Un mois s’était écoulé depuis la naissance de la petite Inès. Au sein du couvent, les surs avaient fini par accepter l’existence de Déesse et La priaient tous les jours avec passion. Le chant des prières a rapidement été remplacé par des cris et des gémissements orgasmiques destinés à Déesse et les robes et coiffes noires se sont transformées en d’excitantes petites tenues en dentelle toutes aussi sombre. Désormais, les surs se baladaient dans le couvent en tenues coquines qui mettaient leurs formes en valeur et incitaient à la luxure.
L’ancienne mère du couvent, sur Aliénor, mit bas quelques jours après l’arrivée d’Inès. Elle accoucha d’une jolie petite fille qu’elle baptisa Clémentine. Naturellement, l’arrivée de ce bambin déclencha une partouze générale dans l’établissement à l’exception que, cette fois-ci, cette dernière fut dédiée à Déesse.
L’aile ouest ayant été pleine de nonnes engrossées par mère Sabrina, d’autres accouchements eurent lieu dans le courant du mois. Chaque naissance était grandement célébrée par les nouvelles adoratrices de Déesse qui n’hésitaient pas à prier celle-ci avec plus de ferveur encore. Chacune d’entre elles espérait recevoir Sa bénédiction et pouvoir un jour porter Ses enfants…
Cindy évoluait dans le couloir froid de l’étage des chambres. Elle était revêtue d’une combinaison en caoutchouc noire qui moulait son corps à la perfection. Ses seins, dressés et pleins, étaient outrageusement compressés sous le sombre latex qui laissait même deviner la naissance des tétons et leur légère érection. La combinaison suivait divinement les courbes de son corps et dessinait sa taille de guêpe avec délicatesse, rendant cette dernière plus fine encore que ce qu’elle n’était. Sa démarche avait changé, elle aussi, elle était plus assurée et plus langoureuse qu’autrefois. Ses fines jambes se posaient sur le sol avec la souplesse d’un félin et elle balançait son cul de droite à gauche dans des mouvements tout à fait hypnotiques. De plus, le latex noir contrastait farouchement avec sa longue chevelure blonde et lui conférait un air diablement angélique.
Elle frappa à la porte de Sabrina et entra.
— Waouw ! Tu es magnifique ! S’exclama Sabrina. Alors ça y est, nos nouvelles combinaisons sont enfin arrivées.
— Elle me va bien ?
— Je suis certaine que même le pape deviendrait fou s’il te voyait !
Cindy rougit du compliment. Elle se sentait femme et c’était un sentiment vraiment agréable.
— J’aime beaucoup cette matière, avoua la jeune fille en caressant rêveusement son corps. Et regarde, comme tu l’as demandé, il y a une fermeture éclair ici en bas.
Cindy se retourna pour indiquer une petite tirette qui se trouvait dans le bas de son dos, à la naissance de son cul.
— Tu vois ? Ça passe pile entre les fesses et ça s’arrête sous mon nombril. Comme ça, pas besoin de tout retirer pour baiser, on peut juste ouvrir la fermeture éclair, sourit la jeune fille avec fierté.
— Je vois, c’est parfait… combien en avons-nous commandé ? S’enquit la mère du couvent.
— 12. Une pour toi, une pour moi et 10 pour qui on veut.
— Très bien ! Quand je pense que c’était une idée de Morgane…
— Oh tu sais, Morgane en avait plein des idées comme ça, lâcha Cindy avec un haussement d’épaules désabusé. Mais celle-ci, c’est vrai qu’elle me plaisait tout particulièrement… Nous pourrions donner une combinaison aux surs qui le méritent le plus. Elles seraient ainsi valorisées ce qui pousserait les autres à se surpasser, qu’est-ce que tu en penses ?
— C’est une excellente idée, admit Sabrina en approuvant du chef. Et sinon, tu as fait ce que je t’avais demandé de faire ?
— C’est fait.
— Bien. Maintenant, toutes les surs portent nos enfants…
— Je ne te remercierai jamais assez de m’avoir laissé prier Déesse avec certaines d’entre elles.
— Que ne ferais-je pas pour ma chère sur ? Sourit Sabrina en lui caressant une mèche rebelle.
Cette dernière alla s’asseoir sur le lit de Sabrina et croisa les jambes en faisant crisser sa combinaison.
