J’avais rencontré Ginette par l’intermédiaire d’une petite annonce. Elle était d’origine africaine. Quand je l’ai vue la première fois, j’étais un peu déçu. Elle avait quelques formes, mais sans plus. Nous avions entamé une relation, mais des choses me déplaisaient. Nous étions restés en bons termes malgré notre séparation. J’étais livreur et gardais le véhicule pour rentrer chez moi, même le week-end. Un samedi matin après avoir pris ma tournée, je téléphone à Ginette pour savoir si je pouvais passer la voir en début d’après-midi, car mon dernier client était près de chez elle. Elle me répond :

OK, mais pas trop longtemps, car je dois me reposer un peu, je travaille ce soir.

Je passe la voir et sa copine Gislaine était présente. Je l’avais déjà vue quand j’étais avec Ginette. La première fois que j’ai vu Gislaine, je suis tombé sous le charme. On devinait sous ses vêtements des gros seins et des grosses fesses. Gislaine semblait préoccupée.

Je prends Ginette à part et lui demande ce qu’a Gislaine. Elle me répond :

Elle pense que son compagnon la trompe.

Nous retournons voir Gislaine puis discutons de choses et d’autres. Vers 14 heures, je dis à Ginette :

Je vais rentrer.

Je vais rentrer aussi, répond Gislaine.

Si tu veux, je peux te raccompagner chez toi, je réponds à Gislaine. Cela t’évitera de prendre les transports en commun. Par contre, avant, il faut que je passe à mon entreprise déposer mes bons de livraison (je ne les gardais le week-end) puis chez moi déposer mon camion et prendre ma voiture.

OK, me dit-elle.

Nous rejoignons mon véhicule. C’est un fourgon avec le siège conducteur et une banquette deux places à côté. Avant qu’elle ne s’installe, je range un peu pour lui faire de la place. Je la laisse monter en restant derrière elle au cas où elle glisserait. Cela me permet aussi d’admirer ses fesses. Je monte à mon tour. Elle est près de la portière. Je lui dis :

Rapproche-toi. Pour discuter, ça sera plus facile. Quand j’ai vu en arrivant que tu avais l’air soucieuse, je me suis permis de demander à Ginette ce que tu avais. Elle m’a expliqué ce qu’il t’arrivait. Pourquoi penses-tu que ton copain te trompe ?

Je ne voulais pas trop en parler, mais bon. En fait, il est très distant avec moi depuis quelque temps. J’ai l’impression qu’il me cache quelque chose.

C’est peut-être à cause de son travail. Il a sans doute des soucis et ne veut pas t’en parler.

Non, non. Même quand il a des soucis, il n’est pas comme ça.

Dans ce cas-là, tu as trois solutions. Soit tu acceptes la situation et tu te dis qu’il reviendra vers toi. Soit tu le quittes avec les conséquences que cela implique. Soit tu le trompes, mais tu ne lui dis pas.

Nous arrivons à mon entreprise et je lui dis :

Je dépose juste mes bons, j’en ai pour deux minutes,

Je ne tarde pas, salue ma collègue, pose mes papiers sur le bureau et repars.

Ça y est, c’est fait. Après, c’est à toi de réfléchir. Je peux t’aider et serais là pour toi, mais ne peux pas choisir à ta place.

Je suis perdue et ne sais pas quoi faire Je lui mets la main sur la cuisse, elle ne la repousse pas. Je commence à lui caresser, toujours pas de réaction. Nous arrivons devant mon domicile. Je descends de mon fourgon, passe de son côté pour lui ouvrir la portière. Je lui tends la main pour l’aider à descendre, car cela fait haut. Elle met sa main dans la mienne. Nous prenons l’ascenseur main dans la main, croisons un ou deux voisins puis la fait entrer dans ma studette. Je lui fais visiter même si la visite est rapide. Je commence à l’embrasser dans le cou et la prendre dans mes bras. Je sens ses gros seins contre moi et je commence à bander.

J’enlève mon tee-shirt puis dirige ses mains vers mon torse pour qu’elle me caresse, ce qu’elle fait. Je caresse maintenant ses fesses puis l’embrasse à pleine bouche. Elle me rend ce baiser avec beaucoup de sensualité. Elle embrasse merveilleusement bien même si ce baiser est uniquement un baiser de désir. Je la plaque à nouveau contre moi. Ma queue est déjà bien dure. Je sens ses gros seins s’écraser sur mon torse. Je dégrafe son soutien-gorge puis lui enlève en lui laissant son haut. Mes mains s’aventurent à nouveau vers ses fesses, je lui soulève sa jupe puis lui fait descendre sa culotte. Mon sexe est à l’étroit dans mon pantalon. Je l’enlève ainsi que mon slip. J’ai desserré légèrement mon étreinte. Gislaine découvre ma queue bien raide. Elle la regarde avec envie et surprise en même temps. Elle la prend en main et commence à me branler. Si elle continue ainsi, je ne vais pas tenir longtemps. Je descends sa jupe à ses pieds puis lui enlève le haut.

