Les pieds de Clara

L’histoire que je vais vous raconter n’est pas réelle, mais toute ressemblance avec des faits présents ou passés serait totalement volontaire malgré tout! En définitive, il n’y a pas que moi qui aime les pieds des femmes, je pense…

    ***

Je m’appelle Germain, j’ai tout juste 18 ans et depuis peu, j’ai mon bac en poche. Pour les vacances d’été, je me suis trouvé un petit boulot, stagiaire dans une entreprise de transports. On est tout début juillet et il fait déjà bien chaud ici à Marseille.

La patronne, Madame Solange Beauprès, m’a fait visiter les locaux et m’a présenté la personne dont je vais dépendre à compter de ce jour et durant les deux mois de travail dans l’entreprise.

Elle est plus petite que moi, se prénomme Clara, je lui donne environ 30 ans, c’est une charmante brune aux yeux bleus, fine et sportive. Elle me serra la main, nous échangeâmes quelques mots puis elle s’excusa avec un sourire chaleureux et retourna travailler sur son PC. Je devrai donc effectuer pour elle le classement et la saisie des factures et des notes de frais des chauffeurs dans son bureau. La pièce faisait une vingtaine de mètres carrés, il y avait un grand bureau central derrière lequel on trouvait un fauteuil en cuir sur roulettes ainsi que deux bureau latéraux équipés d’ordinateurs et de chaises plus simples. Alors que la patronne finissait de m’expliquer le mode de classement, je ne pouvais détacher mes yeux de Clara retournée à son ordinateur.

Deux mois en présence de cette si jolie femme, mon cur battait à toute vitesse!!! D’autant qu’aujourd’hui, elle était habillée d’une jolie robe noire courte et d’une paire d’escarpins verts qui laissaient apercevoir des jolis pieds aux orteils soigneusement vernis… (Moi, je suis un peu fétichiste des pieds féminins, mais c’est toujours resté très platonique. Je me contente la plupart du temps de loucher sur les orteils des filles du lycée.)

Enfin Madame Beauprès nous laissa tous les deux pour retourner à son bureau. J’étais figé, totalement absorbé en train d’admirer la beauté de ses pieds féminins, lorsqu’une voix me tira de ma rêverie.

"Germain? Vous m’entendez?"

— Heu, oui excusez moi? fis-je en rougissant.

— Pourriez-vous aller me chercher un café s’il vous plait?

Et soudain elle fit tomber un de ses escarpins sur le carrelage, je ne pus m’empêcher de reluquer à nouveau son pied, cette fois nu et magnifique! Ses jolis doigts de pieds vernis de nacre s’agitèrent soudain comme par magie et je relevai lentement regard vers ses yeux. Un sourire narquois ornait ses lèvres: "C’est un café qu’il me faudrait Germain! Pas une pédicure, ok?"

Mes oreilles et mes joues s’empourprèrent, je tentai de garder une contenance et balbutiai: "Oh..ex..cusez-moi… Oui.. Oui tout de suite Madame!" Et je filai dans les couloirs, j’étais dans un sale état, un début d’érection déformant mon pantalon slim. La vision de ses pieds divins me suivait dans le hall. Lorsque je revins avec un gobelet de café, mon sexe s’était un peu calmé. Avait-elle eu le temps de voir quelque chose?

Je posai le gobelet à côté d’elle sur le bureau. Honteux et silencieux.

— Merci, Germain, vous avez pensé au sucre?

— Oupss non! bafouillai-je…

Je vis alors qu’elle avait retiré ses deux souliers et frottait langoureusement son pied droit sur son pied gauche… je ne pouvais en détacher mon regard.

— Germain? Vous entendez? Je mets toujours un seul sucre, s’il vous plait! Elle clignait des yeux mi-amusée, mi-agacée me dévisageant de ses grands yeux bleus.

— Je vais vous en chercher tout de suite… je… suis désolé!

Bien content de dissimuler à nouveau mon trouble, je m’élançai vers la salle de repos située au bout du couloir. Je revins quelques minutes plus tard avec un sucre et une cuiller en plastique.

Surprise! Clara avait croisé les jambes, et son pied droit offrait à ma vue la pâleur érotique de sa plante de pied, ourlée de rose dans la zone d’appui. Un vrai bonheur! Je m’approchai honteux et confus, sentant mon sexe gonfler à nouveau par saccades!

— Merci Germain, fit-elle en se tournant vers moi. Je m’approchai et posai la cuiller, la gorge nouée et louchant sur cette plante si délicieusement offerte. Alors une chose incroyable se produisit, elle fit tomber avec son coude gauche une trousse ouverte dont le contenu se répandit par terre.

— Ah flute! Fit-elle…

— Laissez… je vais ramasser…. (L’occasion était trop belle!)