— Et maintenant, que fait-on ? Demanda-t-elle.
— Que veux-tu dire ?
— Eh bien, toutes les surs sont tombées enceintes, quelle est la suite ? Qu’est-ce que Déesse souhaite que nous fassions pour Elle ?
Sabrina contempla songeusement sa petite sur. Elle avait gagné en assurance depuis leur rencontre. Son regard avait changé. Sincère et empreint d’honnêteté, il se fixait sur les gens sans une once de jugement et entièrement dépourvu d’intimidation. Sa lumière intérieure en était également la preuve. Elle était plus vive, plus naturelle comme si Cindy se connaissait un peu mieux elle-même.
Comment Sabrina parvenait-elle à savoir cela ? Elle n’en avait aucune idée. C’était quelque chose d’assez compliqué à décrire pour elle car ses facultés comportaient encore une grande part de mystère. Cependant, plus le temps passait, plus elle comprenait comment s’en servir. Dorénavant, elle parvenait à lire avec plus de précision dans le cur des gens rien qu’en analysant les infimes variations de leur luminosité. Elle n’allait pas jusqu’à dire qu’elle savait lire dans leurs pensées mais elle pouvait connaître leur humeur et leurs envies ce qui était déjà très avantageux.
Elle sortit de ses réflexions en constatant que le regard curieux de la jeune fille était toujours fixé sur elle.
— Que crois-tu qu’Elle désire ? S’enquit la mère du couvent.
Cindy se tapota le menton du bout de l’index. C’était une question qu’elle se posait souvent mais n’était jamais sûre des réponses qu’elle avançait.
— Je crois… qu’Elle désire que le couvent grandisse.
— Qu’il grandisse ?
— Oui, que nous allions distribuer le message de Déesse autour de nous…
Sabrina sourit.
— Exact, chère sur. Nous devons retrouver les brebis égarées…
Cindy fronça les sourcils. Elle voulut dire quelque chose, se ravisa, retenta, changea d’avis puis finit par poser la question qui lui brûlait les lèvres depuis si longtemps :
— Tu dis cette phrase depuis que je te connais mais je t’avoue que je ne l’ai jamais comprise…
— Ne t’en fais pas, tu finiras par comprendre… répondit mystérieusement Sabrina. En attendant, j’ai pris rendez-vous avec Irina, la mère supérieure du couvent voisin. Nous y allons demain soir.
— Moi aussi ?
— C’est ce que j’entendais par « nous », approuva Sabrina avec une pointe d’ironie. J’ai besoin de toi pour m’aider dans cette tâche. Si nous parvenons à nous mettre Irina dans la poche, tout son couvent tombera avec elle… Ainsi, nous réussirons aisément à en faire des disciples de Déesse.
— Oh je vois… et j’imagine que pour nous mettre Irina dans la poche il faudra…
— Prier, c’est exact.
— Bien. Comment as-tu l’intention de t’y prendre ?
— Comme ceci, fit Sabrina en prenant la main de sa jeune sur pour la relever.
Cindy s’exécuta sans comprendre. La mère du couvent la saisit par les hanches et lui fit faire un demi-tour sur elle-même. Elle appuya sur son dos pour que la jeune fille se penche en avant.
— Qu’est-ce que tu…
— Sshht, lui enjoignit Sabrina.
Cette dernière sortit son sexe qui bandait déjà et le posa sur les fesses de sa petite sur. Elle tira la fermeture éclair de la combinaison d’un mouvement souple du poignet. Le sexe et l’anus de Cindy furent ainsi libérés de leur prison de latex.
Sans attendre davantage, Sabrina encula la jeune fille en fermant les yeux de bonheur.
— Oooh ! S’exclama Cindy en se mordant la lèvre, agréablement surprise de se faire prendre de la sorte sans préambule.
— Mmh ! Qu’est-ce que tu m’excites dans cette combinaison, Cindy !
— Aah oui ! Mmh… et c’est… Oh ! Comme ça que… Mmmh… tu comptes t’y prendre avec… Oouuh… Irina ?
Sabrina lima la rondelle de sa sur avec férocité. Sa large queue abondamment lubrifiée perforait l’anus de la jeune fille, véritable marteau-piqueur de chair.
— Ne sois pas bête, petite sur. Mmh ! Bien sûr que non, tu sais bien que je ne tente jamais rien sans le consentement de ma proie…
— Ah bon… Mmmh… mais… ooOoh… et moi ?
