veut rendre les armes et toujours agitées l’une sur l’autre, nous subissons une déferlante orgasmique d’une violence inouïe.

Le corps de Poppy se tend comme un arc au-dessus du mien puis d’un coup dans un ultime hurlement me retombe dessus comme un cheval mort.

Nos cris se terminent en soupirs, nous sommes là, mutuellement vaincues l’une par l’autre et profondément heureuses, je reprends pied un peu avant Poppy et sans ressortir l’une de l’autre, je la bascule sur le côté puis sur le dos.

Je me retrouve allongée sur elle, retire de nos seins les pinces et la regarde en souriant, elle rit et me couvre la bouche et le visage d’une multitude de petits bisous que je lui rends aussi, on se lèche, on éclate de rire, on se serre très fort dans les bras en pressant nos visages enfouis dans le cou de l’autre, un long moment de tendresse plus tard, Poppy nous retire le gode.

tu sais quoi chaton ?

Non, dis-moi chérie, quoi ?

J’ai pris le même en rose fluo pour vous l’offrir et tu sais quoi ? Il vibre, tu te rends compte, là, je ne l’ai pas mis en marche ! Ça doit être la folie avec les vibrations, il se recharge avec un cordon tel ou sur ton ordi.

Tu es dingue Poppy, il doit coûter une blinde ce truc !

Alors, écoute-moi bien une fois pour toutes ma chérie, mon affaire marche super bien, je gagne très bien ma vie ! Alors ni toi ni une certaine Laurence ne m’empêcherez d’offrir ce que je veux à mes deux petits chatons d’amour OK miss ?

Je me suis bien fait comprendre ou il faudra des fessées ?

Hi hi hi bien compris, mais tu sais les fessées ce n’est pas une punition maîtresse Poppy hihihi ! !

Ah OK c’est bon à savoir, je m’en souviendrai, tu peux en être sur chaton !

J’espère bien hi hi et Laurence elle aime encore plus que moi !

Pas de soucis, il y en aura pour toutes les deux.

Allez, on passe à la salle de bain puis on y va Poppy ?

Elle se lève, prend une bouteille d’eau, boit au goulot et me la tend, je bois à mon tour et réalise que nous sommes devant la baie vitrée.

Fais coucou ma chérie, regarde la fenêtre là-haut.

Je regarde, tandis que Poppy agite la main, je l’imite en regardant avec attention.

Mais il y a quelqu’un là-haut Poppy ! Il nous a regardées tout le temps ?

Oui ma chérie, c’est un gentil petit vieux très sympa, il s’appelle Gérard et il écrit des histoires érotiques sur un site, moi je l’appelle mon GéGé.

Tu m’as bien pris pour une conne avec ton alarme sur le téléphone pour ne pas louper l’heure, tu le prévenais en fait !

Poppy fait une moue de petite fille prise en faute après avoir fait une bêtise.

Non, oui ne m’en veux pas chaton, il est adorable.

Le pire quand elle me regarde comme ça, tu es obligée de craquer, elle pourrait tout avouer avec cette petite tête là, tu lui pardonnerais un meurtre !

Je n’ai pas eu le temps de faire un visage sévère et plein de reproches qu’elle a deviné que je lui pardonnais et même que cela m’excite même, elle rit en tapant dans ses mains.

Ooouuuiiiii je sais que tu ne m’en veux pas, hi hi tu es une coquine hein j’ai raison.

Elle tape dans ses mains en riant et me prend dans ses bras et me couvre de petits bisous et savourant son triomphe !

Ferme ta bouche vieille meuf ! Tu m’énerves toi ! Arrête d’en profiter OK !

Mais j’éclate de rire, n’arrivant vraiment pas à être sérieuse, je la prends par la taille, me serre contre elle et refais des grands signes à la fenêtre en face de GéGé qui nous répond, nous tournons sur nous même afin de lui offrir une vue imprenable sur nos jolis culs, puis après un dernier signe de la main, nous partons nous rafraîchir dans la salle de bain.

Nous sommes à nouveau présentables et très élégantes, Poppy a remis son body, ses dim-up, un mini-marron en cuir très moulant, une veste en jeans bordeaux arrivant juste sous les seins et des bottines courtes à talons en cuir noir et pour attacher ses cheveux, un chouchou camouflage combiné à son body.

Tandis que nous buvons une petite coupe avant de partir, on sonne à la porte, je regarde Poppy l’air interrogateur, elle me fait une moue d’ignorance et va ouvrir

Ah entre, mon GéGé oh, mais tu es un amour ! C’est pour nous ? Viens, entre que je te présente !

Il entre en nous offrant une rose rouge à chacune, il est vite fait allé nous les acheter pour nous remercier du spectacle. Poppy l’embrasse tendrement sur les deux joues, puis il s’approche de moi, me tend la fleur, je le remercie et l’embrasse à mon tour.

Poppy lui sert une coupe.

Enchantée, je suis Sophie.

Enchanté Sophie Gérard, mais faites donc comme notre amie et appelez-moi GéGé si vous voulez bien, vous m’avez émerveillé toutes les deux.

Dis-moi, tu te souviens de cette jolie femme à la splendide chevelure noire et à la silhouette de rêve ?

Tu m’étonnes, comment oublier une apparition aussi belle ? Ou alors peut être en regardant Sophie !

dit-il flatteur !

He bien, elle s’appelle Laurence et c’est la femme de Sophie ici présente !

Mon Dieu que la terre recèle comme merveilles ! Et toutes les trois oui ? Non ?

Mais arrête vieux curieux ! ! Tu n’as pas honte de me demander un truc comme ça ? Et surtout devant une si jeune fille ! Non… pas encore, mais ça ne saurait tarder !

Seigneur, faites que je puisse voir ce moment délicieux ! !

Tout le monde éclate de rire tandis que nous finissons nos coupes, Gérard fait cul sec avec la sienne puis nous descendons, tourné de bises et nous filons vers le point de rendez-vous, je fais un message à Laurence qui me répond dans la foulée.

Parfait Poppy, nous allons arriver toutes ensemble.

En roulant, je raconte ce que j’ai fait à Laurence ce matin, Poppy nous félicite et n’en revient pas ! ! Elle est tout excitée, la soirée promet d’être chaude !

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