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Un soir d'été… – Chapitre 1




Comme tous les soirs à cette période, je rentrais tard. Je prenais le dernier train pour rentrer chez moi, depuis plusieurs semaines déjà. Mon boulot est plutôt prenant en ce moment, les impératifs de production font que mes collègues et moi ne comptions plus nos heures sup’ depuis quelques temps déjà. Le marketing ayant fixé une date de sortie des machines que nous concevions, nous pauvres ingénieurs logiciel, il fallait donner un coup de collier pour tenir les délais. C’était un magnifique soir d’été, le temps était lourd mais la vitre entrouverte me prodiguait une douce brise rafraîchissante. Le train était quasiment désert. Le compartiment dans lequel je me trouvais était totalement vide. Les autres voyageurs étaient déjà descendus. J’étais absorbé par la lecture de mon roman lorsqu’à une station monta quelqu’un. Cette personne parcouru le couloir, et entra dans mon compartiment. Un doux parfum de femme effleura mes narines alors qu’elle s’asseyait en face de moi. Je relevais la tête pour voir qui était mon compagnon de voyage. C’était une jeune fille d’environ 25 ans, elle était rousse, les yeux verts, un très beau visage. Elle était vêtue d’une jupe et d’un chemisier blanc dont les premiers boutons n’étaient pas mis, laissant entrevoir une magnifique poitrine. Je ne pouvais m’empêcher de la déshabiller du regard. Ses seins, sa taille fine, ses belles jambes provoquèrent en moi une érection tandis que je m’imaginais en train de lui faire l’amour. Mais à son sourire et à ses yeux pétillants il me sembla qu’elle le devina. Je replongeais dans mon bouquin, mais ne lisant plus une seule ligne, tout à ma rêverie. Tout d’un coup je sortis de ma rêverie alors que son pied heurtait le mien, pendant qu’elle décroisait les jambes. Je relevais la tête. – ’ Oh pardon ’ , me dit-elle. Il me sembla alors deviner sa toison, dans l’obscurité qui baignait son entrejambe. Mais je me dis que ce devait être un pur fantasme. Il est tellement plaisant d’imaginer que les jeunes filles si belles que l’on rencontre dans le train soient suffisamment portée sur le sexe pour se balader sans petite culotte. Mais cela ne doit vraiment pas arriver tous les jours ! Elle me sourit et me dit : – ’Je m’appelle Nathalie’. Le ton utilisé ne laissait planer aucun doute sur le fait qu’elle désirait lier connaissance. D’ailleurs sinon pourquoi serait-elle venue juste en face de moi, alors que le wagon abondait de compartiments déserts. Je n’avais certes pas envie de laisser passer une telle opportunité et, en rangeant mon livre, je réussi à articuler : – ’ Moi je m’appelle Alain ’ – ’ Je te fais de l’effet à ce que je vois, Alain ’, dit-elle en fixant de ses yeux magnifiques la bosse dans mon pantalon. Je ne pus m’empêcher de rougir : – ’ Oui, je vous trouve vraiment très attirante, et …’ – ’ Et quoi ? ’ me demanda-t-elle avec des yeux pleins de promesses, pour m’inciter à continuer ma phrase. – ’ Et,… j’avoue que vous me plaisez beaucoup. ’ Je m’étais lancé, et je pense que je devais ressembler à une pivoine en lui disant cela. Mon coeur s’emballait tandis que des flots d’adrénaline m’inondait. Il faut dire que je ne suis pas un habitué de la drague, et qu’aborder une jolie fille me faisait toujours cet effet. Je perdais le contrôle de la situation, mais ce n’était vraiment pas un problème. Je décidais de lui laisser l’organisation. Elle dut le remarquer et ses yeux pétillèrent. Nous sommes restés un instant les yeux dans les yeux. Quelque chose d’inexplicable mais presque palpable passait entre nous. C’était fort, intense, et nous devinions tous les deux l’envie de l’autre dans