Je m?appelle Ivan. Je suis brésilien, 49 ans et j’exerce le métier de commercial. Brun, 1 m 68, 70 kg, je suis marié avec une jolie blonde de mon âge. Elle est artiste plastique et exhibitionniste. Voilà, j’aimerais bien vous raconter notre dernier carnaval

Ma femme et moi partageons notre vie depuis trente ans et depuis longtemps elle souhaitait vivre son fantasme du carnaval : se déguiser en pute. Dans la nuit de vendredi , amollie sous 35 degrés de chaleur, elle me dit :

-? Ma chatte est en feu ! Je peux mettre quelque chose comme une vêtement de pute et sortir avec toi ? ?

-? Oui, je lui réponds , ça va me plaire énormément, tu sais ! ?

Quand elle sort de la chambre, elle porte une mine-jupe rouge bien courte avec un chemisier transparent noir. Elle est chaussée d’une paire de talons aiguilles. Elle montre presque ses fesses et ne porte pas de culotte. Son chemisier est noué sur son ventre. Nous partons donc pour l’avenue où s’étire un défilé du carnaval et décidons d’entrer dans cette folie. Il y a beaucoup de personnes qui dansent, sautent et chantent au rythme des sambas. Nous buvons un peu pour nous hydrater puis nous sortons de la foule en liesse pour retourner à la voiture. Elle me dit, soudain échauffée :

-? Prépare-toi, cette nuit je vais faire tout ce qui me trotte dans la tête depuis si longtemps, je vais donner mon show particulier… ?

Et heureux, je lui réponds que je suis parfaitement d’accord. Nous arrivons dans le parking d’un petit bistrot et le garde de l’endroit s’approche de nous pour prendre nos clefs. Lorsque le mec voit ma femme, les jambes entrouvertes sur son sexe en feu, la mini-jupe remontée sur le ventre, elle retouche innocemment son maquillage. Le type, énervé par la situation, ouvre la porte de l?auto pour qu’elle descende la bagnole. Ma douce, devinant le côté voyeur du garde ne se gêne pas pour écarter davantage les jambes et dévoiler sa chatte rasée. Elle se plaque alors contre sa queue, déjà dure, et remue de la croupe et des fesses. Le mec, complètement affolé, sors sa pine et se place derrière ma femme qui se penche un peu pour l’inviter, sans manières, à la pénétration. Je suis consterné ! Mais je ne peux plus reculer, ayant donner mon accord avec enthousiasme, je ne peux qu’observer.

Son visage grimace de l?intense jouissance qu’elle ressent et le type y va à fond, avec entrain, dans le ventre de ma femme, sous mes yeux. Lorsqu’il jouit, elle se retire simplement avec un sourire gracieux, un peu haletante, et me prend le bras afin que nous puissions continuer notre nuit. Et elle profite de l’occasion pour me spécifier que la scène à laquelle je viens d’assister n’est qu’un apéro…

Nous nous sommes rediriger vers la foule et là, parmi au moins 2000 danseurs en transes, nous nous sommes faufiler en son centre. Je mets peu de temps à me rendre compte que ma femme branle deux mecs tout en chantant et en dansant.

Elle semble minuscule entre ces deux gaillards qui l’écrasent entre eux. Mais voilà qu’un autre mec, derrière elle, agite sa main sous sa jupe. Il lui caresse les fesses avec fermeté. Il se penche un peu pour glisser sa queue entre ses cuisses et sentir le suc de sa vulve sur son gland. Les deux autres lui tripotent les seins, remontant son chemisier et bientôt, elle est presque nue. Les mains arrivent de partout pour se coller sur son corps et s’y immiscent dans tous les recoins possibles.

