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Histoires de cocus (extra)ordinaires – Chapitre 4




A peine couché, il me caressa brièvement les seins, baissa son boxer, ce qui me donna le temps d’enlever ma chemise de nuit, puis il s’allongea sur moi et me pénétra sans préliminaires en me faisant mal, comme d’habitude.

Il fit quelques va-et-vient, se tendit, éjacula, se retira, renfila son boxer, me souhaita une bonne nuit, se mit à l’hôtel des culs-tournés et s’endormit en quelques minutes.

J’étais au bord des larmes et je me fis plaisir toute seule, comme souvent, longuement, en me mordant les lèvres pour ne pas crier quand je me portai moi-même à l’extase.

Je me demandais bien pourquoi j’avais épousé ce minable. Trop sage sans doute, je n’avais jamais connu d’homme avant lui. Beau parleur, avec de beaux yeux bleus, il m’avait séduite, m’avait dépucelée en prenant un peu plus de temps qu’il ne venait de le faire ce soir, puis on s’était marié.

Depuis, tout s’était dégradé. Il se conduisait comme un invité, ne faisant jamais rien, ni ménage, ni cuisine, ni course, mais regardant la télé au prétexte qu’il était fatigué par sa journée de boulot, comme si, moi, je ressortais reposée de la mienne.

Il me faisait l’amour une fois de temps en temps… enfin, faire l’amour… si on peut appeler ça comme ça. Disons une mesure d’hygiène. Il se vidait les couilles, rapidement, sans un mot, point.

J’en étais venue à douter de moi, à me demander si j’étais belle, désirable, ou tout simplement féminine.

J’étais décidé à le quitter mais je voulais d’abord savoir ce qu’un homme, un vrai, pouvait faire à une femme prête à tout pour connaître le plaisir. Car désormais j’étais prête à tout… encore fallait-il franchir le dernier pas. Mais jusqu’ici je n’avais jamais osé. Comment faire ? Comment rencontrer quelqu’un ? La timidité me retenait. Et puis il y avait eu aujourd’hui, ce coup de bite de deux minutes qui était la goutte de sperme qui fait exploser la capote. Oui, j’allais le tromper, il ne pouvait pas me traiter comme une paillasse sur laquelle on se couche avant de dormir. J’allais le tromper avec Idris, c’est du moins ce que je souhaitais.

Idris était arrivé dans mon rayon quelques jours avant, accompagné du DRH. Il était stagiaire en alternance. Âgé de vingt-deux ans, je fus tout de suite attirée par son physique d’athlète. Grand, baraqué, sa peau d’ébène m’autorisant tous les fantasmes après ce que j’avais entendu de la flatteuse réputation des blacks.

Certes, il n’était pas très beau de figure mais ses éclats de rire et ses dents immaculées le rendaient très sympathique et kui donnaient beaucoup de charme. Il avait passé la journée à me suivre comme un toutou mais avait fait preuve d’initiative et de bon sens. Il avait une pêche d’enfer. Je m’étais dit que tant qu’à choisir un amant, pourquoi pas lui…

Ce soir, quand je finis par jouir en enfonçant au plus profond mes doigts dans ma chatte, c’est à lui que je pensais, farouchement décidée à le draguer dès que je le verrais.

Mais ma résolution faiblit dès le lendemain. Que pouvais-je faire ? Aller vers lui et lui dire : "Dis-donc Idris, ça te dirait de faire l’amour avec moi" ? Je laissai tomber mais, incidemment je le questionnai. Où vivait-il, quels étaient ces loisirs, avait-il une petite amie (non, pas en ce moment… il m’avoua être peu fidèle… pas prêt à se caser mais prêt à saisir les occasions pour "s’amuser") ? J’y vis une opportunité. Mais voudrait-il de moi ? Personne jamais ne m’avait draguée que mon mari et moi, je n’avais jamais dragué personne.

Un lundi, après les fêtes, quand il ne vient pas grand monde au magasin une fois que les gens ont échangé les articles non souhaités ou défectueux, je récupérai des heures, laissant le rayon à un collègue. C’était en fin d’après-midi. Idris venait de partir. Je le vis qui attendait le bus. Saisir l’occasion…

— Idris, tu veux que je te dépose ?

— Non, c’est bon, j’suis pas pressé.

— Moi non plus, si ça peut t’arranger.

— Bon, ben OK mais c’est parce qu’il ne fait pas chaud.

Il m’indiqua la direction d’un petit ensemble, pas très loin de chez moi où il louait un appart en colocation avec son cousin Basil.

— Tu prends un jus ?

— J’veux pas déranger (Oh que si que je voulais et j’en voulais du jus… même du jus de bite…) !

— T’inquiète. Basil il est pas là, il donne des cours jusqu’à 20 H 30.

— Il est prof ?

— Oui, d’arts martiaux et de combats, des trucs comme ça.

— Ah !