son regard. Plus que l’attirance sexuelle, c’étaient nos corps entiers qui se désiraient. – ’ Ce que tu as vu te plaît, mais tu n’as pas encore vu l’essentiel ! ’ A ce moment là, elle se leva et se planta devant moi de façon provocante, bien campée sur ses jambes écartées. Puis elle déboutonna entièrement son chemisier, elle s’approcha de moi et vint s’asseoir à califourchon sur moi pour m’offrir sa poitrine généreuse . – ’ Tu peux les toucher si tu veux ’. Sans comprendre ce qui m’arrivait, mes mains commencèrent à les caresser, ce qui amplifia mon érection. Elle eut un frisson. Toujours dans la même position, elle remonta sa jupe. Elle n’avait pas de culotte. Je n’en crus pas mes yeux, j’avais donc bien vu tout à l’heure. Maintenant je pouvais contempler sa magnifique toison, soigneusement entretenu : pas un poil ne dépassait le triangle parfait qu’elle me montrait. Elle devait prendre bien soin de cette partie de son anatomie, comme une personne aimant les choses du sexe, et désireuse de se montrer sous son meilleur jour lorsqu’elle s’exhibe. J’approchais alors une de mes mains, la seconde restant sur sa poitrine et lui caressant allègrement les seins, faisant s’ériger le bout de ses mamelons. J’approchais donc ma main et la posait sur son sexe. Je devinais sa fente déjà légèrement ouverte, ce qui me confirma qu’elle devait être dans un état d’excitation au moins proche du mien. Je glissais un doigt entre ses lèvres qui ne se firent pas prier pour me laisser le passage. Je la sentais se cambrer chaque fois que mon doigt s’attardait sur son clitoris que je devinais à chaque passage un peu plus érigé. J’écartais légèrement les jambes, ce qui écarta les siennes pour permettre à ma main de passer sous elle. Elle s’accrocha à mon cou et unit sa bouche à la mienne. J’allais un peu plus loin avec mon doigt et devinais l’entrée de son palais des mille délices. Je risquais un doigt qui s’engouffra sans aucun problème et le poussais le plus profondément que je pus. Elle gémit lorsque mes autres doigts cognèrent sur son clitoris alors que mon doigt fouillait l’intérieur de son vagin. Nous passâmes quelques instants ainsi, mon doigt au fond d’elle, pendant qu’elle bougeait doucement son bassin pour le faire entrer plus profondément en elle et profiter de mes autres doigts stimulants son clitoris. Nos bouches toujours unies, nos langues se mêlaient nous coupant du monde extérieur. Un délicieux clapotis se faisait entendre, pour prouver si besoin était que ma manoeuvre lui plaisait au moins autant qu’à moi. Elle s’écarta de moi en plongeant ses magnifiques yeux verts dans les miens, un léger sourire éclairait son visage. Elle desserra ses bras toujours passés autour de mon cou et se leva. Elle s’agenouilla alors devant moi, et un coup d’oeil suffit à lui faire comprendre que je ne voulais surtout pas qu’elle serre ses jambes pendant qu’elle s’agenouillait. Elle déboutonna mon pantalon, et le tira, ainsi que mon slip, juste ce qu’il était nécessaire pour découvrir mon sexe, qui était déjà au garde à vous. Elle le regarda d’un air gourmand et approcha sa bouche en me fixant dans les yeux. C’est fou comme ça peut être excitant une fille qui va faire une fellation et qui fixe le propriétaire de ce qu’elle va prendre en bouche. Puis elle se concentra sur mon sexe. Elle commença par lécher le pourtour de ma bite en faisant de légers mouvements de haut en bas et de bas en haut, sans toute fois en dégager l’extrémité. Puis, en faisant un rond avec sa bouche, elle l’avala tout doucement, comme une pénétration. Je ne pus retenir un gémissement. Tout doucement elle continuait son aspiration, faisant forcer ma bite sur ses lèvres qu’elle maintenaient