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Justine à Paris – Chapitre 5




Je hurle quand il se rue en avant, son épieu me distend terriblement et me transperce si loin que je tente de me soustraire à son emprise.

Arrête, tu vas trop loin, tu me fais mal !

Tu en as déjà marre ? C’est bien toi qui m’as demandé d’être TRÈS brutal, non ?

D’accord, mais là j’ai mal, s’il te plaît… Oh ! Oh ! Non… Continue, salaud.

D’accord, ça fait un peu mal, mais c’est trop bon. Il écrase mes cuisses et les maintient repliées, mes genoux touchent le lit tellement il me plie en deux. Et il donne de furieux coups de reins qui le propulsent toujours plus profondément en moi à chaque fois. Je sanglote misérablement, mais la souffrance n’est rien, elle se transforme en une sensation que je n’ai jamais connue. Plus les assauts se font violents, plus mon ventre s’ouvre et plus la jouissance monte depuis mon sexe jusqu’à mon cerveau.

Un orgasme inouï me fait hurler et Jonah l’accompagne en empoignant mon mamelon gauche et en le tordant méchamment. Je me cambre, incapable d’échapper au marteau-piqueur qui démonte chaque centimètre carré de mon vagin torride. Le géant claque de plus en plus son pubis contre ma vulve dans un bruit mouillé, tout mon corps inondé de sueur tressaute et recule sur le lit.

Je crie à nouveau quand un nouvel orgasme ravage mon ventre, alors que, soudé à moi, planté jusqu’à la garde, Jonah jouit en grondant. Je décolle encore en sentant sa semence inonder ma matrice défoncée.

Je reprends mon souffle difficilement, à moitié écrasée par les cent-trente kilos de mon brutal amant. Sa verge n’a pas l’air de diminuer de volume et est toujours fichée tout au fond de mon ventre dilacéré. Jonah se soulève sur une main, prend ma mâchoire de l’autre pour m’obliger à le regarder.

Alors, petite pute, tu as aimé ?

Tu sais bien que oui. Tu m’as fait mal, mais j’ai joui comme jamais je n’avais joui.

Et tu n’arrives pas à me vouvoyer. Je ne sais même pas comment te punir, tellement tu me désobéis.

Si tu me sodomisais…

Ouais, mais tu en as envie, ce ne serait pas une punition.

Peut-être, mais avec ta bite géante, je vais déguster, surtout si tu me la fais façon brutasse.

Vu sous cet angle… Mais attends-toi à dérouiller, je ne vais pas être tendre.

Je souris en l’imaginant faire l’amour tendrement. Je ne pense pas qu’il en soit seulement capable, Jonah est du genre soudard sanglant. Enfin, soudard avec gland, quoi.

Comme je m’y attendais, il ne s’embarrasse pas de préparatifs ; s’extirpant de mon vagin douloureux, il se positionne un peu plus bas. J’ai à peine le temps de voir sa bite raide luisante de mouille et de semence que déjà elle pèse sur mon illet. Obligeamment, je pousse pour ouvrir mes sphincters. La puissance de Jonah fait le reste, mon anus cède et s’ouvre.

Putain, il me détruit l’anus avec son pal ! Je hurle de douleur, mais il me fait taire en enfonçant quatre doigts dans ma bouche ouverte. Étouffée, je me tortille sous le corps de Jonah qui me bloque facilement. Il sourit de mes vains efforts pour lui échapper et accentue sa pénétration d’un coup de reins qui le fait pénétrer plus avant.

Je suis toujours pliée en deux, ce qui fait que je peux apercevoir quinze bons centimètres de mandrin turgescent encore à l’extérieur. Je réalise que je vais souffrir encore, quand il va me planter ça avec sa délicatesse habituelle.

Alors, tu es prête à te faire démolir le cul ? Tu peux pas parler, là…

Merci. Oui, vas-y, défonce tout… Ah ! Ah ! Doucement !

Bien sûr il ne m’écoute pas, au contraire il accélère ses ruades brutales, me secouant comme un prunier. Je sanglote tellement j’ai mal sous ses assauts furieux. Pourtant mes tétons pointent de manière indécente, témoins de mon émoi. D’ailleurs, quand Jonah arrête de me défoncer et retire de mes entrailles vaincues son formidable braquemart, je me laisse prendre à son jeu.

Reviens, tu ne peux pas me laisser comme ça.