Je m’accroupis à sa gauche, je sentais ma verge durcir, mon cur battait très vite…. j’étais à 20 centimètres de mon plus cher fantasme! Je collectais mollement les crayons et les stylos, avançant lentement mon visage vers ce pied magnifique. Captivé, j’effleurai du nez la plante si sexy et une odeur de cuir me parvint.

Le dernier crayon était un peu trop loin sous le bureau, je tendis le bras et collai résolument mon nez contre sa peau chaude, les narines aux aguets. Mmmhh!

— Que fais-tu? Grogna Clara.

— Euh il y avait… un dernier crayon… Excusez moi.

Je le mis avec les autres dans la trousse et me redressai vivement. Posant la trousse sur le bureau, je battis en retraite vers la porte.

— Attends! Germain, tu ne vas pas filer comme ça! Viens ici!

Je revins sur les pas, le visage violet de honte.

— Tu fais souvent ça? Tu renifles les pieds des gens?

— N…non … Je ne fais jamais ça…" avouais-je contrit, ne sachant plus où me mettre!

Elle me dévisageait sévèrement; puis esquissa un sourire…

— Bon… Ecoute…Moi personnellement ça ne me gêne pas…. mais j’aimerais comprendre quand même?

— Je… j’aime les pieds des femmes c’est… heu… c’est si beau!

— C’est une blague? Non?

— Non… je suis… fétichiste du pied féminin, avouai-je la tête basse.

— Ah…là, j’apprends quelque chose, alors! Et donc, qu’aimes-tu dans les pieds?

— Ouff… tout .. oui vraiment tout… quoi… (j’étais mort de honte!!)

Clara commençait visiblement à bien s’amuser, elle reprit à voix plus basse:

— C’est mignon… Et… Tu leur fais quoi aux pieds des femmes? Grand sourire. A part les renifler bien entendu…

Je touchais le fond. Alors tant qu’à faire, autant y aller franco. Je n’avais même pas relevé son tutoiement soudain.

— Je… rêve de les sentir, les embrasser partout, les… lécher…, sucer .. les orteils… (oreilles en feu)

— T’es sérieux ? Fit-elle, amusée.

— Heu oui, mais s’il vous plait ne me jugez pas mal.

Je voyais bien qu’elle reluquait maintenant la bosse de mon pantalon avec un il curieux mais sévère. J’étais toujours debout face à elle mais j’aurais préféré disparaître sous terre!

— Effectivement, je commence à voir combien tu aimes ça, héhéhé! Rit-elle.

Je me sentais humble et presque nu, tandis qu’elle ajouta à voix très basse:

— Va fermer la porte du bureau, Germain!

Je suis allé fermer la porte en tremblant. En revenant vers elle, je la vis s’installer sur le fauteuil en cuir, posant ses deux jambes tendues sur le bureau les pieds bien dressés. Elle remua vigoureusement ses orteils en arborant un sourire carnassier:

— Tu me fais voir?

Je m’agenouillai face au bureau, l’esprit troublé et le pénis en flammes. Je commençai par humer timidement sa peau chaude et humide. Oh! quelle douce sensation! J’ai poussé mon nez avidement entre chacun de ses orteils, ce qui l’a fait sourire. Puis j’ai suivi ses plantes de pied et les ai explorées entièrement avec mon appendice olfactif. Au bout de quelque minutes, j’entrepris de déposer des petits baisers humides tout autour de ses deux pieds ! Je voyais une expression amusée sur son visage. J’en profitait pour sortir ma langue et prodiguer à ses ravissantes plantes des léchages doux comme ceux d’un chat, avant de poursuivre par un léchage long et rugueux comme celui d’un chien. Visiblement elle avait très envie de rire, émue par cette sensation chatouilleuse… La regardant dans les yeux je finis par ce dont je rêve depuis toujours, j’ouvris grand la bouche et engouffrai tous ses orteils dedans pour les sucer et les flatter de la langue. Même traitement pour l’autre pied, je suis au comble de l’excitation. Enfin repus, je m’assis sur les talons et dis:

— Merci Madame, je ne sais pas comment vous remercier… Je suis rouge de honte.

— Je suis bien contente que tu te sois fait plaisir. Maintenant, je sais ce que tu vas faire pour me remercier! dit-elle en rechaussant ses merveilleux appendices. Elle me lance un regard coquin et sourit de toutes ses dents. Pour me remercier, tu vas prendre ma place à l’ordinateur et finir de saisir toutes les notes de frais à ma place. Moi j’ai un rendez-vous à l’extérieur. Lorsque je reviens en début d’après-midi je veux que tout soit terminé. La paperasse va calmer tes ardeurs, maintenant mon petit Germain… A tout à l’heure et bon courage!

Et je vis partir Clara, souriante et l’esprit léger. Plein d’espoir et ivre de désir je commençai à me mettre au travail pour la satisfaire. (A suivre)

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