serrées. Dieu que c’était bon. Elle enroula sa langue à la base de mon gland pendant que sa main et sa bouche me branlait délicatement. Elle se saisit alors avec son autre main de mes testicules, ce qui accru immédiatement mon excitation. Elle releva alors la tête, fixant ses yeux dans les miens pour apprécier mon état. Le faible sourire qui apparut sur son visage, et ses yeux brillants me firent comprendre qu’elle voyait qu’elle avait atteint son but. Elle se leva alors remontant complètement sa jupe autour de la taille. – ’ Je te veux en moi ’ me dit-elle, tout en montant à califourchon sur moi, à genoux sur la banquette, une jambe de chaque côté des miennes. Elle prit mon pénis en main et le positionna à l’entrée de son vagin. Elle ne le fit pénétrer que de quelques millimètres, juste de quoi s’assurer qu’il était bien en place. Elle releva la tête, passant ses bras autour de mon cou, et me fixa droit dans les yeux. Elle descendit alors très lentement, s’empalant progressivement sur ma verge dressée, sans que son regard ne quitte le mien. Aucun de nous ne parla ou ne détourna les yeux. Nous voyions le plaisir que nous donnions à l’autre dans ses yeux. C’était très intense. Lorsque ma verge cogna au fond de son vagin, elle poussa un soupir de plaisir, je la rejoignis lorsque son clito s’écrasa contre mon pubis. Alors que je la couvrais de mes baisers et caresses, elle prit le contrôle de la situation en commençant un va et vient langoureux. La position lui permettait de stimuler son clitoris pendant que mon sexe allait et venait en elle. Sa respiration, tout comme la mienne, se fit de plus en plus rapide. Dieu que c’était bon ! ! Au bout de quelques minutes elle se cambra et chercha ma bouche de sa bouche avide. Elle jouit au moment où nos langues s’unissaient et tournaient ensemble. Un bel orgasme à vous vider de toute énergie l’empêchait de continuer à m’embrasser. Mes mains caressant toujours ses seins, j’en profitais pour mordiller sa lèvre inférieure. Elle s’écroula sur moi. Reprenant son souffle elle me glissa un ’que c’est bon’ à l’oreille. Et nicha sa tête au creux de mon épaule. Je pris alors les choses en mains, et lui soutenant les fesses j’entrepris de la faire monter et descendre sur moi. Je la montais de façon à presque ressortir de l’étau de son sexe, et comme si elle avait tout de suite compris ce qui me plaisait elle serrait ses muscles internes pendant que je la pénétrais en la faisant redescendre. Elle gémissait à chaque fois que j’arrivais au fond d’elle, et ne fut pas longue à reprendre le chemin du plaisir. Cette façon d’opérer ayant l’inconvénient (quoi que…) de m’exciter moi aussi, elle repris le contrôle et recommença ses mouvements doux frottant sur mon bas-ventre son clitoris maintenant complètement érigé. Ses mouvements se firent de plus en plus amples et de plus en plus rapides. Elle haletait, gémissait et afin de ne pas attiré l’attention un éventuel voyageur, je soudais ma bouche à la sienne pour étouffer ses manifestations de plaisir, et les miennes par la même occasion. Mes mains caressaient sa poitrine. Je pris alors ses bouts de seins entre mes doigts et les pinçaient doucement. L’effet fut immédiat et elle jouit encore plus fort mordant ma langue pour ne pas crier. Tout en tenant ses seins je l’aidais dans ses mouvements pour qu’elle profite au maximum de sa jouissance. Elle s’effondra alors, haletante. Elle se dégagea doucement et se releva en me souriant. Elle appuya alors les paumes de ses mains sur la banquette face à moi, me présentant son cul magnifique. Les jambes écartées, tournant sa tête vers moi elle m’invitait à venir avec ses yeux. Son regard semblait me dire ’Viens, prends