C’était au deuxième. Nous prîmes les escaliers. Il marchait devant moi. Ses fesses musclées et ses cuisses dessinées étaient parfaitement épousées par le jean serré. Mon cur battait la chamade. Allais-je oser ? Dans le fond, j’espérais qu’il ferait le premier pas mais comme j’étais sa supérieure et huit ans plus âgée que lui, peut-être n’oserait-il pas.

— Oh c’est sympa ! Dis-je en entrant dans la cuisine-salle à manger.

— Ouais. Excuse, c’est pas bien rangé. On s’est amusé ce week-end, alors… mais mets-toi à l’aise

De fait, l’évier regorgeait de plats et de casseroles sales et la table n’avait pas été essuyée. Tout en enlevant mon manteau, j’inspectai la pièce.

— Tu me montres le reste ?

— Ouais, bien sûr.

— La salle de bain. Là aussi on sentait une présence exclusivement masculine et assez peu ordrée.

— La chambre de Basil… mais bon, je te fais pas rentrer.

— Ma chambre… mais tu regardes pas le désordre… j’ai pas eu le temps de ranger ce matin.

— Jolie !

Elle était spacieuse, sous les toits avec poutre apparente (hmmm poutre apparente… association d’idées…), une table basse avec la télé dessus, une penderie ouverte et, comme lit, juste un matelas posé au sol avec la couette en bouchon et à côté plusieurs kleenex usagés. Je me souvins alors d’une mise au point que ma mère avait eue avec mon frère aîné quelques années plus tôt. Je n’étais pas censée entendre mais j’avais compris l’emploi qu’il en faisait… Mon frère avait jeté l’objet du délit dans sa poubelle à papiers et, subrepticement, j’étais allée voir ce qu’il en était. C’était donc ça du sperme ! Et maintenant, des années après j’imaginais Idris essuyant le sien sur son torse après s’être masturbé.

Je me baissai pour en ramasser un. Pas de doute, c’était bien cela, comme les mouchoirs usagés du frangin.

— Il faut en effet faire du ménage ici… tu as l’air très enrhumé.

— Euh… ouais… ouais ouais… c’était ce week-end mais ça va mieux là. Donne, j’vais les mettre à la poubelle, dit-il très embarrassé.

Il me tendit la main pour saisir le mouchoir chiffonné où le sperme, en séchant, avait laissé des concrétions jaunâtres et rugueuses que je reconnus bien Il prit le mouchoir, mais je ne le lâchai pas.

— Donne… dit-il

Au lieu de cela, sans céder le mouchoir en papier je saisis la main et lentement, je la portai à ma bouche.

— Euh…

— Idris ?

— Oui ?

— Est-ce que tu me trouves belle ?

— Euh… carrément ouais…

— C’est ton sperme sur les mouchoirs ? Demandai-je en me surprenant de l’incongruité de ma question. Mais en même temps, je brulai ainsi mes vaisseaux. Plus de retour en arrière possible.

-…..

— J’aimerais que tu le mettes en moi.

— Le… le mouchoir ?

J’éclatai de rire.

— Mais non grand couillon ! Ton sperme, ton sperme, dans moi, directement…

Sa pomme d’Adam sauta dans sa gorge.

Je mis le mouchoir entre mes dents et commençai à déboutonner mon chemisier puis le laissai tomber à terre.

Je m’approchai de lui et me mis à défaire sa ceinture.

— T’es sûre de ce que tu fais là ?

— J’ai envie de toi.

— Mais, ton mari…

— Justement. Idris, si je te plais, fais-moi l’amour, vraiment, comme un homme qui veut faire plaisir à une femme…

Il me regarda intensément et tout fut dit dans ce regard où, non seulement il y avait un assentiment mais aussi beaucoup de désir et de respect.

Alors il passa sa main derrière moi, dégrafa mon soutien-gorge et se mit fiévreusement à me baiser les seins.

Le choc de cette chaleur libidinale fut extraordinaire. Il allait de l’un à l’autre ; engloutissait tout ce qu’il pouvait du globe, puis léchait le téton à grands coups de langue et le mordillait ensuite.

Ces mains énormes étaient sur mes fesses et entrèrent bientôt dans la culotte.

Je m’agenouillai pour finir ce que j’avais commencé. La ceinture était détachée mais la braguette encore fermée. J’enlevai le bouton, dézippai la fermeture éclair et entrai ma main qui rencontra aussitôt l’objet durci de mes désirs.

Je baissai le pantalon et écrasai mon visage contre le slip. Je fus enivrée par le parfum qui s’en dégageait. A travers le tissu je commençai à sucer la bite, puis, n’y tenant plus, je la dégageai et, avant de la sucer, je la contemplai.

Peut-être étais-je un peu déçue. Je m’attendais à plus grand bien qu’elle fût déjà plus longue et, surtout, plus épaisse que celle de mon mari.

La prendre, la serrer, la lécher puis l’avaler furent des moments de pure félicité. Jamais je n’avais sucé la queue de mon mari ou, du moins pas comme ça. Quand ça le prenait, toujours dans la salle de bain, il me forçait à me mettre à genoux puis me plongeait sa bite dans la bouche et me tenant la tête comme dans un étau pour me défoncer comme si c’était ma chatte. Je devais subir cette irrumation et n’y prenais aucun plaisir. Quand il sentait l’orgasme poindre, il arrêtait, me retournait, trouvait vite l’entrée de ma chatte et venait y jouir.

