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– Chapitre 1




Dans mon enfance, on m’appelait "Fifi jaune d’oeuf à cause de ma tignasse blonde toujours ébouriffée et jamais lavée parce que Germaine , ma grand mère était laveuse -blanchisseuse du village et qu’elle n’avait pas le temps de s’occuper de moi !

Aujourd’hui j’ai vingt cinq ans et je sors de taule après un an de ballon, pour avoir sniffé et vendu de la drogue ! La porte de la prison venait de claquer dans mon dos, j’étais seul, sans savoir où aller avec mon petit balluchon et mon petit pécule! J’entrais dans le rade le plus proche de la taule, pour boire mon premier café d’homme libre ! Ça sentait la fumée de cigarettes les croissants et la sueur! Je n’avais envie de parler à personne mais par contre j’avais une énorme envie de pisser!

Mon café éclusé, j’allais dans les toilettes pour me soulager! Un local toute en longueur avec d’un côté des vasques douteuses et qui avait dû en voir pas mal depuis l’ouverture à voir les coulées de sperme qui luisaient sur la porcelaine ! Et de l’autre côté des cabines fermées pour soulager de plus gros besoins!

Campé devant ma vasque, j’avais pour voisin un mec baraqué aux épaules de déménageurs et, sortie de la braguette de son pantalon de velours, une étonnante queue de taille chevaline, au gland cramoisi de la taille d’un grosse prune luisante! Le gars secouait son engin avec l’évidente intention de la faire encore grandir et grossir! Bordel ! Quel morceau!

Le gars c’ était tourné vers moi, nous étions seuls dans le local et il continuait à mâchouiller son mégot papier maïs,tout en regardant la bite que je venais de sortir à l’air libre! ! Je suis bien monté ! Mon codétenu avait apprécié mon matos et s’en était beaucoup servi pour me faire reluire et se faire juter! On s’était bien entendu et on avait passé des nuits chaudes, ensemble, en attendant l’aube! Il aimait le foutre autant que moi et on ne s’était pas privé de s’en offrir des rasades à écluser!

En attendant le balaize d’à côté continuait à secouer son chibre qui avait encore grossi! Un vrai poney!

En voyant mon regard, à la fois troublé et admiratif il avait ri en disant:-"Je m’appelle Raymond, je suis bourrelier! Si tu veux en profiter, te gênes pas car y en a pas beaucoup qui on le courage de branler mon chibre et de le faire jouir! Si tu veux on peut aller dans une cabine la ,à côté!

Je n’étais pas spécialement en demande car, pour ma dernière nuit au ballon, mon codétenu et moi on ne s’étaient privé de rien dans le domaine de la bite et du cul! Mais l’exhibition de mon voisin m’avait remis en forme! Je bandais comme un malade et j’acceptais d’aller le retrouver dans la cabine la plus proche, dont la porte était entrouverte comme pour une invitation! L’instant d’après, porte close, on était face à face, nos deux glands se frottant l’un contre l’autre:, en mêlant notre liqueur transparente du désir et nos senteurs viriles, qui, moi, me font toujours bander surtout si je vais les récupérer au fond des sillons du gland visité d’un index fébrile!

Pour caresser efficacement la bite de Raymond, il fallait la prendre à deux mains, comme celle d’un cheval ou d’un poney! Quant à

pouvoir la sucer, ce n’était que très partiellement en butinant le gland et en léchant la hampe! Je fus prudent sur l’intensité de mes caresses, car je redoutais le Jaillissement des giclées de son foutre qui devaient être du genre Tsunami! Ce fut le cas et ses giclées furent si intenses et engluantes qu’il me fallut la moitié du rouleau de papier hygiénique, heureusement excitant, pour me désengluer de cette délicieuse et nourrissante cataracte! !

Dans la paroi mitoyenne avec la cabine voisine un large trou était creusé qui pouvait laisser passer facilement un poing! De la cabine s’échappaient des gémissements qui nous donnèrent envie de mater ce qui s’y passait ! E regardant, on était pas déçu du voyage!

Assise sur la cuvette le pantalon gisant sur le carrelage, une femme d’une quarantaine d’années, assez belle se gouinait avec une copine accroupie entre ses cuisses écartelées! Adossée à la cloison les jambes retenues en l’air par ses mains, elle avait les yeux fermés pour mieux jouir du traitement qu’elle subissait, et visiblement, nous avaient repérés!: Sa compagne installée entre ses cuisses avait le visage enfoui dans la motte et visiblement lui dévorait les lèvres et le clitoris mais en même temps l’une de ses mains était plongée toute entière dans le vagin béant en y remuant les doigts ce qui faisait hurler de plaisir mais peut-être aussi de douleur la malheureuse investie de cette troublante façon! !

Ni moi, ni Raymond n’étaient subjugués par ce spectacle! Alors Mon partenaire, se relevant cracha dans ses mains pour m’enduire la queue et surtout le gland de sa salive épaisse, puis se tartina le fion en me disant:-" Vas-y! Fourres la moi dans le baigneur, les deux gouines m’ont mis en forme! Et surtout n’aies pas peur d’aller jusqu’au fond et de me juter tout ton sperme si tu en as encore en réserve!

Et quand tu m’auras bien baisé, si tu veux, on ira chez moi et on se fera une bamboche du diable à grands coups de bière de calva et de queue! Et puis tu pourras te farcir ma nana: Ginette, qui a une chatte toujours trempée et prête à se faire niquer car je suis trop gros pour ne pas entrer en elle sans la déchirer! Alors, il y a bien Dick, notre berger allemand pour la tringler deux ou trois fois par jour! Mais je suis sûr que quelques petits coups de ta bite dans sa moniche lui feront plaisir!

Baiser encore maintenant risquait pour moi d’être difficile après tout ce que je venais de vivre depuis les coups de queue matinaux de mon codétenu! Mais pour un retour à la vie normale c’était un commencement prometteur! Surtout que Raymond me disait:-"Puisque tu sors de taule, tu ne dois pas savoir où aller? Alors en attendant, viens crécher à la maison! ! Ginette nous fera de la bonne tortore et on se soûlera la gueule tous les trois tout en faisant juter Dick dans sa connasse en marécage!!"

Et juste au moment où ils s’étaient rajustés, ils virent entrer deux flics, la main sur la braguette pour venir pisser !Sacré coup de bol !

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