moi, je veux te sentir tout au fond de moi’. Je regardais ce cul qui s’offrait à moi, distinguant ses lèvres gonflées de plaisir entre ses cuisses. Je me levais à mon tour et présentais ma verge à l’entrée de son vagin. Je poussais tout doucement pour ne pas la brusquer, mais un cahots du train fit que je la pénétrai d’un coup sec, ce qui lui arracha un petit cri. De suite elle se mit à gémir me faisant comprendre que c’était plus un cri de plaisir, que cette brusque pénétration lui avait arraché, qu’un cri de douleur. Je posais alors mes mains sur ses hanches et commençais à aller et venir en elle. Doucement, amplement. Chacune de mes pénétrations lui arrachait un gémissement. Sans m’en rendre vraiment compte, mon rythme s’accélérait, de plus en plus vite. Mes mouvements se firent presque frénétiques. Elle rejetait sa tête en arrière, haletant et gémissant de plus en plus rapidement. Puis elle appuya sa tête sur la banquette et porta une de ses mains sur son clitoris qu’elle stimulait au rythme de mes coups de boutoirs. Je sentais ma jouissance toute proche et lui dit alors – ’Je vais bientôt jouir au fond de toi’. C’était plus pour la prévenir que si elle voulait encore que je la fasse jouir il fallait qu’elle me dise d’arrêter maintenant. Plus tard ce serait trop tard ! – ’Oui, viens, je veux te sentir jouir en moi et jouir avec toi’, me dit elle dans un souffle. Je compris alors qu’elle était elle aussi sur le point de jouir. Sa main qui caressait son clito faisait des mouvements de plus en plus rapides. Je glissais alors mes mains le long de ses côtes remontant jusque ses seins qui ballottaient au rythme de mes pénétrations. Je les pris alors à pleines mains lui en caressant les tétons. En réponse, elle glissa son autre main vers mes testicules et les serra tout doucement, ce qui m’acheva. Je me répandais en elle en jouissant sans arrêter mes mouvements. Cette fois c’est moi qui lui dit dans un souffle : – ’Ah, tu me fais jouir, oui ….’. – ’Je jouis avec toi, viens …’ me répondit-elle en écho, ce qui eu pour effet d’accroître encore ma jouissance. Nos mouvements se faisaient de plus en plus irréguliers pendant que l’un et l’autre nous profitions de notre plaisir et de celui que l’on procurait à l’autre. Puis nos jambes chancelantes ne nous tinrent plus et nous nous écroulâmes, vidés mais comblés. Nous nous sommes regardés, moi avec le pantalon et le slip aux genoux, et elle le chemisier ouvert et la jupe relevée à la manière d’une ceinture. Nous sommes partis d’un éclat de rire, confirmant la complicité que nous avions eu pendant notre rapport. Nos regards se sont croisés et sont restés rivés l’un à l’autre.

Le train ralentissait, nous faisant comprendre que nous étions arrivés à une gare. Le haut parleur annonça le terminus. Nous eûmes tout juste le temps de nous rhabiller avant l’entrée en gare. Nous sommes sortis sur le quai désert. J’étais un peu perdu, la station à laquelle je descends habituellement se trouvant trois gares avant le terminus. Nous avons alors réalisés l’un et l’autre que le temps était vraiment passé très vite. C’est alors qu’elle m’acheva. Elle me dit d’un air malicieux : – ’Je crois que tu as loupé ta station. ’ J’étais fort surpris, et lui répondit : – ’Comment sais-tu que j’ai raté ma station ? ’ Elle partit d’un éclat de rire devant ma surprise. – ’Disons que ça fait maintenant 3 semaines que je prends le même train que toi tous les matins et que je sais très bien à quelle station tu montes. Le plus difficile a été de repérer à quelle heure tu prenais le train le soir ! ’ J’étais de plus en plus surpris. Ca faisait donc 3 semaines qu’elle préparait son coup ! J’avoue que la surprise céda bientôt