Petits travaux chez ma patronne.
Bonjour,
Cette histoire est vraie, et se déroule à la campagne, là où nous profitons, du silence, prendre le temps de vivre, de la nature
Je suis un saisonnier travaillant d’avril en octobre si possible dans une ferme pour venir donner des appuis lors des gros travaux
En principe à part travailler rien ne vient perturber la vie, sauf une fois raconté dans une autre histoire. À part, ce job, le reste du temps, je fais divers travaux pour des personnes à la journée ou à la semaine. Un jour je suis contacté par une personne qui a son jardin a nettoyé comme c’est l’automne, puis diverses réparations dans sa petite ferme si je désire les prendre en charge.
Je réponds à sa demande et je vais chez cette personne, je suis reçu par une dame, petite femme bien en chair, mature, simple, assez musclé et un peu virile, les sourcils noirs sont larges et forts, un duvet léger sur les joues, plus accentué vers le menton.
— Je viens pour les travaux, c’est peut-être votre mari qui va me montrer ?
— Ah ! Non, il n’est plus, et comme je n’arrive pas à tout faire, c’est la raison de mon appel. Je vais vous faire-part de mes souhaits et déterminer la rémunération. Cela ne vous pose pas de soucis, à moins que vous soyez contre le fait de travailler pour une femme.
— Non, cela ne me dérange pas, j’ai connu des situations diverses et je fais en sorte que mon travail réponde aux souhaits de mes clients. Je suis là pour aider ;
— Alors ceci clarifié, je vous propose de vous nourrir à midi, de fournir les matériaux qu’il vous faut et en rémunération partons sur un forfait en fonction des heures faîtes.
— Bien, je suis d’accord mon travail, je le ferais suivant le temps, commençant par le jardin, le soleil est au rendez-vous. Je commence samedi !
— Oui, cela me convient bien.
Le samedi, je commence les travaux, il faut couper des arbres, arracher une haie, ensuite labourer. Les autres travaux étant refaire une installation électrique dans la bergerie, et diverses réparations sur le matériel de la ferme. De quoi m’occuper quelques semaines !
Ma patronne, vient me voir régulièrement, m’apporte du café, s’intéresse à ce que je fais.
Au repas de midi, la conversation porte sur la façon de vivre, communiquer avec la nature, pas se prendre la tête. Ensuite arrive la question qui peut fâcher :
— Avec ton travail du as dû nouer des relations parfois intimes, les circonstances !
— Ce n’est pas le but de mon travail, mon employeur est maître de la situation, je respecte les personnes, et leur intimité.
— Cette réponse me va et je vois que tu es respectueux, je ne prenais plus personnes depuis longtemps à cause du mauvais travail, de la dérive qui avait lieu sans complicité, sans être dans la même vision de la vie de tous les jours, genre être libre de son corps, et surtout en symbiose avec la nature, donner et recevoir.
Je comprends d’une part que ma patronne est une naturiste chez elle, parle trop de la nature et son style d’habillement permettent de le deviner : un pantalon de survêtement bien moulant laisse penser : pas de slip, je ne vois pas le contour à moins que ce soit un string ! En haut, un genre de pull assez large, et deux formes qui se déplacent au gré de ses mouvements, les seins sont libres. D’autre part, elle semble très douce, mais sur ses gardes se laissant le droit de décider sa vie. Des hommes ont dû aller à l’encontre de ses pensées.
Mon travail se passe bien, il fait beau, j’enlève mon tee short, Claire arrive avec le café me regarde, ses yeux restent fixés sur ma poitrine assez poilue.
— Oh ! Excuse-moi de cette tenue, mais il fait si chaud.
— Pierre cela ne me dérange pas, pour le travail, c’est plus confortable, ici pas de risque d’être vu, puis vivre en légèreté est agréable et apporte tellement.
Elle prend mon tee short, éponge mon visage, ma poitrine.