Mais la bite d’Idris, j’en faisais ce que j’en voulais. Elle était bonne, si dure, si douce, si parfumée.

— Lèche-moi les couilles, pria-t-il tendrement.

Je pris les deux gros bonbons en main. Ils pendaient peu. Puis je fis ce qu’il avait demandé en prenant toujours plus d’initiative, allant des boules au membre et vice versa, ne me fiant pour changer d’endroit et de rythme qu’à ses grognements et ses mouvements de hanche.

Tout en m’occupant de ce sexe, je caressai le mien d’une main.

Il se retira. Je penchai la tête pour croiser son regard.

— Allonge-toi !

Il n’eut pas besoin de le répéter. Pas plus qu’il n’eut à me dire d’écarter les cuisses.

Sa tête s’y enfouit. Il déposa des baisers à droite et à gauche tout en remontant vers le sexe. Il y posa son nez et inspira fortement à plusieurs reprises comme s’il sniffait.

Puis il y mit délicatement la langue, juste en effleurant d’abord, il fit le tour de la moule en léchouillant les grandes lèvres puis se posa enfin sur le bouton.

Sa langue était experte et il n’eut aucun mal à me faire jouir.

Quand il m’eut fait crier une première fois, il remonta vers moi, mangeant mon nombril, avalant mes seins et progressant toujours, jusqu’à ce qu’il atteigne ma bouche et que nos langues se mélangent.

Sa queue était prête à entrer. Il n’attendit que mon signal.

— Prends-moi !

Et il me prit. Et ce fut fantastique. Je n’ai pas de mots pour exprimer ma gratitude. C’était comme si j’étais prise pour la première fois.

Il changeait sans cesse de mouvement, vite, lent, sec, doux, ondulant de gauche à droite et de haut en bas, se retirant tout à fait et replongeant d’un coup, restant planté au fond, immobile, tendu sur ses bras pour m’embrasser, me sucer les seins ou tout simplement me regarder tendrement et me demander :

— Tu aimes ?

— C’est merveilleux, c’est merveilleux, c’est comme si je n’avais jamais fait l’amour avant.

A plusieurs reprises, il voulut changer de position, me prendre sur le côté ou en levrette.

— Pas maintenant, pas aujourd’hui, je t’en prie, laisse-moi vivre ce moment que j’attends depuis si longtemps.

Et ce moment c’était de sentir longuement un homme puissant me recouvrant et me possédant. Je m’accrochai à ses fesses, je l’enserrai de toute ma force, j’agrippai sa nuque pour le faire venir à moi, je caressai son dos pour connaître jusqu’à la moindre forme de ses muscles jusqu’à son moindre grain de peau.

Et puis enfin, je sentis que j’allais jouir alors je le stimulai.

— Vas-y, vas-y, oui mon amour, encore, plus fort, ouiiii.

J’aurais voulu que nos orgasmes se confondent mais je ne pus me retenir et explosai avant lui. Pour autant son éjaculation puissante me chavira et je sentis sa verge m’emplir au moment où ses couilles déchargèrent.

Nous avions fait l’amour pendant plus de 45 minutes. Je n’en revenais pas.

Il resta un long moment sur moi, sans bouger et sans rien dire. Quand il se retira, il s’allongea à côté de moi. Je vins décrasser sa bite, avant de le caresser du pubis jusqu’aux tétons.

Je le remerciai et il me dit qu’il avait pris un super pied.

— On pourra recommencer alors ?

— Dès demain si tu veux ma belle.

Et nous recommençâmes le lendemain et les jours d’après, progressant dans de nouvelles positions, mais pas plus d’une par jour pour me laisser le bonheur de la découverte.

Mon cocu de mari en vint aux soupçons rapidement, constatant que je rentrais plus tard que d’habitude, ce qui retardait le repas de Monsieur. Il fit quelques allusions auxquelles je ne répondis pas, me moquant de ce qu’il pouvait bien penser mais l’envie de le provoquer me séduisit un bon moment. Quand il ronflait à côté de moi, je me faisais plaisir en murmurant le nom d’Idris.

Idris s’était attaché à moi. Il aimait disait-il cette "femme qui s’éveillait dans ses bras" à la sensualité.

Un après-midi de RTT que nous avions choisi de passer ensemble, nous nous reposions dans le bras l’un de l’autre après avoir copieusement baisé. Nous étions là depuis une bonne heure à causer de choses et d’autres, le point étant acté que nous ne serions qu’amants et encore pas exclusifs. Idris se gardait la possibilité de faire tous les plans culs qu’il voulait et moi de rencontrer un autre homme… mais je n’avais aucune envie de chercher.

J’étais sur le point de partir. J’avais dit au cocu que je rentrerai vers 17 H 00. J’embrassai une dernière fois mon superbe amant quand nous entendîmes la porte s’ouvrir dans un fracas de rires.

A suivre

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