la place à un brin de fierté en songeant que cette jeune fille si belle, et de 5 ans ma cadette, me trouvait suffisamment à son goût pour organiser ce que nous avions vécu. Nous avons alors commencé à remonter le quai pour sortir de la gare. – ’Et oui,’ ajouta-t-elle, ’je t’avais remarqué et t’observais tous les matins discrètement fantasmant sur ce que nos ébats m’apporteraient le jour où j’aurais assez de courage pour t’aborder. ’ – ’Je trouve que tu as fait preuve de beaucoup d’audace tout à l’heure…’ – ’Ce n’est pas ma nature tu sais. Mais au fur et à mesure que je nous imaginais tous les deux et que je ne trouvais pas le courage de t’aborder, je devenais de plus en plus rêveuse, et ce soir j’ai tout raconté à une copine. Elle m’a comme qui dirait stimulée. ’ – ’Stimulée ? ’ – ’Oui, en me faisant avaler 2 gins toniques et en m’accompagnant sur le quai. Elle m’a littéralement poussée dans le train avant qu’il ne quitte la gare… Elle m’a aussi piquer ma petite culotte. J’avoue avoir été un peu gênée au début, mais je crois que ça m’excitais de me dire que j’allais pouvoir te faire un décroisement de jambes à la Sharon Stone…’ Cette fois se fut à moi de partir d’un grand rire. – ’Il faudra que je la remercie de t’avoir un peu ’ stimulée ’ à l’occasion. En attendant je suis bon pour me taper 15 bornes à pieds pour rentrer chez moi…’ Elle me sourit encore, et alors que nous sortions de la gare, elle s’approcha d’une voiture. Elle en ouvrit la portière, et ses yeux pleins de malices me fixèrent. Je me suis alors fait la reflexion qu’il faudra que je fasse attention à ses yeux à l’avenir, ils me font fondre… – ’Disons que si tu m’emmènes dans un bon petit resto, je pourrais peut-être te raccompagner ?’ C’était dit avec tellement d’innocence maline que ça ne pouvait pas se refuser. Et je ne refusais donc pas. Elle avait donc tout prévu.

Nous sommes montés tous les deux dans la voiture, et nous nous sommes approchés du vieux quartier de la ville. – ’Je pense que cet endroit va te plaire’ dit-elle en poussant une toute petite porte surmontée d’une enseigne comme on en voit dans les villages médiévaux. Elle m’a emmené dans un petit resto vraiment sympa. C’était une toute petite salle sous une cave voûtée, un feu crépitait dans la cheminée et les seules lumières de la pièce étaient fournies par des bougies sur candélabres et au centre des tables. Cette pièce respirait l’intimité, la chaleur et le bien-être. – ’J’ai remarqué que tes lectures étaient toutes sur des thèmes médiévaux, et comme je suis aussi fan de cette période je me suis dit qu’il fallait que je t’amène ici. ’ Je n’en croyais pas mes yeux et mes oreilles ! – ’Et y a-t-il quelque chose que tu ne sais pas sur moi ? ’ Elle me sourit, sembla réfléchir quelques secondes, et me dit : – ’Sur ce que tu fais dans le train, non. Je ne t’ai pas quitter des yeux, pendant 3 semaines tous les matins, donc je crois bien te connaître. Mais je n’ai pas été jusque te suivre hors du train…’ Cela me rassura quelque peu. A ce moment apparu un grand gaillard avec une barbe hirsute : il était tout à fait à sa place ici. Il s’avança vers nous avec un grand sourire et fit la brise à Nathalie. Elle fit les présentations. – ’Patrick, je te présente Alain. Alain, voici Patrick mon frère. ’ – ’Suivez-moi je vous conduit à votre table ’ – ’Merci Patrick. ’ lui dit Nathalie alors que son frère lui tenait la chaise pour qu’elle s’assoit. Il nous avait mené vers un coin de la pièce, légèrement de côté par rapport à la cheminée. Nous nous sommes installés à la table. Deux autres couples étaient assis à des tables. Toutes étaient recouvertes de longues nappes, ornées de motifs écossais. Le cadre était vraiment génial, et je lui dis. – ’Ca te plaît ?’ me demanda-t-elle. Comme mes yeux lui répondirent par l’affirmative, elle poursuivit : – ’C’est moi qui ai fait la déco. En fait mon frère voulait ouvrir un resto, mais ne savait pas comment le rendre unique. Comme je suis décoratrice d’intérieur il m’a demandé mon avis. Il est mordu de l’Ecosse médiévale, ses copains l’appellent d’ailleurs Mc Bride, alors je lui ai proposé de faire ça. ’ Elle dit cela avec un ample mouvement du bras. Ses yeux pétillaient, traduisant sa fierté. – ’Et bien bravo, j’aime beaucoup. Au fait, tu viens souvent ici ? ’ – ’Mon frère voulait me payer pour la déco, mais j’ai refusé. Alors il m’a dit que cette table serait mienne. Il n’installe jamais personne ici, même quand le resto est plein, il refuse des clients plutôt que de risquer de ne pouvoir me donner ma table. Je lui ai dit qu’il était ridicule, mais je n’ai jamais pu le raisonner. ’ C’est ce moment que choisit Patrick pour arriver avec un plateau contenant deux flûtes de champagne et quelques amuse-gueules, en guise d’apéritif. Il posa les verres et la soucoupe sur la table, et passant son plateau sous son bras nous dit : – ’Ce soir je vous conseille le saumon en papillote. Mon chef est un expert en ce qui concerne les poissons.’ – ’Parfait’, avons-nous répondu à l’unisson. Puis Nathalie ajouta, – ’Je te laisse nous choisir le vin. ’ Patrick se retourna, en faisant un clin d’oeil à sa soeur qui ne m’échappa pas. Nous avons levé nos verres et je demandai : – ’A quoi allons nous trinquer ? ’ A ce moment je sentis le pied de Nathalie, débarrassé de sa chaussure se glisser entre mes jambes et venir appuyer sur une partie de mon corps qui manifesta immédiatement son contentement. – ’Qu’elle soit longue et dure encore pour longtemps’ Et à ce moment elle fit tinter les deux flûtes. Puis elle rougit et ne put empêcher un petit rire de retentir. – ’Pardon,’ me dit-elle, ’je ne sais pas ce qui m’a prit, il faut croire que l’effet de l’alcool se fait encore sentir’, ajouta-t-elle comme excuse. Et nous nous sommes mis à rire comme deux collégiens.

Une fois calmés nous avons porté nos flûtes à nos lèvres en nous dévorant des yeux. L’atmosphère devenait torride. Son pied massait mon sexe sous la table, et il ne me fallut pas longtemps pour l’imiter. Je quittais ma chaussures et glissais un pied entre ses cuisses. Comme elle n’avait toujours pas de culotte, mon gros orteil frottait sa chatte déjà humide. Nous nous excitions l’un l’autre en nous regardant dans les yeux. Cela dura plusieurs minutes. Nous étions seuls, le monde autour de nous n’existait plus. Nos respirations trahissaient notre excitation. Je portais alors ma flûte à sa bouche, elle en but une gorgée, et jetant un coup d’oeil sur la pièce pour m’assurer que personne n’avait les yeux braqués sur nous je portais mon verre vers son cou et lui fis couler un goutte entre ses seins. Des frissons la parcoururent, elle ferma les yeux se concentrant sur le chemin que suivait la goutte de champagne sur sa poitrine. Pendant ce temps je continuais de la caresser avec mon pied, tantôt lui agaçant le clitoris, tantôt engouffrant mon orteil en elle. Tout d’un coup, la goutte qui la faisait frissonner devant arriver à son nombril, je sentis son pied se raidir sur mon sexe, les yeux clos elle poussa un soupir de plaisir. Elle rouvrit alors les yeux me regardant elle me dit : – ’La vache, ça m’était jamais arrivé ! Tu viens de me faire jouir uniquement avec un orteil et une goutte de champagne…’ Cette fois ce fut à moi de lui sourire. J’ajoutai : – ’C’est une avance sur ce qui va se passer après…’ – ’J’attends ça avec impatience’, me répondit-elle de son air mutin.