— Toi ?
Sabrina se retira subitement et poussa la jeune fille sur le lit. Cindy hoqueta de surprise en s’affalant dans les couvertures. La mère du couvent saisit ses pieds et les souleva ce qui força la jeune fille à se retrouver sur le dos. Sabrina se pencha sur elle, posant ses épaules à l’intérieur des genoux de Cindy. Dans cette position, ses genoux touchant presque ses épaules et le cul de Cindy se trouvait grandement écarté et ouvert à toute incursion.
— Toi, t’es à moi ! Emit Sabrina, une lueur sauvage animant ses yeux.
Et elle s’enfonça entre les fesses de la jolie blonde.
— Aaahh ouiiii ! Geignit Cindy en se faisant fourrer. Mais je…
— Aah tais-toi ! Tais-toi pendant que je t’encule ! Tu m’excites beaucoup trop dans cette combinaison ! Tu es tellement bandante !
Cindy sentait la verge s’enfoncer profondément en elle. C’était un tel plaisir d’être aussi pleine qu’elle dut mordre dans son poing pour s’empêcher de crier.
— Oh ton cul, Cindy ! Putain, ton cul !
La position dans laquelle la jeune fille se trouvait étirait ses fesses et élargissait énormément son trou de balle. Elle ne pouvait presque plus bouger mais n’en avait aucune envie tellement elle prenait son pied. La bite de Sabrina ne rencontrait aucun obstacle sur son chemin et perforait la jeune fille avec une rare intensité.
— Mmmh c’est bon ! C’est si bon !
Sabrina posa sa main sur l’érection de Cindy. La verge était restée coincée sous la fine combinaison élastique et paraissait attendre qu’on s’occupe d’elle. On pouvait deviner son imposante forme qui semblait dormir sur le ventre de Cindy, à l’instar d’un gros serpent repu.
— Oh non… Mmh… sors-la, gémit Cindy en constatant que sa hampe se trouvait sous le nouvel habit. Je ne veux pas en foutre partout…
— Tais-toi, asséna Sabrina avec autorité.
— Mais…
Le regard que lui servit la mère du couvent acheva de la réduire au silence. Elle observa, impuissante, Sabrina commencer à caresser son sexe au travers de la fine couche de caoutchouc tandis qu’elle continuait de l’enculer fébrilement.
Le plaisir grimpa deux fois plus vite. Elle jeta sa tête en arrière et ne put retenir les cris de plaisir qui montèrent dans sa gorge. Sans même y penser, ses doigts glissèrent le long de ses cuisses et vinrent se perdre dans son minou qu’elle se mit à doigter inconsciemment.
— Aaaah ! Je vais jouir ! S’exclama-t-elle.
— Moi aussi, Cindy ! Oh, ton cul est si bon !
Les caresses de Sabrina sur la queue de sa petite sur se précisèrent et se firent plus ardentes. En réponse à cela, la jeune blonde accentua ses incursions en elle. Ses doigts s’enfonçaient profondément dans son puits détrempé de mouille, en ressortaient et y replongeaient aussitôt, avides de plaisir.
Le bassin de la mère du couvent claquait à présent contre les fesses de Cindy avec un rythme acharné. Le pilier de chair bourrait sans faiblir de petit cul devenu tout rouge par les nombreuses et violentes pénétrations.
— Oooh Déesse toute puissante ! Je viens ! S’extasia Cindy.
— Mmh… moi aussi ! Contemple-nous, Déesse ! Contemple tes filles… OooOOoOooh…
Tout à coup, le corps de deux filles se contracta violemment suite à quoi un puissant orgasme les cueillit toutes les deux. Cindy se sentit remplir de foutre tandis que son anus compressait dans un étau de bonheur la lance à incendie qui inondait ses entrailles.
— Aaaaah ! Crièrent-elles à l’unisson.
La hampe de Cindy se mit, elle aussi, à cracher de longs jets de sperme qui vinrent se répandre sous sa combinaison. La semence gluante vint maculer ses seins, coula avec onctuosité le long de son ventre et se perdit sous ses aisselles, son dos, son cou…
Son con se mit, lui aussi, à éjaculer. De petits postillons de mouille en furent projetés au rythme des spasmes de plaisir qui la secouaient alors que les doigts de Cindy continuaient de s’y enfoncer insatiablement.