Tu veux que je continue ? Demande-moi poliment.

S’il te plaît, Jonah. Encule-moi encore, finis de démolir mon cul… Mon Dieu, non… Ah !

Serviable, le colosse Black me sodomise de toute sa puissance, m’embrochant d’un coup si violent que ma tête va heurter le montant du lit. Son pelvis claque contre mes fesses alors que son rostre d’acier me pilonne à coups répétés, sur une cadence infernale. Il fait chaud dans la chambre, mon amant ruisselle de sueur, je me rends compte que moi aussi, j’ai la peau brillante et couverte de gouttelettes.

Je m’accroche en plantant mes ongles dans les épaules musculeuses du géant et j’entoure sa taille de mes talons. La souffrance a reflué sans que je m’en rende compte et je geins de plaisir, arc-boutée et relâchée. Chaque coup de piston m’arrache un cri de gorge, mes yeux se ferment sur un orgasme puissant qui fait trembler tous mes muscles. Puis Jonah se vide, planté jusqu’aux couilles dans mon anus, les contractions furieuses de sa bite me projettent dans de nouvelles jouissances.

Je grimace lorsque, quelques instants plus tard, il se retire de mes reins. J’ai chargé sévèrement, mes muscles sont froissés, endoloris. Je rêve d’une bonne douche et d’un peu de repos. Justement, le géant se lève et me lance :

Allez, à la douche ! Tu me laveras le dos pour te faire pardonner tes familiarités.

Bonne idée. Mais tu sais, j’aurais du mal à te vouvoyer avec ce qu’on a partagé.

C’est bien ce que je dis, incorrigible, l’entends-je bougonner.

Je grimace en me levant : mes voies sont en feu, hyper douloureuses. De la semence s’écoule sur mes cuisses que je serre machinalement pour éviter de salir partout. Je suis donc Jonah dans une grande salle de bain carrelée en bleu roi et blanc. Grande baignoire que je guigne en m’imaginant rester dans l’eau chaude jusqu’à avoir la peau fripée, large douche dans un coin qui nous accueille tous deux. Je savonne avec grand plaisir le dos et les fesses musclées avant qu’il ne me rende la pareille. Quand il me lâche, je me retourne et peux apprécier son membre viril qui recommence à gonfler.

Je ne puis résister et m’agenouille sous la pluie tiède qui nous rince. Je vais lui montrer que la petite Justine est la reine des pipes. Je gobe son gland circoncis ; pas encore dans sa plénitude, il emplit déjà bien ma bouche. J’aspire et suce, fais tourner ma langue sur le frein, enfourne jusqu’à la glotte avant de relâcher la succion.

C’est tout ? Je vais te baiser la bouche. Mets tes mains dans le dos, je ne veux plus les voir, compris ?

Je comprends que je vais charger encore une fois. Des deux mains il m’oblige à casser la nuque ; comme ça, je le regarde pendant qu’il force ma luette et s’enfonce dans ma gorge. Il se déplace juste pour que je ne sois plus sous le jet du pommeau et continue à forcer ma gorge. Je ne peux plus respirer, je suffoque et m’affole quand je sens mon estomac se révolter.

Ne bouge pas, je sais que tu manques d’oxygène et que tu as envie de vomir. Calme-toi, je suis presque à fond. Tes mains dans le dos, j’ai dit. Bien…

Pour me montrer qu’il est satisfait, il recule et me laisse respirer et cracher des flots de salive. Puis il présente son gland luisant devant mes lèvres ; c’est sans commentaire. Obéissante, j’ouvre grand et il enfourne sans attendre son mandrin. Cette fois, il glisse plus vite et jusqu’au fond, je me retrouve le nez plongé dans sa fine toison pubienne. Là, je garde mes yeux larmoyants fixés sur les siens, il doit lire la montée de l’asphyxie à la couleur de mon visage.

Je tente de reculer, mais il me tient solidement. Je ramène mes mains à nouveau et les pose sur ses avant-bras, sans réaction de sa part. Mais quand il consent à retirer sa bite, je pousse un râle déchirant en reprenant lentement mon souffle. Je crache tellement de salive accumulée que j’ai presque l’impression de vomir. Il me laisse récupérer puis saisit ma chevelure et me force à lever la tête à nouveau.

Prête ? Je vais te baiser vraiment, maintenant. Ouvre.

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