— Je vais le laver, tu as été surpris de mon arrivé ? Il faut savoir comprendre et partager sans complexe un mode de vie pas l’imposer. Beaucoup de gens jugent que le nudisme est une incitation, mais ce mode-là permet de mieux s’exprimer, tu as enlevé que le haut.
En rentrant le soir, pas d’allusions le lendemain Claire a mis un pull fermé par une martingale, ses seins sont bien visibles, lorsqu’elle m’apporte le café son ventre touche mon bras, je regarde et là, une touffe de poils juste au-dessus de la ceinture. Ou ha ! Il doit y avoir une belle forêt un peu plus basse. Je ne réagis pas, soit c’est un piège, soit il y aura un appel de sa part. La confirmation va avoir lieu pendant le travail.
Nous sommes dans le jardin, il faut tirer les branches, je glisse me retrouve avec un paquet de feuilles sur moi, Claire me dégage des branchettes, et en profite pour passer sa main sur ma hanche, descendant sur ma cuisse, histoire de voir s’il y a un slip ou pas ? Maligne et douée.
Satisfaite de sa réponse, elle m’aide à me relever, sa main se pose sur mon épaule, sensation de chaleur et de tendresse intense, sa martingale se défait et apparaissent deux beaux mamelons avec une belle rosace, ses lèvres tremblent un peu, ses yeux doux scintillent.
— Tu n’as pas mal ? Tu m’as fait peur, pour une fois que j’ai un bon ouvrier !
— Non, c’est à cause des gants que j’ai gardés, ils ont glissé sur l’écorce du bois.
Elle se blottit contre moi, nos lèvres entrent en contact, ma langue de faufile, se pose sur la sienne. Doucement, Claire entoure ma langue avec la sienne et en bonne femelle me tire au fond de sa gorge avec volupté et tendresse.
Mes mains caressent ses épaules, son tricot glisse le long de son corps, ses seins roulent sur ma poitrine, elle prend du plaisir avec mes poils. Je lui mordille le lobe de son oreille, son corps se raidit, je résiste de moins en moins, je prends le bout de son sein y pose ma bouche, je me mets à sucer le téton en faisant des ronds avec ma langue. Soudain, je sens un petit coup de reins de sa part, une petite perle de liquide apparaît au téton que je m’empresse de sucer, délicieux miel de sa part. Une étreinte qui va durer quelques dizaines de minutes, Claire me sert fort contre elle ses mains au creux de mes reins.
— Rentrons, il faut te nettoyer, changer de vêtements et nous iront voir pour le matériel dans la bergerie comment tu vas faire.
Je quitte le pantalon, rien dessous, je suis nu devant Clair qui va le laver sans rien dire, elle revient oh ! Oh ! Oh ! Elle est nue devant moi.
— Pierre, tu n’as pas de pantalon de rechange, tu devras attendre qu’il soit sec. Comme je voulais que nous ne soyons pas gênés, j’ai pris l’initiative de me mettre comme toi ?
— Claire, j’aime ta franchise, si tu acceptes, moi cela me convient, j’aime pratiquer le nudisme s’il est adopté par les personnes.
Nous allons à la bergerie, de se trouver nu donne une autre liberté, une autre approche. Cela ne nous dérange pas, il faut reconnaître que chacun en profite pour jeter un il sur le corps de l’autre, s’habituer, admirer. Là, on accepte tout de l’autre gros, petit, poilu, c’est un point positif du nudisme, une main qui se pose n’importe où sur le corps ne donne pas la même chaleur, la complicité est de rigueur, le ressentit prend une autre importance.
Nous mettons au point les travaux, une belle toison entoure sa chatte, Claire se baisse pour ramasser le mètre, oh ! La belle moule montre son nez, ses reins sont puissants, j’ai des pulsions, ma queue commence à gonfler, elle se relève et nous rentrons, je sais qu’elle a vu !
— Pierre, tu mangeras ce soir et je t’offre le gîte le pantalon ne sera pas sec.