— Je jouis ! Cria-t-elle. Oh Déesse, je jouis !
Sabrina effectua encore quelques allers-retours dans le derrière de sa petite sur avant de se retirer en soufflant bruyamment. Son vit crachota encore un peu de semence avant de commencer à débander doucement. Elle contempla Cindy avec satisfaction.
Cette dernière était essoufflée, les jambes toujours repliées sur elle. Son anus, écartelé et à vif d’avoir été tant sollicité, laissait s’écouler des filets de sperme telle une outre qu’on aurait trop remplie.
— Mmh c’était bon… haleta Cindy en recouvrant ses esprits.
Sabrina palpa le corps de la jeune fille et sourit.
— Dis donc, tu t’es joui dessus, petite cochonne. Tu n’as pas pu t’en empêcher, hein…
— Ça va coller, se plaignit Cindy en glissant une main sous la matière caoutchouteuse de sa combinaison.
Lorsqu’elle la ressortit, cette dernière était couverte de sperme crémeux qui dégoulina sur son avant-bras.
— Il fallait y songer à deux fois avant de m’exciter de la sorte… Murmura la jolie rousse avec un clin d’il.
Elle se pencha en avant et lécha lubriquement la semence qui maculait la main de sa jeune sur. Elle s’attarda sur les doigts qu’elle suça sur toute la longueur en fixant Cindy d’un regard de braise. Elle discerna même du coin de l’il un début d’érection sous la combinaison de la jeune fille ainsi que ses tétons poindre avec excitation et étirer le latex noir. Elle sourit coquinement en songeant que la jeune fille n’en avait jamais assez et que, quoiqu’il arrive, elle serait toujours partante pour que ses trous soient comblés.
La mère du couvent se releva et rangea sa queue qui était enfin redevenue molle. Elle se recoiffa en faisant mine de ne pas avoir remarqué le désir de la jeune blonde.
— Tiens, je me posais une question, avança-t-elle. La toute première fois qu’on a fait l’amour, j’ai joui dans ton vagin, n’est-ce pas ? Tu as eu tes règles, depuis ?
— Heu… je… bafouilla Cindy qui était encore dans les vapes. Je ne… oui, je les ai eues la semaine passée.
— Oh, dommage. J’aurais bien voulu que tu portes mon enfant…
Cindy ne répliqua pas car elle ne savait pas trop quoi penser de cette dernière phrase. Elle tira sur sa fermeture éclair afin de masquer sa « nudité ». Une fois debout, elle sentit une centaine de petits serpentins de sperme couler le long de son corps. Un délicieux frisson la parcourut. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle adorait sentir du foutre couler sur sa peau.
— Tu as dit tantôt que tu désirais te taper Irina, pas vrai.
Sabrina approuva du chef.
— Eh bien, j’ai exactement ce qu’il faut pour cela…
Le lendemain soir, Sabrina et Cindy se présentèrent dans le bureau d’Irina. Elles avaient passé par-dessus leur combinaison leurs habits de religieuse.
— Bonsoir Mère Sabrina, les accueillit Irina en se levant. Vous avez très bien fait de demander ce petit rendez-vous, ça nous permettra de faire plus ample connaissance. Il est vrai que j’ai failli à mes devoirs de mère supérieure en ne cherchant pas à vous rencontrer lorsque cette chère Aliénor vous a cédé sa place.
Irina était une grande dame pourvue d’une douceur et d’une gentillesse qui lui conférait une grâce indéniable. Elle avait un visage anguleux aux pommettes légèrement prononcé et au nez fin. Elle possédait des yeux gris-vert empreints de sagesse et de longs cheveux châtain clair qui coulaient dans son dos.
— Je vous en prie, appelez-moi Sabrina. Je suis heureuse d’enfin vous rencontrer. Permettez-moi de vous présenter Cindy, ma petite sur. Elle vient d’entrer dans le couvent et tenait, elle aussi, à faire votre connaissance.
— Eh bien, enchantée Cindy.
Mère Irina serra la main des deux arrivantes. Son sourire se figea légèrement lorsqu’elle rendit son salut à Cindy mas elle reprit rapidement contenance.
— Alors, demanda-t-elle, comment vont les surs de votre couvent ?