Nous sommes nus tous les deux. Je me recule pour admirer ses gros seins. Je lui demande de faire un tour sur elle même pour voir son gros cul. Je la complimente sur son physique. Je me mets dos à la porte d’entrée de ma studette puis l’attire vers moi. Elle se met face à moi, mais je lui demande de se tourner. Je lui attrape les seins et commence à lui peloter. Ma queue durcit à nouveau contre son cul. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts. Son souffle s’accélère. Je l’embrasse dans le cou. Elle écarte ses fesses pour mieux sentir ma bite contre sa rondelle. Elle prend une de mes mains puis la dirige vers sa chatte. Elle me dit :

Vas-y, je veux sentir tes doigts en moi, fais-moi jouir comme ça.

Je lui introduis un doigt, puis deux. Elle se tortille. Je fais des va-et-vient avec mes doigts.

Oh oui, continue, comme ça. Oui, vas-y. Oh oui, oui, ohhh oui, c’est bon, s’exclame-t-elle.

Je sors mes doigts de son sexe et nous allons nous allonger sur mon lit pour que Gislaine « reprenne ses esprits ». Nous sommes un peu à l’étroit, car c’est un lit une personne.

Tu as aimé ce que je viens de te faire.

Oui, c’était tellement bon. Maintenant, je veux ta queue en moi. Mais attends un peu avant. Viens mettre ta bite entre mes seins.

Je ne me fais pas prier. Je me lève, elle s’assoit au bord du lit. Je colle ma bite entre ses nichons, les prends en mains et me branle. J’en profite pour jouer avec ses tétons qui durcissent. Que c’est bon ! Je passe ma queue sur ses tétons.

Prends-moi maintenant, j’ai trop envie de ta queue, me supplie-t-elle.

Je l’allonge sur le dos, me mets sur elle. Je fais des va-et-vient avec ma queue sans la pénétrer pour faire monter son plaisir. Elle halète de nouveau. C’est le moment que je choisis pour la prendre. Je m’introduis doucement afin qu’elle sente chaque centimètre de ma queue rentrer en elle. Mes mouvements sont lents au départ puis deviennent plus rapides. J’admire ses seins gigoter sous mes coups de reins. Je me retire et lui dis :

Viens t’empaler sur ma queue.

Je m’allonge sur le dos, elle vient délicatement me chevaucher. Je prends ses gros seins entre mes mains pour les rapprocher puis enfouis mon nez entre les deux. Je lui suce les tétons en faisant le tour avec ma langue. Elle se tortille sur ma bite. Je lui écarte les fesses et lui mets un doigt dans le cul. Je fais des va-et-vient avec mon doigt. J’enlève mon doigt de son cul puis lui caresse le clitoris.

Oh oui, comme ça, j’adore. Oh oui, c’est bon, oh oui je vais jouir. Oh oui, ohhhhh oui.

Ses cris de jouissance m’excitent encore plus. Je la préviens que je vais jouir. Elle se relève, s’allonge sur le dos. Je lui introduis deux doigts dans la chatte et fait des va-et-vient. Elle jouit à nouveau et je jouis sur ses nichons. Je l’essuie puis nous allons dans la douche. L’eau coulant entre ses seins me fait bander à nouveau. Je prends ses nichons à pleine main, suce ses tétons qui durcissent sous ma langue. Elle ondule du bassin et son souffle s’accélère. Je présente mes doigts à l’entrée de sa chatte qui s’ouvre doucement. Je m’agenouille pour lui lécher le sexe. Elle mouille déjà beaucoup. Je lèche son sexe puis ma langue se dirige vers son clitoris pour le laper. Je fais tourner ma langue sur son clitoris. Elle continue à onduler du bassin.

Oh oui, comme ça, c’est bon. Vas-y, continue avec ta langue,

Me rendant compte qu’elle apprécie et qu’elle part dans sa jouissance, je lui ouvre les fesses et lui mets un doigt dans le cul.

Oh là là, que c’est bon. Oh oui, continue, ne t’arrête pas. Oh oui, oh oui, ooooooh oui. Je vais jouir. Oh oui, oooooooooh oui. Oh que c’était bon.

Je reçois sa jouissance de femme sur le visage. Nous nous savonnons mutuellement, nous rinçons, nous essuyons puis nous rhabillons.

Merci pour cet après-midi, j’ai passé un super moment. J’ai bien pris mon pied, me dit-elle. Mais il ne faudra plus que ça arrive.

Promis. Je te raccompagne chez toi maintenant ?

Non, je préfère que tu me déposes à une gare et je vais prendre le train. Ça sera mieux comme ça.

Je vais te déposer à une gare pas trop loin de chez toi.

OK.

Je l’accompagne à la gare. Durant le trajet, nous n’avons pas beaucoup parlé. Je n’ai pas tenté de lui mettre la main sur la cuisse. Je l’ai déposée. Avant de partir, nous nous sommes fait un petit signe de la main avec un petit sourire. Un sourire emprunt de joie et d’amertume de ne pas devenir amants. Nous ne nous sommes plus jamais revus.

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