— Tu me le proposes avec tellement gentillesse, je ne peux qu’accepter.
Pendant le repas, elle m’avoue que depuis le premier jour, je ne laisse pas indifférente et que j’ai fait renaître en elle des pulsions de femme.
Le dessus de son pied s’enroule autour de mon mollet, remonte et vient frotter ma cuisse intérieure. Je me mets à bander doucement, un frisson me parcourt à chacun de ses mouvements. Nos mains se joignent, je ne résiste pas à passer délicatement mon pied le long de sa jambe. Elle se lève, sa chatte au ras de la table, Claire vient se mettre sur moi, ma queue glisse dans sa touffe et se trouve en contact avec les lèvres de sa chatte. Oh ! Mais oui, elle mouille, je sens son doux liquide qui descend doucement sur le bout de mon gland.
— Claire pas encore !
— Oui, je sais, mais mon corps est en feu, ta bite est si grosse et si douce, de la voir tout à l’heure, j’avais des contractions dans mon vagin. Envie que tu me prennes !
On se lève, Claire prend ma queue dans sa main, je glisse la mienne sur sa chatte, Claire m’emmène vers sa chambre, elle se met sur le lit jambes écartées au bord du matelas.
Mes mains parcourent ses cuisses assez potelées, sa virilité est bien là, j’adore ! Je passe entre ses cuisses, nos lèvres s’enlacent, nos langues ne font qu’une. Mes mains caressent ses seins.
Lentement, je parcours avec mes lèvres ses seins, suçage des petits tétons qui durcissent à mon contact, la rosace des seins se modifie à chacune de mes passages.
Je passe dans le canal des seins qui s’écartent, j’arrive au nombril et voilà la toison. Claire me donne du plaisir en caressant mes reins et en remontant le long de ma colonne.
Mes doigts font le tour du triangle, je me rapproche de la moule, oh ! Une merveille catégorie, 1 grosse, lèvres charnues, d’une belle longueur. J’ouvre délicatement et je pose ma bouche dessus, ma langue trouve le petit bouton qui est une belle perle et là un délice de chaleur et de mouille. À chaque mouvement Claire donne des petits coups de reins.
— Ouiiiiiiii , ouiiiiii que c’est bon, continue, j’aime il y a si longtemps !
Ceci me permet de bander moins raide, je suis à genoux et je me préserve. Claire me fait remonter, me tourne sur le côté, puis sur le dos, elle vient se placer sur moi les cuisses bien ouvertes, chose incroyable Claire ouvre les lèvres de sa chatte et les posent sur ma queue qui reçoit une expulsion de liquide vaginal, ou ha ! une chaleur intense monte en moi, ma bite prend une dimension énorme, si elle bouge, je suis HS. Claire se doute de l’intensité que j’ai, elle reste là sans bouger. Ses seins se posent sur ma poitrine, nos lèvres s’enlacent, la communion des langues est totale. Elle descend me suce les tétons avec douceur jouant de sa langue sur le bout, ceux-ci se contractent et deviennent durs, fermes.
Claire se dégage de ma queue, ses lèvres poursuivent vers là bas du ventre, ses doigts dessinent le contour de mon triangle puis se sont ses lèvres qui prennent le relais. Des frissons se propagent, elle arrive sur le gland, donne un baiser, sa langue suce le miel qui en sort.
— Oiiiiiii, ouiiiiiii, que c’est bon.
Je lui prends la tête, je sens qu’elle veut m’avaler, une symbiose est née entre nous, comprenant que si elle fait cela, je vais éjaculer. Claire connaît bien le souci, alors ses lèvres vont et viennent sur les pruneaux, douceur totale la peau se tend, elles jouent avec les balles et les remontent le long de la verge : c’est gagné la bête est prête pour assumer.
Non, je ne sais pas tout, Claire prend ses seins avec le bout, elle vient frotter, exciter mes tétons le mouvement s’accélère, les bouts sont aussi durs que du fer.