Sabrina sourit et lança un coup d’il complice à sa benjamine. Celle-ci lui répondit par une face enjouée et fit volte-face pour aller tourner la clé dans la serrure de la porte du bureau.
— Mais… qu’est-ce que vous faites ? S’enquit Irina.
Pour toute réponse, Sabrina sortit de sa poche un petit flacon sur lequel était inscrit en caractère gras « Morgane » et vaporisa une infime quantité juste dans son cou. Elle s’approcha ensuite d’Irina et commença à retirer sa robe de religieuse.
— Mais… arrêtez ! S’écria Irina en reculant sous l’effet de surprise et en fronçant le nez. Qu’est-ce qui vous prend, à toutes les deux ? Si vous… si vous ne… Je… Enfin…
Elle suspendit sa phrase comme si celle-ci n’avait jamais eu de point final. Son regard passa de Cindy à Sabrina et de Sabrina à Cindy. Elle s’humecta les lèvres nerveusement et recula lorsque Sabrina fit un nouveau pas dans sa direction.
— Ma très chère Irina, j’ai une question à vous poser. Croyez-vous en Dieu ?
— En Dieu ? Mais, naturellement !
— Et pourquoi cela ?
Sabrina continuait d’avancer avec lenteur sur Irina. Celle-ci, apeurée, reculait en tâtonnant derrière elle pour éviter d’éventuels obstacles.
— P… pourquoi je crois en Dieu ?
— Oui. L’avez-vous vu ? Vous a-t-il adressé la parole ou quelque chose comme ça ?
— Heu… je ne… mais pourquoi…
Irina buta contre son bureau et se sentit acculée face à Sabrina. La jeune rousse ôta complètement sa robe qui atterrit au sol dans un chuintement de soie et elle se retrouva en combinaison de latex noir. Sa gorge, ses seins, son ventre, ses hanches, ses cuisses, ses fesses… tout était mis en valeur par la matière élastique de la combinaison. Irina déglutit péniblement et tendit tout son corps pour prendre le plus de recul possible. D’un geste dicté par l’instinct, elle s’empara de crucifix qui pendait à son cou et le serra fermement dans sa main.
Sabrina sourit. Cette femme lui faisait songer à un pauvre lapin effrayé qui n’avait plus d’endroit où se cacher. Sa lumière intérieure tremblait d’un mélange de désir refoulé et de peur.
— Alors ? Vous ne m’avez toujours pas répondu, fit Sabrina en s’approchant davantage. Pourquoi croyez-vous en Dieu ?
Cette fois-ci, elle eut beau ouvrir et fermer la bouche à la manière d’un poisson hors de l’eau, la pauvre femme ne parvint pas à articuler un seul mot. À présent, Sabrina se trouvait à quelques centimètres d’elle et pouvait même sentir son odeur.
Irina prit une grande inspiration comme pour reprendre confiance en elle… et toutes ses barrières s’effondrèrent subitement. Elle plaqua ses mains sur la nuque de Sabrina pour l’attirer à elle et l’embrasser farouchement. Elles se collèrent l’une à l’autre avec une sensualité affamée en gémissant de désir.
Les frusques d’Irina volèrent et elle se retrouva rapidement en soutien-gorge et petite culotte à se faire tripoter avidement par Sabrina.
— Mmh… gémit la pauvre femme dénudée. N… non… je ne devrais… mmh… pas…
Sabrina lui retira sa culotte et, dans le même mouvement, la souleva par les fesses et la posa sur le bureau.
— C’est trop facile ! S’exclama Sabrina en se tournant vers Cindy.
Cette dernière observait la scène en se mordant la lèvre d’envie. Elle savait que sa grande sur faisait référence au parfum qu’elle avait appliqué sur son cou juste avant que tout cela ne débute. Elle l’avait pris juste avant de partir de chez elle afin d’avoir une trace de sa mère. Elle ne se doutait pas que ça lui serait aussi utile…
— Oh non, gémit Irina en baissant les yeux, pas sur ma bible…
Effectivement, Sabrina avait déposé la mère de ce couvent juste sur la bible qui était alors ouverte sur le bureau.
— Mais c’est qu’elle est excitée, la salope ! S’exclama Sabrina. Cindy, viens voir ! Elle est en train de tremper sa bible.