Je la vois retenir un petit cri lorsque le mec derrière lui enfonce sa bite dans la chatte, elle se retient tant bien que mal à quelqu’un devant elle, secouée par les coups de queue du type qui la pénètre vigoureusement. Celui-ci jouit assez vite et il est immédiatement remplacé par un autre. Je crois que m’a femme aussi a jouit car un long filet de glaire coule le long de ses jambes, mêlé au sperme qui dégouline aussi sur ses bas. Soudain elle me voit et me sourit, simplement, jambes légèrement écartée, prête à recevoir tous ses amants de passages.

Je reste là, ébahi par tout un bataillon d’hommes se succédant dans la fente de mon épouse que j’adore mais elle semble si heureuse. Visiblement émoustillée au plus haut point, la tête jetée en arrière comme pour mieux savourer l’extase, elle continue de recevoir ces bites tout en s’agrippant à moi, me craint qu’elle en veux encore plus. Elle jouit pour la troisième fois en peu de temps et je l’écoute gémir de plaisir et je l’embrasse comme un fou.

Nous sortons de cette cohue en rut et deux hommes nous offrent un refuge pour continuer l’orgie. Il faut dire que le climat tropical ainsi que l’ambiance de fête poussent aveuglément les individus à des excès sexuels intenses. Aussi nous les suivons. Tout en avançant avec eux, je reconnais au fond de moi tout le plaisir pervers que j’éprouve à admirer ma femme se faire limer par d’autres bites. Voir ces queues entrer et sortir de son vagin me mettent dans un état incroyable.

Nous entrons dans une maison abandonnée et faisons notre lit de fortune avec de vieilles caisses. Les deux hommes, l’un noir, l’autre blanc, ont déjà le chibre à la main. Ma femme s’agenouille devant le black et saisit son énorme membre (25cm au moins), musclé et raide. Elle commence à le masturber lentement puis s’y met frénétiquement, à deux mains avant d’ouvrir la bouche et de lui engloutir le gland. Elle pompe avec tant de passion, écartant les lèvres de son vagin et titillant le bouton enflé de son clitoris, que le noir grimace de plaisir. Le blanc, hyper excité par la scène, me prend la main et la pose sur sa bite. J’hésite un peu, je ne sais pas. Enfin je m’agenouille et m’empare de ce bel objet de mon désir secret. Je suce doucement tout en massant ses couilles velues. Ma main remonte ensuite le long de sa hampe et j’agace son gland de mes ongles. Ma bouche ne néglige pas le moindre centimètre de ce succulent repas, c’est comme si je n’avais que cela durant ma vie entière. Le mec gémit et murmure qu’il aime ça, qu’il ne veut surtout pas que je m’arrête. Sa queue est si raide et son gland est écarlate. Comment stopper devant tant d’encouragements ?

Je lance un oeil du côté de ma femme, maintenant assise sur le black, sa petite chatte dévastée par le gros pieu. Il pousse, centimètre après centimètre jusqu’au fond de son vagin, encore humide des offrandes précédentes. Tandis que le mec que je suçais fiévreusement s’est retiré de ma bouche pour gicler, j’observe ma femme se faire tringler. Et lorsque le black invite son copain à le rejoindre pour enculer mon épouse alors qu’il lui possède déjà la chatte, je m’inquiète. Mais ma femme le demande. Son rêve ! Dit-elle. Alors je m’incline. Elle se penche pour faciliter l’insertion de la seconde bite et le type pénètre doucement dans son anus. Un peu crispée au début, voilà que ma délicieuse moitié se détend, puis grimace de l’intense bonheur qui se joue dans tout son corps. Alors dans un concert de gémissements incroyables, les trois larrons se libèrent en giclées de foutre et de cyprine mêlés et le sexe de ma femme n’est bientôt plus qu’un marécage de plaisir.

Tout bonnement, elle remercie ces hommes, réajuste le peu de vêtements qu’elle porte et nous ressortons de l’endroit comme si nous y avions pris un simple verre. Elle me raconte son extase et sa chance immense de m’avoir pour époux. Je l’embrasse, bouleversé de lui avoir laissé prendre tant de bonheur et je songe qu’il reste encore quatre jours au carnaval…

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