Enlacé, j’imprime une rotation de nos corps, ma queue est longue, ferme, plantée sur le beau gazon. Un léger mouvement, je remonte et là paf ! Je viens de franchir la porte, Claire donne un coup de reins.
— Prends-moi, oh ! Oui je te veux maintenant ouiiiiii comme cela.
Ma queue avance, le gland s’enfile dans le canal de plus en plus profond, sa mouille intense s’enroule autour de ma verge, son vagin se contracte et me sert pour me retenir à chaque fois que je recule. Les mouvements sont communs, et rythmés. Claire croise ses jambes sur mes reins, pas besoin de lubrifiant à tel point que sa moule dépose sur la poche des testicules sa mouille lorsque je suis au plus profond de son volcan en éruption.
— Ouiiiii encore, encore, je te veux, je te tiens, oh ooooooo, eum mmmmm.
— Un bon coup de reins de sa part elle vient de jouir, mon sperme monte dans le canal et mon gland tout en rondeur éjecte au fond de son vagin le liquide, oh aaa, je touche la paroi-là ses muscles du vagin entourent mon pénis.
Claire relâche doucement son étreinte, ma queue, lentement, glisse vers l’extérieur de sa chatte gluante. Sa main récupère notre mélange qui s’écoule, elle vient le déposer sur mes Tétons, ses yeux sont langoureux, je vois son désir que je fasse de même.
Nos corps se collent, ma queue déposée sur sa toison émet un léger filet, nos langues se sucent avec passion et fougue.
— Pierre, tu dors devant ou derrière mon corps ?
— Je te laisse choisir. Je ne comprends pas trop pourquoi Claire me pose cette question.
Elle me place derrière son dos, sa main gauche se glisse entre nous, elle prend ma queue entre ses doigts. Là, nous voyons notre complicité, ma main droite passe sous son épaule pour saisir son sein, ma main gauche se dirige vers sa moule, mes doigts légèrement introduits dans la fente encore mouillée.
Nous allons dormir de cette façon, si je désire me retirer Claire ne ramène à elle. De temps en temps, sa main contracte ma queue par petites pressions, je réponds en agitant mon doigt dans sa vulve. Nuit de complicité et de communion de nos corps.
Au réveil après un passage dans la salle de bains ensemble ou des échanges se font comme ma cuisse qui frotte la sienne ou son sein qui bizarrement rencontre ma queue lorsqu’elle essuie ses jambes. C’est une des particularités du nudisme, se voir, s’apprécier, se comprendre.
— Nous allons rester ce matin ensemble, je veux profiter de toi, je sens encore ta queue qui est en moi, oh lalala que ma chatte est heureuse.
— Moi, c’est ta moule que je sens encore me retenir, me sucer jusqu’à la dernière goutte.
Nous allons à la bergerie pour faire les réparations souhaitait par Claire.
Si par hasard, nous nous retrouvons proches une petite caresse vient accentuer la tendresse entre nous. Recevoir ce genre d’attention en étant nu n’a pas le même ressenti que si nous étions avec nos habits. Je suis sur l’escabeau mettant un plafonnier et sa main me caresse le ventre pour finir par prendre mes couilles, c’est super. De même caresser ses seins en étant derrière, les faire sauter, ce qui est agréable sentir son duvet sur le côté de ses seins.
Pour en être arrivé là, c’est la confiance que j’ai donnée à Claire, elle a senti que je ne m’intéressais pas à son physique, seulement faire vivre son corps, lui donner du plaisir et m’en donner aussi. Explosion de nos sexes en union.
Claire m’a laissé un moment afin de s’occuper de ses animaux.
— Pierre, je souhaite pendant les travaux que tu partages mon gîte !
— Avec plaisir, tu as remis le bonhomme en marche, tu es une femme femme.
— Sauf si tu sors de la ferme, acceptes – tu le nudisme !
— Je n’ai pas le choix, tu as confisqué mon pantalon ; rire commun.
