Histoires de sexe en groupe Premières histoires de sexe

une education trés précoce – Chapitre 4




Quand j’étais seule avec mon frère Julien, douze ans, nous consacrions beaucoup de temps à résoudre son problème de prépuce trop étroit, et nous en profitions pour découvrir nos corps, en nous donnant beaucoup de tendresse et de caresses, car si j’étais habituée depuis ma plus tendre enfance à tout partager avec ma sur Cécile qui était devenue une adolescente de bientôt quinze ans, qui avait de la sexualité une vision un peu violente, même si elle m’a tout appris, j’aspirais à de la tendresse, j’avais maintenant onze ans, et ma puberté évoluait rapidement, mes seins pointus comme ceux de ma sur, mais avec des pointes toutes roses, des poils sur mon pubis et dans ma raie des fesses. Maintenant au collège, j’avais un peu honte de me mettre nue devant les copines, j’enviais celles qui avaient de gros nichons, surtout celles qui avaient de larges aréoles.

Julien se couchait avec moi, et je lui caressais la verge qui grandissait rapidement, il devenait aussi un homme, ses poils noirs poussaient sur son pubis, et ses testicules remplissaient ses bourses. Je glissais mes doigts avec de la salive entre son gland et son prépuce et je tirais jusqu’à que cela devienne trop douloureux, puis recommençais patiemment, rapidement il éjaculait de grands jets de sperme blanc, et j’avais toujours plaisir à goûter ce liquide visqueux, qui était délicieux. J’aimais aussi le goût de mon sexe, ainsi que celui de Céline. Après avoir éjaculé Julien avait son sexe qui dégonflait et qui bougeait tout seul.

Alors je recommençais cette fois des va et vient de sa peau en rabaissant son prépuce toujours plus loin, son sexe regonflait et son prépuce lubrifié par son sperme et par ma salive, commençait à s’assouplir, et Julien voyait son membre grossir de plus en plus, et je pouvais maintenant le masturber normalement.

Avant il craignait toujours d’avoir mal, maintenant il jouissait comme un fou!

Moi, je lui ai permis de mettre son doigt dans mon vagin, il a été le premier à passer par là, et il me léchait toute ma fente et dégustait bien volontiers mon jus d’amour.

Avec ma sur Céline, nous avions toutes les deux débutées notre sexualité avec des caresses anales, et nous avions beaucoup de plaisir avec nos petits anus. Julien a découvert aussi ce chemin du plaisir, et avait toujours envie de me pénétrer avec un doigt, tout en me tétant les seins, moi je le masturbais

en mettant mon doigt dans son cul. Mais bientôt, nous avons ressenti le besoin d’introduire quelque chose de plus gros afin d’augmenter nos sensations. Nous avons trouvé dans le buffet de la salle à manger un tube métallique qui avait servi à emballer un cigare; ce tube était lisse et nous nous sommes empressé de l’essayer, ce fut une découverte car chacun notre tour, nous nous pénétrions et effectuons des va et vient rapides, cet échauffement était très agréable, et un soir, j’ai montré ce tube à ma sur Céline, et là nous avons changé la destination de l’objet, Céline s’est pénétré le vagin, et tout en caressant son clitoris avec l’autre main, elle a eu du plaisir, c’est la première fois que son vagin lui donnait un orgasme! Après elle a essayé sur moi, j’étais bien mouillée, et elle est rentré juste un peu, comme Julien avait déjà fait le passage avec son doigt, je n’ai pas eu mal, mais je n’ai pas ressenti de plaisir particulier, seulement l’excitation de faire quelque chose d’interdit.

Ce tube à cigare, a beaucoup servi à chacun de nous trois, nous l’appelions notre doigt magique.

Quelques semaines plus tard, Céline est entrée dans notre chambre avec un air mystérieux, et quand nous nous sommes retrouvé au lit, elle m’a fait fermer les yeux, et m’a ordonné de sentir, et elle ma frotté le visage avec un tissus doux et humide, qui dégageait une odeur féminine très forte, puis elle m’a demandé de lécher, j’étais comme enivrée par ce parfum si fort, ce goût si prononcé, j’étais follement excitée. Elle m’a alors avoué que c’était la culotte de notre mère qu’elle avait laissée dans la salle de bain après sa douche du soir. Elle m’a confié que cela faisait déjà un certain temps qu’elle cherchait les culottes maternelles dans le panier à linge sale, et qu’une fois que l’on avait goûté ce parfum, on ne pouvait plus s’en passer. Elle m’a ordonné de conserver la culotte sur mon visage pour m’endormir, et elle m’a longuement embrassé puis nous nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre. Le matin au réveil, nous sommes aller fouiller dans le panier à linge pour trouver un slip de notre père, mais notre mère avait déjà mis sa machine à tourner, et nous devrons attendre le week-end prochain pour que mon père rentre de son travail en province.

