Un bel après-midi

Une semaine de pluies quasi incessantes m’avait bloqué à la maison, aujourd’hui, le soleil étant de retour je décidais d’une sortie en forêt avec notre 4×4. Ma femme faisant la sieste, je partis donc seul.

Les chemins étaient détrempés et la conduite dans les sous-bois réellement sportive. Cela faisait une heure que j’enchaînais des passages de plus en plus boueux et je me décidais de rentrer lorsque j’aperçu une 205 blanche, manifestement embourbée au milieu du chemin, que j’allais devoir contourner pour poursuivre ma route. Après plusieurs manouvres je réussis à passer, non sans avoir fait gicler des trombes de boue. Quelques centaines de mètres plus loin, une silhouette féminine, essayait de progresser tant bien que mal entre les flaques d’eau. Sans doute avertie par le bruit de mon moteur, la marcheuse se retourna, et comme je me rapprochai, je reconnus le visage de notre voisine Sophie, une jeune femme mariée, bien en chair d’une petite trentaine d’années que je savais enceinte de quelques mois, ce qui manifestement embellissait encore une poitrine qui ne manquait déjà de rien !

Comme j’arrivais à sa hauteur j’arrêtais le 4×4 et descendis pour lui proposer mon aide. Elle portait une robe de grossesse dont le décolleté était « charmant ». Aussitôt je ne pensais plus qu’à une chose, la dégrafer, pour prendre ses magnifiques seins et les peloter. Comme pour accompagner mes pensées lubriques, je sentis mon sexe enfler dans mon jean.

« Ah, quelle chance que vous passiez par ici, me dit-elle, j’ai voulu couper pour me rendre à l’exploitation et je me suis retrouvée enlisée, pouvez-vous me ramener ? »

« Bien sûr Sophie, mais à condition que vous me laissiez baiser votre poitrine. Je me rends compte de l’indécence de mon propos, mais vos seins sont tellement épanouis que je ne peux résister à cette tentation ».

Tout en souriant, elle retroussa sa robe qu’elle enleva prestement. Elle ne portait en dessous qu’une mini culotte blanche ornée de dentelle et un soutien gorge à balconnets assorti. À mon tour sans la moindre hésitation, je m’approchais et fit jaillir ses beaux seins hors des bonnets qui les emprisonnaient. Je soupesais ces deux nichons puis me plaçant derrière elle, je la délestais du soutif que je posais sur le capot de ma voiture, et j’empaumais les deux globes,commençant à les masser doucement, triturant les tétons entre mes pouces et index, tétons qui durcirent quasi immédiatement, tout en l’attirant contre moi et en plaquant la bosse de ma braguette contre ses fesses.

Pas farouche plutôt que de chercher à s’éloigner elle se mit à tortiller du popotin. Le souffle court je la guidais vers l’arrière du véhicule et sans que je n’ai à prononcé une parole elle ouvrit le haillon et grimpa dans la voiture. Je dépliais un plaid que je gardais toujours en réserve et l’installais du mieux que je pu. Elle s’allongea docilement, toujours sans que je n’ai formulé une demande.

« Robert, j’ai envie de faire l’amour, mais surtout, je voudrais que vous me bouffiez le cul » Au point où elle en était je m’attendais à tout, mais pas à une demande aussi directe et aussi crue.

« Allez, bouffe moi, lèche moi, tète moi la chatte, tu crois que je n’ai jamais remarqué comment tu me m’observes à chaque fois que nous nous croisons ! Décides-toi, nous n’avons pas tout l’après-midi devant nous, il faut que je passe chercher ma petite à l’école »

Je me glissais entre ses belles cuisses lui arrachais sa culotte. Elle avait une belle motte, plutôt blondasse dans laquelle j’enfouis mon nez pour débroussailler un passage jusqu’à son intimité dégageant ainsi ses petites lèvres, puis commençais fébrilement à activer ma langue.

Comme la caverne d’Ali Baba sa foufoune s’ouvrit, humide, tiède mon nez captait une bonne odeur de petit cul mouillant. Je lui levais les cuisses et les calais en les écartant au maximum ,sur mes épaules. Un bref instant je contemplais sa chatte bien ouverte, d’un rose nacré et son petit trou du cul bien serré. Puis je m’activais comme un malade sur sa vulve, dégageant son clitoris que je me mis à léchouiller gloutonnement, je léchais, je suçais et aspirais, sa jouissance avec avidité . Pendant un bon quart d’heure je continuais à lui en donner un max. Puis n’y tenant plus je me dégageais pour pouvoir me débarrasser suffisamment de mon jean afin de passer aux choses sérieuses .

Mon braquemart l’empala rentrant dans sa vulve comme dans du beurre. En appui sur mes bras je la trombonnais méthodiquement aussi fortement que je pensais pouvoir sans maltraiter son « gros ventre », la vue de ses nibards tremblant au rythme de mes coups de boutoirs m’excitait et m’incitait à la défoncer.

Quand je pense que je prenait ma voisine pour une bonne petite épouse, gentille aimante, et qu’elle se révélait être affamée de baise malgré son gros ventre.

« Robert, ne gâches pas « ta marchandise », je veux que tu jouisses dans ma bouche je veux avaler ton foutre. J’ai toujours eu envie de faire des pipes, mais mon mari ne connaît que la position du missionnaire et encore dans le noir ! »

Je ne me fis pas prier pour lui enfourner ma bite gluante dans sa jolie bouche, juste à temps je sentis partir, un long trait d’abord, bien au fond de sa glotte, je me retirais pour venir lâcher le reste sur son visage, ma façon à moi de marquer mon territoire en quelque sorte !

Inutile de vous dire que j’étais aux anges, et à la voir laper avec appétit, les dégoulinures de sperme qui maculaient son joli minois, je n’étais pas peu fier de moi, toutefois n’y tenant pas je lui dis « J’espère que nous n’allons pas en rester là ! »

Je regardais ma montre, 16h15, dans un quart d’heure sa môme allait sortir de l’école, On avaient intérêt à faire fissa ! Je l’aidais à emprisonner ses rondeurs dans son soutien-gorge ; elle refusa la boite de kleenex que je lui tendais et enfila sa petite culotte, puis sa robe. Puis je l’emmenais jusqu’à l’école « On a plus le temps pour ma voiture dit-elle, demain matin si tu veux venir on s’en occupera. Mais prends une ou deux autres couvertures supplémentaires, le plancher de ton 4×4 est un peu dur!

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