— Non… je… arrêtez…
Sabrina lui força à écarter les cuisses qu’elle venait de refermer pudiquement pour que Cindy puisse contempler à son tour. L’abricot d’Irina était luisant de mouille et quelques gouttes venaient imbiber les pages de la Bible. Une légère touffe de poils bruns et poisseux surplombait son intimité.
— Oh c’est magnifique, approuva Cindy. Il faut croire que le parfum est plus puissant que ce qu’on ne pensait…
— Tout ça c’est à cause du… Dieu tout-puissant ! S’exclama Irina lorsqu’elle aperçut le sexe tendu que venait de dégainer Sabrina.
La jolie rousse ne perdit pas une minute et releva les cuisses d’Irina, faisant basculer cette dernière en arrière dans une exclamation surprise.
— Non ne… eut le temps d’émettre la femme dénudée avant de se faire pénétrer.
Seul le gland glissa entre les lèvres étroites mais cela suffit pour couper le souffle d’Irina.
— Mmh ! Tu es brûlante, ma chère, sourit Sabrina. J’imagine que maintenant que nous avons fait connaissance de manière plus approfondie, nous pouvons nous tutoyer n’est-ce pas ?
— Je… haleta la mère du couvent.
Sabrina ne lui laissa pas le temps de poursuivre et enfonça son membre en elle. Son sexe, bien que déjà abondement lubrifié, entra avec difficulté dans cette cavité rarement explorée. Irina était aussi serrée qu’une jeune adolescente. Ce fut une sensation absolument divine pour Sabrina que d’insérer son membre masculin en elle.
— OooOoh ! Cria cette dernière, étendue sur son bureau.
Cindy, qui venait de contourner le bureau, lui renversa la tête en arrière et planta sa queue dans sa gorge.
— Oouh oui ! Souffla la jeune fille en fermant les yeux. Tu n’es pas bien profonde, mais on sent que tu aimes ça !
Irina s’accrochait de toutes ses forces à la table, ne sachant pas quoi faire d’autre que subir… et apprécier.
Sabrina imprima un lent mouvement de balancier à son bassin. Sa hampe glissa avec régale entre les chairs d’Irina qui lui aurait certainement tiré bon nombre de gémissements et de cris si sa bouche n’avait pas été aussi encombrée…
La jeune rousse profita de se sentir aussi compressée et fit durer le plaisir. Chaque sensation était exacerbée à un point tel qu’elle faillit jouir après à peine quelques allers-retours. Elle dut se faire violence pour se contrôler.
— Mmmh Ooh Déesse ! Oooh Déesse comme c’est boooon…
La vitesse de ses pénétrations s’accéléra au fur et à mesure qu’elle s’échauffait. Le sexe d’Irina était maintenant habitué à son imposante présence et elle pouvait se mouvoir déjà plus aisément qu’à ses débuts… Petit à petit, ses pénétrations devinrent régulières et elle put baiser la mère du couvent sans craindre de jouir subitement.
— Montre-moi son visage, murmura-t-elle à l’intention de Cindy.
La jeune fille qui commençait à prendre son pied se retira avec une moue boudeuse et Irina se mit à tousser violemment. Sabrina adressa à Cindy un regard chargé de reproche.
— C’est elle qui aspirait, se défendit la jeune blonde. Je lui ai peut-être donné un peu plus que ce qu’elle voulait réellement…
Immédiatement après avoir récupéré son souffle, Irina se mit à gémir en se mordant le doigt. Elle contemplait son minou se faire labourer avec un plaisir coupable. Chaque incursion de Sabrina était pour elle une décharge orgasmique qui faisait trembler tout son corps et son esprit. D’irrépressibles frissons la parcouraient et érigeaient ses tétons que Sabrina mordit avec appétit.
— Aaah ! Cria-t-elle en appuyant sur cette tête qui la tétait.
— Tu vois, fit Sabrina sans cesser de saillir la religieuse, Mh… Tu n’as pas su me dire pourquoi tu croyais en Dieu… Mmh ah… eh bien, moi… Mmh… Je vais te dire pourquoi tu ne crois pas en Dieu.
Sabrina se retira soudainement et contempla Irina, les mains sur les hanches et le sexe luisant de mouille dressé avec arrogance. Elle prit la main de la pauvre religieuse complètement perdue et la fit descendre du bureau avec une étonnante délicatesse. Une fois fait, Sabrina prit place sur la Bible trempée de sécrétion vaginale.