Patrick revenait maintenant avec nos saumons. J’en profitais pour lui dire que j’appréciais beaucoup son établissement. Il eut un sourire enjoué et se tourna vers sa soeur. – ’Il me plaît bien ton copain, t’as mis le temps avant de nous l’amener, mais il me plaît’, lui dit-il avant de retourner vers la cuisine. A ces mots Nathalie devint rouge pivoine. Pour une fois que ce n’étais pas moi, je ne laissais pas passer l’occasion. – ’T’as mis le temps avant de m’amener ? ? ’, insinuais-je. Nathalie était rouge de confusion et me confessa : – ’Ma mère et lui n’arrêtais pas de me dire qu’à mon âge il serait peut-être temps que je me trouve un copain. Ca m’énervait alors, il y a un an, j’ai dit que j’avais un copain. Et tous les soirs où je sortais avec Valérie, la copine qui m’a ’ stimulée ’ ce soir, je leur racontais que c’était avec lui que je sortais. Ca les a un peu calmés.’ Elle baissa les yeux en avouant son mensonge, et comme je ne voulais surtout pas qu’une quelconque gêne s’installe entre nous, j’annonçai d’un air enjoué : – ’Et si nous attaquions ces splendides saumons ? ’ Elle me lança un regard plein de reconnaissance de ne pas m’appesantir sur le sujet, et nous avons dégusté ces pauvres poissons, ma foi fort goutteux ! Ni l’un ni l’autre n’avions grand faim, surtout occupés à imaginer la suite de la nuit. Nous avons poliment décliné l’offre de Patrick qui nous proposait pourtant une tarte tatin qui semblait succulente. Il se joignit alors à nous, et tout en savourant un café digne d’une brûlerie, nous avons fait plus ample connaissance. C’était un homme fort sympathique, appréciant les plaisirs simples et comme tel il était le plus heureux des hommes dans son univers. Il me fit promettre de revenir, maintenant que Nathalie m’avait amené. Je lui répondis que vus la bonne chère et le cadre, je ne pouvais manquer de revenir. Il me gratifia d’un sourire qui en disait long sur le plaisir que je venais de lui procurer par cette simple phrase. Je lui demandais alors l’addition, la conversation était fort agréable, mais mon esprit commençait à se porter sur la soeur plus que sur le frère ! Il pris un air offusqué à ma demande et Nathalie, tout en se levant, me glissa que je ferais mieux d’oublier ça si je tenais à rester entier. Elle embrassa son frère, et me levant, je tendis la main à Patrick, le remerciant chaleureusement pour ce repas. Nous sommes sortis dans la fraîcheur de la nuit ce qui nous fit le plus grand bien. Nous avons repris sa voiture et nous sommes dirigés vers un quartier plus résidentiel. Ma main ne pouvait s’empêcher de glisser sur ses cuisses pendant le trajet. Je ne voulais pas aller plus loin tout de suite, pour ne pas gâcher par excès de précipitation notre nuit, mais j’appréciais en connaisseur le galbe de ses cuisses.

Nous somme alors entrés dans un jardin entièrement clos de hauts murs d’un petit pavillon à colombages, couvert d’un toit de chaume. Une pelouse s’étirait devant nous, quelques arbres abritant de leurs ramages de vastes espaces. La lune éclairant la scène nous invitait à profiter de la douceur de la nuit. Je pris Nathalie par la main et l’entraînait vers l’abri que nous offrait les arbres. Je l’ai alors enlacé. Nos bouches se sont unies avec fougue et passion. Elle s’abandonnait totalement. Me reculant alors d’un pas mes mains glissèrent sur son chemisier, appréciant le contour de sa poitrine. Ses bouts de seins étaient tendus, trahissant l’effet que lui faisait ma caresse. J’entrepris alors de lui déboutonner son chemisier, lentement, bouton après bouton, tout en continuant à lui caresser entre chaque bouton sa poitrine. J’écartais alors les pans de son chemisier, ce qui eut pour effet de le faire glisser à terre. Je saisis alors ses seins à pleine main et en approchait la bouche. J’engloutit un bout de sein, ce qui lui arracha un soupir de contentement. Je continuai ainsi à lui lécher, sucer, mordiller les seins, tout en m’agenouillant devant elle. Elle appuya