— J’aime voir mon homme nu balancer sa queue et me frotter avec son pubis.
— Tes seins me font bander, et voir ta toison si fournie, j’aime, j’adore.
Pendant plusieurs jours se fut pour ma queue un travail incessant, pas de vacances, plus nous partagions, plus nous en voulions.
Je me suis posé une question Claire aimait bien faire l’amour, il semble que depuis longtemps, elle n’avait pas eu de relation, pourtant, elle est bonne.
Les travaux avancent bien, sauf le jardin à cause du temps pluvieux. Ce sera pour plus tard.
Revenant de l’atelier, je trouve Claire dans la cuisine qui ramasse sur le sol les épluchures de pommes tombées de la table.
Son large dos et ses cuisses m’attirent, je viens poser ma poitrine dessus, elle ne bouge pas. Mes mains entourent ses seins ! Belles mamelles ! Ma queue se raidit et vient pointer dans sa fourrure si douce. Claire fait de petits mouvements et cherche visiblement à se faire introduire sans l’aide des mains, fabuleux pour tous les deux de chercher l’ouverture et de se glisser l’un dans l’autre mon gland est excité, il monte en moi ce doux liquide de lubrification, Claire mouille aussi et mon gland trouvant son liquide qui s’échappe se pose dessus et poursuit son chemin sur sa trace. Bingo, il pousse encore et la jolie moule se met à bailler, un petit effort, je suis entré, Claire sentant l’oiseau dans la cage recule violemment contre mon pubis.
— Ouiiiiiii je te veux, ohoooooo ta queue me fait du bien encore, encore !
La profondeur est énorme, je suis bien dans la piscine de mouille, ses contractions vaginales enserrent ma verge qui grossit encore plus.
Nos mouvements sont délicieux et à chaque fois ce petit bruit de sussions eup eup eups qui accompagne le bruit de nos corps qui se frappent à chaque coup de reins.
Claire se raidit, mes mains sur ses hanches la tiennent fortement.
— Oulala oulala je suis en jouissance encore, encore !
Ma verge se dresse dans son corps et envoie au fond de sa chatte une décharge de sperme,
— Oh ! Ma Claire du plaisir comme cela, c’est merveilleux, merci, toi, tu me comprends.
Je tiens Claire en entourant son ventre de mes bras, lentement ma queue se détache de sa chatte avec regret, mais satisfaite de son travail.
Nous prenons place sur une chaise, Claire assise devant moi cuisses écartées caressant ma bite et sa chatte.
— Ils s’entendent bien ces deux-là ?
— Oui, en plus ils connaissent leur travail, très bon ami ?
— Plus que des amis, des compléments qui savent que pour faire un, il faut être deux.
Formidable Claire qui a su me prendre côté homme, trouver mes faiblesses, me mettre en confiance, partager le plaisir de corps.
— Pierre, tu es un beau mâle quinqua, un seul bémol, tu es trop timide et réservé !
— Oui, c’est exact.
— Si je n’avais pas poussé un peu, tu n’aurais rien tenté ?
— Claire, je préfère que la femme se manifeste, le désir et l’envie sont alors plus grands. De plus, ton corps est demandeur alors il fait des appels plus langoureux.
— Pierre merci pour ce que nous avons vécu, je pense que pour le reste des travaux au printemps, nous aurons du plaisir. Voir mon homme nu toute la journée, un honneur pour moi de la faire aussi, ta queue m’excite, pouvoir te toucher partout un plaisir.
— Ta virilité, j’adore, ta façon de vivre je, la partage, des jours superbes avec toi.
Je reviendrai au printemps pour le jardin et je crois qu’une belle histoire de sexe pourra s’écrire, nous n’avons pas découvert tous nos secrets, ta chatte et ma queue ont encore beaucoup à donner et à recevoir de tendresse, ce sont de beaux bijoux.
— Tu es chez toi, ta queue à sa maison, il serait anormal de la laisser traîner dehors toute seule, dans la peine. Je t’attends.