— Tu ne crois pas en Dieu, Irina, et je vais te dire pourquoi, lâcha Sabrina en jouant distraitement à décalotter et recalotter son gland. Parce que, à partir du moment où nous sommes entrées dans cette salle, tu n’as pas attendu deux minutes avant de nous sauter dessus. Parce que tu ne tes pas retirée une fois que je t’ai assise sur cette bible sur laquelle je suis moi-même assise et que tu as commencé à juter dessus. Parce que tu as accueilli avec envie le sexe de Cindy dans ta bouche et que tu ne l’as pas recraché. Parce que tu as gémi, crié, hurlé ton plaisir de te faire prendre comme une chienne. Et enfin, parce que tu te sens actuellement bien trop vide et que tout ce que tu veux… c’est ce que Cindy et moi on a entre les cuisses.
Irina observa sans rien dire son interlocutrice. Ses jambes gigotaient nerveusement et ses mains masquaient bien inutilement la toison brune qui surplombait son intimité.
— Maintenant, poursuivit Sabrina, je vais te laisser deux options. Soit tu me dis que je me trompe et nous rentrons chez nous sans jamais nous revoir. Soit tu reconnais que j’ai raison, et tu connaîtras une vie de plaisir.
Une terrible hésitation se lisait sur les traits de la mère du couvent dénudée. Son regard passait de Sabrina, toute de noir vêtue, à son sexe et un tourment infini semblait l’accabler. Sans qu’elle n’y prenne garde, ses doigts commencèrent à bouger et caressèrent son intimité détrempée. Sa décision était prise.
Irina s’avança, grimpa sur le bureau avec un genou de chaque côté de Sabrina. Elle prit appui sur cette dernière et positionna la hampe juste sous son minou.
— Ah ah, l’arrêta Sabrina en passant sa main sous ses fesses pour l’empêcher de descendre. Je veux te l’entendre dire. Je veux que tu dises : baise-moi avec ta grosse bite.
Les yeux d’Irina s’agrandirent de stupeur. Elle secoua vivement la tête, incapable de prononcer une seule phrase tellement elle avait honte à l’heure actuelle.
— Bon tant pis, alors.
— Non ! Attends… je…
— Oui ?
Un ultime doute brilla dans les yeux de la mère supérieure mais il fut rapidement balayé par une vague de désir.
— B… baise-moi avec ta grosse bite ! S’il te plaît, baise-moi, je t’en supplie ! C’est tout ce que je veux !
Sabrina esquissa un sourire victorieux et retira sa main. Aussitôt, Irina s’empala profondément sur la queue de Sabrina.
— AaaAaaah ! Geignit-elle en s’accrochant désespérément à la jolie rousse et en collant sa poitrine sur sa face.
Prise de frénésie, elle se mit à monter et à descendre sur l’énorme pilier de chair en couinant sans retenue. Sabrina la contempla avec les mains sur les fesses pour l’accompagner dans ses mouvements. Une lueur victorieuse brillait toujours dans ses yeux.
— Pourquoi est-ce si bon ? S’extasia Irina. Mmh… Oh oui ! J’en veux encore ! Encore !
— Oui, oui, ça arrive.
Cindy venait de se déplacer derrière elle et tenait son sexe en main, tout droit dirigé entre les fesses de la religieuse.
— Qu… quoi ? Mais…
Un coup de reins et la verge de Cindy se retrouva profondément fichée dans le derrière d’Irina.
— Ooouuuhh ! Cria celle-ci en se cambrant violemment.
Sa poitrine, de taille moyenne mais relativement ferme, attira le regard de Sabrina qui se mit à la suçoter coquinement. La femme perforée de part en part hurla à la lune pendant de longues secondes.
— Alors, minauda Cindy à son oreille, aucun regret ?
Irina papillonna des yeux comme si elle se réveillait. Elle jeta un coup d’il à la jolie blonde et commença à s’empaler sur les deux sexes en même temps. Ses gémissements redoublèrent d’intensité tandis que ses deux cavités se faisaient ramoner sans vergogne.
— Aucun, confirma-t-elle entre deux halètements.
— Eh bien, ma chère Irina, lâcha Sabrina dans un râle de plaisir, puisque tu ne crois plus en Dieu, laisse-moi te dire à qui tu vas dévouer le restant de ton existence…