Le samedi suivant, nous avions décidé, ma sur Cécile et moi d’essayer de surprendre nos parents, car nous savions que quand mon père était présent à la maison, il cherchait sans arrêt à toucher notre mère, qui lui tapait sur les mains en le traitant de cochon, ce qui nous amusait beaucoup. Les jours où mon père était là, Maman mettait des vêtements sexy, ce qui justifiait les tentatives de notre Papa.

Le soir nous sommes montées dans notre chambre, située sur une mezzanine qui surplombe la salle de séjour, où nos parents ont un canapé convertible en lit. Nous avons attendu un long moment dans notre lit, puis nous sommes sorties tout doucement de notre chambre pour nous coucher sur la mezzanine, de façon à voir nos parents sans qu’ils ne nous remarquent.

Nos parents étaient enlacés dans le canapé, et Papa avait ouvert le corsage de Maman, et sorti ses seins au dessus de son soutien-gorge, il avait aussi remonté sa jupe, et il mettait sa main entre les cuisses largement ouvertes de Maman, qui lui disait de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller les gosses.

Ils s’embrassaient en se caressant, puis Papa s’est levé, il avait le sexe sorti de son pantalon, et sa verge nous a alors semblé énorme! Comment Maman peut-elle faire avec un pareil gourdin!

Papa a ouvert le lit, et il a dit à Maman de se déshabiller, mais de conserver son soutien gorge, en dessous de ses seins. Elle s’est mise à genoux sur le lit, et il s’est mis nu, et il lui a promené son sexe sur le visage. Maman a voulu le prendre dans sa bouche, mais il lui a répondu qu’elle avait du être très vilaine pendant son absence de la semaine, et qu’elle méritait une punition. Maman qui visiblement n’attendait que cela, l’a supplié de ne pas faire de bruit.

Papa alors a pris les pointes des seins de notre mère, et les a tirés lentement, mais de plus en plus fort, Maman faisait de petits couinements, puis Papa a donné des gifles aux seins qui pendaient hors du soutien-gorge, lentement, mais nous entendions les gifles qui claquaient et nous voyions les seins qui ballottaient d’un côté et d’un autre, Maman au lieu de se protéger, tendait encore plus sa poitrine vers Papa. Papa lui a murmuré, tu aimes ça, salope! Maman, lui a répondu dans un souffle continue, je t’aime.

Puis Papa a mis son sexe qui avait encore grossi dans la bouche de notre Maman qui tenait ses seins dans ses mains, et là, nous avons étés stupéfait de voir ce sexe si gros, entrer dans la bouche, Papa tenait maintenant Maman par la tête, et il lui faisait rentrer à force sa verge jusqu’au fond de sa gorge, Maman soudain a étouffé et a eu une quinte de toux, Papa l’a embrassé puis il a recommencé ses va et vient dans la bouche.

Avec Céline, nous étions stupéfaites de voir ce spectacle, de voir la soumission de notre mère, et quand au sexe de notre père, rien à voir avec celui de notre frère, il allait avoir du travail pour pouvoir rivaliser avec celui de notre père.

Soudain, mon Père s’est couché sur le dos, et Maman s’est assise sur son sexe dressé, et là elle a commencé à monter et descendre sur cette colonne de chair, Papa lui, lui caressait les seins, et la tenait par les pointes, soudain Maman a dit oui, oui, je viens, alors Papa lui a empoigné ses seins et les a serrés avec force, Maman a poussé encore de petits cris, puis elle est tombée sur lui en haletant.

Au bout de quelques instants, Maman s’est mise à genoux, et Papa après avoir mis un préservatif lui a pénétré son anus , en la tenant par les hanches, et il a pris une cadence plus rapide, nous entendions frapper le bassin de notre Père sur les fesses de Maman. Soudain, Papa a poussé un cris rauque, et ils ont roulé sur le lit, enlacés.

Nous sommes retournés sans bruit dans notre chambre, et Céline et moi étions si troublées de ce spectacle, à la fois si violent et si tendre que nous nous sommes endormies après avoir échangé un long baiser, nous avions hâte de retrouver cet instant volé à nos parents dans nos rêves.

À suivre………………………

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