son dos contre l’arbre derrière elle et posa ses mains sur ma tête. Ses doigts caressaient mes cheveux, tout en me maintenant ma tête, avide de ce que ma langue lui faisait. Je décidais alors de descendre quelque peu. Mes mains parcoururent son dos, tandis que ma bouche descendait jusque son nombril. Ma langue s’y enfonça, pendant que mes mains baissaient sa jupe. Elles l’accompagnèrent jusqu’au sol en caressant l’arrière de ses jambes. Ma bouche repris sa descente, pendant que, d’un petit pas, elle se cala un peu mieux contre l’arbre et libéra ses pieds de sa jupe. Ma bouche arrivait à la limite de sa toison. Je profitais de celle-ci quelques instants, puis collait ma bouche sur ses grandes lèvres. Elle se raidit à ce contact et ne put retenir un soupir alors que ses mains plaquaient ma tête sur son sexe. Ma langue sortit alors et parcourut sa fente sur toute sa longueur. Tantôt je la dardais pour qu’elle pénètre son vagin largement ouvert et lubrifié, tantôt je m’en servais pour lécher son clitoris qui atteignait des proportions pour le moins impressionnantes. Il faut dire que nous étions tous les deux fort excités, et que moi-même j’avais une érection plus que correcte ! Je continuais ainsi à me repaître de son liquide qui coulait abondamment dans ma bouche, lui arrachant des soupirs d’aise et de plaisir. Je me relevais alors et ses mains trahissant son envie m’enlevèrent mon T-shirt et déboutonnèrent mon pantalon. Celui-ci, ainsi que mes dessous ne tardèrent pas à rejoindre la jupe et le chemisier de Nathalie. Elle plongea alors sur mon sexe dressé, et le prit immédiatement en bouche. Elle me pompait et me masturbait comme une affamée, m’arrachant des râles de plaisir. Sa fellation traduisait son excitation, et portait la mienne à son comble. Je la relevais alors, et, la soulevant en la tenant par les fesses pour l’amener à bonne hauteur, son dos appuyé contre l’arbre, je dirigeais mon sexe vers le sien. Je la pénétrais alors, nous arrachant un cri de plaisir à tous les deux une fois arrivé au fond d’elle. Je plantais alors mes yeux dans les siens, nous ne bougions plus ni l’un ni l’autre. La nuit était calme autour de nous, sans bruit, douce. Nous nous sommes alors embrassés avec passion. Puis petit à petit j’ai commencé de légers mouvements de va et vient en elle. Sans cesser de nous embrasser, nous chevauchions tous les deux vers un plaisir qui promettait d’être particulièrement intense. J’essayais de contenir mon excitation pour ne pas jouir en elle trop tôt, avant de l’avoir menée au plaisir. Mais elle m’imposait elle aussi un rythme de plus en plus soutenu en m’embrassant fougueusement. Je sentais le sperme monté en moi, mais ne pouvait ralentir notre chevauchée. Ses seins frottaient mon torse, mes mains tout en la soutenant palpaient ses fesses, parcourant du bout des doigts la raie de son cul si beau, ses bras autour de mon cou plaquait ma bouche à la sienne, son clitoris frottait mon bas-ventre au rythme de mes pénétrations. Je n’y tenait plus, c’était trop bon, trop fort. J’allais me répandre en elle en jouissant et en criant mon plaisir. Mais elle fut plus prompte que moi et, mordant ma langue, elle se raidit, poussant des gémissements étouffés et ne faisant plus le moindre mouvement, toute à sa jouissance. Le plaisir parcourait tout son corps, n’en omettant aucune parcelle. Je continuais à aller et venir en elle, toujours plus vite, toujours plus fort. C’est alors que je m’abandonnais moi aussi au plaisir. Mon sperme jaillit en elle avec force, m’arrachant un râle de plaisir, à nul autre pareil. Mes jambes ne nous tenaient plus, mon corps était parcouru par les frissons de la jouissance. Je suis tombé à genoux, la tenant toujours, puis nous avons glissé sur le côté, pour nous retrouver allongés dans l’herbe, un sourire béat sur le visage. C’est ainsi, les yeux dans les yeux en nous souriant que nous avons sombré dans le sommeil.

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